Tous les forums
Agnés Buzin devant la commmission des affaire sociales de l'AN.
19/07/2017 à 12h05
http://videos.assemblee-nationale.fr/video.4775727_596e190e3459b.commission-des-affaires-sociales--mme-agnes-buzyn-ministre-des-solidarites-et-de-la-sante-18-juillet-2017
Pour l'instant ce qui ressort des sites c'est surtout sur le tiers payant https://www.lequotidiendumedecin.fr/actualites/article/2017/07/19/tiers-payant-generalise-pas-besoin-den-passer-par-une-loi-si-les-medecins-adherent-naturellement-selon-agnes-buzyn_849373
et le nouveau-ancien stage de prévention que devront faire les étudiants des filières de santé. https://www.egora.fr/actus-pro/etudes-de-medecine/30127-le-service-sanitaire-annonce-a-la-rentree-2018
Il faut se taper la video en entier sachant que l'on est quantité négligeable pour la presse.
21/07/2017 à 08h26
"
"Les 40 000 étudiants en santé promis par Emmanuel Macron durant sa campagne pourraient débarquer dans les écoles et les entreprises dès l'année prochaine. Une mission sur ce dispositif sera lancée cette semaine, a annoncé la ministre de la Santé. Le "service sanitaire des étudiants en santé" , un dispositif annoncé par le candidat Emmanuel Macron, devrait voir le jour "à la rentrée de septembre 2018" , a annoncé mardi Agnès Buzyn devant la commission des Affaires sociales de l'Assemblée nationale . La ministre a indiqué qu'une mission serait lancée..."
Ben voyons. les études médicales ne sont pas assez longues. Ils vont etre contents les médecins. C'est cool ca toute cette main d'oeuvre bon marché. -))))
--
En cas d'échec des négociations conventionnelles, seriez-vous prêt à suivre la promotion d'un déconventionnement massif de la profession par les syndicats représentatifs ? OUI - NON
Participez, anonymement, sur https://goo.gl/forms/nAO0htnsVmxotjYm1
21/07/2017 à 09h04
MST bis dans la lettre de cadrage.
http://www.union-dentaire.com/feuille-de-route/
21/07/2017 à 09h37
chicot29 écrivait:
------------------
> "
> "Les 40 000 étudiants en santé promis par Emmanuel Macron durant sa campagne
> pourraient débarquer dans les écoles et les entreprises dès l'année prochaine.
Cool !! Et a l hopital on met qui ?? Des employes municipaux ??
Quelle baltringue ce macron.
21/07/2017 à 09h58
La lettre de cadrage est à l'image de tout le reste de la communication de ce gouvernement : des belles annonces pour la façade, des moyens faméliques pour les mettre en œuvre.
Elle a quand même le culot d'écrire que les revalorisations sur les soins conservateurs prévues par le RA sont "significatives".
21/07/2017 à 10h12
Elle parle quand même d'approfondir les RA en fin de page 2 ce qui montre quand même la compréhension la plus complète de ce qu'est le RA en terme de négociation et la direction que va prendre la négociation.
A ce niveau là, il serait peut être intelligent que les trois syndicat payent un juge pour produire un RA selon les instructions qui lui auront été donnés pour montrer la stupidité de la procédure employée par l'ancien gouvernement.
21/07/2017 à 10h26
moi ce qui me choque c'est que les prothèses sont devenues une part importante de "l'activité des dentistes"
aussi je voudrais bien savoir si il n'y a pas confusion entre "activité" et "rémunération"
parce qu'à partir du moment où 30% de notre activité ( prothèse ) génère 60% de nos revenus et le contraire pour les soins
il s'agit d'une part MINORITAIRE de notre activité
et les résultats financiers sont essentiellement dus à l'évolution des bases secu et de la liberté tarifaire, QUI N'EST PAS DE NOTRE FAIT !
