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Fatiguée ...
07/10/2012 à 14h32
Sympa, chacun apporte un fragment de sa sensibilité sur ce fil. Les pièces d'un puzzle comme toile de fond :)
Gulguch, c'est bien que tu sois là. Superbe, la Provence manquait au tableau.
10/10/2012 à 11h59
La rentrée scolaire date déjà de près d'un mois et le temps est venu des premiers contrôles.
Pourtant, il y a tant de belles choses à faire en classe, regarder par la fenêtre les arbres se teinter de roux, suivre dans leur course les feuilles qui se laissent choir lentement sur le sol, déterminer la trajectoire des mouches et leur point de croisement hypothétique au dessus de tableau, échanger les dernières nouvelles avec le voisin etc, etc
Actuellement, les contrôles sont souvent mal ressentis par les élèves, mais ils ont toujours existé, comme le laisse entendre cette vidéo.
C'est vrai qu'à l'oral, il n'y a pas la grande angoisse de la feuille blanche qui pourrait être rendue dans le même état.
10/10/2012 à 17h27
Belette, regarde ce que Pier a écrit :
"" Pourtant, il y a tant de belles choses à faire en classe, regarder par la fenêtre les arbres se teinter de roux, suivre dans leur course les feuilles qui se laissent choir lentement sur le sol, déterminer la trajectoire des mouches et leur point de croisement hypothétique au dessus de tableau, échanger les dernières nouvelles avec le voisin etc, etc ""
.. tu remarqueras, encore une fois belette, que ce n'est pas moi qui commence. C'est Pier.
Aussi, je me dois d'inviter Mumu qui, elle, va remettre les points les i. Puis, pas question de poésie, de philosophie ou de rêverie. On n'est pas au lycée Papillon!
Dans sa classe, on apprend le quadrilatère. Elle est si douce et si jolie Mumu...
(Nb : puis, tu noteras aussi que depuis la rentrée, Pier semble être resté en vacances. Il n'écrit plus en rimes)
10/10/2012 à 18h43
.....cela me rappelle tant de souvenirs, l ecole....bon ou mauvais, d ailleurs....;) mais avec les annees qui ont passé et le recul,je me demande si finalement, les devoirs et les controles n etaient pas la belle epoque...;)
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...Je n'ai peur de rien.Sauf de me retrouver face a l'insensibilité humaine....
10/10/2012 à 21h27
....Et en remontant un peu le temps, vous pouvez constater que les choses ont changé pour le meilleur... et aussi pour le pire!lol
point commun des precedentes generations: cela filait droit;)))
bonne soirée a tous;))
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...Je n'ai peur de rien.Sauf de me retrouver face a l'insensibilité humaine....
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10/10/2012 à 22h45
...C'est reussi Sade;))))))))
et j'en avais bien besoin...lol
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...Je n'ai peur de rien.Sauf de me retrouver face a l'insensibilité humaine....
11/10/2012 à 09h21
Sade, tu as raison je suis encore un peu en vacances.
Il n'y a pas que sur les bancs de l'école que l'on peut se prêter à la rêverie.
Le chemin qui qui mène est riche en opportunités, et même si on le parcoure en se promenant seul, à l'instar de Jean Jacques, l'esprit ne peut s'empêcher de vagabonder et de transformer la rue la plus banale en fantastique terrain de jeu.
11/10/2012 à 12h48
Sade, il y avait mumu mais aussi.....
"Un peu de poésie dans de monde de brutes" , à écouter avec un morceau de chocolat dans la main :-)))
Gulguch, avant les diabolo-menthe, bien avant.
11/10/2012 à 15h10
A propos, Sade, tu m'avais demandé quelques indices concernant l'énigme de Gulguch.
Comme personne ne regarde, en voilà: Louis XIV et Versailles, Charlie Chaplin et les temps modernes, Laurel sans Hardy.
Si avec ça , tu ne trouves pas......
11/10/2012 à 17h48
Pier, tu es incorrigible, tu vas nous faire gronder. Tu sais bien que même de loin, gulguch veille sur nous. Il voit tout.. et arrive bien souvent sans prévenir, mais toujours avec justesse : Diabolo Menthe ressemble à la mélancolie-jolie, comme on l'aime...
Guadeloupe tarde à venir nous prêter main forte, alors voici ce que j'ai trouvé :
" Autrefois, on disait 'jeter sa langue au chien'. Cette expression avait un sens dévalorisant car à l'époque, on ne 'jetait' aux chiens que les restes de nourriture. 'Jeter sa langue aux chiens' signifiait alors ne plus avoir envie de chercher la réponse à une question. Petit à petit, l'expression s'est transformée pour devenir 'donner sa langue au chat', au XIXe siècle. En effet, à cette époque, le chat était considéré comme un gardien de secrets. Sa parole serait donc de valeur considérable, et il pourrait s'agir en 'donnant sa langue au chat', de lui prêter la parole pour qu'il nous donne la réponse à une devinette."
11/10/2012 à 21h58
La solution est trop loin des univers intérieurs de Sade, esthétique, hédonisme, zen, saudade...
La solution c'est plutot Crime et Chatiment, mais sans Dostoiewski, il y avait en effet des chapeaux melons et des cannes, et une langue inventée par un linguiste devenu écrivain. Je vous ai presque tout dit:-).
11/10/2012 à 22h34
gulguch écrivait:
-----------------
> La solution est trop loin des univers intérieurs de Sade, esthétique,
> hédonisme, zen, saudade...
