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lynchage programmé
17/07/2014 à 14h32
C'est sur que tu vas très loin avec un livret A plafonné à 29 950 euros et qu'on vit très bien sur les intérets du capital de 299,5 par an.
Un retraité qui touche une retraite par répartition de 1000 euros par mois devrait etre limite imposé à l'isf en effet ca équivaut à 1 200 000 euros placés à 1 %. C'est une honte et une discrimination envers ceux qui se constituent une retraite par capitalisation ( sur des supports non collectivistes avec un rendement largement supérieur à 1 %, bizarre non ? )
M'enfin la sécurité d' un placement garanti par l'état n'a pas de prix !-))))))
17/07/2014 à 14h58
Toujours le même argument idiot : "ils facturent une couronne X euros alors qu'ils l'achètent X euros au prothésiste". C'est pourtant facile à démontrer que c'est une aberration.
Le montant facturé correspond à des honoraires qui correspondent à un certain nombre d'heures de travail (et oui on fait un acte médical, on ne revend pas une prothèse tel un vendeur de vêtements).
Si on suit leur raisonnement, certaines professions libérales qui n'achètent rien à une tierce personne pour exercer leur activité (a l'inverse de nous) devraient travailler gratuitement. Par exemple, un notaire ou un avocat reçoivent plusieurs milliers d'euros d'honoraires alors que pour s'occuper de leurs clients ils n'ont acheté que du papier et de l'encre qui coûtent quelques centimes et imprimer des feuilles, quelle honte, quelle bande d'escrocs.
Tout ça n'est pas sérieux. Ça devrait pouvoir s'expliquer.
Quand aux 92 000 euros de revenus qu'on nous sert a chaque fois et qui nous cause du tort, il faudrait séparer dans les statistiques les revenus des spécialistes (implanto, ortho...) et les revenus des autres. C'est comme si on disait qu'un medecin généraliste, parce qu'il est medecin tout comme un radiologue gagne 200 000 euros et que donc il n'est pas nécessaire de relever le tarif de la consultation.
17/07/2014 à 15h17
chicot29 écrivait:
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j'ai 50 000 euros de recettes de moins que l'année dernière, mon compte pro est à - 1500 ( au lieu de + 35 000) et ce avant les vacances je vais donc faire un virement de 35 000 euros pour le remettre à flot, pour le retrouver à 0 en rentrant.
tu es fou d'écrire ça.
tracfin lit "eugénol" et va faire une note de service à bercy!
plus sérieux et pour revenir à la presse
la rumeur,surtout quand c'est de la désinformation ,laisse toujours une trace indélébile.
autre paradoxe ,les sondages de rue généralistes sur nos revenus nous sont toujours défavorables mais les sondages un peu + précis sur l’estime de nos patients nous sont favorables souvent à 80 %
va comprendre charles!
peut-être que notre défense serait de jeter en pâture la liste des avantages des politiques et celle des journaleux ,revenus à l'appui,voire même un tableau simple comparatif.
je propose mon aide
17/07/2014 à 16h27
Il y a dans cet article 2 parties: l'une traitant de l'opération "un jour un sourire", l'autre nous tapant dessus comme d'habitude, et c'est là qu'il y a confusion des genres, puisque ces 2 parties n'ont strictement rien à faire ensemble!
Je connais personnellement Jean-Louis Zadikian puisqu'il m'a formé à l'implanto et son opération "un jour un sourire" est une journée caritative réalisée en partenariat avec les rests coeur. Les implants, les biomat, le matos sont fournis par les partenaires de l'opération, les poseurs sont les dentistes suivant le cursus de l'AFOPI. Là-dessus, je ne vois pas grand chose à redire.
Sur la 2ème partie, c'est la désinformation habituelle des journaleux, en aucun cas des propos que l'on peut prêter à Jean-Louis.
17/07/2014 à 16h28
riccyman écrivait:
------------------
> @CRAIG: quand dans 20 ans les mecs se diront: "nous payons la faiblesse et la
> compromission de nos anciens ( en parlant de nous ) qui ont pas été foutu de se
> protéger de la CCAM et de la voracité des financiers".
>
Dans vingt ans ils ne parleront plus cette langue t’inquiètes!
17/07/2014 à 16h38
CRAIG écrivait:
---------------
> vmdeugénol écrivait:
> --------------------
> > Pour info on ne leur a jamais demandé leur avis aux ainés et dans les années 60......
> > Il faut bien se renseigner avant de chercher des boucs émissaires.
> On va mettre un nom sur ton bouc émissaire : CNSD?.....
riccyman écrivait:
------------------
> @CRAIG: quand dans 20 ans les mecs se diront: "nous payons la faiblesse et la compromission de nos anciens ( en parlant de nous ) qui ont pas été foutu de se protéger de la CCAM et de la voracité des financiers".
ha bin c'est encore les mêmes
CSND looser forever
17/07/2014 à 16h56
non, non zapa dit pas c'est la faute à la cnsd
ze crois plutôt que c'est une stratégie cousue au fil à saucisson.
1 tu annonces aux cochons que tu va réduire leur portion de nourriture de façon règlementaire, irréversible mais juste.
2 tous les cochons qui sont allés à l'école tremblent et grognent
3 tu rectifies un peu plus tard en accordant une ration de lentilles supplémentaire
4 les cochons se rassurent
5 et tu les finis bien en saucisson
17/07/2014 à 18h37
Rien ne va plus chez M6. Télérama et Le Canard enchaîné révèlent que la chaîne connaît une grave crise interne. Sur fond de restrictions budgétaires, les salariés se sentent sous pression : les démissions se multiplient tout comme les arrêts maladie. Parallèlement à cette gestion contestée du personnel, des reportages de Capital et Zone interdite auraient été caviardés pour préserver des annonceurs.
