Cookie Consent byPrivacyPolicies.comSur la théorie du genre... - Eugenol

Sur la théorie du genre...

Grueavatar nptrc9 - Eugenol
Le Choixpeau magique

17/05/2013 à 14h30

ameli écrivait:
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> L'essentiel est de ne pas obliger le garçon à rêver à devenir pompier, et la
> fille à devenir assistante maternelle...

Pourquoi, c'est ce qui est pratiqué actuellement ?

Je lis aujourd'hui dans une feuille de choux qu'on va enseigner DES 5 ANS aux enfants que l'homophobie c'est pas bien. A l'âge où on ne sait pas encore comment on fait les bébés, et encore moins ce qu'est un homosexuel, ça laisse rêveur...


joseph23

17/05/2013 à 14h44

ameli écrivait:
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> joseph23 écrivait:
> ------------------
> > Payé par le contribuable pour aller sur eugenol ;-)
>
> Je ne te remercierai jamais assez. Mais tu pourrais penser à m'augmenter, ce qui
> éviterait à Eugenol de me verser un complément de salaire en tant qu'animateur
> (modeste, mais mérité)(ce complément)(pas moi).
> Aujourd'hui, c'est RTT. Donc, je complète mon maigre salaire.

Ne me remercie pas je suis en reconversion et vais passer en mode assisté comme toi ;-)


isaïe

17/05/2013 à 15h39

Le Choixpeau magique écrivait:

> Quel influence de la génétique dans tout ça ?

Probablement faible. Plutôt un contexte hormonal du développement de l'embryon.


ameli

17/05/2013 à 15h47

Le Choixpeau magique écrivait:
------------------------------
> ameli écrivait:
> ---------------
> > L'essentiel est de ne pas obliger le garçon à rêver à devenir pompier, et la
> > fille à devenir assistante maternelle...
>
> Pourquoi, c'est ce qui est pratiqué actuellement ?

Inconsciemment, peut être.
L'éducation des très petits est soumise à tous les clichés possibles, ce que Baudrillard appelait "contrainte de différenciation et d'obéissance à un code". L'enfant ne se positionne pas lui-même, mais est positionné selon le code par ses éducateurs : c'est une contrainte. Non seulement on lui demande de prendre partie entre les deux genres à un âge où il se fout des différences de sexe, mais on lui impose le genre. Le garçon en bleu et la fille en rose, et ça ne se discute pas.
La petite fille doit jouer à la poupée. Le petit garçon n'a pas ce droit, le code usuel le lui interdit. S'il le fait, il est sanctionné par les moqueries. Pourtant, ça ne préjuge en rien de sa future sexualité, et ça ne change rien à son sexe ; mais il n'a pas accès au "genre" féminin, et la fille n'a pas accès au genre masculin.
Il me parait possible, voire probable, que l'application stricte de ces codes ait une influence sur la personnalité future... et il est possible, sinon probable, que la survivance des inégalités sexuelles que l'on constate y soit liée, au moins partiellement.
On peut au moins se poser la question de la pertinence de ce code.


Grueavatar nptrc9 - Eugenol
Le Choixpeau magique

17/05/2013 à 16h02

Bah c'est toujours la sempiternelle question de l'inné et de l'acquis.

Est-ce qu'on ne pourrait pas s'accorder pour dire que tout ça est un mélange des deux et que ces gens qui prétendent qu'un homme et une femme sont à 100% identiques sont ridicules ?


Grueavatar nptrc9 - Eugenol
Le Choixpeau magique

17/05/2013 à 16h08

Il y a quelques années, dans un documentaire sur les jumeaux, on montrait à un moment deux petites filles d'une dizaine d'années qui jouaient ensemble au cours d'une après midi spéciale, vrais jumelles séparées à la naissance éduquées dans des familles très différentes (genre les groseille et les lequesnoix). Les deux petites se voyaient pour la première fois et s'entendaient instantanément comme si elles avaient toujours vécu ensemble. Et là, une thérapeute, qui avait passé l'après midi à les observer d'avouer qu'elle était très troublée par cette complicité entre les deux qui remettait en cause tout son système de pensé.
Après on peut dire que ça peut dater des 9 mois de coexistence utérine, mais ça devient quand même compliqué à défendre.


