Cookie Consent byPrivacyPolicies.comRevue de presse - Eugenol

Revue de presse

ameli

18/11/2010 à 14h34

Le quotidien du médecin 18/11/10

Pauvreté = accès compliqué aux soins.

Les inégalités sont croissantes, dénonce la défenseure des enfants (Mme Versini), dans son rapport annuel.
Il y a visiblement un problème de solidarité, dit-elle. Il y a recours aux urgences hospitalières mais pas de prise en charge de premier recours.
Elle évoque le refus des CMUs, le risque très élevé d'obésité, les risques dentaires et l'absence de lunettes.
Il y a corrélation entre le saturnisme et la CMU.


ameli

19/11/2010 à 09h43

APM 18/11/10 12:27

Le ministère du budget crée un fond pour la gestion des crédits de l'AME.

Ce fond sera alimenté par les droits de timbres (30€) des inscrits et par une subvention d'équilibre.


ameli

19/11/2010 à 10h00

Vient de paraître :

"A la santé de l'oncle Sam, Regards croisés sur les systèmes de santé américains et français" (édit : Jacob-Duvernet, 19€90)
par Tabuteau (prof à sciences po) et Rodwin (prof de santé à l'Uni de New York).

Comparaison et critique des deux systèmes : La complexité et le coût pharamineux de la santé aux Etats Unis, dans un système basé sur le profit et non sur la qualité, et les dérives du système français dans lequel le premier recours est délaissé.
Tous deux écartent l'éventualité française d'une dérive vers la judiciarisation... et vers une médecine défensive qui a lieu aux Etats Unis.
Il y a des similarités sur le "pouvoir médical", bien qu'en France, les médecins se sentent malmenés et ressentent un grand malaise.
Parmi les réalités émergentes, on constate que le patient commence à prendre le pouvoir, mais aussi une juste remise en cause de vieilles lunes dépassées, en France comme aux EU, comme le paiement à l'acte, la médecine "libérale", et autres discours stéréotypés.


ameli

19/11/2010 à 11h00

APM 18/11/10 17:07

Hubert préconise des mesures immédiates pour la médecine de proximité.

Interview de Mme Hubert, avant la sortie immnente de son rapport. Elle dévoile certains aspects du rapport :
- réformer la formation initiale : il y a trop forte spécialisation. Les études sont inutilement longues.
- il faut informatiser et payer l'informatisation des médecins
- il faut tirer les médicaux et para médicaux vers le haut et non vers le bas. Il n'est pas normal que des infirmers fassent des tâches d'aides soignantes.
- les ARS doivent aider à la création des MSP, et aider à l'écriture des projets.
- les nouveaux modes de rémunération, s'ils sont nécessaires, sont trop compliqués.
- il faut développer le paiement au forfait, tout en gardant une part de paiement à l'acte. Mais aussi lier la rémunération à la structure.
- développer la télémédecine
- impliquer les complémentaires dans les négociations conventionnelles.
- pour les soins avec contractualisation en santé publique, celles-ci ne peuvent être individuelles, mais entre les ARS et les structures, après accord des URPS.
- elle souligne la difficulté de connaitre avec précision les zones "sous-denses" en médecins et paramédicaux.


ameli

19/11/2010 à 11h20

Aujourd'hui en France 19/11/10

Les prothèses mammaires rebondissent.
L'étau se resserre... sur les organismes-esperts qui ont validé les produits utilisés.


ameli

19/11/2010 à 12h03

La Tribune 19/11/10

Retraite complémentaire : bataille en vue sur les avantages familiaux
Les bonifications pour famille nombreuse, par exemple, coutent une fortune aux retraites complémentaires, et ont une incidence importante sur les cotisations.
Des négociations vont s'engager, et ce sera un sujet lourdc de conséquence.
Rappel : les régimes de retraite complémentaire dont 2,5 milliards de déficit cette année...


ameli

22/11/2010 à 10h30

APM 19/11/10 14:23

La rémunération à la performance des médecins intégrée à la Convention.
C'est la version du sénat qui a été retenue. Les engagements sont individualisés, le capi est maintenu.

