Tous les forums
Rions toujours..........
11/09/2007 à 12h59
un peu de rigueur que diantre, Ameli, la réplique de Geronte, c'est "Mais que diable allait-il faire à cette galère ?"
11/09/2007 à 13h57
l'homme commence à caresser la femme le soir dans le lit.
elle:
" mon amour, pas ce soir, j'ai rendez-vous demain chez le gynéco et j'aimerais bien être...euh...fraiche ".
lui, après réflexion:
" et as-tu aussi rendez-vous chez le dentiste demain ? "
11/09/2007 à 14h24
hop Ecrivait:
-------------------------------------------------------
> le comique de mots ou de situation ?
situation ? Encore que...
Disons que c'est dans l'esprit du Canard Enchaîné.
Mais là, c'est une belle indication que je donne.
Et j'ajoute que la correction d'Alain donne une piste supplémentaire.
Merci Alain, j'ai des excuses, des problèmes de mémoires, et pas de dictionnaire de citations.
11/09/2007 à 16h43
Pensées philosophiques
Se croire immortel n’engendre qu’une déception de courte durée.
L’homme prudent n’envoie pas son kangourou acheter du coca (proverbe chinois)(vérifier avant de poster).
Qui ne tente rien n’a rien ; qui n’a rien ne tente personne.
La mort déteste qu’on l’appelle Momo.
Les Turcs ont une tête, d’où lexpression.
La peur de la mort repose sur des a priori.
En dépit de sa célébrité, l’uf de Christophe Colomb est resté simple. Moi aussi.
11/09/2007 à 19h03
ou préciser le genre de la blague..que les c... pincés ne perdent pas de temps à les lire..
11/09/2007 à 19h09
y avait une rubrique humour noir et jaune fut un temps, mais Mark et Narik faisant une sieste..
11/09/2007 à 19h11
hallboy Ecrivait:
-------------------------------------------------------
> y avait une rubrique humour noir et jaune fut un
> temps, mais Mark et Narik faisant une sieste..
Ensemble???
11/09/2007 à 19h13
dentinole Ecrivait:
-------------------------------------------------------
> ou préciser le genre de la blague..que les c...
> pincés ne perdent pas de temps à les lire..
Oui,car tous ne peuvent avoir la taille noix de coco:)
11/09/2007 à 19h15
et puis les coincés du Q peuvent ne pas lire aussi.
quand c'est une blague de cul, on n'a qu'à mettre "Q" en titre et basta.
11/09/2007 à 19h18
hop Ecrivait:
-------------------------------------------------------
> et puis les coincés du Q peuvent ne pas lire
> aussi.
>
> quand c'est une blague de cul, on n'a qu'à mettre
> "Q" en titre et basta.
Pas de problème de catégorie,respectons simplement que cela prête à rire ou même à sourire!
11/09/2007 à 21h40
ameli Ecrivait:
-------------------------------------------------------
> ameli Ecrivait:
> --------------------------------------------------
> -----
> > Mais qu'est-il donc allé faire dans cette
> galère
> > ?
>
> C'est une énigme sérieuse ; vérifions la culture
> générale. Le gagnant aura droit à l'apéro. La
> réponse est souhaitée avant jeudi.
> Cette question de Molière dans les fourberies de
> Scapin déclenchait l'hilarité à chaque
> représentation lors de la création de la pièce, et
> ne fait plus rire personne. Pourtant cette phrase
> a beaucoup fait, à l'époque, pour la réputation de
> comique provocateur de Molière.
> Quels étaient les motifs de cette rigolade ?
Je me risque à une tentative de réponse : disons que c'est un "comique de compensation", faire rire quand la situation menace de tourner au drâme.
j'ai bon ?
11/09/2007 à 21h55
Ne serait ce point le comique de répétition, l'effet "diable à ressort" bref, le gimmick à la sauce Poquelin ?
11/09/2007 à 22h12
une chose me parait être étrange. peut-être une piste supplémentaire vers laquelle il faut aller:
1)ameli dit:
Mais qu'est-il donc allé faire dans cette galère
donc le diable n'est pas dans sa pensée (ou important) à ce moment.
2)alain dit:
correction:
"Mais que diable allait-il faire à cette galère ?"
3)ameli dit:
"Et j'ajoute que la correction d'Alain donne une piste supplémentaire."
pourquoi le diable (seul variant entre 1) et 2) à part le temps passé, joue-t-il soudain un rôle.
et le canard enchainé est un journal satirique, il faut aussi tenir compte de cet aspect.
11/09/2007 à 22h29
C'est loin tout ça,!!je dirais que cette phrase montre que le père n'a rien compris au fait que
le fait d'aller dans une galère n'est pas un acte volontaire,mais le résultat d'une contrainte!
Le fait qu'il pose ainsi cette question le tourne en ridicule!
11/09/2007 à 23h05
Je suis d'accord Hop, mais je trouve pas la réponse à l'énigme.
On sait que Molière nous fait porter un regard critique et ironique sur les hommes et leurs travers, fait une satire de la justice et caricature la tragédie.
11/09/2007 à 23h56
J'ai gaffé, mon non concernait la première intervention de pitchoune.
Sinon, vous partez dans le bon sens, bravo.
Oui, le canard enchainé est un journal satirique.
Oui et non. J'avais oublié le diable, car il n'est pas essentiel à la compréhension. Mais à la réflexion, si Molière l'a placé, il renforce l'esprit de la phrase.
Je reconnais que c'est pas facile du tout.
12/09/2007 à 00h10
ameli Ecrivait:
-------------------------------------------------------
> > > Mais qu'est-il donc allé faire dans cette
> galère
> Cette question de Molière dans les fourberies >de
> Scapin déclenchait l'hilarité à chaque
> représentation lors de la création de la pièce, et
> ne fait plus rire personne.
-soit parce que les moeurs ont changé ou quelque chose d'assez précis (un détail) a changé.
-soit un histoire d'évolution du language.
>Pourtant cette phrase
> a beaucoup fait, à l'époque, pour la >réputation de
> comique provocateur de Molière.
BEAUCOUP ! une seule phrase ! ça doit donc être facile.
on doit l'avoir sous le nez et on ne trouve pas.
> Quels étaient les motifs de cette rigolade ?
LES motifs...ya plusieurs raisons
12/09/2007 à 00h53
hop Ecrivait:
-------------------------------------------------------
> BEAUCOUP ! une seule phrase ! ça doit donc être
> facile.
> on doit l'avoir sous le nez et on ne trouve pas.
Tu ne l'as pas sous le nez aujourd'hui. Mais les spectateurs de l'époque riaient de bon coeur, ce qui valut à l'auteur quelques reproches amusés.
>
> > Quels étaient les motifs de cette rigolade ?
>
> LES motifs...ya plusieurs raisons
>
Non, il n'y en avait qu'un.
Je crois que j'aide trop. Je ne veux pas gacher le plaisir de chercher.