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tourisme dentaire France 2 ce matin
06/09/2011 à 10h26
growler écrivait:
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> Pour notre profession, l'ennemi n'est pas Sarko, Aubry , Marine, Hollande ou
> d'autres encore mais bien nous-même qui acceptons, l'échine courbée et en
> moufetant si peu, de prodiguer notre art dans les conditions qu'on nous impose.
> N'allons pas chercher d'autres coupables.
Amen.
Mais que faire concrètement.
La solution doit être individuelle, car si tu attends le soutient de tes confrères pour une action commune tu risques d'attendre longtemps.
J'aimerais que tous les confrères se concertent pour créer une nouvelle grille tarifaire compatible avec des soins du 21ème siècle, puis l'applique en Entente Directe (jusqu'à se faire taper sur les doigts par lettre recommandée, on risque pas grand chose). Mais j'ai peur que les dentistes français soit dépourvus d'organe.
06/09/2011 à 11h46
> Mais que faire concrètement.
> La solution doit être individuelle, car si tu attends le soutient de tes
> confrères pour une action commune tu risques d'attendre longtemps.
La solution ?
Nous la connaissons tous : Déconventionnement de tous les dentistes de France !
Mais je sais... je rêves
06/09/2011 à 11h47
chatondecarte écrivait:
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Mais j'ai peur que les dentistes français soit dépourvus
> d'organe.
Ca dépend duquel on parle : couilles, coeur, ou cerveau ?
06/09/2011 à 11h56
Sont marrant ces connards de journalistes : d'aprés eux c'est pas bien de stigmatiser alors que ce sont les premiers à se ruer sur les dentistes en nous faisant passer pour "des gros porcs plein de pognons qui veulent pas soigner les seropos CMU , et que c'est mieux d'aller se faire poser des implants au Zimbabwe" ...
06/09/2011 à 12h12
Erreur : le journalistes se fichent pas mal des dentistes et de ce qu'ils pensent ou de ce que leurs propos ont comme conséquence. Une seule chose les intéresse : faire de l'audience. Comme ils n'ont ni beaucoup de temps, ni beaucoup d'imagination, il choisissent des sujets dans l'air du temps et ne vont pas fouiller bien loin leurs informations.
06/09/2011 à 12h31
Marc Apap écrivait:
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> Erreur : le journalistes se fichent pas mal des dentistes et de ce qu'ils
> pensent ou de ce que leurs propos ont comme conséquence. Une seule chose les
> intéresse : faire de l'audience. Comme ils n'ont ni beaucoup de temps, ni
> beaucoup d'imagination, il choisissent des sujets dans l'air du temps et ne vont
> pas fouiller bien loin leurs informations.
+1000
Nous le savons tous, mais la plupart des Français prennent ces infos au pied de la lettre et ne retiennent que les gros titres, à savoir : " les dentistes français sont 2 fois plus chers qu'ailleurs en Europe, donc ils doivent s'en mettre plein les fouilles !"
RAS sur le cout de nos structures, salariés, matériels ,etc...
Plus que de la démagogie, ça devient de la propagande !!
06/09/2011 à 12h56
Et ce matin dans le journal gratuit Directmatin , ils disent le contraire, que les Roumains vont se faire soigner en Autriche ou en Turquie... car ils ont plus confiance.....
06/09/2011 à 13h29
Marc Apap écrivait:
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> Erreur : le journalistes se fichent pas mal des dentistes et de ce qu'ils
> pensent ou de ce que leurs propos ont comme conséquence. Une seule chose les
> intéresse : faire de l'audience. Comme ils n'ont ni beaucoup de temps, ni
> beaucoup d'imagination, il choisissent des sujets dans l'air du temps et ne vont
> pas fouiller bien loin leurs informations.
Ils choisissent surtout les sujets "clef en main".
Imaginons un syndicat de prothésistes aigris qui vient leur rendre visite, le lendemain on a un sujet "les dentistes font tous de la prothèse chinoise au plomb".
