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Cas clinique de chirurgie guidée et mise en charge immédiate
15/01/2023 à 07h52
Sérieusement, si cela ne rentre pas a quelques 10 ème , ça casse. J'ai déja eu un bridge zircone cassé qui descendait nickel sur un modèle validé par une clef en plâtre .
Qu'il resserre a 3 ou 4 jours, je ne vois pas le problème. Aucune conséquence sur l'ostéo-intégration. ( on pourrais aussi discuter la la variation dimentionnelle lors de la prise de la résine qui colle les piliers , mais je ne vois pas l'interet ).
Enfin, tu pollue un peu ton post en posant ici ces réflexions qui ont déjà été argumenté sur l'autre sujet.
15/01/2023 à 08h35
jeff écrivait:
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> Sérieusement, si cela ne rentre pas a quelques 10 ème , ça casse. J'ai déja eu
> un bridge zircone cassé qui descendait nickel sur un modèle validé par une clef
> en plâtre .
> Qu'il resserre a 3 ou 4 jours, je ne vois pas le problème. Aucune conséquence
> sur l'ostéo-intégration. ( on pourrais aussi discuter la la variation
> dimentionnelle lors de la prise de la résine qui colle les piliers , mais je ne
> vois pas l'interet ).
> Enfin, tu pollue un peu ton post en posant ici ces réflexions qui ont déjà été
> argumenté sur l'autre sujet.
Tu n’as pas compris sa réponse….
C’est une manière de te dire que ce que tu lui demandes d’expliquer est fondamental, alors que tu as été prêt à claquer plusieurs milliers d’€ pour vérifier ce que tout le monde sait déjà….
Un bridge transvissé n’est pas passif…..à partir du moment où tu as un vissage, tu as une contrainte (le vissage) et donc la passivité n’existe plus
La technique que tu as vu l’est encore moins puisque ce praticien systématise dans son protocole un second vissage à quelques jours ce qui prouve que l’adaptation n’est pas parfaite au point d’être obligé de remettre sous tension au bout de quelques jours…
16/01/2023 à 06h41
pluton écrivait:
> Tu n’as pas compris sa réponse….
> C’est une manière de te dire que ce que tu lui demandes d’expliquer est
> fondamental, alors que tu as été prêt à claquer plusieurs milliers d’€ pour
> vérifier ce que tout le monde sait déjà….
> Un bridge transvissé n’est pas passif…..à partir du moment où tu as un vissage,
> tu as une contrainte (le vissage) et donc la passivité n’existe plus
> La technique que tu as vu l’est encore moins puisque ce praticien systématise
> dans son protocole un second vissage à quelques jours ce qui prouve que
> l’adaptation n’est pas parfaite au point d’être obligé de remettre sous tension
> au bout de quelques jours…
Je suis d'accord.
Mais sa technique permets quand même de mettre un bridge zircone définitif direct post op. En fait, on s'en fout complétement de remettre un coup de clef au contrôle a J+4.
C'est donc très intéressant.
Ce qui était intéressant également, puisque Posit allait décrire tout son processus, c'était de savoir comment il passe de son projet numérique au bridge provisoire. Mais on ne le saura pas...
17/01/2023 à 10h30
jeff écrivait:
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...
> Enfin, tu pollue un peu ton post en posant ici ces réflexions qui ont déjà été
> argumenté sur l'autre sujet.
Je me demande jusqu'où tu es en mesure d'aller ?
18/01/2023 à 07h35
Jeff,
dans ce post je présente depuis 2016 une technique qui a maintenant plus de 15 années de recul. Cela consiste à placer dans une seule séance des implants, souvent en post extraction et un bridge immédiat avec une armature métal rigide. Je n'ai jamais fait l'impasse de fabriquer un guide métallique stérilisable pour livrer du matériel stérilisable et une armature rigide pour que le bridge fonctionne en fixateur externe pour les implants. Tous les clients qui m'ont commandé le matériel ont fixé le bridge en fin d'intervention.
Depuis que j'ai démarré ce nouveau cas il y a eu 920 vues. Généralement chaque cas fait 4 000 vues et ce depuis 2016. Les eugenoliens savent ce qu'ils vont trouver dans ce post et ne m'ont jamais demander comment ils pouvaient fabriquer le bridge. Le sujet attire toujours des visites avec une fréquentation plus importante que la moyenne de publication.