En outre, l'assiette de cotisations pour l'assurance maladie sera l'intégralité des revenus... mais avec une nouvelle rédaction qui permet de maintenir le plafonnement en cours pour le RSI.
Ce changement concerne les médecins de secteur 2 et les non-conventionnés.


ameli

22/11/2010 à 10h34

APM 19/11/10 12:08

Le conseil constitutionnel valide les modalités d'organisation des élections aux URPS.

Il avait été saisi par le conseil d'état, lui-même saisi par un syndicat de médecins d'Aix et région.


ameli

22/11/2010 à 10h56

APM 19/11/10 14:57

Les complémentaires toujours plus sollicitées dans le financement des dépenses hospitalières.

... et essentiellement pour les dépassements d'honoraires.
D Libaut (Directeur SS au ministère) s'interroge : "faut-il laisser croître ces dépenses, au dépend d'autres plus utiles ?, le dispositif actuel n'est pas un modèle d'équité et de cohérence".

A Bocognano (Mutualité) confirme un glissement de la ville vers l'hôpital, et envisage à court terme un "conventionnement" avec les hôpitaux qui permettrait de référencer les établissements.

Chadelat (IGAS) renomme ce conventionnement "sélectif" et confirme que la mutualité peut le faire, mais non la sécurité sociale.

Durousset (président FHP) préfèrerait le conventionnement de la structure au conventionnement individuel, contraire aux principes.

(remarque : tous les acteurs de la santé vont être soumis aux dures lois des conventionnements-protocoles..., croire que les dentistes pourront s'y opposer n'est qu'une utopie)


ameli

22/11/2010 à 11h10

Le généraliste 19/11/10

nomenclature : la sécu enquête sur vos pratiques.

L'assurance maladie veut connaitre avec précision le contenu des consultations afin de rédiger une véritable CCAM clinique. L'enquête est en cours.

Autre point non tranché : la cotation possible Cs pour les généralistes à partir du 1er janvier.


ameli

22/11/2010 à 11h28

Le quotidien du Médecin 19/11/10

Financement de la santé : la réforme au point mort ?

Peut-être, mais on y réfléchit ! pour preuve ce résumé d'un colloque tenu lors du forum économie-santé.

Tabuteau défend l'assurance maladie obligatoire et dénonce un système de complémentaires opaque, complexe et aux contrats illisibles et partiels. Il accepte une hausse des prélèvements.
Laurent (institut Montaigne, classé "libéral") veut remettre en cause le monopole de la CNAM dans la gestion du risque. .
Rouché (assurances) ne croit que l'assurance ne peut remplacer la sécu que si elle peut être meilleure et moins chère. Il préfère mettre en avant les réseaux (optique, dentaire) qui améliorent le rapport qualité-prix et qui sont appelés à se développer rapidement.
Cohen-Solal (mutualité) ne revendique pas de gérer la sécu au premier euro, mais plaide pour une co-régulation avec la sécu.
Rocky confirme que la situation invite à regarder toutes les solutions, mais qu'il n'est pas certain que d'autres modèles soient plus solides que le nôtre. "Avant de changer, il faut y réfléchir à deux fois !".

(remarque : "Cette concurrence permettrait de mettre une pression plus grande sur les offreurs de soins", dixit un libéral anti-sécu !)
(mais quand c'est moi qui le dit, on ne me croit pas !)


ameli

22/11/2010 à 11h58

Impact médecine 18/11/10

Enquête : l'état de santé des régions , défi des ARS.

