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Avis d'absence de redressement
09/03/2004 à 14h44
Dans le dernier numéro de sa revue-torchon publicitaire (Dialogue page 6) l'UFSBD nous produit la preuve que l'association ne fraude pas le fisc.
Dans le prochain on pourrait apprendre qu'HESCOT est chirurgien-dentiste et qu'il ne vend pas de chewing gum.
09/03/2004 à 14h59
Que pensez-vous des pratiques de l'UFSBD, je veux dire de sa stratégie auprès de la profession?
09/03/2004 à 16h17
Tous ces gamins qu'on transforme en ruminants à chewing gum nous promettent de beaux jours quand faudra traiter leurs ADAM....donc que du bien de l'UFSBD, ah ah ah.....
09/03/2004 à 19h07
... on leur fera alors ruminer des morceaux de pompe à salive chez des psys!
10/03/2004 à 10h09
Juste un tuc: jeune patient qui presente béance(ou pas) mais necessite reeducation linguale et deglutition....tu coupes un bout de pompe à salive assez large pour prendre appui au niveau molaires du patient. Tu lui apprends à passer sa langue au dessus du bout de tube coincé entre les dents et à venir toucher palais avec la pointe. Tu lui laisse ++ morceaux et il aura à faire cet exercice ++ fois dans la journée quand il y pense....., machouiller dessus avec langue au palais et deglutir comme ça. Lui dire de penser à deglutiir de la même façon avec ou sans le tube....petit truc sympa, pas cher et qui peut rendre bien des services. Comme quoi, en bricolant un peu....
11/03/2004 à 23h57
Algi: ça fait un peu Mc Guyver mais c'est pas con ...
pour l'UFSBD: ça me colle des boutons de voir qu'en plus c'est cautionné par la Profession avec un grand P
12/03/2004 à 12h34
Tous ces apparatchiks oublient qu'ils sont dentistes dès qu'ils sont invités à un gueuleton dans un ministère.
On leur refile un fromage pour les mieux placés et n'ont qu'un seul intéret, ne pas nous défendre en tant que libéraux, parce que eux mêmes sont devenus fonctionnaires.
25/03/2004 à 13h45
Tiens, tiens, Hescot cherche à se justifier.
Je ne pense pas que l'association soit en délicatesse avec le fisc. C'est plus organisé que çà : L'association nationale utilise ses comités pour orienter les fonds publics vers la société commerciale IDEE PREVENTION. Cette société fait des bénéfices et paye ses impots. Une grande partie de l'excédent d'exploitation est redistribuée sous forme d'honoraires (à qui ?), à hauteur de deux millions de francs par ans (300000).
L'analyse des bilans d'IDEE PREVENTION que nous avons en notre possession nous montre que cette utilisation de l'argent public perdure depuis plusieurs années, avec un détournement cumulé de plus de dix millions de francs sur les cinq dernières années.
De plus, les comités départementaux de l'UFSBD ne sont pas nécessairement au courant de ces pratiques, et nous avons des témoignages de présidents et d'anciens cadres qui se plaignent de ne pas recevoir de légitime contreparties à leurs actions bénévoles.
Si ce débat se révèle interressant, je suis disposé à y participer, et vous faire profiter de mes sources et de mon expérience.
Quelqu'un pourrait-il publier l'article de DIALOGUE dont il est question ?
D'avance, merci.
Je vous joint deux articles trouvés sur le net.
Bonne journée à tous.
Georges MARZIN.
1) ---------------------------------------------------------------------------
JT digipresse.com
Fluor : à consommer avec modération
le Vendredi 20 Septembre 2002
Par un arrêté royal, la Belgique décidait le 30 juillet l’interdiction totale des dentifrices au fluor, des tablettes et des gouttes fluorées. Cette mesure n’a en fait jamais été appliquée, et ne sera pas étendue à l’échelle européenne, à la grande satisfaction des dentistes, qui préconisent cependant des prescriptions médicales systématiques pour le fluor.
