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voiture electrique
05/12/2022 à 09h25
Gabzou écrivait:
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> Euh, nan, le feedback nuageux c'est un point mineur des modèles, qui était déjà
> peu présent à priori. Je ne suis pas aussi au point que sur le covid, mais la
> conclusion de l'étude n'est pas du tout "il n'y a donc pas de risque de
> réchauffement climatique global".
Et j'ai seulement écrit que la conclusion que l'on peut en tirer, y a pas d'emballement qui serait alors un point majeur pour les modèles on va tous griller.
Bref, y pas d'urgence climatique, y a rien qui impose tout ce délire et cette fuite en avant délirante. Il ne se passe rien, ni ne se passera, qui ne peut être sereinement géré par la technologie, le travail et la croissance.
Il n'y a pas de planète à sauver, il n'y a qu'une planète à modeler pour notre plus grand confort.
05/12/2022 à 10h29
Non, la conclusion qu'on peut en tirer c'est il n'y a pas d'emballement lié aux nuages, nuages qui jouaient déjà un rôle mineur dans les modèles par rapport à toutes les autres causes d'emballement.
Ce qui ne veut pas dire qu'il n'y a pas d'emballement; les gaz à effet de serre, ce ne sont pas des nuages.
Regarde juste la page wikipedia, il y a 8 lignes sur les nuages au milieu d'une page énorme sur les feedback positifs et négatifs.
https://en.wikipedia.org/wiki/Climate_change_feedback#Cloud_feedback
05/12/2022 à 15h12
Gabzou écrivait:
------
> Non, la conclusion qu'on peut en tirer c'est il n'y a pas d'emballement lié aux
> nuages, nuages qui jouaient déjà un rôle mineur dans les modèles par rapport à
> toutes les autres causes d'emballement.
> Ce qui ne veut pas dire qu'il n'y a pas d'emballement; les gaz à effet de serre,
> ce ne sont pas des nuages.
> Regarde juste la page wikipedia, il y a 8 lignes sur les nuages au milieu d'une
> page énorme sur les feedback positifs et négatifs.
> https://en.wikipedia.org/wiki/Climate_change_feedback#Cloud_feedback
sans omettre pour l'analyse de cette etude
https://www.eurekalert.org/news-releases/972556
Whether clouds have a cooling or warming effect depends on how high they are. With a maximum altitude of two to three kilometers, the trade-wind clouds examined here are comparatively low, reflect sunlight, and cool the atmosphere in the process. In contrast, higher clouds amplify the greenhouse effect, warming the climate.
05/12/2022 à 20h49
wakrap c'est comme un bon nanar, c'est tellement mauvais que ca en devient drole. Il en arrive même à créer des répliques cultes. Y'a meme plus besoin de le contredire, il le fait tout seul xD
Citation de wakrap
- "Les ressources et les réserves sont infinies par définition."
- "Quant à Jancovici, c'et un vrai khmer vert, sicentifique et donc hyper dangereux"
- "Il n'y aura jamais d'épuisement d'une quelconque ressource siplement car nos inventions et évolutions techniques gèrent tout ceci en amont."
- "La planète actuellement reverdie, elle est en pénurie de CO2 qui est à un niveau très faible par rapport aux temps anciens les plus fertiles en vie végétale et animale."
- "Ah, non, du temps de nos grand pères, selon les critères actuels de ce que l'on appelle pollution, on polluait infiniment plus que aujourd'hui."
- " 25 tonnes et je devrais passer dans les 30 avec mes voyages prévus en 2023 [...] Je passe mon temps à éteindre derrière moi au cab, à couper les onduleurs le soir, régler la clim à 26 et pas à fond"
- "la nature se portera infiniment mieux avec plus de CO2"
Je vais finir par l'apprécier finalement, il me fait bien rire
05/12/2022 à 21h21
Wakrap ...
Allez une petite conf juste pour toi ;-))
Il n'y a pas de planète à sauver, il n'y a qu'une planète à modeler pour notre plus grand confort.