Utilisateur banni

17/05/2013 à 16h48

ameli écrivait:
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> L'enfant ne se positionne pas lui-même, mais est positionné selon le code par
> ses éducateurs : c'est une contrainte.
...
> Il me parait possible, voire probable, que l'application stricte de ces codes
> ait une influence sur la personnalité future... et il est possible, sinon
> probable, que la survivance des inégalités sexuelles que l'on constate y soit
> liée, au moins partiellement


Mais Améli, tu vois bien que petit à petit les femmes accèdent à des postes à pouvoir, toi qui parlait de EADS par exemple. Depuis mars 2013, Anne Lauvergeon (ni énarque ni socialiste), ancienne PDG d'Areva, est membre du conseil d'administration d'EADS et pourrait en obtenir la présidence.
Comme déjà abordé, les métiers évoluent et les femmes petit à petits pourront accéder à des postes à responsabilité. Faudra t-il à ce moment là enseigner une théorie du genre inversée ? On en arrive à des situations absurdes et tous les idéologues qui tiennent absolument à améliorer le monde cherchent sans arrêt à justifier leur position par des solutions qui nous déshumanisent.
Si l'on parvient à comprendre ce que sont les propriétés émergentes, on renoncera à vouloir tout diriger, tout régler, tout imposer pour le soi-disant bonheur de l'humanité qui en réalité, fait toujours son malheur.
L'ordre sans un certain degré de désordre devient hostile à la vie. Notre gouvernement de gens normaux voudrait imposer ses normes, ce sont des comportements dangereux qui rappellent l'escalade vers la bestialité sous couvert d'altruisme.
Il faut qu'ils retrouvent la raison, ou un peu de folie, et d'humilité.


ameli

17/05/2013 à 17h59

Guadeloupe écrivait:
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> Mais Améli, tu vois bien que petit à petit les femmes accèdent à des postes à
> pouvoir,

Oui, et heureusement, non ? C'est bien la preuve que la société évolue. Mais reconnait que c'est bien lent.
A vrai dire, je ne suis pas un farouche partisan de cette théorie, mais je me pose des questions. Je me demande si la société ne doit pas évoluer à son rythme, gentiment, sans qu'on la bouscule en changeant ces codes, même si certains de ces codes me paraissent vraiment absurdes. *
Et, pour aller plus loin, certains de ces codes font partie intégrante de notre culture, et on ne change pas de culture comme de chemise. On ne compare pas les différences femmes-hommes dans la société scandinave et dans la société arabe : vouloir changer quelque chose aux codes en vigueur est un travail de longue haleine !
Par contre, je ne comprends pas les réticences idéologiques dont cette théorie est la victime. Après tout, il n'y a rien là-dedans qui puisse vraiment changer la face du monde ou le sexe des gens ! Ce n'est qu'une théorie sociale comme il en existe beaucoup, une théorie qui consiste surtout dans l'observation, et non dans la volonté de changement de paradygmes.
De plus, ce qui me dérange, c'est que cette théorie se prête facilement à la récupération par des mouvements divers, plus huluberlus les uns que les autres, et qui peuvent faire des dégats. Ce qui renforce ma méfiance.

* exemples de bizarreries :
1. les parents, très grande bourgeoisie parisienne, ont refusé de payer les études de leur fille, arguant qu'elle devait se marier. Ils ont payé les études de ses frères. On se croirait au XIX è siècle ! Les codes bougent, mais lentement... et de façon similaire dans tous les milieux socio-culturels.
2. les chiffres allemands du chômage sont étonnants : peu de femmes. Pourquoi ? à cause du célèbre KKK : Kinder-Küche-Kirche (enfant-cuisine-église). La femme allemande ne travaille pas, est-ce culturel ou traditionnel ? C'est une bonne chose pour l'état allemand et pour les chiffres du chômage ! Mais à l'opposé, celles qui bossent n'ont pas d'entraves. Chaque pays a ainsi sa culture (ou ses traditions), mais doit-on en changer ?


