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Mon 2° cas en N.M.
03/04/2010 à 17h12
Bjc. écrivait:
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> arzo, petite bicyclette !!!
t'as raison, du moment que ça roule...
04/04/2010 à 12h09
hallboy écrivait:
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> et les qq millions de personne avec une occlusion de mikkado sans Sadam, ???
>
> j'ai l'impression de continuer une conversation que j'ai commencé en 79...
On tourne dans la même soupe depuis tant de décennies ...
Il existe une façon d'en sortir, c'est d'abandonner les "mon patient va mieux pcq je lui ai vendu une gouttière, du courant électrique, de l'encens, un régime, des benzo ou Dieu sait quoi d'autre". Le patient peut se sentir mieux pour tellement de raisons insoupçonnables qu'on ne maîtrise absolument pas.
Un marqueur mesurable évalué avant et après intervention (quelle qu'elle soit, ce sera la validation d'une hypothèse, si ça marche, on garde. Si pas, on jette définitivement).
Le taux de ferritine par exemple, mesure objective et incontestable : est-ce que peux, sans pharmacologie, le modifier par mon intervention, est-ce qu'il y a un lien avec l'occlusion ?
Bjc va jamais comprendre le chemin.
06/04/2010 à 07h20
Bjc. écrivait:
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... on ne sert de l’occlusion que pour stabiliser une RELATION...,
Combien d'orthos évaluent la relation, le centrage des condyles, avant de modifier l'occlusion ?
Est-ce que ce centrage est vérifiable dans les trois directions de l'espace ? Avec quelles limites ? Combien de microns ? Comment vous faites ?
Quand les muscles auront été tétanisés dans un hypothétique état de repos, on fait quoi des salutaires altérations de forme du condyle due à la plasticité bénie de l'atm ?
SI la fonctionnalité dépendait simplement d'une occlusion qui stabilise le centrage des condyles (on se demande d'ailleurs comment dès qu'on ouvre la bouche), l'espèce aurait sans doute disparu depuis longtemps.
C'est parce que c'est très complexe que c'est performant. L'occlusion simple comme Légo donne surtout des indications sur la simplicité du raisonnement de l'opérateur.
06/04/2010 à 11h41
isaï écrivait:
"""Bjc va jamais comprendre le chemin."""
On a eu droit à la confétine
puis à la danse de St. Gy sur un rythme endiablé à la 6,4,2
aujourd’hui c’est la ferritine
j’ai hâte d’être à dans 6 mois, pour une nouvelle découverte, toujours aussi verbeuse, toujours sans présentation de résultats
il est long le chemin … …, c’est pas grave, on rigole bien
@+ Bjc.
06/04/2010 à 13h10
Bjc. écrivait:
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> j’ai hâte d’être à dans 6 mois, pour une nouvelle découverte, toujours aussi
> verbeuse, toujours sans présentation de résultats
BJC, demande à tes contacts LVI de te présenter des rétroalvéolaires des secteurs postérieurs à dix ans, et en comparant aux radios initiales, dis nous ce que tu vois.
06/04/2010 à 13h56
bjc,
la ferritine présente le grand avantage d'être mesurable objectivement dans une analyse de sang. Personne n'a décrit qu'on pouvait modifier ce taux avec placebo, encens, imposition des mains. D'autres paramètres biologiques sont intéressants à ce titre aussi.
Mesurable objectivement, je sais ce que ça peut avoir d'effrayant pour un druide des mythologies occlusales.
Quatre questions se posent.
Comment doit fonctionner le métabolisme d'une cellule musculaire, quels produits de dégradation du glucose devons-nous obtenir, dans quelles conditions et quels sont les paramètres qui permettent de le contrôler ?
Cette première question est fondamentale et elle préoccupe beaucoup certains milieux qui cherchent à silencer ces kinases archaïques qui un jour sortent de leur torpeur pluri-millénaire, responsables d'une voie définitive de fabrication de lactates hors de la mitochondrie.
Pourquoi ça arrive ?
Deuxième question.
Avons-nous des indices cliniques du dysfonctionnement métabolique musculaire ?
Troisième question.
Avons-nous des indices biologiques concomitants, bouche tes oreilles, mesurables ?
Quatrième question.
En quoi cela nous concerne ?