10 pages ! pour ceux que ça intéresse, et ça vaut le coup.
Les titres des paragraphes :
réguler l'offre de soins
davantage d'outils pour les ARS
les ARS ont une grande latitude pour organiser l'offre
faire feu de tout bois pour assurer un recours aux soins plus précoce
"l'état de santé de la région s'est amélioré mais l'écart avec la moyenne nationale persiste ou s'est accru" Lenoir ARS Nord-Pas de Calais
Priorité à la prévention
"je suis très préoccupé par le manque de médecins à certains endroits. Nous allons aider l'installation" Evin ARS Ile de France
"Privilégier l'approche ville-hôpital" Mme Klein ARS Aquitaine
"Nous devons combattre les inégalités infra-régionales" Gautron ARS Bretagne
Les régions dans lesquelles la majorité des indicateurs de santé sont au rouge : Haute-Normandie, Picardie, Nord-pas de Calais, Champagne-Ardennes, Lorraine, Languedoc-Roussillon, Corse.


letropezien

22/11/2010 à 12h20

ameli écrivait:
---------------
> Je vais alimenter régulièrement ce fil, avec de courts résumés des articles
> quand je ne peux les coller.


> Référence: LA80 - Article de périodique
Cah. Proth.
N° 132 - 01/12/2005 - pp 37/52 - (16p)
25 référence(s) bibliographique(s) - ill.


Auteur(s)
MATYSIAK (M.),CHABERT (R.)

Année: 2005

Titre:
Evaluation de la qualité des prothèses partielles amovibles métalliques réalisées dans la région Rhöne-Alpes

Résumé:
Cette étude évalue l'état buccodentaire de patients porteurs d'une prothèse partielle amovible, ainsi que la qualité de conception, de réalisation et d'intégration de ce type de prothèse. Matériel et méthodes : un échantillon de 2576 prothèses partielles amovibles métalliques (PPAM) a été évalué chez 2130 patients. Sept critères ont été définis pour évaluer la qualité des prothèses ainsi que 10 critères pour l'intégration prothétique. Le recueil des données a été effectué par 31 chirurgiens-dentistes formés pour cette évaluation.
Résultats : la présence de tartre a été relevée chez 40,2 % des patients examinés et 52,8 % présentaient une inflammation gingivale. Les PPAM se répartissaient en 48,6¨% au maxillaire et 51,4 % à la mandibule. Les classes I et II de Kennedy étaient les plus fréquentes (28,1 % : 27,2 %).
Les défauts majeurs de conception étaient : absence de taquet occlusal (33,8 %) ou de logette d'appui (27,2 %) ou absence de décolletage péridentaire (15,3 %). Les principales anomalies d'intégration bucco-dentaires étaient : interférences occlusales en latéralité (20,2 %), stabilisation ou sustentation incorrectes (16,1 % : 24, 9).
Conclusion: les patients étaient satisfaits de leur PPAM dans 74,0 % des cas.
Sur la totalité des 17 critères d'évaluation, 34,4 % des PPAM présentaient au moins 3 défauts de conception et d'intégration.
La réduction de cette fréquence pourrait passer notamment par le développement de la formation initiale et continue des chirurgiens dentistes en matière de PPAM pour que chaque patient soit réhabilité par une prothèse techniquement plus fiable et biofonctionnelle, assurance d'un pronostic favorable.


letropezien

22/11/2010 à 12h49

ameli écrivait:
---------------
> Je vais alimenter régulièrement ce fil, avec de courts résumés des articles
> quand je ne peux les coller.

Revue Convergences Mars 2010

CRITERES QUALITE
ET
PROTHESE PARTIELLE AMOVIBLE


La Revue CONVERGENCES parue en Septembre dernier, présente, sous la plume de notre Confrère Stéphane DIAZ, une analyse de la qualité en Odontologie et des chemins qui y conduisent.
L’évocation du « décalage qu’il peut y avoir entre la qualité perçue (par le patient) et la qualité réelle de la prestation clinique » montre la difficulté d’évaluer la qualité. (1)


En ce qui concerne la Prothèse Partielle Amovible, deux questions se posent :

 Comment analyser de façon objective le résultat prothétique et selon quelles références analyser ce résultat ?