--
==================
la csnd a voulu le "fromage" de la CCAM
la SECU a ajouté une tapette autour
21/07/2017 à 10h50
cyber_quenottes écrivait:
-------------------------
> moi ce qui me choque c'est que les prothèses sont devenues une part importante
> de "l'activité des dentistes"
>
> aussi je voudrais bien savoir si il n'y a pas confusion entre "activité" et
> "rémunération"
>
> parce qu'à partir du moment où 30% de notre activité ( prothèse ) génère 60% de
> nos revenus et le contraire pour les soins
>
Voir on voit même une diminution de la part des prothèses dans pas mal de cabinets qui sont plutôt à 20% de prothèses et qui au contraire doivent augmenter la valeur de l'acte prothétique plutôt que de devoir mutiler inutilement des patients.
21/07/2017 à 13h24
Hokusai écrivait:
-----------------
> chicot29 écrivait:
> ------------------
> > "
> > "Les 40 000 étudiants en santé promis par Emmanuel Macron durant sa campagne
> > pourraient débarquer dans les écoles et les entreprises dès l'année prochaine.
>
>
> Cool !! Et a l hopital on met qui ?? Des employes municipaux ??
>
> Quelle baltringue ce macron.
Un service c'est quand tu as fini tes études. Tu sais qu'on avait une dérogation de temps à l'époque du sapin ? -)
--
En cas d'échec des négociations conventionnelles, seriez-vous prêt à suivre la promotion d'un déconventionnement massif de la profession par les syndicats représentatifs ? OUI - NON
Participez, anonymement, sur https://goo.gl/forms/nAO0htnsVmxotjYm1
21/07/2017 à 13h31
barbabapat écrivait:
--------------------
>
> Voir on voit même une diminution de la part des prothèses dans pas mal de
> cabinets qui sont plutôt à 20% de prothèses et qui au contraire doivent
> augmenter la valeur de l'acte prothétique plutôt que de devoir mutiler
> inutilement des patients.
Pas d'accord. L'indication d'une prothèse c'est quand les limites de l'indication des soins opposables est atteinte. Ce qui change c'est la nature de la prothèse choisie pour y parvenir. En général c'est la mieux remboursée et la plus délabrante. Il faut bien faire profiter l'assuré des prestations du système non ? Sinon ils vont penser que tu es trop cher. -)
--
En cas d'échec des négociations conventionnelles, seriez-vous prêt à suivre la promotion d'un déconventionnement massif de la profession par les syndicats représentatifs ? OUI - NON
Participez, anonymement, sur https://goo.gl/forms/nAO0htnsVmxotjYm1
21/07/2017 à 13h59
chicot29 écrivait:
------------------
>
>
> Pas d'accord. L'indication d'une prothèse c'est quand les limites de
> l'indication des soins opposables est atteinte. Ce qui change c'est la nature de
> la prothèse choisie pour y parvenir. En général c'est la mieux remboursée et la
> plus délabrante. Il faut bien faire profiter l'assuré des prestations du système
> non ? Sinon ils vont penser que tu es trop cher. -)
>
>
Je dis juste que tu as déjà des cabinets qui sont à 20% de prothèses au niveau de leur activité au lieux des 30% dont on parle habituellement. Si ils sont à 20% de prothèses indiquée, il ne peuvent en poser pour 30% de leur activité et cela ne se compense pas par les soins opposable à faire en plus.
21/07/2017 à 14h41
barbabapat écrivait:
--------------------
> chicot29 écrivait:
> ------------------
> >
> >
> > Pas d'accord. L'indication d'une prothèse c'est quand les limites de
> > l'indication des soins opposables est atteinte. Ce qui change c'est la nature
> de
> > la prothèse choisie pour y parvenir. En général c'est la mieux remboursée et
> la
> > plus délabrante. Il faut bien faire profiter l'assuré des prestations du
> système
> > non ? Sinon ils vont penser que tu es trop cher. -)
> >
> >
> Je dis juste que tu as déjà des cabinets qui sont à 20% de prothèses au niveau
> de leur activité au lieux des 30% dont on parle habituellement. Si ils sont à
> 20% de prothèses indiquée, il ne peuvent en poser pour 30% de leur activité et
> cela ne se compense pas par les soins opposable à faire en plus.