Un rabatteur pour la Roumanie vient les voir, le lendemain on a un sujet "comment choisir sa clinique en Roumanie", où on s'arrange pour que la clinique du rabatteur soit reconnaissable et trouvable facilement sur le net, en expliquant qu'il y a des risques terribles si on va chez les autres (séquences en caméra caché avec enseignes floutées), alors qu'il existe des cliniques au top du top mieux qu'en France (séquences en caméra pas cachée avec sur chaque plan le nom du directeur ou l'écriteau de la clinique.
06/09/2011 à 13h56
Une petite idée pour le gouvernement une "niche" à supprimer et 420 millions d'euros d'économisés.
"C'est quoi cet avantage dont bénéficient les journalistes ?
L'allocation pour frais d'emploi ouvre la possibilité aux journalistes de déduire 7.650 euros de leurs revenus imposables. A l'origine existait un abattement supplémentaire de 30% sur les revenus imposables des journalistes, institué en 1934 pour compenser la faiblesse, voire l'absence de remboursement des frais professionnels par les éditeurs. Cet abattement forfaitaire a été remis en cause en 1998. C'est le refus des patronats du public et du privé d'en compenser la perte qui a entraîné l'obtention par la profession de l'allocation pour frais d'emploi.
Comment se justifie-t-il ?
L'abattement fiscal dont bénéficient les journalistes "a une réalité en 2010, comme elle en avait une hier : tenir lieu de remboursement de frais pour nombre d'entre eux", selon le SNJ (syndicat national des journalistes). Notamment ceux des journalistes rémunérés à la pige, qui représentent aujourd'hui un quart des effectifs de la profession. Pour les trois quarts restants, les frais professionnels sont parfois remboursés par les entreprises de presse, mais ce n'est pas une généralité. Cette disposition fiscale contribue également à compenser des rémunérations anormalement basses de la profession, explique le SNJ.
Les journalistes ne touchent-ils pas des salaires mirobolants ?
Certaines stars du petits écran, oui. Mais parmi les 37.000 détenteurs de la carte de presse en 2008, seuls 217 journalistes avaient un salaire supérieur à 10.000 euros bruts par mois. Près de la moitié en revanche étaient en dessous de 3.000. Quant aux pigistes, ils étaient 37% à gagner moins de 1500 euros bruts par mois. Autres exemples : un journaliste dans un périodique local débutait sa carrière à 1.384 euros bruts par mois, soit une centaine d'euros de plus que le Smic ; le salaire d'un chef de service (économie, culture, politique, etc.) dans la presse quotidienne nationale était d'environ 3.296 euros. En comparaison, le salaire mensuel moyen d'un cadre (les journalistes sont en effet assimilés à ce statut) en 2007 était de 5.366 euros bruts.
Cette allocation est-elle vraiment une niche fiscale ?
Par la double compensation de la faiblesse salariale et de la carence des remboursements de frais, le dispositif fiscal applicable aux journalistes "n'est pas une niche mais bien une aide directe à la presse", affirme François Boissarie, membre du comité national du SNJ, en charge des questions fiscales. L'Etat va verser près de 420 millions d'euros d'aides à la presse en 2010 - l'abattement fiscal n'est pas compté dans cette somme. Les principaux bénéficiaires sont les entreprises de presse, via diverses aides à la distribution, au portage, à la modernisation ou encore via des abattements sociaux. Les journalistes, eux, ont déjà été "rabotés", dénonce le SNJ : depuis sa mise en place en 1998, l'indemnité pour frais d'emploi n'a jamais été réévaluée, alors que l'indice Insee à la consommation a progressé de plus de 20%. Et dans l'éventualité d'un rabot de 10% sur cet abattement, "les employeurs n'ont pas l'intention de compenser ce manque à gagner de 765 euros en augmentant le salaire des journalistes", dénonce François Boissarie."
06/09/2011 à 14h49
"compenser des rémunérations anormalement basses de la profession"
Anormalement basses... ils ont plutot une haute estime d'eux-meme pour une profession qui se resume a pondre des torchons pour deprimer et abrutir la population...
06/09/2011 à 14h59
bigcandy écrivait:
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> Et allez, encore une couche !!
>
> Dans la matinale de Sophie Davant tout à l'heure : "comment bien choisir son
> organisme de tourisme dentaire"
>
Tu veux que je lui passe un message ?
http://facebook.com/so.davant