 Sur quels critères établir un « référentiel de bonnes pratiques » pour la prothèse partielle amovible ?



L’analyse de la qualité en prothèse partielle amovible


De nombreux cliniciens ont réalisés des études portant sur le résultat à long terme des prothèses (2) (3) (4). Un logiciel d’évaluation des prothèses (LOGICOM) a même été mis au point par notre Confrère Jacques LAVIGNE en collaboration avec l’Université McGill de MONTREAL. (5)

Qu’apportent de telles études pour apprécier la notion de qualité? L’informatique peut-elle nous apporter une aide?


Nous citerons deux documents références sur le sujet.
 Le premier document, Évaluation de la qualité des prothèses partielles adjointes métalliques réalisées par les chirurgiens-dentistes dans la région Rhône-Alpes a été présenté par la CPAM de Lyon (6).
Cette observation a montré que :
• 65 % des prothèses présentaient au moins un défaut de qualité,
• 50 % des prothèses présentaient au moins un défaut de conception,
• 35 % des prothèses présentaient au moins trois défauts de conception et d’intégration, (et ne pouvaient donc, à ce titre, être considérées comme conformes aux données avérées de la science),
• les échecs, en prothèse partielle amovible sont imputables essentiellement à l’absence de préparation adéquate de la bouche, (ceci étant consécutif à l’absence d’étude rationnelle du cas ainsi qu’à l’absence de tracé).
Les conclusions de cette enquête nous interpellent à plusieurs titres : « L’ensemble des résultats indique avec force que la prothèse partielle amovible métallique est plus que jamais une discipline d’avenir (7) qui nécessite de la part des praticiens de concevoir et d’assurer une intégration buccodentaire des PPAM par un choix raisonné leur permettant d’établir les plans de guidage, de créer des logettes d’appui pour les futurs appuis occlusaux et d’assurer un équilibre occlusal. Ceci requiert le développement de programmes de formation universitaire initiale et continue des chirurgiens-dentistes en cette matière pour que soit délivrées au patient des PPAM techniquement plus fiables et bio fonctionnelles ». (8) (9) (10)


 Le second document est le dossier publié par la Haute Autorité de Santé dans le cadre du Service des Evaluations des Actes Professionnels : « pose d’une prothèse amovible définitive à châssis métallique » (11)

Ce document définit :

• les objectifs à atteindre,
rétablir la fonction (mastication et phonation),
rétablir l’esthétique et la dimension verticale d’occlusion,
assurer la pérennité des dents restantes en les stabilisant, en les empêchant de migrer et de subir des surcharges occlusales,
retrouver des rapports inter arcades équilibrés.

• les étapes de réalisations prothétiques,
qui succèdent à la phase préliminaire de traitement des pathologies et de la préparation des structures anatomiques destinées à améliorer l’intégration et le pronostic de la prothèse.

• la fonction du châssis,
qui est de supporter les dents prothétiques, ainsi que le matériau polymérique destiné à remplacer le volume ostéo-muqueux parodontal disparu avec les dents.

• les exigences,
qui font que le châssis doit, par sa stabilité autoriser une fonction maximale des unités triturantes, tout en répartissant harmonieusement les forces masticatoires à l’ensemble des structures restantes.

A partir de ces documents, plusieurs paramètres se conjuguent afin d’optimiser la réalisation clinique :

- Qualité du diagnostic,
- Qualité de la mise en œuvre du traitement,
- Qualité de la réponse aux exigences du patient, esthétique et confort,
- Qualité de la pérennité de la réhabilitation prothétique. (1)

Les critères de qualité en prothèse partielle amovible

La prothèse partielle amovible a pour caractéristique, lors de sa réalisation, d’associer une alternance de temps cliniques et laboratoires.