Moi je l'aime bien wakrap sans lui on serait presque tous d'accord à enculer des mouches ... Lui au moins il assume ses 30 tonnes annuelles
05/12/2022 à 21h41
lemondestvaste écrivait:
--------------
>
>
> Il n'y a pas de planète à sauver, il n'y a qu'une planète à modeler pour notre
> plus grand confort.
>
C'est qui nous. Car en fonction, ca modifie pas mal les réponses.
06/12/2022 à 09h18
tiens je pose ca là pour notre insulaire
https://www.sauvonsleclimat.org/images/articles/pdf_files/conferences/Brechet.pdf
Il ne fait plus guère de doute, sauf dans un village d’irréductibles climatosceptiques, que nous
visions une période de réchauffement climatique, et que les activités humaines en sont au moins
partiellement responsables.
https://comptes-rendus.academie-sciences.fr/geoscience/item/10.5802/crgeos.21.pdf
4. Conclusions
Le problème du réchauffement climatique est glo-
bal, les leviers d’action sont locaux. Les solutions les
mieux adaptées peuvent varier d’un pays à l’autre,
d’un besoin à l’autre.
L’urgence du problème nécessite à la fois de dé-
ployer des solutions déjà disponibles, et de lancer des
programmes de recherche cohérents pour les solu-
tions à venir.
dixit...
06/12/2022 à 09h33
croc1765 écrivait:
--------
> tiens je pose ca là pour notre insulaire
> https://www.sauvonsleclimat.org/images/articles/pdf_files/conferences/Brechet.pdf
> Il ne fait plus guère de doute, sauf dans un village d’irréductibles
> climatosceptiques, que nous
> visions une période de réchauffement climatique, et que les activités humaines
> en sont au moins
> partiellement responsables.
Et alors, climat et météo sont deux choses qui ne se suivent pas totalement. Que le climat se "réchauffe" comme pour l'ère médiévale ne signifie en rien des problèmes pour les activités humaines. En gros ta phrase dit tout et n'importe quoi et est aussi précise pour l'avenir qu'un horoscope.
> https://comptes-rendus.academie-sciences.fr/geoscience/item/10.5802/crgeos.21.pdf
> 4. Conclusions
> Le problème du réchauffement climatique est glo-
> bal, les leviers d’action sont locaux. Les solutions les
> mieux adaptées peuvent varier d’un pays à l’autre,
> d’un besoin à l’autre.
> L’urgence du problème nécessite à la fois de dé-
> ployer des solutions déjà disponibles, et de lancer des
> programmes de recherche cohérents pour les solu-
> tions à venir.
> dixit...
Même chose, vague comme un horoscope et tu peux y foutre tout et n'importe quoi. Même un marabout est plus précis dans ses paroles.
06/12/2022 à 10h03
barbabapat écrivait:
----------
> croc1765 écrivait:
> --------
> > tiens je pose ca là pour notre insulaire
> >
> https://www.sauvonsleclimat.org/images/articles/pdf_files/conferences/Brechet.pdf
> > Il ne fait plus guère de doute, sauf dans un village d’irréductibles
> > climatosceptiques, que nous
> > visions une période de réchauffement climatique, et que les activités humaines
> > en sont au moins
> > partiellement responsables.
>
> Et alors, climat et météo sont deux choses qui ne se suivent pas totalement.
> Que le climat se "réchauffe" comme pour l'ère médiévale ne signifie en rien des
> problèmes pour les activités humaines. En gros ta phrase dit tout et n'importe
> quoi et est aussi précise pour l'avenir qu'un horoscope.
>
> >
> https://comptes-rendus.academie-sciences.fr/geoscience/item/10.5802/crgeos.21.pdf
> > 4. Conclusions
> > Le problème du réchauffement climatique est glo-
> > bal, les leviers d’action sont locaux. Les solutions les
> > mieux adaptées peuvent varier d’un pays à l’autre,
> > d’un besoin à l’autre.
> > L’urgence du problème nécessite à la fois de dé-
> > ployer des solutions déjà disponibles, et de lancer des
> > programmes de recherche cohérents pour les solu-
> > tions à venir.
> > dixit...
>
> Même chose, vague comme un horoscope et tu peux y foutre tout et n'importe quoi.