Cet été, la Belgique a fait grincer des dents les pays de l’Union Européenne. Magda Aelvoet, la ministre fédérale de la santé publique du pays (qui n’est plus en poste aujourd’hui), s’était mise à dos les chirurgiens-dentistes en demandant l’interdiction totale dans son pays à partir du mois d’août des dentifrices au fluor, des tablettes et des gouttes fluorées. Robert Desse, chirurgien-dentiste et vice-président de la Confédération Nationale des Syndicats Dentaires, trouvait " cette décision hâtive, excessive et aberrante puisqu’il a été scientifiquement prouvé que le dentifrice au fluor prévenait, à grande échelle, les risques de carie ". Jackie Vanobbergen, professeur de dentisterie à l’Université de Gand, en Belgique, y voyait même " une catastrophe pour les générations futures, puisque le fluor est indispensable à la santé dentaire ". L’importante régression des caries dentaires ces dernières décennies est en effet principalement attribuée à l’utilisation généralisée des dentifrices fluorés.
" L’arrêté royal est resté au fond d’un tiroir, il n’a jamais été appliqué explique M. Bouche, le fonctionnaire d’information de l’Institut Scientifique de la Santé Publique Louis Pasteur à Bruxelles. La Belgique a été la risée de tout le monde avec cette histoire. On a parlé ici de tempête dans un verre d’eau. Mme Aelvoet, qui était aussi vice Premier ministre, n’en était pas à sa première gaffe et récemment, avec l’affaire des ventes d’armes au Népal, elle a enfin été contrainte de démissionner. L’arrêté sera un jour annulé, cette fois ci dans l’indifférence générale " plaisante-t-il.
Mais cette histoire belge ne doit pas faire oublier " la petite guéguerre du fluor, insiste M. Gendre, de l’Union Française de la santé bucco-dentaire (UFSBD). Il y a d’un côté l’école américaine, qui préconise la supplémentation fluorée systématique, et qui invite donc les dentistes et médecins à prescrire à outrance, et d’un autre l’école de l’OMS, celle que nous défendons, qui considère que le fluor est un médicament ".
Les dentistes estiment en effet que la polémique sur le fluor devrait plutôt tourner autour de la prescription systématique dans tous les pays de l’UE des compléments fluorés, et non pas à leur interdiction pure et simple. Ils confirment que ces suppléments, associés au dentifrice, à l’eau de boisson et au sel de cuisine fluorés, conduiraient effectivement à un surdosage alors néfaste pour la santé. Mais ils font également remarquer que le fluor est parfois " indispensable notamment pour les personnes ayant subies des thérapies à base d’irradiation, comme dans le cas des cancers. Mais aussi chez certains enfants qui présentent un risque de caries élevé, comme dans les familles modestes ". Enfin, ils insistent sur le fait que l’administration du fluor se fait alors par voie locale, et non pas par ingestion, en fonction d’un bilan fluoré individuel précis.
En France, les compléments fluorés sont délivrés uniquement sur ordonnance (seulement si l’alimentation de la personne ne lui en apporte pas déjà suffisamment). Seuls les chewing-gums au fluor sont en vente libre, mais, depuis juillet dernier, les dosages ont été diminués pour se mettre en conformité avec les normes européennes. Robert Desse est donc " favorable à la fluoration sous ses différentes formes à condition qu’elle soit contrôlée par le Ministère de la Santé ou par la Direction Départementale de l’Action Sanitaire et Sociale (DASS) ".
" La décision belge a au moins eu un avantage, affirme Robert Desse. C’est de faire comprendre que l’automédication est mauvaise pour la santé. Le fluor doit être considéré comme un médicament à part entière que seul le dentiste peut prescrire puisque lui seul est en mesure de faire une péréquation entre les besoins de son patient, le taux de fluor dans ses habitudes alimentaires, dans l’eau de boisson qu’il consomme etc. ". Il est donc indispensable de connaître toutes les sources fluorées qu’une personne consomme avant de prescrire un traitement précis. Le fluor doit en effet être administré à des doses adéquates pour éviter tout accident, dont les risques de fluorure (taches blanches ou brunâtres sur les dents) ou d’ostéoporose (raréfaction pathologique du tissu osseux) dénoncés par la Belgique.