Si les différentes séquences thérapeutiques font l’objet d’un consensus de la part de tous les cliniciens, il s’avère qu’elles ne sont pas toujours respectées, notamment en ce qui concerne le tracé de la prothèse (synthèse de l’étude du cas et gérant du plan de traitement), et la préparation rationnelle de la bouche …

Rappelons que le législateur a établi très clairement (Article R 665-5-3 du code de Santé publique) que « le chirurgien-dentiste assume la responsabilité du tracé et ne doit en aucun cas le déléguer, le laboratoire assurant la réalisation technique de la prothèse ».

La réalisation du tracé de la prothèse par le chirurgien-dentiste et la fourniture du tracé au laboratoire répondent à une obligation légale de traçabilité clinique, (Décret N° 2006 – 1497 du 29 Novembre 2006) (12).


Tous les cliniciens s’accordent sur la seule logique thérapeutique correcte:

Faire le TRACE
Préparer la bouche.

Pratiquer à l’inverse, adapter le tracé à la bouche, conduit à l’erreur thérapeutique.
Les prothèses ainsi réalisées ne répondent à aucun des critères reconnus, et sont sources d’échecs avec des conséquences:
- cliniques (résorption et pertes de piliers),
- psychologiques (défiance envers la prothèse),
- financières (pour les patients et les organismes payeurs).

De tels cas conduisent à parler de « non-qualité » de la prothèse (13) !


Pour concilier qualité et prothèse partielle amovible, il est nécessaire d’établir et de respecter un référentiel qui comportera tout le déroulement du traitement.

Ce process sera aussi le garant de la maitrise économique de la prothèse.

La chronologie du traitement constitue une chaine de valeurs dont les critères qualité sont établis en fonction d’éléments cliniques irréfragables :


1. Réaliser l’étude et l’analyse du cas, Etablir le plan de traitement,

2. Maitriser le concept de la prothèse, Réaliser le tracé de la prothèse,

3. Préparer la bouche en fonction du tracé réalisé,

4. Maitriser la réalisation clinique de la prothèse (empreintes, occlusion, …).



Conclusion

Comment accéder à l’objectif qualité ?

L’enquête de la CPAM de Lyon concluait à la solution de la formation.

Notre Confrère Dominique FRANQUET, a défini les objectifs de la Formation Continue :
• permettre la réactualisation des connaissances, ce qui contribue à respecter « les données actuelles de la science »,
• donner accès au chemin de la clinique,
• encourager à toujours mieux, gage d’amélioration de la pratique. (14)


Si l’on applique ce précepte à la Prothèse Partielle Amovible, l’aspect critères-qualité permet de :
• rappeler les données fondamentales en Prothèse Partielle Amovible,
• redonner au clinicien le chemin de la réussite en Prothèse Partielle Amovible,
• encourager le clinicien à aller plus loin, en considérant la notion de concepts en Prothèse Partielle ainsi que les techniques et matériaux d’empreinte appropriés.



Mettre en œuvre la chaine de valeurs de la démarche qualité répond à de multiples objectifs :
• Obtenir un résultat clinique satisfaisant et éviter l’échec,
• Participer à la maitrise économique de la prothèse en évitant les erreurs nécessitant de reprendre un temps clinique ou laboratoire (refaire coute très cher !),
• Assurer la traçabilité clinique de la prothèse (15.16),
• Justifier aisément de l’obligation de moyens que le praticien doit remplir,
• Participer au respect de l’obligation de sécurité-résultat.



Appliquer un tel processus ne nécessite pas de bouleversements de l’exercice quotidien.
Sa mise en œuvre n’exige aucun investissement particulier, hormis la participation intellectuelle du praticien.



En appliquant une procédure adaptée à son élaboration, la prothèse partielle amovible rejoint les critères de qualité attendus dans tous les départements de notre exercice.






