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création ccordination anti ccam/cnsd
17/03/2014 à 16h37
Je suis non syndiqué.
Vu ce qui s'est passé pour l'écotaxe, les taxis, les pigeons, etc,,,,, à chaque fois, le gouvernemnt a fait marche arrière. Pourquoi ne pas passer par-dessus les syndicats?
Brandir la menace d'une absence de remboursement des patients par tous les praticiens peut être porteur! Encore faut-il être nombreux!
ca int"resserait des confrères de créer ça?
17/03/2014 à 18h35
Apparently all the dentists in France are a bit wet behind the ears.
I'm really disappointed by the lack of mobilisation against all of these ridiculous and dangerous things put in place against our profession.
If things get worse then they only have themselves to blame.
17/03/2014 à 21h45
diabolo écrivait:
-----------------
> Brandir la menace d'une absence de remboursement des patients par tous les
> praticiens peut être porteur! Encore faut-il être nombreux!
Bonsoir,
Tous cela est bien , mais peu réalisable. Une telle action passerait par le déconventionnement massif. Mais qui peut se permettre de sortir de la convention?
Je m'explique : une tel action va impliquer une perte substantielle de patients, sans parler le surplus d'explications à apporter.
Une action radicale, oui, mais pas au détriment des patients. La seule chose que cela risque d'apporter, c'est une mauvaise opinion du public, et on connait les préjugés existant. l'utilisateur lambda des systèmes de soins ne comprendra pas pourquoi, de but en blanc, les soins chez son dentistes habituel ne seront plus remboursées. Qui veut se tirer une balle dans le pied en premier?
Si action il y a, elle doit se faire dans le sens des patients. Il faudrait changer les façons de penser. On touche à quelque chose de complexe et de long dans le déroulement. Il est peut probable de modifier l'image d'une profession qui a été forgé par des années de préjugés et de matraquage politico médiatique.
Nos adversaires, ont une bonne longueur d'avance. Je parle des assurances/mutuelles, de certains politiques, qui y trouve un intérêt économique ou d'image personnelle.
Le travail de sape date de bien longtemps, par mithridatisation (s'uilà je voulais le casé depuis mon P1).
Nous nous réveillons trop tard et a agir n'importe comment, nous en payerons les conséquences. La vrai bataille est médiatique.
Notre seul possibilité est de discuter avec nos patients, autant dire une goutte d'eau dans l'océan d'information.
Pour revenir à la sécu, on la déteste est on l'aime. Un amour très vache.
Tout le monde sais que le remboursement des soins favorise le venue des patients.
Pas de remboursement, pas de patient ou très peu. Arrêtons de nous leurrer.
Donc, la CNSD fait pas l'unanimité, mais elle a entamer un mouvement vers la bataille médiatique. On aime, on aime pas ce syndicat, là n'est pas la question, mais il y a une piste. Après on verra ce que ça donne.
En bon Français, je suis lâche et j'oeuvre dans mon petit cabinet. Je n'ai accès qu'à mes patients.
Il vaut mieux manoeuvrer sous couvert de bon sentiments que se plaindre des conditions.
Pour exemple prenons Leclerc qui veut des pharmaciens. Il veut sincèrement diminuer le coup des médicaments, ou prendre sa part du marché des médicaments. Les mutuelles et assurances privées veulent la même chose, plus de bénéfice. Mais a défaut de nouveaux marchés, elles cherchent à contrôler les prix des fournisseurs (de soins) donc en diminuant les dépenses.
Tout est une histoire de discourt.
Faut il augmenter les prix des soins ou permettre l'adoption des technique modernes en prenant en compte leur cout réel?
Faut il augmenté nos revenu ou permettre un meilleur remboursement des patients?
Le verbe est une arme puissante, mais difficile à utilisé sans le droit de publicité.
18/03/2014 à 07h02
Le Rosbif écrivait:
-------------------
> Apparently all the dentists in France are a bit wet behind the ears.
Not all the dentist, this is a bad case of 90% of a profession giving a bad reputation to the 10% which remain.