C'est quoi ca 20 % de prothèse ? 4 couronnes et une 20aine de soins opposables. Par jour ? C'est peu en effet. -)
Si tu fais 20 % de ton CA en prothèse. Tu es mort.
--
En cas d'échec des négociations conventionnelles, seriez-vous prêt à suivre la promotion d'un déconventionnement massif de la profession par les syndicats représentatifs ? OUI - NON
Participez, anonymement, sur https://goo.gl/forms/nAO0htnsVmxotjYm1
21/07/2017 à 14h58
chicot29 écrivait:
------------------
>
>
> C'est quoi ca 20 % de prothèse ? 4 couronnes et une 20aine de soins opposables.
> Par jour ? C'est peu en effet. -)
>
> Si tu fais 20 % de ton CA en prothèse. Tu es mort.
> --
C'est ce vers quoi on va aller si la prévention fonctionne et ce avec une accélération après car potentiellement avec une population en bonne santé dentaire, c'est encore moins de prothèses et de soins primaires sauf pedo sur les dents temporaires.
Les 30% en volume de soins sont un chiffre anciens qui se faisait sur un population qui a la base avait peu bénéficié de la prévention.
21/07/2017 à 15h09
chicot29 écrivait:
------------------
> Il faut bien faire profiter l'assuré des prestations du système
> non ? Sinon ils vont penser que tu es trop cher. -)
C'est logique.
C'est normal.
Il vaut mieux un beau bridge de 12 éléments gratuits plutôt qu'un bridge sur 2 implants qui coute plusieurs milliers d'euros.
C'est la logique du consommateur.
"Si c'est gratuit, il faut en profiter"
21/07/2017 à 16h49
barbabapat écrivait:
--------------------
> C'est ce vers quoi on va aller si la prévention fonctionne et ce avec une
> accélération après car potentiellement avec une population en bonne santé
> dentaire, c'est encore moins de prothèses et de soins primaires sauf pedo sur
> les dents temporaires.
>
> Les 30% en volume de soins sont un chiffre anciens qui se faisait sur un
> population qui a la base avait peu bénéficié de la prévention.
les soins opposables gratuits ca ne fonctionne pas. pourquoi veux tu qu'une prévention gratuite, dans les memes conditions tarifaires marche ? C'est ca qui est pratique avec les socialos, c'est l'absence de responsabilisation du patient. Tout lui est du sans effort de sa part à des tarifs de merde. C'est d'ailleurs l'échec de la sécu pointé il y a 30 ans déjà par Pierre Laroque : tout est remboursé donc c'est open bar.
--
En cas d'échec des négociations conventionnelles, seriez-vous prêt à suivre la promotion d'un déconventionnement massif de la profession par les syndicats représentatifs ? OUI - NON
Participez, anonymement, sur https://goo.gl/forms/nAO0htnsVmxotjYm1
22/07/2017 à 11h08
https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-172102-protection-sociale-et-si-lexecutif-nous-laissait-parfois-le-temps-de-faire-notre-travail-2103245.php
"........
LE CERCLE/HUMEUR - Les hésitations de la ministre de la Santé à propos du tiers-payant sont une source d'incertitudes pour les complémentaires santé. D'autant plus qu'elles investissent des moyens financiers et humains conséquents pour tenir les délais imposés.
Après avoir annoncé vouloir éviter « l’obligation » de généralisation du tiers-payant, la ministre de la santé, Agnès Buzyn, a semble-t-il finalement changé de position et confirmé l’extension du dispositif, sans toutefois préciser de calendrier.
Un nouveau revirement à propos duquel les opérateurs des complémentaires santé s’interrogent après avoir mobilisé d’importantes ressources pour mener ce chantier dans les délais impartis. Parfois au détriment de projets à plus forte valeur ajoutée en termes d’innovation et de service rendu aux clients.
Avancer sereinement
La généralisation du tiers-payant, inscrite dans la loi "Santé" du 26 janvier 2016, devait être effective au 1er janvier 2017 pour les patients pris en charge à 100 % par l’Assurance-maladie et au 1er décembre 2017 pour l’ensemble des assurés...
