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Assistante dentaire diplômée ou pas ?
18/07/2015 à 22h23
Bonjour,
Une petite question pour ceux qui voudront bien me répondre : une assistante dentaire peut-elle exercer sans être qualifiée ?
Peut-elle exercer ce métier sans être en formation de préparation au diplôme ? (En l'occurence, employée dans un centre mutualiste).
Peut-elle être déclarée en tant qu'assistante dentaire ?
Et si oui, pendant combien de temps ?
Merci par avance.
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Maroushka
20/07/2015 à 20h01
rat écrivait:
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> dans ce cas, déclarée "Aide dentaire"
Non plus !!!
Aide dentaire dépend aussi d'un diplôme, celui d'"aide dentaire" justement. C'est sensiblement le même que celui d'assistante dentaire (seuls les modules concernant le travail clinique n'ont pas été suivis et validés).
Il n'y a aucun moyen légal de faire faire la sté à quelqu'un qui n'est pas assistante dentaire ou aide dentaire (diplômée ou en formation), ou dentiste éventuellement... ;-)
Ensuite à vos risques et périls s'il y a un contrôle (pas une grande probabilité) ou un accident du travail (ça, personne ne peut l'exclure...)
20/07/2015 à 22h37
Merci pour cette réponse. Cela confirme ce que je croyais savoir, et que certain dentiste me conteste.
Cordialement,
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Maroushka
21/07/2015 à 10h03
murielle écrivait:
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>
> Ensuite à vos risques et périls s'il y a un contrôle (pas une grande
> probabilité) ou un accident du travail (ça, personne ne peut l'exclure...)
>
C'est vrai que le diplome protège du controle, mais pas de l'accident du travail ! -))))
On faisait comment avant ?
22/07/2015 à 19h12
En effet, mais question législation, je voulais en avoir le coeur net.
Et tout de même, un diplôme est un gage de connaissances acquises, et minimise les risques d'accidents du travail. Du moins en théorie.
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Maroushka
23/07/2015 à 00h19
Effectivement, le diplôme ne protège pas de l'accident du travail. Mais si jamais il survient sur un personnel non diplômé et donc non autorisé, alors, c'est sur vos propres deniers que vous risquez de verser pendant longtemps des indemnités...
Ennuis juridiques et financiers en plus des problèmes moraux que peut poser une telle situation à ceux qui ne sont pas dépourvus de conscience.
Le "comment on faisait avant?" est complètement hors de propos. On ne vit plus il y a 30 ans, mais bien aujourd'hui dans un monde où la question des responsabilités se pose au moindre pépin.
Encore une fois: à vos risques et périls!!!
De mon côté, je refuse de prendre celui-ci en plus des risques (légaux ceux-ci) inhérents à notre profession et que nous assumons au quotidien.