> Même un marabout est plus précis dans ses paroles.
tiens le conspi ecris lui :
[email protected]
apres c'est vrai qu'en marabout tu t'y connais bien
06/12/2022 à 17h54
croc1765 écrivait:
--------
>
> apres c'est vrai qu'en marabout tu t'y connais bien
Ca me fait marrer et c'est très intéressant de comprendre leur utilisation du langage pour comprendre leur emprise mentale.
regarde celui, ci qui pense à enculer ses proies.
https://www.legeneraliste.fr/actu-pro/vie-conventionnelle/la-convention-medicale-portera-des-mesures-de-revalorisation?xtor=EPR-1-%5BNL_edition_abonnes%5D-%5B20221205%5D&utm_content=20221205&utm_campaign=NL_editionabonnes&utm_medium=newsletter&utm_source=gene
T. F. : Un certain nombre de syndicats ont fait des propositions plus ou moins précises sur des sujets de revalorisation. Et je leur ai confirmé que la convention médicale porterait des mesures de revalorisation avec un certain nombre de priorités, sur la médecine générale et certaines spécialités cliniques. Cela concernera des actes, des consultations, possiblement également une augmentation de certains forfaits. Nous aurons également à traiter de l’articulation entre la réforme des actes techniques à travers les travaux du Haut Conseil de la nomenclature, attendus plutôt à la fin de l’année 2023, et l’exercice conventionnel. Je leur ai confirmé qu’on avait besoin de travailler à la fois sur la nature des revalorisations et aussi sur le contenu des engagements que les médecins seraient amenés à prendre dans le cadre de cette convention. La négociation conventionnelle doit avancer sur ses deux jambes : améliorer l’accès aux soins des patients et améliorer l’attractivité de la médecine libérale.
Par ailleurs, le ministre de la Santé a adressé un courrier aux syndicats libéraux sur les sujets de retraite (ASV). Et, sur le secteur 2, les discussions se poursuivent. Il n’est bien évidemment pas question de changer les règles du jeu. C’est une question de réglage technique des textes.
Ces négociations interviennent dans un contexte difficile pour la médecine générale. Un mouvement de grève des médecins est prévu le 1er et le 2 décembre. Quel message adressez-vous aux généralistes qui prévoient de faire grève ?
T. F. : Ces négociations conventionnelles sont un moment important pour l’avenir de la médecine libérale, à laquelle l’Assurance maladie est particulièrement attachée. Nous sommes lucides sur l’état de la situation, qui peut provoquer, du côté des patients, des difficultés d’accès aux soins, et, du côté des médecins libéraux, de l’épuisement professionnel ou des dégradations des conditions de travail. Cette situation, elle est surmontable parce que nous voulons donner à la médecine libérale les moyens organisationnels, financiers, en termes de ressources humaines, pour pouvoir surmonter ces problèmes. Je suis évidemment attentif aux revendications. Je sais aussi que les médecins sont attentifs à assurer la continuité des soins et la prise en charge de leurs patients.
Vous avez aussi appelé à « renforcer l’attractivité de la médecine libérale » dans votre propos préliminaire. Pourtant, pour la médecine générale, l’ajout d’une 4e année au DES fait craindre une baisse du choix de cette spécialité. De quels leviers disposez-vous ?
T. F. : Comme vous le savez les travaux se poursuivent sur les contours de cette 4e année pour en faire une vraie dernière année qui mélange fin de la formation, qualité de l’accompagnement et découverte de l’exercice ambulatoire. L’Assurance maladie est prête à faire que les conditions de rémunération soient attractives, à la fois pour les jeunes et pour les maîtres de stage, pour que nous ayons plus de praticiens pour accompagner ces jeunes.
Sur la lutte contre la fraude, de nombreux médecins dénoncent la méthode s’appuyant sur l’extrapolation, figurant dans le PLFSS. Pouvez-vous nous expliquer ?
