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la cnsd me fatigue!
10/02/2014 à 17h00
Candide Candida écrivait:
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> 1. en favorisant financièrement l'installation dans les zones sous-dotées
> (actuel)
> 2. en sanctionnant financièrement l'installation dans les zones sur-dotées
> (principe du malus bonus des voiture, ou de l'AGA)
Ce n'est pas au programme. Mais des mesures conventionnelles (comme pour les infirmiers) peuvent limiter la liberté d'installation.
> 3. en soumettant toute nouvelle installation à une autorisation de l'ARS y
> compris les rachats de cabinet dans toutes les zones
Ce ne sera jamais au programme. On a autre chose à foutre. L'ARS s'occupe surtout du sanitaire (hospitalier) et du médico-social. Le premier recours, pour l'ARS, c'est les urgences et les territoires prioritaires. Le reste, c'est l'indifférence, l'Ordre n'a qu'à le faire si ça l'amuse.
> 4. en conditionnant le rachat d'un cabinet à sa mise au norme Handicapé (au cas
> où ..)
En 2015, sauf en cas de surcout architectural hors de proportion.
> Au final les jeunes CD trouveront le deal des MSP (subventionnées) voire des
> centres salariés super intéressant ^^
A noter qu'il existe de nombreuses "MSP privées" (avec guillemets car elles ne correspondent pas strictement à la définition légale). La raison en est simple : cette forme d'exercice correspond aux aspirations des professionnels, et est conforme aux aspirations des patients. De plus, elle reprend l'ensemble des bonnes pratiques.
Les MSP "publiques-subventionnées" ont pour avantage réel, mais non négligeable, un cout de loyer très bas. L'autre avantage important est une meilleure formalisation des relations professionnelles, donc moins de risque des chamailleries ; il faut dire que le risque était gros avec un cahier des charges light comme il l'était auparavant.
> Bienvenu en France :-)
Tu crois que c'est différent ailleurs ? Le concept MSP n'est pas une invention française ! On l'a copié sur les Nordiques, les Anglais et les Américains. La mutualisation des charges, le confort d'exercice, c'est dans l'air du temps.
Donc, les projets prolifèrent, pas seulement dans les "déserts", mais aussi dans les chefs-lieux de canton et dans les agglomérations. C'est logique, ça se banalise.
10/02/2014 à 17h23
ameli écrivait:
---------------
>
> A noter qu'il existe de nombreuses "MSP privées" (avec guillemets car elles ne
> correspondent pas strictement à la définition légale). La raison en est simple :
> cette forme d'exercice correspond aux aspirations des professionnels, et est
> conforme aux aspirations des patients. De plus, elle reprend l'ensemble des
> bonnes pratiques.
> Les MSP "publiques-subventionnées" ont pour avantage réel, mais non négligeable,
> un cout de loyer très bas.
Faux, aucun chiffre réel pour étayer un oui dire. Non, meme en ZZR, les élus ne font pas de cadeaux aux medicaux qui sont considérés comme des vaches à lait.
autre avantage important est une meilleure
> formalisation des relations professionnelles, donc moins de risque des
> chamailleries ; il faut dire que le risque était gros avec un cahier des charges
> light comme il l'était auparavant.
>
Faux aussi. Tu as des batiments récent qui n'auront pas besoin de gros travaux avant 10 ans sauf connerie de l'architecte et du bureau d'étude qui sont là pour détourner des fonds publiques (les aides communautaires attisent bcps les appétits).
10/02/2014 à 17h39
ameli écrivait:
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> > 3. en soumettant toute nouvelle installation à une autorisation de l'ARS y
> > compris les rachats de cabinet dans toutes les zones
>
> Ce ne sera jamais au programme. On a autre chose à foutre. L'ARS s'occupe
> surtout du sanitaire (hospitalier) et du médico-social. Le premier recours, pour
> l'ARS, c'est les urgences et les territoires prioritaires. Le reste, c'est
> l'indifférence, l'Ordre n'a qu'à le faire si ça l'amuse.
Bien sûr tu as raison, les ARS ne s'occupent pas de ça ..
http://vosdroits.service-public.fr/professionnels-entreprises/F13777.xhtml
CC.