La ferritine devrait déjà attirer ton attention de paro-conscient.
10/04/2010 à 13h48
je suis intrigué,
j’ai reçu hier un appel téléphonique d’une endocrinologue de l’hôpital qui suit ma patiente
elle lui fait régulièrement des analyses et son dosage de créatinine fluctue d’une manière incompréhensible
elle a demandé à notre patiente ce qui avait changé dans son mode de vie, et la seule chose qui a changé est le port permanent de sa gouttière, d’où sa demande de renseignements
je n’ai pas pensé sur le moment à lui parler de ferritine, du reste, je ne sais m pas si cela se dose
je suis perplexe
@+ Bjc.
10/04/2010 à 15h58
"elle lui fait régulièrement des analyses et son dosage de créatinine fluctue d’une manière incompréhensible
elle a demandé à notre patiente ce qui avait changé dans son mode de vie, et la seule chose qui a changé est le port permanent de sa gouttière, d’où sa demande de renseignement"
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/5878161
http://www.annals.org/content/145/7/531.full.pdf voir muscle
Rien d'autre que le port permanent de la gouttière ?
11/04/2010 à 06h51
bjc,
Ce que tu as écrit est suspect, ce serait intéressant que tu demandes une analyse sanguine avant et après tes traitements électriques. Par précaution.
Merci de nous tenir ... au courant.
11/04/2010 à 11h50
Je pense que ça n'aurait plus de sens à ce stade puisque tu es déjà intervenu.
Ce qui serait intéressant, c'est d'évaluer un paramètre qui se trouve hors norme de façon récurrente et de le faire avant toute intervention. En sachant bien que c'est la variation du paramètre qu'on retiendra.
Dans le cas de l'acouphène, tu as choisi l'option intervention occlusale. Personne ne peut te donner tort, c'est une hypothèse à envisager et à explorer.
On peut aussi en envisager d'autres, exemple dysfonctionnement métabolique. La cellule ciliée externe incriminée dans les acouphènes étant un effecteur "musculaire" au bout des efférences du nerf auditif.
Je prends un acouphénique et je mesure sa glycémie à jeun pendant une dizaine de jours. Imagine qu'il soit glycémie haute lors de chaque contrôle, flirtant avec les 120 mg/dl.
J'exécute mon protocole (peu importe lequel) et je refais 5 contrôles dans les mêmes conditions et je le retrouve 5 fois entre 80 et 85.
Comme ce patient ne prend pas de médicament hypoglycémiant, il est raisonnable de penser que mon protocole a eu un impact parce que le placebo n'est pas décrit comme efficace sur l'hyperglycémie.
Si je répète ce protocole sur d'autres hyperglycémiques et que j'obtiens les mêmes résultats, je pourrai conforter l'hypothèse qui justifie le protocole.
Je ne prends pas la glycémie par hasard. L'apport et le stockage du glucose sont fondamentaux dans le fonctionnement musculaire et j'ai plutôt tendance à essayer de comprendre comment carbure le moteur musculaire de mon patient avant de lui imposer quoi que ce soit comme traitement. La ferritine hors anémie étant probablement à envisager comme un indice du syndrome métabolique. Mais nous pouvons mettre le cholestérol également dans notre ligne de tir ou les triglycérides. Il y a chaque fois un contrôle possible qui permet de sortir de "j'ai raison parce que mon patient est content".
Autrement formulé : ou bien j'ai des effets mesurables ou bien je n'en ai pas. Si pas, c'est intéressant aussi parce qu'on ferme des portes.
11/04/2010 à 13h29
je répète ma question isaïe: quel rapport entre cavité buccale et taux de ferritine ?
11/04/2010 à 13h43
Dans certaines circonstances, ce taux est indicateur d'un syndrome métabolique. Serais-tu d'accord alors si je reformule ta question : quel est le lien entre la cavité buccale et le (dys)métabolisme ? En dehors de manger pour survivre.
11/04/2010 à 19h01
Je découvre par hasard ce forum avec une patiente traitée par TENS.
Je voudrais préciser que j'ai appris à comprendre et à utiliser cette technique lors de mon DIU ( Lyon, Clermont, Grenoble, Saint Etienne )de prise en charge de la douleur accessible aux chirurgiens dentistes (1% des promos !).