>
> I'm really disappointed by the lack of mobilisation against all of these
> ridiculous and dangerous things put in place against our profession.
That is because you are a new comer here (like me when I start working in France naively thinking that my position was assured), after two more year you will not be disappointed anymore but just used to it.
>
> If things get worse then they only have themselves to blame.
Thing is they will not understand that the thing are becoming worse immediately. See the situation like this
- the student and the young dentist, not knowing what it mean to open a practice in France (especially if working with a dentist close to retirement) thinks that they have a good position.
- The one with more than 20 years of practice, have paid all their debt and are use to the situation. Meaning that their method of work are adapted to the French situation to some extent (asking more than the normal price, doing ortho or implant, doing lot of endo + crown)
- The one who just invest in their private practice are more or less F*** . Selling the practice is almost impossible nowadays, so they have to work very hard for paying the credit and cannot stop. They are the least happy of the three but also the hardest to mobilize. Hard to protest and go on strike when you are in debt.
--
หมอจัดฟัน
18/03/2014 à 10h02
Le Rosbif écrivait:
-------------------
> Apparently all the dentists in France are a bit wet behind the ears.
>
> I'm really disappointed by the lack of mobilisation against all of these
> ridiculous and dangerous things put in place against our profession.
>
> If things get worse then they only have themselves to blame.
A very good analysis.
18/03/2014 à 10h10
betalibe écrivait:
------------------
> Commence par te syndiquer, ça sert à cela.
Oui, le syndicat signe à ta place, Mouarf !-))
18/03/2014 à 10h21
BasArtDentaire écrivait:
------------------------
> Pour revenir à la sécu, on la déteste est on l'aime. Un amour très vache.
> Tout le monde sais que le remboursement des soins favorise le venue des
> patients.
> Pas de remboursement, pas de patient ou très peu. Arrêtons de nous leurrer.
Je sais pas moi, mais ma voiture , mon iphone eux n'ont pas été remboursés. Le souci c'est qu'on subit un mariage forcé avec le monopole sécu, si tu appelles ca de l'amour....
> Tout est une histoire de discourt.
> Faut il augmenter les prix des soins ou permettre l'adoption des technique
> modernes en prenant en compte leur cout réel?
> Faut il augmenté nos revenu ou permettre un meilleur remboursement des patients?
Faut il faire un amalgame au pouce ou un composite sous digue ? Faut il faire une peinture canalaire dans la salive ou une obturation au système B sous digue ? Faut il avoir une sté de merde avec des instruments en vrac dans les tiroirs ou des séquences instrumentales sous papier crèpé ?
Tu fais un audit des cabinets et tu vas avoir des surprises et mettre à jour les conséquences de ces remboursements de merde !
18/03/2014 à 12h14
chicot29 écrivait:
------------------
> betalibe écrivait:
> ------------------
> > Commence par te syndiquer, ça sert à cela.
>
> Oui, le syndicat signe à ta place, Mouarf !-))
rien ne t'empêche d'être LE PRESIDENT de ce syndicat pour ne pas laisser qq1 décider à ta place
18/03/2014 à 15h14
BasArtDentaire écrivait:
------------------------
> diabolo écrivait:
> -----------------
>
> > Brandir la menace d'une absence de remboursement des patients par tous les
> > praticiens peut être porteur! Encore faut-il être nombreux!
>
> Bonsoir,
> Tous cela est bien , mais peu réalisable. Une telle action passerait par le
> déconventionnement massif. Mais qui peut se permettre de sortir de la
> convention?
>
> Je m'explique : une tel action va impliquer une perte substantielle de patients,
> sans parler le surplus d'explications à apporter.
>
> Une action radicale, oui, mais pas au détriment des patients. La seule chose que
> cela risque d'apporter, c'est une mauvaise opinion du public, et on connait les
> préjugés existant. l'utilisateur lambda des systèmes de soins ne comprendra pas
> pourquoi, de but en blanc, les soins chez son dentistes habituel ne seront plus
> remboursées. Qui veut se tirer une balle dans le pied en premier?