L'heure est aux économies sur M6. Selon Le Canard enchaîné, la chaîne fait de plus en plus appel à des boîtes de production extérieures pour ses reportages. Quitte parfois à frôler le hors piste. Exemple avec le dernier numéro de Capital, diffusé dimanche 13 juillet et consacré à "la beauté et à la sensualité". Au sommaire de cette émission figurait notamment un reportage sur les déodorants. Il s'agissait d'une "enquête sur les dessous des aisselles", un "business énorme" que se partagent "les géants (Unilever, L'Oréal) et les petits artisans", explique M6 sur son site. "Quelles sont les dernières innovations ? Et comment sont testés les nouveaux déodorants de l'été ?" : le reportage était censé répondre à toutes ces questions. Censé, car il n'a pas été diffusé.
L'été sera chaud
Et c'est Le Canard enchaîné qui explique les raisons de cette déprogrammation : le reportage "avait été concocté par Marzab, une boîte de production par ailleurs en affaire avec... Unilever, pour lequel elle réalise des films institutionnels". Autrement-dit, "la chaîne a confié à une société payée pour faire la promo d'un industriel le soin d'enquêter sur cet industriel".
En déprogrammant à la dernière minute ce reportage, M6 a évité, cette fois-ci, la sortie de route de justesse. Car ce n'est pas la première fois qu'un tel cas de figure ce produit. Le 9 mars, Capital avait diffusé un reportage très favorable au Qatar et au prince Abdullah al-Tani. Or, la journaliste qui avait réalisé le sujet, pour le compte d'une boîte de production externe, était une intime du prince avec laquelle elle est associée dans une société immobilière. Deux accusations de complaisance qui ne sont pas des cas isolés chez M6.
DES MARQUES FLOUTÉES POUR CHOYER LES ANNONCEURS
D'après Le Canard, un troisième reportage de Capital a posé problème : l'enquête sur le poulet, diffusée le 6 avril. Pour ménager McDonald (l'un des annonceurs de la chaîne), une séquence montrant que la chaîne de restauration rapide utilisait de plus en plus de poulet brésilien au détriment de producteurs français, a été trappée.
D'autres marques ont également été ménagées dans ce reportage sur le poulet : dans une première version, le sujet de M6 expliquait que certaines marques comme Herta, Crusti Frais, Casino, Leclerc et Dia, ne mentionnaient pas la présence de "viande séparée mécaniquement" (un poulet low-cost élaboré avec des résidus de cartilage) dans la confection de cordons bleus et de saucisses. Problème : toutes ces marques sont aussi des annonceurs sur M6. Selon Le Canard, le jour du montage du sujet, ordre a donc été donné de flouter les logos sur les produits. A l'antenne, Herta et cie...
picto sont ainsi devenus "les marques"
UN "ÉDITORIAL DE PLUS EN PLUS CHEAP"
Dans un contexte de crise des recettes publicitaires, M6 a donc décidé de choyer ses marques. Mais pas ses salariés, à en croire une enquête de Télérama. "Arrêts maladie, burn-out, départs en cascade... dans les couloirs de Neuilly-sur-Seine, les indicateurs psycho-sociaux – comme on dit – virent au rouge. Le médecin du travail, en moins d’un an de présence, a signé deux inaptitudes « pour danger immédiat » pour deux salariés en situation de souffrance aigüe", explique l'hebdo. L'ancien médecin du travail lui-même avait démissionné.
Comment expliquer une telle crise ? Face à des problèmes de recettes et une baisse d'audience, M6 "a resserré les boulons", assure Télérama : "départs non remplacés, rythmes de tournage intensifiés, équipes réduites, objectifs des commerciaux renforcés", au point que "des personnes occupent deux, voire trois postes". Du coup, certains craquent. Un directeur de la rédaction de M6, une rédactrice en chef adjointe de Capital, et une reporter ont démissionné. La fusion des rédactions de tous les magazines (Zone interdite, Capital ou 100% mag) a été contre-productive : des sujets de société sont traités par des journalistes éco et inversement. Interrogés par l'hebdomadaire, plusieurs journalistes déplorent une "perte des repères et de l’intérêt du travail", un "éditorial de plus en plus cheap" et la gestion jugée trop "brutale" d'une direction qui demanderait régulièrement aux journalistes d'"arrêter de se branler la nouille".
Enquête de Télérama
Même la nouvelle médecin du travail, qui soutient les salariés en difficulté, ferait l'objet de pressions de la chaîne : la direction des RH aurait envoyé une lettre pour se plaindre de son travail auprès de la société qui l'emploie. Car tous les dossiers litigieux commencent à s'accumuler : les procédures aux Prud'hommes se multiplient, la chaîne fait l'objet de plusieurs enquêtes de l'inspection du travail, de la sécurité sociale et même du parquet de Paris, à la suite d'une plainte pour harcèlement moral d'une ancienne journaliste de Zone interdite.
Du côté de la direction, on minimise ces crises en citant une enquête de juillet 2013 qui montre un taux de satisfaction de 63% des salariés, en hausse par rapport à l'année précédente. "Une enquête faite en plein été, quand la plupart des journalistes sont en vacances, et où les salariés devaient répondre en ligne, de leur ordinateur", relève Télérama, qui cite un salarié : "Vu le climat, on a été pas mal à répondre “bien”, parce qu'on se méfiait sur la réalité de l'anonymat de nos réponses". Ambiance...
http://www.arretsurimages.net/articles/2014-07-16/Reportages-caviardes-tensions-sociales-bienvenue-a-M6-id6916