Utilisateur banni

17/05/2013 à 18h25

ameli écrivait:
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> * exemples de bizarreries :
> 1. les parents, très grande bourgeoisie parisienne, ont refusé de payer les
> études de leur fille, arguant qu'elle devait se marier. Ils ont payé les études
> de ses frères. On se croirait au XIX è siècle !
...
Chaque pays a ainsi sa culture (ou ses
> traditions), mais doit-on en changer ?


Qu'une société cherche à changer ses "traditions" là où par exemple, la femme est décapitée, torturée ou lapidée, c'est une chose. Mais d'ici à vouloir intervenir partout et pondre des lois pour sauver les supposés opprimés dès la première "bizarrerie" et instaurer le Paradis sur terre, c'est là que ça pose problème. Cela pourrait même mener à la guerre nucléaire pour le bien de l'humanité ! Les effets papillons ...

On ferait mieux d'enseigner les sciences de la complexité que ces inepties de théorie du genre qui, au final, ne présente aucun intérêt pour les humains, et beaucoup d'inconvénients à cause des dérives et récupérations.


isaïe

17/05/2013 à 21h25

" les chiffres allemands du chômage sont étonnants : peu de femmes. Pourquoi ?"
A cause surtout d'une dénatalité alarmante et d'une politique encourageant financièrement et structurellement la mère au foyer ou la femme qui travaille par des congés parentaux longs bien subventionnés.


F e01w igu3rl - Eugenol
roumette

17/05/2013 à 23h43

Certainement... mais pourquoi pas le père?


isaïe

18/05/2013 à 06h17

Peut-être parce qu'une société a décidé d'exploiter, pardon d'encourager, une prédisposition naturelle de la femelle mammifère à assurer pendant un temps le nourrissage des nouveaux-nés.
Cet affreux signe de domination masculine existe chez d'autres animaux aussi.
La couvaison peut-être partagée équitablement, mais c'est propre aux ovipares.

L'obsession égalitaire ne doit pas faire oublier qu'un mâle n'est pas une femelle et l'inverse et que la physiologie est ce qu'elle est.
Ce qui ne peut pas servir à justifier que c'est la même qui doit nettoyer par terre et faire la vaisselle, pcq cette définition-là des rôles est culturelle.

De même que pour la reproduction, l'accouplement hétérosexuel est la règle. On ne peut pas changer ça. Ce qui ne peut pas servir en soi à imposer l'organisation d'une société sur le modèle du couple hétérosexuel, c'est d'un autre ordre.


isaïe

18/05/2013 à 08h32

Dans la structure du conte, il y a habituellement dès le début un exposé d'une difficulté, d'un désastre, puis la solution magique se met en place.
Les parents ne peuvent plus nourrir leurs enfants, ils vont les perdre dans les bois, mais le Petit Poucet rattrape la sauce.
Cendrillon est martyrisée par sa belle-mère, mais la fée débarque.
Etc...

Pas mal de contes dans notre culture commencent par "il était une fois un roi qui avait une fille..." Et l'horreur s'installe : des femelles au poulailler ou dans l'étable parfait, mais pas dans la succession : il va falloir trouver un mâle correct pour éviter le chaos. Chaos de la succession incertaine très redoutable qui a valu à nos contrées des heures noires à travers les siècles.
On ne raconte plus ces histoires au coin du feu ou si peu, on pourrait croire que ces stéréotypes vont disparaître avec le temps et l'abolition de la loi salique. En fait c'est Disney qui se charge efficacement de la relève.


