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A la Saint Norbert...
06/06/2008 à 10h10
Tout le monde
souhaite à PAL
son anniversaire !
Très joyeux anniv à notre chroniqueur et cas cliniqueur préféré !
;)
06/06/2008 à 12h16
Restons discrets quand même, faudrait pas le faire pleurer; Pas sûr que ça le botte d'en avoir un de plus...("Quand j’étais jeunôt, j’étais déjà un sentimental, mais avec la vie, j’ suis dev’ nu plus tendre qu’ un chat mallow, et j’ larmoie pour un rien. ")
BA Pal !
06/06/2008 à 13h53
Vous aller p't'ête pouffer, les aminches, mais c'est vrai que j'aurais à moitié la larmiche au coin de l'il. D'abord à cause que j'ai la faiblesse de ne jamais prendre les vux dans ce genre pour de simples formules de politesse, je les reçois comme des pétales d'amour et d'amitié. Que c'est bon de les voir virevolter dans ce monde de violences, de malheur et d'injustices! Merci beaucoup à vous toutes et tous! Et puis aussi parce que ma garde rapprochée m'attend de pied ferme ce soir. A mon avis, ça va camphrer, comme je les connais!
Mais, au fait, comment savez-vous que je me prends vingt quatre berges aujourd'hui?)
06/06/2008 à 17h16
bon Anniv , PAL, alors c'est-y le second 1/2 siècle que tu entames ??
Je pensais à un truc, pourquoi que t'enverrai pas un de tes ouvrages à Gerard Collard , le Pivot du Magazine de la Santé sur la 5 ? Je pense qu'il devrait aprécier . Si ce n'est déjà fait, sorry !
06/06/2008 à 19h03
En hommage à PAL, voici un remix de ses différentes études, qui a servi dernièrement de trame à un départ à retraite. Oui, quand l'oeuvre est de qualité, il est de notre devoir à nous, les ouvriers laborieux sans talent contraints de discourir, de plagier les artistes. Les lecteurs attentifs retrouveront facilement les extraits honteusement pompés. Rongé par la culpabilité, j'avoue ma faute, je la révèle, et je supplie PAL de m'absoudre.
Départ à la retraite fictif, puisque l'heureux bénéficiaire travaille désormais bénévolement dans son troc.
Mais faut bien trouver des prétextes à festoyer...
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Le moment est venu, avant d’en célébrer la fin, de faire un retour sur la carrière de M. Van H....t. J’ai retrouvé son extrait de naissance, le vrai.
Doudou van h...t est né à Bruges, en Flamandie, comme son nom l’indique, il y a bien longtemps. Oui, son vrai prénom, c’est Doudou, ce qui en flamand signifie tu-tu, et explique à la fois sa tendance au tutoiement et son attirance pour les danseuses.
Arrivé en France très tôt, sa maman a jugé préférable de changer son prénom car les roux Doudou sont malheureusement victimes en France d’un ostracisme marqué. Elle a choisi Bill, en souvenir d’un militaire américain dont la grosse énergie était enthousiasmante.
Bill a fréquenté plusieurs établissements scolaires religieux dont il fut plus la croix que la bannière. Il a tenté plusieurs métiers, et il a découvert avec stupeur qu’on lui demandait de travailler. Même à la poste, c’était trop. Donc, il a fait limonade.
Quand on dit limonade, c’est une expression. La caisse de 12 bouteilles de limonade achetée en 57 n’est toujours pas vide, mais les 8548 fûts de bière le sont, vides.
A propos de fût, maintenant que Bill est à la retraite, je peux vous confier un secret. Il m’arrive parfois, en fin de mois, d’être impécunieux. Oui, les cadres-sup, harcelés par leur harem d’ex, ont parfois des moments de fragilité financière. Or, il suffit que je fasse un geste pour que Bill, généreux comme jamais, me verse à boire et oublie de facturer. Etonnant, non ? Voilà pourquoi :
Il arrive qu’un fût se vide ; et donc, qu’il faille mettre le suivant en perce. Si Bill, professionnellement, a une faiblesse, c’est bien celle-là : il n’a jamais su se démerder avec les trous du fût.
Un jour que j’étudiais un dossier difficile au comptoir, enfin seul, vers 9het1/2, Bill est descendu à la cave pour mettre un fût en perce afin de prendre son petit déjeuner. J’entends hurler, et je fonce au secours du maladroit. Il avait son doigt coincé dans le trou du fût. Heureusement, j’ai pu le sortir de la merde. C’est pas fûté quand même, il aurait pu faire attenfion.