BIBLIOGRAPHIE



1. Diaz S. Les enjeux de la qualité. Convergences n°4 Sept.2009.p.19 23. 2. Nally JN, Supports dentaires et supports osseux en prothèse partielle adjointe. P.O.S. Genève n° 1525. 1972 3. Pilloud J. Les modifications tissulaires sous les selles de prothèses en prolongement. Thèse n° 284. Fac. De Médecine Dentaire Genève. 4. Pilloud J., Nally JN., Meyer JN. Contrôle à long terme de patients porteurs de prothèses partielles inférieures. (Classes I de Kennedy-Applegate). Revue Mensuelle Suisse d’Odonto-Stomatologie 1984. 94 N°3 p. 201.210. 5. Lavigne J, Lund JP, Feine JS. Evaluation psychométrique des prothèses : une aide dans l’établissement du plan de traitement prothétique. Inf. Dent. 1997. 4 :213-218. 6. Chabert R., Matysiak M. Evaluation de la qualité des prothèses partielles amovibles métalliques réalisées dans la Région Rhône-Alpes. Cah. Prothèse. 2005. N°132. Déc.2005 ; p.37- 46. 7. Schittly J. Gouverner c’est prévoir ! Cah. Prothèse. 2003 ; 123 :2-4. 8. Nally JN. Traitement de l’édentation partielle par la prothèse amovible.EMC Stomatologie 23 310 A 10 à L 10. 1971 9. Gaillard J. Jourda G.. La prothèse à appuis disjoints. Editions Le Cosmogone. LYON. Distribué par Les Editions Information Dentaire. PARIS 10. Martinet G. Etude pour le meilleur dessin de châssis à réaliser dans la construction d’une prothèse partielle inférieure de la classe I de Kennedy-Applegate. Recherche expérimentale. Thèse n°278. Fac. De Médecine Dentaire.. Genève 1970 11. Saint-Pierre F. Pose d’une prothèse amovible définitive à châssis métallique. Rapport de la Haute Autorité de Santé. Avril 2006. 12. Jourda G. Les chirurgiens-dentistes sont-ils concepteurs ou prescripteurs de prothèses ? Le CDF N° 1235. 1er Déc. 2005 pp. 34-40. 13. Madar L. Qualité des soins, cout, efficacité du système de santé: une harmonie impossible? Convergences n°4 Sept.2009 p. 30-32. 14. Franquet D. Formation continue: quel impact sur la qualité.Convergences n°4. Sept.2009. p.38. 15. Jourda G. Quatre éléments pour un plan de paix prothétique La lettre de l'Ordre National des Chirurgiens –Dentistes N°16. 2003 p. 22. 16. Jourda G. Le dossier prothèse du patient: Assurance traçabilité.Le C.D.F. N° 1082. 20 Juin 2004. p. 236-239




ameli

22/11/2010 à 17h13

APM 22/11/10 16:11

Les professionnels de santé libéraux du CNPS, de la CNSD, et de l'UNAPL dénoncent un amendement alourdissant leur fiscalité (communale et intercommunale).

Il s'agit de l'amendement Carrez (UMP).
Grosse colère des syndicats, et ce changement impacterait selon Lheron, la quasi-totalité des cabinets dentaires et vise à récupérer le "cadeau" de la taxe pro.
Le CNPS parle d'un amendement scélérat.
L'UNAPL affirme qu'il y aura destruction d'emplois, et parle d'incohérence.
Les 3 syndicats exigent que cet amendement soit retiré de l'Ordre du jour par le gouvernement.


P2eqdh3csim6s7nb09ktdq3e7ev8 - Eugenol
barbabapat

22/11/2010 à 18h04

dans le meme temps on offre 500 million d'euros par ans à vivendi.

http://www.pcinpact.com/actu/news/60491-amendement-vivendi-niche-bmc-benefice.htm

"«Si l’on observe les sommes versées à Vivendi au cours de la période concernée, on s’aperçoit que le groupe a reçu 464 millions d’euros en 2005, 507 millions d’euros en 2006, 603 millions d’euros en 2007, 548 millions d’euros en 2008 et 435 millions d’euros en 2009. Dans leur dernier rapport annuel, qui ne tient pas compte de l’année 2009, les responsables de Vivendi expliquaient que ce dispositif devait rapporter à l’entreprise 2,1 milliards d’euros sur l’ensemble de la période. Il me semble que cela se passe de commentaires ».