T. F. : L’article 44 du PLFSS que vous évoquez est un dispositif technique qui permet, une fois que vous avez contrôlé une partie de l’activité d’un professionnel, d’éventuellement l’extrapoler sur une base contradictoire, qui doit être statistiquement pertinente et qui doit permettre aussi une discussion avec l’intéressé et, le cas échéant, un accord sur un niveau d’indu que l’Assurance maladie récupérerait. Ce dispositif s’inscrit dans une politique plus large : lutter contre les fraudes à l’Assurance maladie des professionnels de santé, des assurés et des entreprises. Nous avons partagé nos premiers résultats sur la fraude des médecins généralistes. Ce ne sont que quelques pourcents de praticiens, pour quelques pourcents des dépenses. Le problème, c’est qu’avec l’Assurance maladie, quelques pourcents des dépenses, cela fait tout de suite des montants importants !
Sur l’orientation visant à garantir l’accès aux soins, vous avez cité plusieurs mesures. La première vise à repenser les aides démographiques. Comment cela se traduira-t-il ?
T. F. : Nous avons fait une première mise de jeu lors de ces réunions bilatérales. Un contrat unique avec une augmentation de 30 % du forfait médecin traitant pour tous les médecins qui s’installent dans les ZIP, ainsi que les médecins déjà installés dans ces zones sous-denses. Cette proposition a eu un accueil plutôt favorable de nos partenaires conventionnels. Nous avons également proposé 30 % d’augmentation du forfait médecin traitant pour tous les jeunes médecins qui s’installent moins de trois ans après leur sortie d’études. Notre troisième proposition porte sur la consultation avancée des spécialistes qui exercent hors des zones sous-denses dans les zones sous-denses. Ces propositions datent de la semaine dernière, nous allons sûrement les enrichir des retours des syndicats de médecins.
Quelles sont vos propositions sur le service d’accès aux soins ?
T. F. : Nous avons proposé aux médecins libéraux de pérenniser la mesure de majoration à 15 euros sur les soins non programmés et la mesure sur la régulation à 100 euros. Et donc de supprimer l’indicateur 9 du volet 2 du forfait structure. Il y a des sujets plus opérationnels de déploiement du SAS qui relèvent à la fois des agences régionales de santé et, sur le terrain, des hôpitaux et des professionnels de santé de ville. Notre objectif est de donner un cadre financier le plus clair possible. Mais notre priorité sur les soins non programmés est, avant tout, de construire des équipes auprès des médecins traitants pour les aider à être en capacité de répondre à une demande de leurs patients, de recréer un réflexe pour la population de se tourner vers son médecin traitant et son équipe. Consolider des dispositifs autour du SAS est important mais cela doit être subsidiaire par rapport à la création de ces équipes auprès des médecins traitants, prioritaires pour nous.
Sur l’orientation concernant la qualité des soins, la pertinence et la santé publique, quelle sera la place du généraliste dans les rendez-vous de prévention ?
T. F. : Sa place a vocation à être centrale. C’est l’une des fonctions du médecin traitant de prendre en charge la santé globale de sa patientèle. On ne fera pas de bilan de prévention sans lui, ça n’aurait aucun sens. Et, en même temps, on imagine mal que le médecin traitant le fasse tout seul, parce que c’est un chantier très important qui va nécessiter des ressources. Et donc d’autres professionnels de santé pourront certainement accompagner et être des effecteurs, eux aussi, de ces bilans de prévention.
Les médecins alertent sur l’augmentation des rendez-vous non honorés, envisagez-vous des mesures ?
T. F. : C’est un vrai sujet, a fortiori dans une période où le temps médical est précieux. Je ne suis pas sûr que cela relève directement du champ conventionnel, ni de la compétence de l’Assurance maladie. Pour autant, nous travaillons à mieux accompagner les assurés et mieux communiquer sur la bonne utilisation des ressources de notre système de santé. L'Assurance maladie va s'engager en 2023 pour rappeler les bonnes pratiques toutes simples qui régissent ce système : quand on a un rendez-vous médical, on s'y rend ; quand on reçoit des conseils d’un professionnel de santé, on les suit ; quand on a des besoins de soins non programmés, le réflexe c’est le médecin traitant, le numéro des soins non programmés et, à la fin, les urgences. Sans doute avons-nous besoin de mieux informer, accompagner et limiter les effets d’un réflexe consumériste de l’accès aux soins.
