Cookie Consent byPrivacyPolicies.coml'horreur... - Eugenol

l'horreur...

JUAN

25/07/2009 à 00h03

voilà aujourd'hui dernier patient à 18h45 un vendredi pour scelllement 4 inlay core et 4 ccm sur 11 à 22.
à l'essayage tout va. je décide de coller d'abord les inlay core car le fuji+ prend très vite par cette chaleur... résultat les inlay core scellés, il ne me rester plus qu'une couronne sur les 4 qui rentrait... à 20h et après plein de réglages à la noix pour essayer de faire rentrer ces p... de ccm je décide de rebaser mon bridge provisoire pour refaire une empreinte et tout renvoyer au labo... l'horreur... tout ca pour rien... l'horreur...
et vous avez vous des anecdotes de fou où vous avez failli craquer?


Julie A

25/07/2009 à 00h04

Y a des jours...... comme ca ou rien ne va. Mais detends toi ! Keep it cool


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gai-luron

25/07/2009 à 00h14

Ah, ça m'est déjà arrivé, cette merde... pile poil pareil, avec le Fuji aussi...
et çà s'est terminé pareil...

faut tout sceller en même temps...


Gutt-A

25/07/2009 à 00h41

Exact, tout sceller en même temps

mettre la plaque de verre à spatuler le ciment préalablement au frigo


fr

25/07/2009 à 00h49

SI c'etait pour vous ... vous accepteriez 4 icore + CCM en une seule étape !!! Voila la solution... On peux pas toujours gagner. Ce type de boulot c'est nickel pour cab mutualiste.
A bon entendeur ...


Dr - Eugenol
JeRis

25/07/2009 à 00h49

... le Fuji+ ne se spatule pas sur une plaque de verre.


Grueavatar nptrc9 - Eugenol
Le Choixpeau magique

25/07/2009 à 00h52

JUAN écrivait:
--------------
> voilà aujourd'hui dernier patient à 18h45 un vendredi pour scelllement 4 inlay
> core et 4 ccm sur 11 à 22.

Déjà si tu essayes de faire rentrer 4 éléments dans 3 dents, tu risques effectivement d'avoir du mal...


Dr - Eugenol
JeRis

25/07/2009 à 00h55

fr écrivait:
------------
> SI c'etait pour vous ... vous accepteriez 4 icore + CCM en une seule étape !!!


... j'ai zappé la suite, c'est de la provoc :)

Mais c'est vrai, à trop vouloir brûler les étapes pour gagner du temps ... on en perd et ça donne un boulot de m*rde ... ou tout au moins, il faut vachement bien maitriser la technique.


TAUPON

25/07/2009 à 01h17

rose écrivait:
--------------
> dites vous espérez que les AD vous donnent une solution
> on est dans ad et formations qualifiantes....
>
> euh voyons voir.... que peut-on faire pour éviter que ça durcisse quand il fait
> trop chaud???
>
> hum....je vais réfléchir un peu!
>
> ou sinon que peut-on faire pour optimiser le scellement de plusieurs couronnes
> ou d'un bridge d'ailleurs????(si inlays ...)


le Fuji 1 ou le Fuji + en capsules ou le fuji cem pate pate les refroidir avant
Il m'est arrivé de me faire prendre par une prise trop rapide en scellant l'inlay core,c'est vraiment l'horreur,il reste du ciment dans le logement du tenon..;;;,alors que tout était correct,2 mn avant.je ne dois pas étre le seul.Il y a aussi le Ciment panavia qui durcit en l'absence d'oxygéne,c'est pas trop rapide

Bon week end
jean paul


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hallboy

25/07/2009 à 01h55

Si ton cab n'est pas climatisé; au dessus de 25 ou 26, des tas de choses deviennent un enfer, du plus simple ( alginate ) au plus compliqué ( empreintes ou scellement )

Si tu as les 2 pieces ( Core + CCM ) en mm temps , il faut sceller en mm temps. et ds un cas pareil , tu scelles 11/ 21 avec 12 22 en place non scéllés; puis apres la prise et avoir enlever tous les excés, tu scelles les 2 paires qui restent.

je scelle au Fuji pate pate, mais sans monter les embouts melangeur: la spatule de bouche qui sert a melanger charge les pieces immediatement. clim en marche, frontale eteinte.


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Jpeg

25/07/2009 à 16h39

Sinon, tu places tes capsules au frigo, et tu les sors au moment de sceller. Fonctionne très bien


01 ukhwbq - Eugenol
Bobby

25/07/2009 à 22h24

Le vendredi soir à 18h45, sûrement avant les vacances, tu craques peut-être plus facilement...
Le vendredi à cette heure je peux pas!


PAL

20/08/2009 à 11h38

J’étais pourtant d’humeur badine, ce matin.

Faut dire que j’ décambute ce midi direction les sommets z’alpestres. A moi les pistes noires, euh disons rouges…. Non, plutôt vertes. Hé, c’est pas que je godille comme un manche, hein, mais j’ai zieuté mon contrat d’assurance : si je me viande la crêpe et que je reviens en hélico dans un bloc de plâtre, le cabinet cabane en trois semaines. A mon âge, faut plus tenter de figures pour épater la galerie !

Pour partir décontract’, j’avais programmé que du rilax : un dernier rancart d’une plombe pour sceller peinard au sieur Patrem ( Alain) ce plaisant ensemble céramico-métal d’un fort beau gabarit ( de 14 à 24). Après, je saute à la banque larguer l’oseille, j’ me visse le bonnet à pompon sur le bocal, et hop, cap à l’est ! Gnarf !