Jacques Desfontaines, dentiste spécialisé en fluor et membre du comité directeur de l’UFSBD (Union Française pour la Santé Bucco-dentaire), trouve également préférable de réglementer au niveau européen la vente des compléments fluorés " parce que les gens pensent bien faire en prenant du fluor, mais ils exagèrent et ils ne se rendent pas compte des risques qu’ils prennent ".
Le fluor est un oligo-élément qui renforce la résistance de l’émail des dents aux attaques acides. Il existe sous différentes formes : le dentifrice en est la plus connue, mais ce n’est pas la seule. Les fluorures sont aussi très répandues dans la nature : dans les sols, l’air, l’eau mais aussi dans certains aliments (sel, poissons, viande, thé, épinards, céréales, certains fruits…). En plus de cette présence naturelle, le fluor se trouve également sous forme de bains de bouche, de gouttes, de comprimés fluorés ou, plus rarement, de gel appliqué directement sur les dents du patient par le dentiste.
Vincent Riou
Maryse Borgetto
2) ----------------------------------------------------------------------
Comment faire tout un cinéma pour mâcher la concurrence
Malgré le déclin de sa célèbre tablette à la chlorophylle, Hollywood retrouve le succès en communiquant, avec BETC Euro RSCG, sur les bénéfices santé de ses nouveaux produits.
1 - Objectif : 45 % de parts de marché
C’est en 2000 que la grosse bulle de chewing-gum explose à la figure d’Hollywood. La marque mythique, qui a créé et porté le marché de la pâte à mâcher depuis l’après-guerre, est alors menacée. À son apogée, dans les années 70-80, Hollywood culminait à 95 % de parts de marchés en valeur ; en avril 2000, ses ventes s’étaient ratatinées à 42,8 % (la marque perdait son leadership pour la première fois, versus Freedent, qui s’octroyait 42,9 % des ventes en valeur). Mais c’est au détour des années 80 qu’il faut aller chercher les raisons de cette désaffection du consommateur. Le premier coup sera porté en 1986 par Freedent, précisément, un chewing-gum made in USA du groupe Wrigley’s. Il débarque sur un marché incarné par la tablette à la chlorophylle, avec une proposition novatrice et surprenante : un chewing-gum sans sucre qui se vante de « préserver la santé des dents ». Avec comme argument choc le tristement célèbre graphique des attaques acides. Un message qui était d’autant mieux passé auprès du public que la société baignait alors dans une vague « santé » qui déferlait sur l’alimentaire. Tout était « diet » ou « light », et le consommateur « tendance » rejetait le plaisir. Le trublion Freedent, non content de grignoter les parts de marché d’Hollywood, a par son arrivée pesé sur les destinées de la pâte à mâcher. Freedent et son discours « hygiène bucco-dentaire » ont sorti le chewing-gum du ghetto confiserie. Un changement de cap qui n’a pas été sans retombées sur la cible consommateur. Avant cette date cruciale de 1986, la « mâche » était un exercice qui ne se pratiquait qu’en deçà des 35 ans. Après cet âge avancé, il devenait franchement limite de se vautrer dans les plaisirs de la friandise. Mais avec l’arrivée du sans-sucre et de son discours santé (le sans-sucre étant devenu synonyme d’innocuité pour les dents), on redonnait du sens à la mâche. Du coup, de plus en plus d’adultes ont renoué avec le chewing-gum. Corollaire de ce retour en grâce auprès des adultes ? Une désaffection du produit de la part des jeunes. Un syndrome vécu de la même façon, et pour des raisons similaires, par Levi’s il y a quelques années. Dès lors que les adultes consomment un produit, il n’est plus pour les ados un moyen de transgression et d’affirmation de soi. Or c’est précisément le rôle qui était dévolu au chewing-gum. Le fait de mâchouiller constamment un truc était un acte qui crispait totalement les adultes mais, à partir du moment où ces derniers partageaient cette habitude, les ados ne pouvaient plus se l’approprier.