Allez-vous faire évoluer la rémunération sur objectifs de santé publique (Rosp) ?
T. F. : Cela fait partie des orientations. C’est à la fois un outil important, plus efficace que ce qu'on en dit parfois, mais qui a besoin d’être simplifié, concentré sur moins de priorités et recentré sur des enjeux de santé publique et de prévention. Dans les jours qui viennent, nous ferons de premières propositions aux syndicats médicaux. Le bilan, nous l’avons fait de manière assez approfondie avec eux, en partageant des éléments qualitatifs et quantitatifs. Nous avons également dit notre disponibilité à étendre la Rosp à d’autres spécialités. Il est aussi possible d’imaginer des cycles, par exemple un engagement de deux ans sur une liste d’indicateurs mesurés. Quand les résultats sont atteints, on passe à autre chose ; quand ils ne sont pas atteints, on les garde mais on promeut d’autres dispositifs d’accompagnement des professionnels.
Quelles seront les actions sur la pertinence des prescriptions ?
T. F. : Nous avons des leviers de différentes natures. En premier lieu, nos politiques d’accompagnement « classiques », que nous reprenons après la crise Covid. Nous déployons une campagne vers les médecins généralistes sur le bon usage des antibiotiques en leur donnant des outils numériques de data visualisation. Progressivement, et assez rapidement, nous allons leur donner la capacité à consulter ces données régulièrement, se comparer à d’autres professionnels du même territoire.
Deuxième point : nous voulons aller plus loin dans le dispositif « gagnant-gagnant » d’intéressement. Nous l’avons déployé pour les biosimilaires dans le cadre de l’avenant 9. Un médecin prescrit davantage de biosimilaires : nous répartissons les gains entre l’Assurance maladie et le praticien. Nous voulons le faire de façon plus importante. Une chose qui n’a peut-être pas été suffisamment vue dans le rapport "charges et produits" de cette année : un médecin généraliste génère par sa pratique près de 750 000 euros de remboursements annuels pour la prise en charge de ses patients. Je ne dis pas qu’il coûte cet argent mais il le génère, par ses prescriptions de médicaments, de dispositifs médicaux, de radiologie, d’arrêts de travail, etc. Ce qui est normal. Mais un des enjeux de la Convention, c'est aussi de savoir si on arrive à trouver des leviers pour modérer l’évolution de ces dépenses-là. Pour en redistribuer une partie, pour réduire le déficit de l’Assurance maladie et pour mieux rémunérer les médecins.
Troisième point : construire des outils numériques qui aident à des parcours de soins moins redondants, à ce que le médecin ait davantage d’informations sur les prescriptions de son patient, à ce qu’il sache quand les résultats de biologie sont disponibles, etc. C’est l’ordonnance numérique, Mon espace santé… ce qui ne produira pas des économies demain matin, puisque ce n’est pas le but recherché. Mais un parcours de soins avec moins d’examens inutiles et une meilleure circulation de l’information, c'est un parcours de soins plus efficient.
Vous souhaitez assouplir le cadre des assistants médicaux. Comment allez-vous travailler avec les collectivités pour trouver des locaux adaptés et avec les organismes de formation ?
T. F. : Ce sont des sujets qui n’entrent pas directement dans le champ de l’Assurance maladie. Nous en avons parlé avec les ministres François Braun et Agnès Firmin Le Bodo et leurs équipes pour voir comment, avec les représentants des collectivités territoriales, nous pouvions construire des discussions et comment mobiliser ce levier. Même chose sur les sujets de formation, avec le ministère de la Santé et celui du Travail, comment nous pouvions alléger le cursus des assistants qui est trop lourd… Mais ce n’est pas complètement dans nos mains.