Depuis, quand je fais ce geste discret (se sucer et lécher le majeur), Bill me paie à boire. Il est sympa.
Financièrement, cet incident me fut utile, fût-il futile.
Il y en a qui disent que l’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt. C’est des conneries. Prenez Bill.
Au contraire de la femme, l’homme n’est pas conçu pour travailler. Tous les matins, rien qu’à voir la tronche fripée qui le regarde dans le miroir, l’homme sage comprend que s’arracher du plumard pour aller bosser, c’est pas naturel.
J’ai compris ça aussi, mais moi c’est normal, j’ai bac + 8, en comptant les redoublements ; Bill, il a bac 5 et il a compris aussi, ce qui prouve que l’intelligence ne s’apprend pas à l’école.
C’est comme ceux qui disent que la femme est l’avenir de l’homme, c’est des conneries aussi. Prenez les 2 pimbêches que j’ai épou… Non , c’est hors sujet.
Donc, Bill, dès le début de sa carrière de limonadier a collé au-dessus du bar une grande affiche avec ces 3 lettres : S C S.
Il a génocidé toute la clientèle des nuisibles, pour ne garder que la crème d’andouille.
Le tatoué à coiffure bananière, il vient pas.
Mademoiselle Gnangnan, qui yoyote de la touffe et qui est feignasse comme une loche, elle vient pas.
Le beur demi-sel, qui est au chômage par vocation, il vient pas.
La vulgasse boudinée par une lolotière tendue à craquer, elle vient pas.
Miss Rillette 59, aux aisselles cerclées de moisi et aux nichons mollassons, non plus.
Le con sale, à boutons rubiconds avec béarnaise centrale, il vient plus.
Jessica, la psychothérapeute du Pouffiass-bar, non plus.
Et Sabrina, la péripétasse avec son string coupe-crotte, qui rêve de se faire chantiller le feuilleté, éliminée.
Le jeunot, peigné à l’huile de friture, dehors.
Le fou, dehors aussi.
SCS : sales cons s’abstenir.
C’est pas volontaire, ces éliminations, c’est une incompatibilité de génomes.
Il n’y a qu’une exception, qu’un oxymore : les supporters de foot, hélas.
Mais globalement, Bill n’a conservé que l’élite : nous, ses pigeons préférés.
Je voudrais féliciter Bill pour le choix de la date de son départ en retraite. Excellent choix. Il vaut mieux en effet partir en retraite de son vivant, et demain, n’est-ce pas, on ne sait pas. Mais on espère.
Je passe maintenant la parole à notre mascotte, la plus jolie taxi-Fabienne de l’Est de la France, qui s’est chargée de trouver des cadeaux utiles, somptueux et très chers, qui te serviront pendant cette période de désoeuvrement qui s’annonce.
N’oublie pas, Bill, qui aime bien chatouille bien.
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Remise des cadeaux (vaseline, mots fléchés pour débutants, jouets pour le bain...)puis bière, champ, chansons paillardes, etc, à volonté.
Soirée que je t'ai dédiée, PAL !
06/06/2008 à 21h27
M !
J'ai oublié de modifier, j'ai laissé le nom du fou !
06/06/2008 à 22h02
Une seule phrase me vient à l'esprit en repensant aux bons moments passé à me délécter de ta litérature:
"mort aux cons"
BAPAL @mitiés.
06/06/2008 à 22h22
on va quand même pas attendre la Saint-Patrick pour culbuter un godet ?!
Cerbère !
sert bière!
et les amis versèrent
le saint breuvage amer
pour son anniversaire
pendant la Saint-Norbert.
07/06/2008 à 01h30
Puisque je bosse aux RG
:)
Il est important que vous sachiez que le prochain c'est GL
;)
Pile poil au milieu du mois !
:)
(enfin, je crois)
07/06/2008 à 09h19
moi je fais grève,les RG ont laissé passé le mien,alors juste pour Pal,je rompt cette grève,bon anniversaire! on t'a offert un autre polo rose? :)
07/06/2008 à 09h41
J'ai mis GL au congélo avec le lapin:)
(y fait sa tête de chien)
Joyeux anniversaire en retard Annie.