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Gagner de la DVO
11/03/2007 à 12h17
Oméga écrivait : « Je souhaiterai savoir, dans un langage compréhensible par mes faibles capacités, quand s'arrêter et si je rate quelque chose, un oubli ou quoi que ce soit. Je sais que ma question est vague mais j'espère votre assistance ».
>
Il faut distinguer différentes visions de la « DVO », que je résume sous le vocable « distance nez-menton » pour simplifier la compréhension :
- « DVO squelettique » : celle du crâne sec en situation d’intercuspidation maximale des dents, similaire à celle de la mise en occlusion volontaire, lors de l’analyse gnathologique, lors des « meulages sélectifs » ou lors d’une téléradiographie latérale utilisée en ODF et en CMF.
- « DVO physiologique » : celle qui tient compte de la position de repos physiologique de tous les muscles manducateurs - dont les m. masticateurs, m. sus- et m. sous-hyoïdiens -, et de la fonction liée aux réflexes innés, celle-ci étant modifiable à merci par les centres supérieurs, dont le cortex (« volonté »).
De ces visions, j’ai choisi la seconde pour ses relations plus qu’intimes avec les connaissances liées aux Bases fondamentales de la Médecine (Biochimie, Physiologie), tout en tenant compte d’un Espace libre physiologique qui doit toujours être préservé.
Sans ce dernier, les muscles manducateurs perdent toute possibilité de se mettre au repos physiologique = crampe musculaire dans les quelques minutes, ou heures, qui suivent l’intervention iatrogène pathogénique.
Le système manducateur préserve donc tout praticien compétent de tomber dans l’excès pathologique d’augmentation de DVO = « surocclusion » et « sus-occlusion » ; la Nature ne pouvant jamais l’y amener.
La DVO n’a AUCUNE dimension toute faite en millimètres : chaque individu a sa SPECIFICITE et c’est sa perception proprioceptive, desmodontale et autres, qui renseigne son système neuromusculaire.
C’est la BARRIERE entre l’équilibre et le déséquilibre de ce système neuromusculaire qui renseigne le patient, le dentiste généraliste, l’ODF et le CMF sur la FRONTIERE à ne jamais dépasser.
D’où lintérêt d’une excellente approche anamnestique du patient.
11/03/2007 à 14h16
"Il faut distinguer différentes visions de la « DVO »,
- « DVO squelettique » : celle du crâne sec en situation d’intercuspidation maximale des dents,...
- « DVO physiologique »...en tenant compte d’un Espace libre physiologique"
De ces visions, j’ai choisi la seconde..."
Bref, comme on t'a appris à l'école et comme tout le monde fait tous les jours.
Autre chose ?
11/03/2007 à 17h14
Bonjour Isaïe. Je ne suis pas certain que tu as tout compris et jusqu'à la fin de la page : "suicide" et "obligation légale" par Jurisprudence.
http://users.skynet.be/occlusion/patients/glossaire/6_douleurs.html
11/03/2007 à 19h02
J'ai d'autres lectures que des resucées insipides et mal ficelées de Jeanmonod, Sved, and Co.
Bonne continuation dans ton exégèse et surveille l'orthographe.
11/03/2007 à 20h32
Tu as raison : je préfère nettement plus la pratique. Et les patients aussi.
12/03/2007 à 10h04
Merci occlusion mais tu avais déjà répondu à cette question ... il y a 2 ans. Le post a été déterré.
12/03/2007 à 10h05
Occlusion a dit:
La DVO n’a AUCUNE dimension toute faite en millimètres : chaque individu a sa SPECIFICITE et c’est sa perception proprioceptive, desmodontale et *** autres***, qui renseigne son système neuromusculaire.
puisque tu es si fort en bases fondamentales machin chose, peux-tu expliciter le *** autres *** ? Merci... hi hi hi
12/03/2007 à 11h10
Mon pauvre Amibichon adoré qui ne se souvient plus de ses cours : Alzheimer pubère ?
12/03/2007 à 11h13
Oméga Ecrivait: "Le post a été déterré".
>
et il est toujours d'actualité, quand on observe, en 2007, les meulages intempestifs, dits "sélectifs".
12/03/2007 à 11h47
occlusion Ecrivait:
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> Mon pauvre Amibichon adoré qui ne se souvient plus
> de ses cours : Alzheimer pubère ?
Primo je ne suis pas pauvre, secundo je ne t'aime pas, tertio tu n'as pas répondu à la question, enfin fais gaffe à tes patients qui vont consulter ailleurs en pleine souffrance ! j'ai dit
17/03/2007 à 09h33
Amibien écrivait: "secundo je ne t'aime pas"
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Manquerait plus que çà : tu cherches toujours ton bord ?
Amibien écrivait: "enfin fais gaffe à tes patients qui vont consulter ailleurs en pleine souffrance ! j'ai dit"
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"Le Sauveur de la planète", disais-je. Connais-tu St-Thomas : alors, montres-nous ton Génie !