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dentiste portugais
04/05/2015 à 16h15
bon , pour faire rapido, j'ai besoin d'un collaborateur, j'ai déjà eu une collaboratrice roumaine, et bien malgré moi elle a fait apparaître chez moi le vilain réflexe de mettre tout le monde dans le même sac, mais voilà, il me faut quelqu'un.
je reçois une réponse d'un jeune praticien portugais.
que vaut le niveau des praticiens portugais??
(désolé par avance pour les confrères portugais qui ne doivent pas se vexer de ce post, mais ma précédent expérience a vraiment été négative)
merci par avance
04/05/2015 à 16h32
Comme pour les Espagnoles et bientot les Français. Ca dépend ou il/elle a fait ses études.
Fac publique à priori tu peut faire confiance, écoles privée passe ton chemin.
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หมอจัดฟัน
04/05/2015 à 18h32
Niveau et professionnalisme extrêmement variables, comme pour tout.
Ceci dit, la majorité des jeunes praticiens espagnols et portugais qui s'expatrient viennent de facs privées.
Critère incontournable: le niveau en français. S'il n'est pas impeccable, à écarter. La communication, c'est très important.
Après, quand au niveau clinique ... il ne faut pas s'attendre à ce qu'un jeune praticien, étranger de surcroît, soit au top tout de suite. Compagnonnage plus que nécessaire (pour remise à niveau clinique mais aussi administratif), s'il ne semble pas réceptif à une profonde remise en question, à écarter aussi.
Egalement à considérer: le plan de carrière. S'il compte faire de l'omnipratique, c'est moins risqué car il va chercher à s'améliorer dans tous les domaines et sera plus réceptif. S'il compte faire une spé ("je veux faire ortho dans 2-3 ans"), il risque de négliger quelques fondamentaux qu'il n'aura pas pu acquérir chez lui (urgences, gamins, endos...) et ça peut provoquer des catas.
04/05/2015 à 18h53
dentino écrivait:
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> Niveau et professionnalisme extrêmement variables, comme pour tout.
> Ceci dit, la majorité des jeunes praticiens espagnols et portugais qui
> s'expatrient viennent de facs privées.
Faux quasie tout les étudiants issue de la fac publique s'expatrie c'est juste que vue 'il y a un dentiste publique formé pour 3 privée tu as plus de chance sur un du privée.
> Critère incontournable: le niveau en français. S'il n'est pas impeccable, à
> écarter. La communication, c'est très important.
Encore faux :-)
> Après, quand au niveau clinique ... il ne faut pas s'attendre à ce qu'un jeune
> praticien, étranger de surcroît, soit au top tout de suite.
Compagnonnage plus
> que nécessaire (pour remise à niveau clinique mais aussi administratif), s'il ne
> semble pas réceptif à une profonde remise en question, à écarter aussi.
Problèmé avec une école privée : formation théorique faible, formation pratique quasie inexistante, déjà c'est un handicape. Le second c'est que pour l'instant tout les dentiste Français issue de formation privée sont persuadé que leur formations est meilleur que la notre.
Comme attendue les commerciaux ont bien fait leur boulot.
Quand tu discute avec eux et demande plus de précision sur leur formation (qualification des prof, nombre d'heure clinique, ect ) un grand silence ce fait.
Juste pour dire que je doute que tu trouve un dentiste issue d'une formation privée plus maléable qu'un sortie de la fac.
L'on peu raller autant que l'on veut sur les fac qui ne forment pas au vrais boulot de libéral mais il n'empéche que c'est la que tu apprend les bases utilisé ensuite dans le libéral.
> Egalement à considérer: le plan de carrière. S'il compte faire de
> l'omnipratique, c'est moins risqué car il va chercher à s'améliorer dans tous
> les domaines et sera plus réceptif. S'il compte faire une spé ("je veux faire
> ortho dans 2-3 ans"), il risque de négliger quelques fondamentaux qu'il n'aura
> pas pu acquérir chez lui (urgences, gamins, endos...) et ça peut provoquer des
> catas.
Et comment il compte faire une spé exactement ?
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หมอจัดฟัน
04/05/2015 à 19h03
Il ne faut pas oublier qu'il y a des fac publiques en Europe qui ont des sections communes avec des formations privées.
L'école dentaire Bulgare en surprendrait plus d'un j'étais chez eux il y a qq jours et franchement ils ont un niveau à faire pâlir pas mal de fac françaises.
05/05/2015 à 05h50
vmdeugénol écrivait:
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> Il ne faut pas oublier qu'il y a des fac publiques en Europe qui ont des
> sections communes avec des formations privées.
> L'école dentaire Bulgare en surprendrait plus d'un j'étais chez eux il y a qq
> jours et franchement ils ont un niveau à faire pâlir pas mal de fac françaises.
Exact, les fac thaïlandais font aussi passer les fac Française pour des dispensaire Africain ( non non je n’exagère pas). Le truc c'est que dans ce cas le but n'est pas de formé pléthore d'étudiants pour engrangé du fric mais de formé des professionnel médicaux pour répondre a une demande local. Ses institutions ont pour seul et unique but de répondre a un problème de santé publique
Les formations privée Espagnol et Portugaise ne sont pas dans cette logique, elles forment en masse sans se soucier du niveau des étudiants a là fin de la dite formation.