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Piccalilly

18/05/2013 à 10h36

Un reportage norvégien.
Pour résumer, la culture ne changerait en rien les statistiques montrant des différences de centres d'intérêts hommes/femmes, et dans les pays où les individus se sentent vraiment libres de toute contrainte de genre, ils retournent dans leur choix d'activité professionnelle vers les stéréotypes habituels.



Comme nous le dit Guadeloupe, nous aurions intérêt à nous pencher plutôt vers l'étude des notions de complexité...


ameli

18/05/2013 à 12h34

isaïe écrivait:
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> L'obsession égalitaire ne doit pas faire oublier qu'un mâle n'est pas une
> femelle et l'inverse et que la physiologie est ce qu'elle est.

Oui !!!
Mais une remarque amusante. Ces égalitaristes sont de chauds partisans des lois sur la parité.
Ils sont aussi de chauds partisans, jusqu'à la déformer, de la théorie du genre.

C'est le coté paradoxal, car l'application de la théorie du genre vise justement à rendre inutile les lois sur la parité...


joseph23

19/05/2013 à 15h37

Cette théorie vise aussi a supprimer les différences en enseignant aux enfants qu'un homme n'est pas forcément un homme et une femme n'est pas forcément une femme.
Or la différence entre un homme et une femme est réelle , tenter de la supprimer est contre-nature.
De plus ces différences homme-femme sont essentielles à l'équilibre d'un couple , d'une famille, d'une société.


Les institutrices ne pourront dire "petit garçon" ou "petite fille" et devront éviter de marquer toute différence.

Je vous invite à écouter l'émission radio sur mon premier post de ce sujet.
Quand on en sait plus sur la genêse de cette théorie ça fait peur...


isaïe

19/05/2013 à 20h14

"Or la différence entre un homme et une femme est réelle "
Tout à fait d'accord.
Le problème est que des hommes présentent certaines caractéristiques de fonctionnement biochimique liées à un statut hormonal femelle et l'inverse.
C'est une interrogation de plus qui se pose parce que ce n'est pas corrélé nécessairement à la préférence homosexuelle, mais statistiquement l'homosexuel mâle présente cette différence de façon assez significative.

Ce qui serait regrettable de la part de scientifiques diplômés que nous sommes, c'est d'avoir un avis tranché et définitif sur une problématique très complexe pour laquelle personne n'a toutes les cartes en mains.
Et enseigner quelque chose là-dessus en l'état actuel à des enfants qui ne sont pas capables de mettre en perspective toutes ces questions, n'est pas prudent.


haisha

20/05/2013 à 13h53

Je me permettrai de conseiller à certains un petit ouvrage d un chercheur en biologie evolutive Michel Raymond intitulé :
"Cro-magnon toi- même "(petit guide darwinien de la vie quotidienne)
ce monsieur remet en cause un certain nombres de faux acquis
qui passent très mal devant une vision scientifique raisonnable et argumentée ; le tout écrit avec un style vivant et humoristique.
Bonne journée a tous
La théorie du genre et autres billevesées !!!
Ce pays est vraiment foutu


joseph23

20/05/2013 à 20h43

Constater qu'il y a dans le masculin et le feminin une part de CONSTRUCTION CULTURELLE ne permet pas pour autant de nier la REALITE PREMIERE, BIOLOGIQUE .


isaïe

20/05/2013 à 20h51

La réalité biologique est complexe et ce qui se trouve entre les jambes n'est peut-être pas suffisant pour la définir de façon exhaustive.


joseph23

20/05/2013 à 21h11

Justement, réduire la réalité biologique à ce qu'on a entre les jambes est digne d'une discussion de bistrot.

La réalité biologique dans toutes ses composantes connues et inconnues est bien la réalité première comparée à la construction culturelle que les "théoriciens"du genre veulent faire passer pour détermiante.