Au même moment que tu fait ta demande, tu publies cela dans un autre sujet que j'ai lancer il y a quelques temps :
jeff écrivait
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"... Je travaille donc également en "analogique" : impression du modèle osseux, mise en place du guide métal , pose d'analogue selon le guide, scan avec la medit des positons des implants, retour meshmixer pour modéliser la connectique . Le bridge est ensuite imprimé pour une mise en place direct, sans collage de pilier prov en bouche . Cela prends plus de temps au final que de coller les piliers en bouche, mais c'est pour le chalenge. J'imprime de toute façon deux bridges, dont un évidé pour coller les piliers si le bridge fait en amont ne va pas."
Tu as dépensé environ 4 000 € et quelques journée de travail pour au final fabriquer un bridge dont tu n'as pas confiance.
18/01/2023 à 08h06
posit écrivait:
> Tu as dépensé environ 4 000 € et quelques journée de travail pour au final
> fabriquer un bridge dont tu n'as pas confiance.
>
En fait, quel rapport avec ma question sur ton passage du projet numerique a ton bridge provisoire ?
Tu proposes de détailler tes étape de conception, et je trouve cela tres interessant. ( c'est un forum : échange et partage ).
Si personne ne ta rien demandé sur ton prov, c'est soit par manque de curiosité, soit parce qu'ils ne regardent pas ( comme toi :) ) les détails.
en effet, il y a toujours des petites différences d'anatomie des dents entre tes projets numériques et tes bridges provisoires.
( aucune critique néagtive, c'est juste un constat ).
Et au vue de la conception de tes bridges avec armature métal, je ne vois pas comment cela serait possible de rester en full numérique .
D'ou ma question ,purement intellectuelle.
Absolument pas pour savoir le faire, je ne suis pas prothésiste et j'ai deja personnellement développer une technique pour être en full numérique avec une armature métal.
en fait, je pense que tu dois imprimer le modèle du projet numérique, faire des clefs en silicone, reporté cela sur ton modèle avec tes cylindres ( qui te servent avec faire tes guides, je ne sais plus comment tu les appelles ) et faire ensuite ton armature coulée, puis le montage de tes dents en resine avec les clefs.
Si tu ne veux pas préciser comment tu fait , c'est ton droit, pas de soucis.
Mais alors , tu peut répondre simplement que cela reste ton petit secret de fabriquant.
Sincèrement, je ne vois pas en quoi mes dépenses de formation t'intéresse.
Et si tu lis bien mes post, tu saura que je n'ai pas confiance dans la fabrication moi même du provisoire fait a l'avance.
En n'étant pas full numérique , je rajoute de l'incertitude dans la réalisation du bridge.
Sinon, les deux bridges pmma de la bi-max que j'ai posté, qui m'on été livré, sont descendu nickel.
18/01/2023 à 08h30
Lorsque tu veux travailler sérieusement comme l'a fait Jean KOSKIEVIC tu consignes rigoureusement les résultats que tu obtiens. Après un nombre significatif tu peux ainsi faire une publication afin d'évaluer un protocole aussi Je t'invite à lire son article de 2011
Mise en charge immédiate postextractionnelle dans les réhabilitations prothétiques totales
Protocole chirurgico-prothétique.
Résultats cliniques préliminaires
en le téléchargent sur cette page : https://www.positdental.com/je-suis-un-professionnel/mise-en-charge-imm%C3%A9diate/ si tu ne l'a pas.
18/01/2023 à 09h45
jeff écrivait:
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> Sérieusement, si cela ne rentre pas a quelques 10 ème , ça casse. J'ai déja eu
> un bridge zircone cassé qui descendait nickel sur un modèle validé par une clef
> en plâtre .
Parmi les fondamentaux, un implants n'a aucune mobilité ostéo-intégré. ce qui peu varié dimensionnellement entre 2 implants sera le résultat de la plasticité osseuse, exemple la mandibule en ouverture extrême mais aussi le maxillaire supérieur à la respiration. La variation dimensionnelle au maxillaire n'est pas sujette à briser un clé en plâtre et la validation à la mandibule ne se fait pas en grande ouverture. La pression sur le bridge se fait fait en fermeture. S'il n'est pas passif c'est soit les implants, le bridge ou les deux qui finirons par céder par destruction osseuse ou casse du matériaux.
Quel protocole utilises tu pour vérifier la clé en plâtre, la passivité du bridge sur le modèle ?