La transgression s’est donc déplacée, notamment sur la cigarette dans les couloirs du bahut. Hollywood, qui ne vendait rien d’autre qu’un état d’esprit, un art de vivre façon « cool power », se retrouve alors sans territoire de communication. Même les excellents films de Tim Burton (la virée nocturne du nain de jardin pour aller mater le bain de minuit de Blanche-Neige, ou le non moins délirant strip-tease de la statue de la Liberté en plein New York) ne suffiront pas à raviver la flamme de la « fraîcheur de vivre ». D’autant que la fin des années 90 va apporter le coup de grâce avec l’apparition omniprésente de la « fonctionnalité » dans le chewing-gum. Le marché ne fonctionne, alors, que sur ce seul modèle : l’alibi. Le chewing-gum doit faire quelque chose : dégager le nez, rendre les dents blanches, rafraîchir l’haleine… la réhabilitation d’Hollywood devra en passer par là. Le constat est sévère, mais implacable : la motivation centrale du marché se fait désormais à 41 % sur l’hygiène dentaire, et à 38,5 % seulement sur la marque.
2 - Moyens : 18 M d’euros d’AE dédié au mâchage utile
Pour retrouver son leadership perdu, Hollywood doit opérer une véritable révolution en termes de politique produits et de stratégie de communication. Car le constat est inquiétant. Si Hollywood cède de plus en plus de terrain à ses concurrents, de plus en plus nombreux d’ailleurs, c’est qu’en cette année 2000, la marque ne dispose pas d’une offre adaptée à la demande. Elle doit sortir du syndrome de la tablette sucrée à la chlorophylle. Cette tablette est l’emblème même du chewing-gum dit regular, dont les ventes ont chuté de 8 % entre 1999 et 2000, pendant que le marché du sans-sucre prenait, dans la même période, 14,2 %. En 2000, le sans-sucre est même devenu le segment central avec 71 % des parts de marché en valeur. La marque se lance rapidement dans une démarche d’innovation produits axée sur les fonctionnalités et le sans-sucre, allant jusqu’à s’acoquiner avec l’Union française des spécialistes bucco-dentaire (UFSBD pour les intimes), qui fait office de caution à la nouvelle approche du chewing-gum de la part d’Hollywood.
Chez Hollywood, on l’appelle la « catch up strategy », et elle donne rapidement corps à trois nouveaux produits : Blancheur, Powermint et Kids Calcium. Leur mission est de taille : faire renouer Hollywood avec la croissance et lui faire retrouver 45 % de PDM valeur, le tout en un an ! Pour ce faire, la marque doit impérativement faire prendre conscience à son public du changement qui s’opère chez elle. Un chantier qui nécessite un virage radical dans sa stratégie de communication jusqu’alors centrée sur un art de vivre et des valeurs psychologiques très éloignés des discours produits. Hollywood ose donc, en 2000, abandonner son socle publicitaire, la communication de marque, pour faire reposer ses prises de parole sur le produit. Pour la première fois, Hollywood va devoir s’appuyer sur quelque chose de tangible : les bénéfices rationnels du chewing-gum. L’enjeu publicitaire est particulièrement casse-gueule. Parce que si les consommateurs ne permettraient pas à Hollywood de passer outre leurs aspirations produits, ils ne lui pardonneraient pas non plus de renier tout ce qui a fait, en pub, la personnalité de cette marque. Hollywood a toujours offert au public un spectacle publicitaire, pas de la réclame. C’est inscrit dans ses gènes. BETC Euro RSCG, qui, au cours des dernières années, avait réussi à les faire rêver avec le nain de jardin de Tim Burton et le strip-tease de la statue de la Liberté se devait de ne pas sacrifier la créativité publicitaire de la marque sur l’autel de la démo produit du bénéfice consommateur. Mais comment refourguer de la fonctionnalité et du produit dans l’état d’esprit de la marque Hollywood ? C’est dans le nom même de la marque que les équipes créatives dirigées par Stéphane Xiberras, directeur de création, sont allées chercher la solution. Hollywood, et ce que ce mot véhicule d’imaginaire autour du cinéma, va servir de ciment aux différents discours produits. C’est par l’interprétation hollywoodienne d’un bénéfice consommateur que la cohérence des différents messages va se faire. Powermint ouvrira le bal (juin-juillet-août 2001), avec un baiser de cinéma des années 50 qui ne s’arrête pas, même après le clap final. L’actrice conquise par la bonne haleine de son partenaire ne peut se résoudre à décoller ses lèvres des siennes !
