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prothèse totale mandibulaire sur crête complètement résorbée
09/02/2010 à 10h36
N'empêche... si le nerf alvéolaire est sous muqueux, quoi qu'on fasse il y aura toujours des douleurs dues à sa compression par le complet, même avec deux implants pour stabiliser.
Donc si la PAC provoque des douleurs, 5 clous dans le menton et en avant pour un bridge à la Branemark!
09/02/2010 à 12h08
Alain écrivait:
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> N'empêche... si le nerf alvéolaire est sous muqueux, quoi qu'on fasse il y aura
> toujours des douleurs dues à sa compression par le complet, même avec deux
> implants pour stabiliser.
> Donc si la PAC provoque des douleurs, 5 clous dans le menton et en avant pour un
> bridge à la Branemark!
à non , beaucoup plus simple de déplacer le V....
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xbk
09/02/2010 à 13h56
Alain écrivait:
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> pourcentage de séquelles? 100%? plus? ;)
oui plus mais ils ne s'en souviennent pas!
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xbk
19/02/2010 à 14h56
arretez d'essayer de trouver des solutions à des problemes insolubles : sur un alsheimer
1 prothese mobile elle va le paumer avec ou sans locators !
2 prothese fixe maintenance impossible à gerer !
C'est comme au rugby, de temps en temps faut savoir botter en touche pour ne pas recevoir tout le pack adverse sur la gueule !
05/05/2010 à 11h14
il me semble que cela doit se gérer autrement qu'en sur traitement et marcus a bien raison à mon avis.
C'est sur, c'est pas marrant, pas marrant comme une fin de vie. En tant que soignant on se doit d'accompagner, ne pas nuire et apporter tout le confort et la présence possible.
Alors il y a des confrères très patients qui retouchent et retouchent encore, d'autres qui font des bases molles, d'autres encore, très forts en adjointe qui arrivent à faire des prothèses sur crètes édentées très résorbées (si si il y en a, de moins en moins malheureusement car le besoin est et restera réel quelque soit le progrès téchnique)
Je n'ai qu'un point de divergence avec marcus: je ne toucherai pas sa prothèse existante qui reste pour la patiente sa référence (et elle n'en changera pas comme ça), car elle la porte malgré tout, prendre le risque de la modifier c'est prendre le risque de totalement déboussoler la dame et la mettre à terme, en situation de ne plus rien avoir.
Je travaillerais en parallele, en neuf, en étudiant de près les surfaces d'appui possibles (avec le doigt), en empreinte tertiaire de fonctionnement, avec des dents un poil "savonnette" pour libérer totalement les mouvements et éviter totalement " l'accroche"
Je me garderais bien aussi de demnader dès le début le moindre effort d'adaptation à la dame, ce serait déjà le début d'un échec.
Compromis que tout ça ? peut-être, mais avec quoi?
D'un côté une victoire a la pyrrhus, d'un praticien qui brille par sa science mais prend le risque de précipiter le terme, de l'autre un état de fait: il y a des combats qu'on se doit de mener et de perdre, proprement et sans souffrances inutiles.