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Représentante voleuse?
09/02/2016 à 09h30
Bah c'est pareil. De toutes façons Il en reste toujours meme après les purges. C'est quand meme pratique cette liberté de choix. -)
Ce qui est énorme c'est qu'il en existe toujours et sont toujours persuadés d'etre dans le camp du bien. mieux ils savent mieux que vous ce qui est bon pour vous, c'est pour ca qu'ils décident à votre place ! -)
09/02/2016 à 10h23
ameli écrivait:
---------------
>
> J'ai lu une lettre dans laquelle tous les détails de sté étaient notés. Inutile
> de dire que je suis allé vérifier, et que tout était vrai. Pire, l'écrivain
> avait oublié certaines fautes lourdes. Si je soupçonne une AD d'avoir écrit ce
> texte (non signé), je ne cherche pas son nom et m'en fiche.
>
Un point, indépendamment des faits dénoncés, me gêne particulièrement: aujourd'hui, on peut potentiellement faire fermer un cabinet dentaire, avec toutes les conséquences forcément lourdes que cela implique pour le praticien, sur une simple dénonciation ANONYME.
Il m'avait semblé qu'aux impôts, les lettres de dénonciations non signées finissaient à la poubelle. Mais pas aux ARS?
Car on peut tout à fait imaginer qu'un salarié, par pure malveillance envers son employeur, entreprenne une démarche similaire. Si les faits dénoncés s'avéraient inexacts (stérilisation conforme), ce salarié mériterait aussi bien licencié pour faute lourde que poursuivi pour au pénal/civil pour dénonciation calomnieuse.
Le fait qu'on prenne en compte des dénonciations anonymes démontre une chose: que le praticien est présumé coupable aux yeux des ARS. Ce qui n'est pas très compatible avec un état de droit.
09/02/2016 à 15h39
mais il est interminable ce post :-)))ç est une saga ,
Amelibaba et les 40 voleuses
09/02/2016 à 19h57
ameli écrivait:
> ---------------
> ... je soupçonne une AD d'avoir écrit ce
> > texte ...
C'était écrit à l'encre mauve, avec de petits cercles pour les points des "i"?
Toujours des préjugés...
09/02/2016 à 20h00
Revenons à l'essentiel.
Je rejoins le camarade chicot dans son analyse.
Le message est le suivant :
"Nous avons les moyens de fermer vos bouclards, à notre bon gré, du jour au lendemain. Alors, fermez vos grandes gueules."
09/02/2016 à 20h02
Post-scriptum: et n'oubliez pas d'abonder à l'URSSAF (= l'impôt révolutionnaire).
De temps en temps, on en prend un au hasard et on le pend à un réverbère. Ca calme les autres.
C'est du stalinisme de base.
On apprend ça à la maternelle.
09/02/2016 à 20h59
pgc écrivait:
-------------
> Post-scriptum: et n'oubliez pas d'abonder à l'URSSAF (= l'impôt
> révolutionnaire).
>
> De temps en temps, on en prend un au hasard et on le pend à un réverbère. Ca
> calme les autres.
> C'est du stalinisme de base.
> On apprend ça à la maternelle.
>
+1 mais méfions nous, la najat est sur le coup, elle va interdire les theories du complot ;)
09/02/2016 à 21h28
La liberté est une prison ! Orwell n'avait pas tort, et la connerie est une merveille qui autorise de discuter encore après ce genre de forte parole. Le bolchevisme est en route ! Comme si c'était nous qui initions les textes ! Pitoyable...
09/02/2016 à 22h04
Prenons un peu la défense d'ameli.
Face à nos critiques, il en a besoin.
Ameli n'est pas une brute tchékiste sans âme et sans scrupules. C'est un homme qui a des convictions.
Parmi ces convictions il y a la promotion de la santé publique.
Rappelons ici quelques définitions de la santé:
Celle bien connue de l'OMS:
" La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social." Nous avons tous pu constater avec consternation à la lecture de cette définition qu'aucun de nous n'a jamais été en état de santé, sauf en de (trop) rares occasions qui durent rarement plus de cinq secondes d'affilée. Je vous laisse deviner lesquelles.
Ameli n'aspire à rien d'autre que de mettre la santé selon la définition de l'OMS à la portée des diabétiques, au sens où Céline affirmait que l'amour mettait l'Infini à la portée des caniches. Pouvons nous lui en faire le reproche? Nous avons entre les mains quelque moyen d'accéder à cet état de félicité: c'est la santé bucco-dentaire, et nous la marchanderions âprement à nos frères diabétique? Fi donc. Ameli, si les moyens lui en sont donnés, et si Dieu lui prête vie, y mettra bon ordre. Au lieu de le vilipender, et de l'appeler par les Noms de traître et de renégat, louons ameli pour ses bienfaits. Amen.
Une définition de la santé publique plus précisément:
" La santé publique est un ensemble de conditions naturelles favorables ou non, dans lesquelles se développent des organismes vivants, en particulier, l'homme."
Parmi la foule des "organismes vivants" indifférenciés qui constituent le grand protoplasme social dont ameli veut faire le bonheur, il y a donc les dentistes, et les patients. Il y aussi les huîtres, les moules et l'ensemble des fruits de mer. Nous sommes situés sur des échelons divers de la chaîne alimentaire. Personne n'aura le toupet de nier que les moules et les huîtres peuvent poser de sérieux problèmes de santé publique.
Une définition intéressante de la santé dite communautaire:
"La santé communautaire est le processus par lequel les membres d’une collectivité, géographique ou sociale, conscients de leur appartenance à un même groupe, réfléchissent en commun sur les problèmes de leur santé, expriment leurs besoins prioritaires et participent activement à la mise en place, au déroulement et à l’évaluation des activités les plus aptes à répondre à ces priorités.
Participation de toute la collectivité à la gestion de la santé individuelle ou collective.
Identifier avec la population les besoins, les comportements néfastes qui sont à l'origine du problème.
Tenir compte de l'organisation des pratiques et des attitudes des groupes sociaux."
Les définitions de la santé publique et de la santé communautaire sont empruntées à ce site:
http://www.soins-infirmiers.com/sante_oms.php
Les infirmières sont connues pour donner le meilleur d'elles-mêmes en dépit de leurs conditions de travail exécrables et de leurs rémunérations modestes.
Nous touchons là au coeur des convictions d'ameli et à l'essence de son travail. C'est sa mission, et c'est sa joie. Il aspire, par son modeste mais opiniâtre labeur, à mener le peuple d'une main de fer vers le bonheur. Si Notre Cher Leader ne le mène pas en personne, car on ne peut pas être partout (on a pas quatre bras), il y contribuera à la mesure de ses moyens.
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Ne met pas tes doigts dans la Convention! Tu risques de te faire pincer très fort.