18/01/2023 à 10h03
jeff écrivait:
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> Qu'il resserre a 3 ou 4 jours, je ne vois pas le problème. Aucune conséquence
> sur l'ostéo-intégration.
s'il utilise ce protocole c'est bien par ce que le bridge n'est pas passif. Tous ce qui font de la mise en charge légèrement retardé parte de ce principe ( une légère tension sur les implants ne nui pas à l'ostéo-intégration dans les premiers jours de leurs poses).
Si la variation de position entre la loge de fixation du bridge et l'implants fixé à l'os est importante l'ancrage primaire sera corrompu. Si cette est trop importante il ne sera pas possible de poser le bridge.
As tu une études de ce protocole chirurgico-prothétique ?
18/01/2023 à 11h39
posit écrivait:
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> Lorsque tu veux travailler sérieusement comme l'a fait Jean KOSKIEVIC tu
> consignes rigoureusement les résultats que tu obtiens. Après un nombre
> significatif tu peux ainsi faire une publication afin d'évaluer un protocole
> aussi Je t'invite à lire son article de 2011
>
Je suppose que ton message s'adresse plus a Dimitri qu' a moi...
Article intéressant, très complet.
Cela ne parle pas du tout de mise en charge instantanée, mais on peut quand même lire "Il est admis que des micromouvements compris entre 50 et 150 mm sont tolérés" : donc , pas de soucis pour resserrer le bridge définitif a 3 jours...
Non , je n'ai pas d'etude. Je ne sais pas non plus si Dimitri compte faire le bilan de deux ans de mise en charge instantanée.
enfin , tu ecrit : "Si la variation de position entre la loge de fixation du bridge et l'implants fixé à l'os est importante l'ancrage primaire sera corrompu " : dans le cas d'un bridge zircone , si l'ecart est important, cela ne rentre pas sans casse . et donc , si c'est peu important , ce n'est pas grave...
18/01/2023 à 12h29
La mise en charge instantané a été inventé par ceux qui se sont retrouvé dans une impasse après l'utilisation de "mise en charge immédiate" pour ce qu'ils aurais du nommer mise en charge à 24h 72h ..
Tu devrais te renseigner sur la résistance à la rupture de la zircone, ce n'est pas la résistance à l'arrachement d'un implant juste posé qui vont compromettre cette résistance.
Un implant bloqué au vissage à 50N peut tourner à 20 N 10mn plus tard.
19/01/2023 à 11h16
posit écrivait:
> Quel protocole utilises tu pour vérifier la clé en plâtre, la passivité du
> bridge sur le modèle ?
La clef : je la place sur les implants, et je visse. ( bientôt , plus besoin j’espère, quand je serais équipé en photogrammétrie ( je vais encore dépenser 18 k.... ). )
Le modèle, j'ai tendance a faire confiance ( souvent a tord ) au labo, et ne vérifie qu'en cas de problème. Par exemple, un bridge résine sur armature titane : je n'arrive pas à mettre une vis, je vérifie sur le modèle, et surprise, en serrant la vis a une extrémité, on a un jour d'1 mm a l'autre bout !
Si je bridge zircone a cassé, je ne peut plus vérifier sur le modèle.
23/01/2023 à 06h57
jeff écrivait:
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> Si je bridge zircone a cassé, je ne peut plus vérifier sur le modèle.
Si au contraire, si le bridge était passif au vissage sur le modèle il n'y aura pas de hiatus au niveau de la fissure
04/02/2023 à 20h59
Pour éviter un balcon prothétique la patient vas avoir une marche juste à la ligne du sourire
14/02/2023 à 10h15
La simulation à permis de présenter une vision de l'aspect esthétique. Elle n'a pas souhaité poursuivre ce plan de traitement.
22/02/2023 à 06h29
Dommage.
Peut etre que ce rebord vestibulaire ne lui convenait pas. Elle n'aurai probablement pas suivit non plus, mais il aurait fallu proposer une avancée maxillaire avec un Lefort, pour éviter ce rebord.
22/03/2023 à 08h18
Les empreintes .ob reçues pour réaliser une mise en charge immédiate en 1 seul temps chirurgical avec un bridge à armature métal rigide.
Dans ce cas se sont les empreintes numériques qui fournissent la DVO, le patient passe directement le scanner.
Ces 2 éléments vont permettre au praticien de recevoir le matériel informatique, chirurgical et prothétique.
22/03/2023 à 20h26
Cas clinique en préparation pour la quinzaine du mois à venir.
Empreintes numérique des maxillaires et DVO