Je saisis cette occasion pour préciser un point : les 10 000 assistants médicaux, qui sont la cible que le ministre a évoquée, ne sont pas un plafond ! Si, demain, il y a 20 000 assistants médicaux, je serais un directeur général de l’Assurance maladie heureux ! La question reste de savoir comment provoquer le déclic. Nous avons fait des propositions très simples : pas de différence selon les zones, un emploi temps plein possible pour tous, pas de lien avec l’exercice coordonné, confirmation que l’aide est pérenne. Sur ce dernier point, qui suscite beaucoup de questions : dès lors que les objectifs sont atteints, l’aide reste pérenne. La mise de jeu est là. Si les syndicats ont d’autres propositions, nous sommes très ouverts pour faire sauter les verrous.
Trois ans après le début du dispositif, tous les objectifs ont-ils été atteints ?
T. F. : Je le redis et le martèle : avoir un assistant médical ne signifie pas travailler davantage mais prendre en charge davantage de patients, dans une autre organisation. Tout le monde n’a pas atteint tous les objectifs. Toutefois, en moyenne, les objectifs sont largement atteints. Notre travail sera donc d’accompagner ceux qui n’ont pas atteint les objectifs pour comprendre pourquoi et renforcer notre accompagnement. Et pour ceux qui les ont atteints, les remercier et leur dire qu'on va rester à leur côté, puisque l’aide est bien de nature pérenne. Honnêtement, le dispositif marche. Nos travaux sur les assistants médicaux depuis 2019 montrent que ceux qui ont choisi d’en recruter un prennent en charge en moyenne 10 % de patients en plus… sans travailler plus ! Ils rapportent aussi que leurs conditions de travail se sont améliorées…
Vous voulez également renforcer la coopération avec les autres professions de santé, comme les infirmiers. Que comptez-vous mettre en place ?
T. F. : Nous voulons rendre beaucoup plus faciles différentes sortes de coopération. Il y a des infirmiers, des infirmiers en pratique avancée, des infirmiers Asalée : comment pouvons-nous rendre possibles différentes coopérations entre médecins et infirmiers selon plusieurs formules ? Nous n’avons pas de modèle unique. En revanche, notre conviction est que l’équipe médecin-infirmier peut produire à la fois une meilleure qualité de prise en charge, de meilleures conditions de travail pour les professionnels de santé et ce fameux gain de temps dans la prise en charge.
Quelle serait donc votre vision pour l’avenir de la médecine générale ?
T. F. : Une des priorités de cette négociation est de renforcer le rôle du médecin généraliste traitant. Les deux qualificatifs ont leur importance. L’Assurance maladie a investi depuis presque vingt ans sur le médecin traitant et souhaite lui donner les moyens, par la construction d’équipes, la simplification de sa vie administrative et professionnelle, de rester un acteur clé de la prise en charge des patients. Le tout dans un parcours de soins organisé, en relation avec la médecine spécialisée. Nous avons besoin des médecins généralistes traitants, qui voient un million de patients par jour. Et nous avons besoin de les aider à prendre en charge les 600 000 personnes en affection longue durée, aujourd’hui, qui n’ont pas de médecin traitant. Il y a consensus chez les spécialistes et généralistes pour dire que c’est prioritaire. Nous devons leur donner les moyens de s’organiser pour pouvoir répondre à cette mission et continuer à s’engager pour leurs patients et leurs territoires.
Tu la sens l'enculade.
07/12/2022 à 23h20
Pénurie d'électricité:
La Suisse veut interdire l'utilisation des véhicules électriques privés ...
https://www.automobile-propre.com/penurie-delectricite-la-suisse-pourrait-interdire-des-trajets-en-vehicules-electriques/
--
Schooner For Ever
08/12/2022 à 07h45
Rape tu trolles…
Pour ceux qui partent en vacances cet hiver.
Pas oublier que les pompes à essence fonctionnent aussi à l’électricité.
D’ailleurs les remontés mécaniques aussi.
08/12/2022 à 08h42
Pour les remontées, j'ai toujours présupposé, sans vérifier, qu'elles tournaient au fuel. Me serais-je trompé?
Edit: après vérification, effectivement, je me suis trompé, c'est bien électrique.
08/12/2022 à 08h57
Sethef écrivait:
------
> Pour les remontées, j'ai toujours présupposé, sans vérifier, qu'elles tournaient
> au fuel. Me serais-je trompé?