>
> Si action il y a, elle doit se faire dans le sens des patients. Il faudrait
> changer les façons de penser. On touche à quelque chose de complexe et de long
> dans le déroulement. Il est peut probable de modifier l'image d'une profession
> qui a été forgé par des années de préjugés et de matraquage politico médiatique.
>
> Nos adversaires, ont une bonne longueur d'avance. Je parle des
> assurances/mutuelles, de certains politiques, qui y trouve un intérêt économique
> ou d'image personnelle.
> Le travail de sape date de bien longtemps, par mithridatisation (s'uilà je
> voulais le casé depuis mon P1).
> Nous nous réveillons trop tard et a agir n'importe comment, nous en payerons les
> conséquences. La vrai bataille est médiatique.
> Notre seul possibilité est de discuter avec nos patients, autant dire une goutte
> d'eau dans l'océan d'information.
>
> Pour revenir à la sécu, on la déteste est on l'aime. Un amour très vache.
> Tout le monde sais que le remboursement des soins favorise le venue des
> patients.
> Pas de remboursement, pas de patient ou très peu. Arrêtons de nous leurrer.
>
> Donc, la CNSD fait pas l'unanimité, mais elle a entamer un mouvement vers la
> bataille médiatique. On aime, on aime pas ce syndicat, là n'est pas la question,
> mais il y a une piste. Après on verra ce que ça donne.
> En bon Français, je suis lâche et j'oeuvre dans mon petit cabinet. Je n'ai accès
> qu'à mes patients.
>
> Il vaut mieux manoeuvrer sous couvert de bon sentiments que se plaindre des
> conditions.
> Pour exemple prenons Leclerc qui veut des pharmaciens. Il veut sincèrement
> diminuer le coup des médicaments, ou prendre sa part du marché des médicaments.
> Les mutuelles et assurances privées veulent la même chose, plus de bénéfice.
> Mais a défaut de nouveaux marchés, elles cherchent à contrôler les prix des
> fournisseurs (de soins) donc en diminuant les dépenses.
>
> Tout est une histoire de discourt.
> Faut il augmenter les prix des soins ou permettre l'adoption des technique
> modernes en prenant en compte leur cout réel?
> Faut il augmenté nos revenu ou permettre un meilleur remboursement des patients?
>
> Le verbe est une arme puissante, mais difficile à utilisé sans le droit de
> publicité.
Voir ici:
http://www.eugenol.com/sujets/404742-deconventionnement-un-modele-de-l-angleterre
18/03/2014 à 17h31
chicot29 écrivait:
------------------
> Je sais pas moi, mais ma voiture , mon iphone eux n'ont pas été remboursés. Le
> souci c'est qu'on subit un mariage forcé avec le monopole sécu, si tu appelles
> ca de l'amour....
>
C'est plutôt un truc à 3.
Et pour l'Iphone Apple ne demande pas une cotisation.
>
> > Tout est une histoire de discourt.
> > Faut il augmenter les prix des soins ou permettre l'adoption des technique
> > modernes en prenant en compte leur cout réel?
> > Faut il augmenté nos revenu ou permettre un meilleur remboursement des
> patients?
>
> Faut il faire un amalgame au pouce ou un composite sous digue ? Faut il faire
> une peinture canalaire dans la salive ou une obturation au système B sous digue
> ? Faut il avoir une sté de merde avec des instruments en vrac dans les tiroirs
> ou des séquences instrumentales sous papier crèpé ?
On est d'accord sur ce point.
> Tu fais un audit des cabinets et tu vas avoir des surprises et mettre à jour les conséquences de ces remboursements de merde !
J'expliquerais bien ce que j'ai vu dans certaines collab et rempla, mais ça va pas être très confraternel.
Je ne vie pas dans un nuage. J'exprime une idée, en se plaignant, on n'attirera que le mépris. Il faut faire dans le constructif.
A ce sujet, je prendrais le temps de lire le post de Le Rosbif ce soir (en compagnie de google translate Lol).