letropezien

23/11/2010 à 07h31

ameli écrivait:
---------------
> Je vais alimenter régulièrement ce fil, avec de courts résumés des articles

Article L. 1111-3 du Code de la santé publique. Cet article est désormais libellé comme suit : « Lorsque l'acte ou la prestation inclut la fourniture d'un dispositif médical visé à l'article L. 5211-1, l'information écrite délivrée gratuitement au patient comprend, de manière dissociée, le prix d'achat de chaque élément de l'appareillage proposé, le prix de toutes les prestations associées.

Ces textes deviennent donc applicables à compter du 21 mars 2010, date d’entrée en vigueur de l’ordonnance sans qu’aucune modalité précise n’ait été déterminée

Extrait Ordre National


ameli

29/11/2010 à 11h33

http://www.elysee.fr/president/root/bank_objects/rapport_definitif_.pdf

Le tant attendu rapport Hubert


ameli

29/11/2010 à 11h50

http://www.who.int/whr/2010/10_summary_fr.pdf

http://www.who.int/whr/2010/fr/index.html

Rapport annuel de l'OMS


ameli

29/11/2010 à 12h03

APM 25/11/10

13:59 Les sénateurs facilitent les aides des communes aux maisons de santé
PARIS, 25 novembre 2010 (APM) - Les sénateurs ont voté mercredi une disposition fiscale visant à faciliter les aides des communes au financement des maisons de santé dans les zones rurales en difficulté dans le projet de loi de finances (PLF) pour 2011


ameli

29/11/2010 à 12h11

APM 26/11/10

19:32 Vives réactions des syndicats de médecins libéraux au livre du président de la FHP
PARIS, 26 novembre 2010 (APM) - Plusieurs syndicats de médecins libéraux ont vivement réagi au livre du président de la Fédération de l'hospitalisation privée (FHP), Jean-Loup Durousset, plus particulièrement à ses propos sur les médecins.

Extraits de ce livre provocateur : "Le Dieu-Guérisseur compte bien garder sa place, et confiner le malade à son statut d'esclave". "Le mystère autour de sa pratique entretient la légende et assoit la position divine du médecin : il sait, vous n'êtes rien".
etc.


ameli

29/11/2010 à 12h16

APM 23/11/10

17:54 Seuls 8,6% des médecins se sont inscrits en libéral en 2009, selon l'atlas de la démographie médicale du Cnom
PARIS, 23 novembre 2010 (APM) - La désaffection pour l'exercice libéral de la médecine se confirme, seuls 8,6% des nouveaux inscrits en 2009 ayant opté pour ce mode d'exercice contre 10% en 2008, a annoncé mardi le Conseil national de l'Ordre des médecins (Cnom).


ameli

29/11/2010 à 12h17

APM 23/11/10

18:06 Nicolas Sarkozy souhaite "repenser" le statut des médecins libéraux
PARIS, 23 novembre 2010 (APM) - Nicolas Sarkozy a jugé nécessaire de "repenser complètement" le statut des médecins libéraux, inquiet des risques possibles d'une désertification médicale dans certaines régions, dans un discours prononcé à l'occasion du congrès des maires mardi à Paris.


Wra300x300 gotue6 - Eugenol
hop

29/11/2010 à 12h28

ameli écrivait:
---------------
> APM 23/11/10
>
> 18:06 Nicolas Sarkozy souhaite .... dans un discours prononcé à l'occasion du congrès des maires mardi à Paris.

Faut faire attention à ce qu'il a dit ce jour là (23/11 congrès des maires) car certains pensent qu'il n'était pas dans son état normal, donc à prendre avec des pincettes:


ameli

29/11/2010 à 13h56

http://www.invs.sante.fr/publications/2004/froid_et_sante/rapport_froid_et_sante.pdf

Spécialement sélectionné pour les adeptes du réchauffement climatique


1...101112...