Une parodie des Dents de la mer prendra le relais quelques mois après pour le Kids Calcium (octobre-novembre-décembre 2001). Les dents des enfants carburant au Kids Calcium sont tellement costaudes qu’elles peuvent croquer l’aileron du gros méchant requin et le mettre en fuite ! Et, enfin, « La Planète des dents » viendra clore cette phase 1 de lancement de produits avec un détournement délirant des vieux films de science-fiction pour Hollywood Blancheur (novembre-décembre 2001).
Au total, ce sont 15,9 M d’euros qui, entre juin 2001 (début de la première vague) et avril 2002 (fin de la seconde vague), auront été mis au service de ce commando de reconquête du consommateur. Un commando destiné, et c’est tout l’enjeu de ce remaniement de fond d’Hollywood, à s’attirer les faveurs d’une cible assez différente de celle, historique, de la marque : les 15-24 ans. Avec cette nouvelle politique produit, qui incite les plus mûrs à mâcher, puisque le chewing-gum est devenu un produit utile et plus une simple confiserie, et des copies créatives second degré également accessibles à ses nouveaux mâcheurs potentiels, Hollywood entend bien élargir son pouvoir de séduction jusqu’aux 34 ans. Voire jusqu’aux mères des 25-34 ans ! Avec les produits kids, c’est la première fois qu’Hollywood ciblait les enfants-prescripteurs et leurs mamans-acheteuses. Dans cette même logique, BETC a également préconisé d’enfoncer le clou en radio avec, début 2002, une série de spots de 30 s au ton parodique et humoristique reprenant le territoire du cinéma. C’est ainsi que Powermint s’est vu gratifier d’une vague de 880 000 euros avec Le Baiser, Scary Movie et Le Seigneur des anneaux, et Hollywood Blancheur d’une vague de 1,4 M d’euros grâce à Titanic et Casting.
3 - Résultats : le leadership retrouvé
Les résultats de ce chambardement publicitairo-marketing ne se font pas attendre. Ils dépassent même les objectifs initialement posés par la marque. En un an, Hollywood reprend son leadership, dépassant les 45 % de parts de marché valeurs rêvés, pour atteindre 46,9 %, coiffant au poteau, dans un même élan, son éternel rival Freedent et le groupe Wrigley’s dans sa globalité. Pendant qu’Hollywood passait d’une PDM valeur de 41,2% à 46,9%, Wrigley’s (Freedent et Airwaves) régressait en effet de 47,9 % à 46,4 %. La gamme Kids Calcium lancé en juin 2001 est, sans aucun doute, le plus gros succès de cet Hollywood nouvelle version, avec 5,4 points en P5 2002, tandis que Freedent junior (avec une gamme initiée en juin 1998 !) ne réalise que 4,8 points. Powermint, lancé en mars 2001, réussit à se placer au même niveau que les deux références Hollywood sans sucre, lancées il y a cinq ans sans grand renfort de communication : 3,4 points en P5 2002, encore un chouïa en deçà de la performance de Freedent Winterfresh, qui obtient 3,9 points. Et Blancheur, lancé en août 2001, sans passer sous le nez de son concurrent direct Freedent White, réussit néanmoins à sérieusement l’asticoter. Il atteint 5,2 points (P5 2002), tandis que Freedent White arrive à 6 points… Mais, petit détail à ne pas négliger, le premier existe depuis un an, le second depuis 1999.