Inutile de s'expatrier sauf pour des raisons touristiques !
17/04/2010 à 01h20
anne marguerite écrivait:
-------------------------
> Je découvre par hasard ce forum avec une patiente traitée par TENS.
> Je voudrais préciser que j'ai appris à comprendre et à utiliser cette technique
> lors de mon DIU ( Lyon, Clermont, Grenoble, Saint Etienne )de prise en charge de
> la douleur accessible aux chirurgiens dentistes (1% des promos !).
> Inutile de s'expatrier sauf pour des raisons touristiques !
Tu nous en dit plus sur ton TENS ...
son utilisation, fréquence, etc.
Tu a des cas ?
--
Céramik
21/04/2010 à 18h55
J'interviens depuis mon DIU dans un centre d'étude et de traitement de la douleur (SETD)spécifiquement chez des patients avec des douleurs oro faciales chroniques.
Je prescris les TENS qui sont expliqués aux consultants au niveau du fonctionnement et de la posologie par une infirmière.
Mais le principe est simple: deux électrodes autocollantes sur les masseters, réglage du courant, donc des programmes, utilisables par le patient jusqu'à obtenir une sédation grâce au "gate control" ( les fibres du tact sont plus rapides au niveau de la conduction du message que les fibres de la douleur).
Le consultant utilise le TENS à volonté dans la limite de sa vie sociale bien sûr!Il est réévalué tout les mois car la douleur chronique peut évoluer dans un sens ou dans l'autre et le traitement est réadapté régulièrement.
Pour plus de renseignements le site du DIU donne toutes les justifications et modalités pratiques: www.stephadol.org.
21/04/2010 à 19h14
anne marguerite écrivait:
-------------------------
> J'interviens depuis mon DIU dans un centre d'étude et de traitement de la
> douleur (SETD)spécifiquement chez des patients avec des douleurs oro faciales
> chroniques.
> Je prescris les TENS qui sont expliqués aux consultants au niveau du
> fonctionnement et de la posologie par une infirmière.
> Mais le principe est simple: deux électrodes autocollantes sur les masseters,
> réglage du courant, donc des programmes, utilisables par le patient jusqu'à
> obtenir une sédation grâce au "gate control" ( les fibres du tact sont plus
> rapides au niveau de la conduction du message que les fibres de la douleur).
> Le consultant utilise le TENS à volonté dans la limite de sa vie sociale bien
> sûr!Il est réévalué tout les mois car la douleur chronique peut évoluer dans un
> sens ou dans l'autre et le traitement est réadapté régulièrement.
> Pour plus de renseignements le site du DIU donne toutes les justifications et
> modalités pratiques: www.stephadol.org.
Le Tens en NM est très différent, il n'est pas utilisé selon le gate control . Il s'agit alors de TENS à haute fréquence qui n'est jamais employer en NM.
Faut juste pas confondre.
--
Céramik
29/04/2010 à 11h57
salut à tous,
J'ai une information qui peut tous vous intéresser.
Il y a une présentation en partie sur la dentisterie Neuromusculaire avec démonstration sur patient c'est un jeudi le 1er juillet.
J'ai reçu un lien par mail pour y participer je partage l'infos.
http://www.mescan.com/newsletter/presentation.html
Apparement, il enseigne la dentisterie neuromusculaire comme au LVI a Paris, Bordeaux et Geneve...
Je pense que c'est le bon moment pour avoir une idée concrète la dessus.
Je ne suis pas sur d'y être.
17/06/2010 à 15h57
salut tous le monde;
@BJC: je suivais avec intérêt l'épisode et tes explications de ce cas; alors t'en ou??
et merci pour ton partage d'information; c'est très sympa de ta part!
--
ZZA
29/07/2010 à 00h50
@BJC: je suivais avec intérêt l'épisode et tes explications de ce cas; alors t'en ou??
et merci pour ton partage d'information; c'est très sympa de ta part!
je dois avouer que je n'ai pas réussi à faire disparaitre complètement les acouphènes, je les ai diminué d'environ 50%
Pour faire mieux, je pense qu'il me faudrait le K7 et suivre les formations
@+ Bjc.