Généralement l'alimentation générale est électrique, mais il y a un groupe auxiliaire au fioul.
08/12/2022 à 09h02
Prunelles écrivait:
---------
>
> Généralement l'alimentation générale est électrique, mais il y a un groupe
> auxiliaire au fioul.
C'est ce qui m'a induit en erreur, le premier truc auquel j'ai pensé, c'est l'odeur en bas des cabines.
08/12/2022 à 13h14
rapelapente écrivait:
-----------
> Pénurie d'électricité:
> La Suisse veut interdire l'utilisation des véhicules électriques privés ...
>
> https://www.automobile-propre.com/penurie-delectricite-la-suisse-pourrait-interdire-des-trajets-en-vehicules-electriques/
>
En plus sans électricité les pompes à essence ne fonctionnent pas non plus !
08/12/2022 à 18h59
moritooth écrivait :
> En plus sans électricité les pompes à essence ne fonctionnent pas non plus !
>
Mais si !
Elles ont en général une pompe manuelle de secours! Hé hé....
--
Schooner For Ever
08/12/2022 à 20h34
rapelapente écrivait:
-----------
> moritooth écrivait :
> > En plus sans électricité les pompes à essence ne fonctionnent pas non plus !
> >
> Mais si !
> Elles ont en général une pompe manuelle de secours! Hé hé....
>
> --
> Schooner For Ever
>
Sauf que l’afficheur ne marche pas que le facturation non plus, bref tu vas te prendre une gros doigt d’honneur du pompiste et retour à la maison bredouille….
Pendant ce temps, le mec en ve avec ses panneaux solaires et ses batteries de secours….bein il charge à la maison bien au chaud qui plus est….😂😂😂
08/12/2022 à 20h50
rapelapente écrivait:
-----------
"Mais si !
Elles ont en général une pompe manuelle de secours! Hé hé...."
Toi t es resté bloqué à l époque du BP zoom . :-))
09/12/2022 à 00h53
pluton écrivait:
------
>
> Pendant ce temps, le mec en ve avec ses panneaux solaires et ses batteries de
> secours….bein il charge à la maison bien au chaud qui plus est….😂😂😂
>
Ce qui est le prix d'une voiture essence de secours.
Rhoooo, tu recommences à jouer au mec en hélico regardant les prolos en voiture dessous.
Un jerrican fait l'affaire.
Sérieusement, vous êtes hors sol.
09/12/2022 à 07h27
Vous savez , vous critiquez l’essence pour son odeur mais peut-être que c’est moins dangereux pour l’homme. J’ai demandé un peu à ma femme de tester les choses et de comparer les odeurs par exemple.
- je lui ai demandé de mettre un doigt dans un jerricane d’essence et de le sentir. Elle m’a dit : ça pue l’essence.
- je lui ai demandé ensuite de se mettre un doigt dans les fesses. Elle m’a dit : ça pue la merde.
- je lui ai demandé enfin de mettre un doigt dans une prise de courant, et bien elle en est morte. Elle a quand même eu le temps de me dire avant son dernier soupir que son doigt ne sentait rien mais que ça sentait quand même un peu la merde car elle ne s’était pas lavée le doigt avant.
Ensuite elle m’a demandé de balancer son corps dans le composte et de laisser les petits vers faire leur travail. Vous voyez même dans les derniers moments de sa vie , elle est restée écolo jusqu’au bout. C’est remarquable. Elle aurait pu me dire de la brûler et d’utiliser la crémation par exemple. Heureusement qu’il y a des gens comme ça qui respectent un peu plus la nature .
09/12/2022 à 09h07
Moi je reste à distance des pistes cyclables et des chemins de randonnée.
C'est plein d'écolos qui refusent tout.
Carburants fossiles, électricité, tout quoi.
Alors ça pue la sueur.
C'est dégueulasse un écolo!
--
Schooner For Ever
09/12/2022 à 09h54
Sinon, il a des choses qui s'appellent des groupes électrogènes qui dans le cadre de station essence permettront d'alimenter des milliers de voiture ou peut être de recharger une voiture électrique en partie.