C’est avec un parcours sans faute qu’Hollywood a géré son arrivée sur le marché du sans-sucre. Les 85,7 % de progression obtenus sur les cinq premiers mois de 2002 ont, en effet, largement compensé le déclin de l’offre historique (donc sucrée) de la marque (- 18,9 %). Et, dans le même temps, elle a réussi une autre prouesse. Celle de ne pas altérer son capital image en devenant plus commerçant ! Mieux, alors même qu’en 2000 elle souffrait d’un réel retard dans l’adéquation de l’offre à la demande, elle était, d’après le bilan annuel Research International de 2002, perçue comme plus innovante que Freedent (72 contre 29). Une performance que l’agence BETC attribue, entre autres, à l’histoire publicitaire de la marque : « C’est parce qu’Hollywood avait une avance sur l’image que la reconquête a été aussi rapide ». CQFD !
Laurence Armangau
04/04/2005 à 18h10
Cela vaudrait un article dans le "canard enchainé" pour enfin faire tomber le masque.
04/04/2005 à 19h33
ce même Patrick Hescot a signé un accord avec la marque AFAQ pour nous fourguer à terme ces certifications qualité de service en cabinet dentaire....de quoi il se mêle ce mec?
http://www.ismq.bordeaux-bs.edu/document/FicheDentaire(BR).pdf
04/04/2005 à 20h57
Bien d'accord avec Dr B. sur le Canard Enchainé. Si vous cherchez le journaliste qui va vous écouter et, qui sait, dévoiler cette affaire, n'hésitez plus, vous l'avez trouvé. répondez à ce message pour entrer en contact avec moi, jeune journaliste indépendant qui traine depuis un moment dans le milieu trouble des cabinets dentaires...
04/04/2005 à 20h59
investigator a écrit:
qui traine depuis un
> moment dans le milieu trouble des cabinets
> dentaires...
dis donc toi!!!...mon cabinet n'a pas de milieu encore moins de troubles!...
04/04/2005 à 21h22
C vrai ca; la dentisterie est parfois opaque, mais nos cabinets, non, et alorsss.
04/04/2005 à 21h26
tiens un journaliste à sensation ?
"mon dentiste m'a abimé mes dents"
ou encore
"les scandaleux salaires des dentistes"
oubien
"mon dentiste me vend ma couronne trois fois le prix qu'il a payé"
....
merci , mais les journalistes je n'ai plus vraiment confiance...
04/04/2005 à 21h44
T'as oublié "les détartrages on m'a dit que ca raye les dents et meme que parfois apres elles bougent"
"les implants ou les appareils ortho, c'est plein de rayons qui abiment le cerveau"
04/04/2005 à 21h48
a quand un vrai journaliste qui analysera les faits, les textes, les obligations ridicules qui enferment la profession, les faux culs de toute sorte qui n'ont jamais la moindre responsabilité mais qui donnent les lecons...
serait il celui là?
on peut rever!
04/04/2005 à 21h52
les faux culs de toute sorte qui n'ont jamais la moindre responsabilité mais qui donnent les lecons...
tiens, salut athos. Tu penses à qui?
04/04/2005 à 23h11
Tiens, v'la Grincheux et Prof qui veulent se faire Blanche Neige...
Mais elle court vite, la Blanche Neige...
04/04/2005 à 23h15
hé athos, y a une vieille sorcière qui se paie not'pomme et se fait passer pour blanche neige, j'y dis quoi?
04/04/2005 à 23h35
"hehooo
hehooo
heho,heho, je rentre du boulot..."
un bon p'tit coup de hache et hop!
l'avais qu'à pas croquer d'la pomme c'lle-là!