Cette théorie du genre initiée par Mlle Butler féministe et hétérophobe risque de faire des dégâts dans la construction identitaire de jeunes enfants.


haisha

20/05/2013 à 21h33

Tout à fait d accord ;
le problème en France encore plus qu ailleurs, c est que le discours se fait sur le plan idéologique sur ce sujet
( inné acquis) comme sur tous les problèmes de société hélas!
l écologie la sécurité routière ......
Si on est pas d accord ,on est des réactionnaires est on n est pas politiquement correct
Je hais les idéologues .


isaïe

20/05/2013 à 21h41

C'est probablement vrai qu'il y a des stéréotypes qui se baladent inconsciemment ou pas dans nos sociétés. C'est un travail intéressant d'en identifier les causes et conséquences.

La fonctionnalité des cellules ciliées externes est depuis quelques années dans la ligne de mire des chercheurs qui travaillent sur l'imprégnation hormonale de l'embryon.
En gros, cette cellule piézoélectrique serait nettement plus réactive chez la femelle. Ceci serait en partie explicable par un équipement oestrogénique qui lui est propre. Expliquant ainsi des variations d'activité cellulaire liées au cycle menstruel
Le problème est qu'un bon nombre de mâles présentent la même caractéristique, mais sans cet équipement oestrogénique. Notamment chez le mâle homosexuel. Cette anomalie (au sens où le statut en oestrogène ne permet pas d'expliquer l'hyperréactivité cellulaire) pourrait constituer une fragilité dans l'équipement anti-oxydant de ce type de mâle.
Si on devait s'en tenir uniquement à l'analyse du fonctionnement de ce type cellulaire, la répartition mâle/femelle ne coïnciderait pas avec celle d'une analyse fondée sur le sexe biologique.
Les inversions ne donnent pas nécessairement lieu à une préférence homosexuelle, mais chez les mâles inversés la proportion est significative.
Pourquoi pas systématiquement ? Pas de réponse claire, mais la culture joue peut-être un rôle.

Tout ça pour dire que la carrosserie mâle peut abriter des fonctionnements biologiques femelles dont on ne mesure pas l'impact sur le comportement.
Et pour couronner le tout, cette "anomalie" serait réversible, ce qui pose un sérieux problème éthique.


joseph23

20/05/2013 à 21h49

isaïe écrivait:
---------------

> Si on devait s'en tenir uniquement à l'analyse du fonctionnement de ce type
> cellulaire, la répartition mâle/femelle ne coïnciderait pas avec celle d'une
> analyse fondée sur le sexe biologique.

Tout est dans le "si"....


ameli

24/05/2013 à 14h53

joseph23 écrivait:
------------------
> Constater qu'il y a dans le masculin et le feminin une part de CONSTRUCTION
> CULTURELLE ne permet pas pour autant de nier la REALITE PREMIERE, BIOLOGIQUE .

Tout à fait !
Le problème est quand on commence à combattre cette réalité biologique au prétexte de la lutte contre les discriminations.

Engels avait parlé en son temps de la revendication égalitaire qui tombe nécessairement dans l'absurde. C'est ce qu'on appelle parfois le "pourtoussisme" : droit à la mobilité pour tous, droit à l'installation n'importe où pour tous, droit au mariage pour tous, droit d'acheter un bébé made in India pour tous, droit à la médaille de la résistance pour tous, etc.
Ainsi un parti de gauche suédois (22 députés) a déposé en juin 2012 un projet de loi visant à interdire aux individus de sexe masculin d'uriner debout, ce qui représente un privilège inacceptable et une discrimination révoltante. Cette loi émancipatrice liée à la théorie du genre combat l'idée populaire que la différence sexuelle serait due à une différence anatomique. L'illuminé représentant de ce parti, Viggo Hansen, soutient que pisser debout est une construction historique arbitraire et discriminante qu'il faut abattre, au nom de l'égalité des droits.
A quand le droit à l'orgasme quotidien pour tous ?
Je suggère que M Hansen retourne à l'école maternelle (non, le terme est inadéquat) ou paternelle (non, idem) ou au jardin d'enfants (ouf, j'ai trouvé la parade) pour apprendre à jouer à touche-pipi.
Ceci n'est évidemment pas un canular, hélas...


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