Cookie Consent byPrivacyPolicies.comA suivre... - Eugenol

A suivre...

6szjws718sv1jksw54v4mpj3a6cu - Eugenol
vulpi

22/05/2016 à 19h08

Fallait que je demande, comme ça l’air de rien, simple curiosité. Finalement on était pour ainsi dire intime.

hula up barbatruc... à suivre...






Utilisateur banni

23/05/2016 à 18h16

Merci , euh vraiment merci pour vos propos ...Donc , je ne suis pas encore aussi touchée (ée) que vous , c 'était la p'tite reflexitude du soir ..Donc j 'ai encore 1 peu d'avenir en tant que Docteur en Chirurgie Dentaire ...Merci seigneur jesus , Marisol et toute la pourritude ...Ouf !! j'ai failli croire que c'etait clos cachete ...


6szjws718sv1jksw54v4mpj3a6cu - Eugenol
vulpi

23/05/2016 à 22h49

trublion écrivait:
------------------
> Merci , euh vraiment merci pour vos propos ...Donc , je ne suis pas encore aussi
> touchée (ée) que vous , c 'était la p'tite reflexitude du soir ..Donc j 'ai
> encore 1 peu d'avenir en tant que Docteur en Chirurgie Dentaire ...Merci
> seigneur jesus , Marisol et toute la pourritude ...Ouf !! j'ai failli croire
> que c'etait clos cachete ...

:))))

Merci d'avoir pris le temps de lire. Le texte est long.
Il n'a pas vocation à rester éternellement.
J'avais besoin de le relire en diffusion (restreinte puisque nonol), le regard est plus critique.
Je coince, le sentimentalo-coquino-bientôt érotico ce n'est pas habituel comme écriture pour moi. Depuis 2 mois je coince, comme un frein. Là ce n'est qu'une mise en bouche... mais pour la suite que pouic.
C'est une demande, faudra qu'je livre!
Ah oui! Tu peux me tutoyer, c'est plus sympa.


Vw campersurfvan bmnk1q - Eugenol
enlaye

23/05/2016 à 23h13

ben heureusement que tu n'as pas fais kiné , tu aurais fait les 3/8 :-)))


Rape p0as4f - Eugenol
rapelapente

24/05/2016 à 02h03

Pas mal...
On attend la suite, que ça chauffe ...;-)
Ah!oui fais attention aux participes passés.


Utilisateur banni

24/05/2016 à 04h48

vulpi écrivait:
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> Merci d'avoir pris le temps de lire. Le texte est long.
sympa ton texte mais je me suis arrêté à la française des jeux (une chance au grattage et une tirage)


6szjws718sv1jksw54v4mpj3a6cu - Eugenol
vulpi

24/05/2016 à 05h39

enlaye écrivait:
----------------
> ben heureusement que tu n'as pas fais kiné , tu aurais fait les 3/8 :-)))

humm... j'aurais dit travail en horaires décalés.


6szjws718sv1jksw54v4mpj3a6cu - Eugenol
vulpi

27/05/2016 à 19h31

rapelapente écrivait:
---------------------
> Pas mal...
> On attend la suite, que ça chauffe ...;-)
> Ah!oui fais attention aux participes passés.

Merci pour le conseil, je m'y colle.


6szjws718sv1jksw54v4mpj3a6cu - Eugenol
vulpi

12/11/2016 à 17h10

J’ai une patiente, chaque fois que je la vois je me dis qu’il faut que j’y mette les doigts. Oh pas qu’elle ait de mauvaises dents… non… mais, je la vois… les doigts… c’est comme ça. L’envie de travailler.
Et puis elle ouvre la bouche… pour parler, et là, la déception… elle est pas idiote, non, mais c’est plat, ce qu’elle dit. C’est un truc de femme, j’ai remarqué, le temps qu’elle finisse sa phrase je m’souviens plus du début, je m’ennuie.
En plus elle est infidèle, elle me l’a avoué, elle a été en voir un autre. Mais elle a été déçu, « ça a même pas duré 5 minutes, avec vous j’en ai pour 20 minutes, au minimum, c’est mieux fait… » Ça fait plaisir à entendre, et puis c’est vrai, c’est mieux que cela dure un peu plus de cinq minutes, elle reconnait mon professionnalisme.
Et puis parfois elle s’allonge, sur mon fauteuil,pour que je l’examine, elle ouvre la bouche… les 20 minutes… et là grosse déception, au bout de même pas trois minutes, sa tremblote, sa crispe… « je peux pas garder la bouche ouverte plus de trois minutes, vous comprenez »… bin non, j’comprends pas, un vrai tue l’amour professionnel… Eh ! est-ce que moi je dis « avec moi pas plus de trois minutes » avec un petit sourire qui veut tout dire et rien ! Non !! Encore un truc de femme c’est sûr, j’ai une copine qui s’en vante, c’est dire !
Enfin je suis déçu, déçu… ni pensons plus… les doigts… toussa… elle repart et voilà… Et puis comme j’ai une mémoire de poisson rouge, au bout de trois jours…

Voili, voilà… bon j’vais mieux, parce qu’à une époque c’était compliqué… compliqué. C’est la cinquantaine, ça apaise.
Et vous, vous en avez des patientes, patients, comme ça ?