> La solution c'est plutot Crime et Chatiment, mais sans Dostoiewski, il y avait
> en effet des chapeaux melons et des cannes, et une langue inventée par un
> linguiste devenu écrivain. Je vous ai presque tout dit:-)
Tu avais raison, Sade, il était là:-)))
Mes indices sont plus dans la tendance de Sade, et je précise que Laurel sans Hardy, ce n'estt pas que pour les chapeaux melons et Charlot, ce n'est pas que pour la canne.
11/10/2012 à 22h54
Mais bien sur Pier, je suis là, je vous lis tous les jours avec bonheur. Et je ne dis rien, "à mon caquet forte clôture et double fermeture à ce four d'incompétence", pour ne pas dénaturer votre joli jardin, votre carte du tendre et l'harmonie qui s'en dégage.
12/10/2012 à 00h31
De ce jardin tu en es aussi, je pense, un jardinier émérite, allant par les sentes et les chemins , dès le petit jour , rectifiant un bosquet, ratissant une allée pour aviver l'éclat de son gravier, poursuivant ta ballade aux milieu des simples odorantes et des médicinales aromatiques.
Ce jardin, comme tu l'appellles, ce n'est pas moi, ou Sade, ou Xenia ou Guadeloupe ou même dame Belette, qui nous a permis d'y assembler de beaux bouquets, ce jardin, c'est tout simplement Nous tous , y compris tous les visiteurs qui semblent trouver quelque plaisir à venir s'y promener.
12/10/2012 à 04h47
...Pier, tu as mille fois raison...
Un beau jardin meme avec les plus belles plantes qui soient ne vaut que s'il est entretenu par tous les temps;)))
ce post a passé l'ete,et il passe l'automne brillamment;))
bonne journée a tous;)
p s la derniere, c'est pour ma soeur!lol
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...Je n'ai peur de rien.Sauf de me retrouver face a l'insensibilité humaine....
automne_qui_arrive_gpwtaz.jpg
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je_l_ai_trouve_trop_belle_celle_la_bwsrsb.jpg
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12/10/2012 à 09h23
Pour rester encore un peu sur les bancs de l'école, voilà une autre version de ce célèbre poème de Victor Hugo, ' Après la bataille ", mais si, vous vous souvenez:
" Mon père , ce héros au sourire si doux......."
C'est Pierre DAC qui en est l'auteur.
Après la Bataille
Mon père ,cet anchois au sourire andalou
Suivi d'un nénuphar qu'il aimait entre tous
Pour son faux col vert neige fait en pierre de taille,
Parcourait en nageant la foire à la ferraille,
Où se tenaient ,pensifs,des melons accroupis.
Soudain son gros orteil crut percevoir des cris.
C'était un hérisson voltigeant sur la route,
Qui brûlait son chandail pour mieux casser la croûte,
En criant:- Un chou-fleur pour me cirer les souliers!
Ou bien un bec de gaz pour me laver les pieds!
Mon pére,ému,tendit au nénuphar fidèle
L'obélisque à vapeur où trempait sa bretelle
Et dit:-Mouche la jambe à cet oiseau blessé,
Et brûle -lui l'oeil droit avec un fer glacé.
A ce moment précis,surgissait du Rat Mort,
En marchant sur les mains ,un boa constrictor
Qui lança sur mon père sa veste en alpaga.
Le coup passa si près qu'un hareng se noya,
Et qu'un éléphant blanc tomba dans sa soupière.
-Hurrah ! cria mon pére,se mordant la paupière
12/10/2012 à 10h23
Pier, tu connais le pastiche de Victor Hugo par Pierre Louÿs? Il y a des dames sur ce forum, on ne va pas le citer :-)
13/10/2012 à 16h29
gulguch écrivait:
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> Pier, tu connais le pastiche de Victor Hugo par Pierre Louÿs? Il y a des dames
> sur ce forum, on ne va pas le citer :-)
Salut, Gulguch, je ne connais pas l'œuvre dont tu parles, mais je vais la retrouver.
En attendant, si on allait dans la monde du cirque, le temps est maussade, même la pluie a froid dehors. Malgré tous ses efforts pour entrer, elle ne peut que glisser le long des vitres, en suivant un trajet erratique sans espoir de se retrouver à l'intérieur.
Elle ne peut que rester là, à observer à travers la surface transparente les démêlés de ce pierrot qui prend conscience de sa nature.
13/10/2012 à 17h46
Pour les beaux yeux de ce pierrot.. voici un lieu où les larmes cessent de rouler, où la pluie cesse de tomber.
Le cirque du Soleil :
13/10/2012 à 17h46
A travers sa peinture, une jeune artiste nous transmet toutes ses couleurs, les plus sincères. A chaque coup de pinceau, elle souligne son désir de fêter les scènes de vie les plus simples, ainsi que la beauté de son pays, le Vietnam.
15/10/2012 à 20h21
Sade , par tes peintures tu nous invites au voyage.
Alors, pourquoi pas faire un petit tour du monde avec ce grand classique de Bernard Dimey et Henry Salvador.
17/10/2012 à 16h41
D'accord, va pour un voyage.
Dans le temps.
La séquence du spectateur.
" Cette émission a été diffusée la première fois le 20 octobre 1953. Claude Mionnet, son créateur, souhaitait l'appeler 'A chacun son goût', plutôt que 'La séquence du spectateur', imposé par la direction de l'ORTF. Il craignait en effet que le nom ne soit déformé en 'La séquence du sécateur' ou 'L'inconséquence du spectateur', compte-tenu du principe de cette nouvelle émission. Il s'agissait de présenter des extraits de films demandés par le public.
Diffusée chaque dimanche vers midi, cette émission a perduré jusqu'en 1989. Rendue obsolète par l'émergence des magnétoscopes et déplacée de tranche horaire, elle finira par disparaître...
Son générique, 'On the desert road', reste mythique : Toute une époque ! "
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Un autre,
bonne soirée..