Ding dong, pile poil à l’heure ! Y’a d’ la joie, bonjour bonjour les tartiflettes…

Bien, alors, déposons dans un premier temps cet élégant bridge provisoire résino-composite. Hinch ! Bon, ça résiste, c’est normal, je l’ ai cramponné au Durelon, pour que…. ça dure long !Je crochète l’ arrache-couronne par derrière, tac-tac-tac, bouge-donc pas, René, ça fait pas mal, tac-tac et TAC !- Crac ? Merde ! Pété en trois morceaux et treize miettes! Pas grave, j’en ai pu b’zoin !
Je décarboxy-latte les restes de ciment aux ultra sons, thermostat 8, ça dépote, mais y’a des gravats. Rince-toi l’ gosier, Marcel, c’est ma tournée !
Je déplâtre le premier inlay-core et l’engouffre dans l’évasure à laquelle il se destine. Tiens ?! Ca rentre pas ! Bon sang, mais c’est bien dur ! Reste du ciment à l’entrée. Un p’tit rappel d’insert et d’ Moser dans tous les trous, c’est recalibré !. Voyons voir… Y’ a pu qu’ 11 qui récalcitre. Re-foret. Rien à faire ! Y manque 1 mm. J’ grappille au diamant, à droite à gauche , en dedans et en vain. Ca commence à m’ peler l’ jonc, c’ t’ histoire, lorsque mon sens clinique aigu me pousse à effectuer une fine observation comparative du modèle positif unitaire et du mognon intra buccal. Fichtre ! Y’a tout un pan qu’a dégagé sur le plâtre ! C’était donc ça ! Trois tamponnements à la fraise judicieuse et enfin, tout s’emboîte impec, et même deux. Numérisons tout ça pour la postérité, si ce n’est pour les gestapistes de la sécu.
J’envoie un autre gorgeon à l’édenté en voie de ravalement, et scrute la pendulette. La vache, déjà 25 minutes de passées !
Suspense ! J’approche le bijou de son écrin et m’apprête à jouir ( façon de causer, y m’en faut d’autres !)) de voir disparaître ces horribles moignons de chicots sous cette merveille éclatante d’harmonie morphodentaire. Eh, attends, ils me font marrer avec leur sourire du mois, les clercs à Fontaine ! C’est le genre d’expert à la mord-moi l’ nœud à qui y faut 4 pages d’analyses, 15 photos, 5 crobars, 2 modèles, 1 pano, 4 tableaux de variations, un pied à coulisse et un fil à plomb pour conclure que Simone a un sourire potable ! Faudrait p’têtre leur apprendre, à ces frimo-gnostiques de la dentisterie, que la beauté c’est pas une équation du cinquième degré à 3 inconnues !
Passons !
Donc, j’enquille gentiment l’édifice. Merde, y a un nœud à la jointure, ça glisse pas sous-gingival côté 23 24. Doit rester encore une limaille quek-part ! J’inspecte à la loupe, nada, que tchi ! Bon, deuxième essai de tentative, je force un brin, ça gagne un soupçon. Ca va l’ faire, t’énerve pas, docteur ! P’tête que ça sertit excessif ici ou là ? On va fout’ un Fitt !
Je rabote subtil et je rassois la pièce. C’est quasi splendide. Avec le iono qui lubrifie, ça va enchâsser au poil !
Je tends le rétro à Paulo pour agrément préalable, il opine, je scelle les inlays-cores.
J’ suis à la bourre, mais ça commence à humer la fondue aux cèpes et le sauciflard de montagne !
Les intrados encollés, j’endente la construction avec moelleux, je digito-presse graduellement, je fais intercuspider, puis j’interpose 2 rouleaux de coton. Serre là-dessus, Arsène, qu’on en finisse.

Tic ? Comment ça, tic ? Ai-je bien ouï tic ?
Oh, nooooon ! Cet enfoiré de carbocalcique m’ a compressé le chef d’œuvre à 800 bars par centimètres carrés/minute moins un! Total, un éclat de céram en vestibulaire de 22 ! C’est pas possible ! Damned !
A toute berzingue avant que ça soye soudé béton, j’arrache tout, c’ est déjà filandreux, l’horreur !
Mais triple andouille, serrer, ça veut pas dire écrabouiller, pilonner, broyer !
Ah vinguieu de mordiou d’ vérole ! Y’a pu qu’ à tout décrotter et renvoyer au labo !

Bon, ben on va remettre le provis… Ah merde, c’est vrai qu’il est explosé ! Respire, Pal, six ions, c’est au moins une demi-plombe, d’accord, mais comme t’auras rien à livrer à la banque…

Ce midi, j’ suis d’humeur chafouine !


cyberquenottes

20/08/2009 à 12h01

une histoire comme çà :

- alors que le moteur de la bagnole est encore chaud de la route de retour
- qu'un tas de linge himalayesque a été abandonné par la progéniture
- que le lavage integral de la baraque est à envisager après les fêtes estivales qui se sont déroulées pendant notre absence


bref une histoire comme çà juste à la rebtrée

MAIS TU VEUX NOUS BOUFFER LE MORAL PAL ???!!!???


Utilisateur banni

20/08/2009 à 14h36

Crédieu Pal!! j'pige quedal à ton jactage!! T'emboucane tout l'monde avec ton créole du pas de calais!! Faut causer riche sur nonol mon coco!! Relie les post de Marc Apap. N'en v'la un qui lit du Michel Baudelaire...