Vw campersurfvan bmnk1q - Eugenol
enlaye

14/11/2016 à 18h07

vulpi écrivait:
---------------
" Et puis elle ouvre la bouche… pour parler, et là, la déception… elle est pas idiote, non, mais c’est plat, ce qu’elle dit. C’est un truc de femme, j’ai remarqué, le temps qu’elle finisse sa phrase je m’souviens plus du début, je m’ennuie."

:-))) j'adore le style ,on s'y croirait :-) tellement vrai ,parfois .


6szjws718sv1jksw54v4mpj3a6cu - Eugenol
vulpi

29/12/2016 à 10h37

A suivre… la suite .

Résumé : l’honnête Philippe Renar vit en colocation avec la jolie Virginie. Pour des raisons professionnelles Virginie rentre le soir entre 22h30 et 1h du matin. Par le plus grand des hasards, la voisine de palier de Renar et Virginie, la belle Isabelle, est tout à fait disponible pour venir jouer aux jeux vidéo sur ce créneau horaire. A la suite de circonstances malheureuses, et bien malgré lui, le pauvre Renard se retrouve quasi obligé à avoir des relations intimes avec Isabelle, les femmes quand elles ont un truc en tête, on finit toujours par y passer.
C’était bien organisé au final, Isabelle venait pour papoter et puis en fonction des vents, souvent favorables, et pour ne pas la contrarier, bah je cédais à ses avances, oh avec des remords, j’étais rongé par un fort sentiment de culpabilité.
Quand on entendait arriver la voiture de Virginie, hop ! Isabelle quittait le lit, traversait le palier et retournait chez elle. C’était pas à faire, mais finalement, nous n’étions que deux au courant, cela ne faisait de tort à personne. Une sorte de coutume et puis voilà !
Enfin bien organisé… faut voir… depuis quelques temps Isabelle rechignait à retourner chez elle. Elle trainait, franchement je vois pas bien ce qu’elle cherchait, c’était comme ça, c’était comme ça ! J’allais pas changer toutes mes habitudes, et puis la peine que cela aurais fait à Virginie. Et oui ! Faut y penser à ces trucs ! Non, le mieux, pour tout le monde, c’était de continuer ainsi. Tant pis je prendrais sur moi. On s’y habitue à voir double.
Et puis un soir, Isabelle… le lit… la voiture de Virginie… Isabelle traîne, et puis part, ouf ! Arrive Virginie. Je fais semblant de dormir, c’est mieux. Virginie a faim, elle descend à la cuisine.
ET LA ! La porte de la chambre s’ouvre, et c’est Isabelle ! Le pas décidé elle se dirige vers le lit. Alors comment dire ? « Au secours ! » peut-être, parce que là, euh je sais plus trop, ça m’échappe totalement. Putain !, je l’avais pas vu venir. A moins qu’elle soit amnésique ou somnambule, je ne vois qu’une raison à sa venue. Le scandale, l’explication entre femmes. Moi ça m’arrange pas ce truc. En plus Virginie c’est une furie, le genre du sud, mais de l’Italie. Oh putain !
Si j’avais su, j’aurais pas venu ! Ça m’apprendra à être gentil avec tout le monde, me voilà bien récompensé !
Mais qu’est-ce qu’elle fout Isabelle ! L’œil vague elle ouvre le lit ! ça s’arrange pas mes affaires. Faut l’avoir vécu pour comprendre. Qu’elle injustice, une vie entière dans le droit chemin, une réputation… J’étais innocent. C’était pas ma faute, J’avais rien fait pour ainsi dire! Moi j’voulais pas ! j’voulais pas être là en tout cas. Je pouvais pas sauter par la fenêtre, me serais fait mal. Faire semblant de dormir ? Oui, d’accords, mais serait-ce suffisant ? Jouer l’étonné au réveil, la faire passer pour une folle, c’était p’t’être jouable ?
Mais elle déraille total Isabelle, elle fouraille dans le lit, m’ignore… c’est pas banal ce soir… d’un coup elle attrape quelque-chose, se tourne vers moi, me fait un smack, « j’avais oublié ma bague », et puis elle retourne dans sa chambre.
Eh ! Je l’ai échappé belle, ça tient à peu de chose ! Putain ! J’étais… soulagé. Merci mon Dieu! Une bonne action est toujours récompensée!
Virginie est remontée, j’ai fait semblant de dormir, la routine. C’est bien la routine.

« Faute avouée, à moitié pardonnée… »