29/07/2010 à 08h46
Bjc. écrivait:
--------------
> je dois avouer que je n'ai pas réussi à faire disparaitre complètement les
> acouphènes, je les ai diminué d'environ 50%
> Pour faire mieux, je pense qu'il me faudrait le K7 et suivre les formations
Peut être, mais à ce moment là tu ne pourrais plus nous en parler...
30/07/2010 à 20h14
Le lien entre une malocclusion et les acouphènes est loin d'être évident. La première difficulté est la définition de la malocclusion : une déviation à l'ouverture, par exemple, est-elle une pathologie occlusale ? Pas sûr.
Quel chemin dysfonctionnel -vérifiable- mènerait d'un problème occlusal ( déjà difficile à cerner) à une pathologie de l'oreille interne... qui laisse les orl complètement démunis ? Et pourquoi tout ce que nous appelons les problèmes occlusaux n'induirait alors pas d'acouphènes systématiquement ?
Tant que tout ça n'est pas plus clair, j'ai des doutes sur les techniques qui, sur internet ea, sont vantées par des cabinets d'occlusodontologistes, occlusodontistes et apparentés.
Ceci dit, l'utilisation de courants est interpellante et amène à se poser des questions sur la nature de l'effet induit et le positionnement mandibulaire obtenu, tout ça n'est pas si simple que ça en a l'air.
02/08/2010 à 16h18
"""Le lien entre une malocclusion et les acouphènes est loin d'être évident. La première difficulté est la définition de la malocclusion : une déviation à l'ouverture, par exemple, est-elle une pathologie occlusale ? Pas sûr. """
Ce qui est sur c’est que c’est une pathologie articulaire
"""Quel chemin dysfonctionnel -vérifiable- mènerait d'un problème occlusal ( déjà difficile à cerner) à une pathologie de l'oreille interne... qui laisse les orl complètement démunis ? Et pourquoi tout ce que nous appelons les problèmes occlusaux n'induirait alors pas d'acouphènes systématiquement ? """
Parce que si tout était systématique, ce ne serait pas de la médecine
"""Tant que tout ça n'est pas plus clair, j'ai des doutes sur les techniques qui, sur internet ea, sont vantées par des cabinets d'occlusodontologistes, occlusodontistes et apparentés. """
C’est dans ta tète que ce n’est pas clair,
"""Ceci dit, l'utilisation de courants est interpellante et amène à se poser des questions sur la nature de l'effet induit et le positionnement mandibulaire obtenu, tout ça n'est pas si simple que ça en a l'air."""
Enfin d’accord !!!
@+ Bjc.
02/08/2010 à 16h36
Bjc. écrivait:
--------------
> """Le lien entre une malocclusion et les acouphènes est loin d'être évident. La
> première difficulté est la définition de la malocclusion : une déviation à
> l'ouverture, par exemple, est-elle une pathologie occlusale ? Pas sûr. """
>
>
> Ce qui est sur c’est que c’est une pathologie articulaire
>
>
ça peut etre musculaire .
ou mm pas pathologique.
> """Quel chemin dysfonctionnel -vérifiable- mènerait d'un problème occlusal (
> déjà difficile à cerner) à une pathologie de l'oreille interne... qui laisse les
> orl complètement démunis ? Et pourquoi tout ce que nous appelons les problèmes
> occlusaux n'induirait alors pas d'acouphènes systématiquement ? """
>
>
> Parce que si tout était systématique, ce ne serait pas de la médecine
ça marche avec la sorcellerie aussi ce raisonnement.
>
>
> """Tant que tout ça n'est pas plus clair, j'ai des doutes sur les techniques
> qui, sur internet ea, sont vantées par des cabinets d'occlusodontologistes,
> occlusodontistes et apparentés. """
>
>
> C’est dans ta tète que ce n’est pas clair,
Ds la mienne non plus.
Qd par ex tu dis que si tu avais la deuxieme becanne tu recupererait les 50% qui manque , c'est indemontrable.: just une affiramtion gratuite. qui peux etre vraie d'ailleurs. mais gratuite.
>
>
> """Ceci dit, l'utilisation de courants est interpellante et amène à se poser des
> questions sur la nature de l'effet induit et le positionnement mandibulaire
> obtenu, tout ça n'est pas si simple que ça en a l'air."""
>
>
> Enfin d’accord !!!
>
>
> @+ Bjc.
>
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