Je rappelle pour ceux qui n'ont pas suivie que Pessoa France à inscrit sans ciller des non bachelier ( et loupé le bac à notre époque .... ) et sans sourciller non plus ne vois pas de problème a formé des orthophoniste Français ayant pour but de travailler en France (c'est pour ça qu'ils se sont incrit a Pessoa France à la base) avec des patients Portugais.
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หมอจัดฟัน
05/05/2015 à 11h59
seespan écrivait:
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> > Critère incontournable: le niveau en français. S'il n'est pas impeccable, à
> > écarter. La communication, c'est très important.
>
> Encore faux :-)
Développe :-)
Comment peux-tu obtenir le consentement éclairé du patient si tu ne maîtrise pas parfaitement la langue...
>
> Problèmé avec une école privée : formation théorique faible, formation pratique
> quasie inexistante, déjà c'est un handicape.
Ca ne contredit pas ce que j'ai écrit: si tu te sens capable de chaperonner le jeune praticien en question pour combler ses lacunes et l'amener à un niveau convenable, tu peux en prendre un... à condition qu'il soit réceptif, consciencieux et pas trop lent à la détente.
Ca demande beaucoup de temps et d'énergie, mais quand on désespère de trouver quelqu'un...
Le second c'est que pour l'instant
> tout les dentiste Français issue de formation privée sont persuadé que leur
> formations est meilleur que la notre.
Hors-sujet :-)
> Juste pour dire que je doute que tu trouve un dentiste issue d'une formation
> privée plus maléable qu'un sortie de la fac.
L'adaptabilité est plus affaire de personnalité que de formation.
Un jeune praticien issu d'une fac française aura un bagage plus adapté mais il en existe qui sont butés aussi et n'aiment pas les critiques.
>
>
> Et comment il compte faire une spé exactement ?
>
Il s'inscrit à un DU, voire à une formation privée. Il ne prend pas le titre de spécialiste mais oriente son exercice vers l'exclusivité. Comme beaucoup de praticiens français.
A ceci près qu'il garde les lacunes de sa formation initiale mais surtout n'a aucune envie de les combler (ce qui est le comble de la suffisance, alors qu'on est incompétent)
05/05/2015 à 17h03
dentino écrivait:
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>
> Développe :-)
Mon expérience d'expatrié en tant qu'étudiant à la fac et dans le privé me permet de dire que maîtrise la langue national à un niveau plus que basique n'est pas nécessaire.
Of course si tu travailles pour quelqu'un d'autre avec une assistante qui fait les traductions.
Si tu veux travailler seul bien entendus qu'il te faut une maîtrise minimum.
> Comment peux-tu obtenir le consentement éclairé du patient si tu ne maîtrise pas
> parfaitement la langue...
Traductions par une assistante, elles connaissent générallement très bien les différentes situations.
>
> >
> > Problèmé avec une école privée : formation théorique faible, formation
> pratique
> > quasie inexistante, déjà c'est un handicape.
>
> Ca ne contredit pas ce que j'ai écrit: si tu te sens capable de chaperonner le
> jeune praticien en question pour combler ses lacunes et l'amener à un niveau
> convenable, tu peux en prendre un... à condition qu'il soit réceptif,
> consciencieux et pas trop lent à la détente.
Oui le problème Dentino c'est qu'un jeune conscienceux et réceptif ne se serait jamais fourvoyer dans ce type de formation. Prend aussi conscient du faite qu'ils n'auront non plus jamais vraiment appris a apprendre.
> Ca demande beaucoup de temps et d'énergie, mais quand on désespère de trouver
> quelqu'un...
>
>
> Le second c'est que pour l'instant
> > tout les dentiste Français issue de formation privée sont persuadé que leur
> > formations est meilleur que la notre.
>
> Hors-sujet :-)
Ben si justement, il ne faut pas creuser longtemps pour s'appercevoir que les formations en question sont minables, passer 5 ans ladedans en restant persuadé que tu as une formation d'élite ça demande un certaine non ouverture d'esprit.
>
> > Juste pour dire que je doute que tu trouve un dentiste issue d'une formation
> > privée plus maléable qu'un sortie de la fac.
>
> L'adaptabilité est plus affaire de personnalité que de formation.
> Un jeune praticien issu d'une fac française aura un bagage plus adapté mais il
> en existe qui sont butés aussi et n'aiment pas les critiques.
Bonne chance pour trouvé un jeune ouvert d'esprit et près a se former tout en ayant accepté de se lancer dans ce type de formation.
> >
> > Et comment il compte faire une spé exactement ?
> >
>
> Il s'inscrit à un DU, voire à une formation privée. Il ne prend pas le titre de
> spécialiste mais oriente son exercice vers l'exclusivité. Comme beaucoup de
> praticiens français.
> A ceci près qu'il garde les lacunes de sa formation initiale mais surtout n'a
> aucune envie de les combler (ce qui est le comble de la suffisance, alors qu'on
> est incompétent)
la pour le coup je dirais que ça saurait plutot logique. Si leur formation initial est nulle, il est plus simple de se former correctement dans une seul truc que dans tout. Par contre pour intégrer un DU je leur souhaite bonne chance.
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หมอจัดฟัน