Entre calendrier serré et chantier techniquement complexe, nous avons pourtant tenu les délais, ouvrant l’ensemble de nos prestations au tiers payant dès le 1er janvier 2017. Certes, ce projet aura eu le mérite d’amener les opérateurs des complémentaires santé à créer une plate-forme commune de gestion. Pour autant, nous avons tous besoin aujourd’hui d’une posture claire et précise de la nouvelle ministre de la santé afin de pouvoir avancer sereinement.
Tous ont en effet mobilisé des ressources considérables pour respecter les délais imposés : nous nous sommes fait accompagner par un opérateur de tiers-payant et avons investi plusieurs centaines, voire plusieurs milliers de jours et d’hommes.
Un calendrier de réforme à tenir
Soyons honnêtes, cet investissement n’est pas perdu : notre outil de tiers-payant méritait d’être amélioré. Mais nous aurions aimé pouvoir mener ce chantier à notre rythme, avec nos propres priorités. Il est frustrant d’investir autant sur un sujet d’une telle importance puis d’être finalement suspendus à des décisions contradictoires, incertains de l’utilité de nos efforts !
D’autant plus que ce n’est pas la seule réforme qui s’impose ainsi à nous. Récemment, nous avons dû gérer en quelques mois et de façon concomitante, la déclaration sociale nominative (DSN), le prélèvement à la source (qui vient d’être différé au premier janvier 2019), Solvabilité 2, la directive européenne RGPD (échéance mai 2018), le projet ROC (Remboursement des organismes complémentaires entièrement dématérialisé avec les hôpitaux, échéance 2019).
Avec 700 collaborateurs, nous pouvons nous donner les moyens de gérer ces projets. Mais je ne vois pas comment les petits acteurs de l’assurance santé peuvent suivre, notamment s’ils interviennent en délégation de gestion. Pour une entreprise, un tel cycle d’investissement sans valeur ajoutée ni retour sur investissement est mortifère.
Le paradoxe, c’est que les pouvoirs publics nous reprochent parfois de ne pas être assez innovants. Mais qui nous en empêche ? Non seulement les réformes s’enchaînent à un rythme de plus en plus soutenu, mais le calendrier électoral devient totalement ubuesque : les deux derniers quinquennats ont vu de nombreuses réformes être engagées durant les deux dernières années du mandat… avant d’être remises en question par la mandature suivante. Et si l’exécutif nous laissait parfois le temps de faire notre travail ? »
Gilles Mazuir est directeur gestion prévoyance, santé et relation clients de Mercer
......"
22/07/2017 à 11h44
"Un nouveau revirement à propos duquel les opérateurs des complémentaires santé s’interrogent après avoir mobilisé d’importantes ressources pour mener ce chantier dans les délais impartis. Parfois au détriment de projets à plus forte valeur ajoutée en termes d’innovation et de service rendu aux clients. "
Chouette ca fout la merde dans le développement des réseaux de soins. -)))
--
En cas d'échec des négociations conventionnelles, seriez-vous prêt à suivre la promotion d'un déconventionnement massif de la profession par les syndicats représentatifs ? OUI - NON
Participez, anonymement, sur https://goo.gl/forms/nAO0htnsVmxotjYm1
22/07/2017 à 11h47
"Entre calendrier serré et chantier techniquement complexe, nous avons pourtant tenu les délais, ouvrant l’ensemble de nos prestations au tiers payant dès le 1er janvier 2017. Certes, ce projet aura eu le mérite d’amener les opérateurs des complémentaires santé à créer une plate-forme commune de gestion. Pour autant, nous avons tous besoin aujourd’hui d’une posture claire et précise de la nouvelle ministre de la santé afin de pouvoir avancer sereinement."
C'est ca la plateforme ?
https://www.tpcomplementaire.fr/iamcpublic/index.html
--
En cas d'échec des négociations conventionnelles, seriez-vous prêt à suivre la promotion d'un déconventionnement massif de la profession par les syndicats représentatifs ? OUI - NON
Participez, anonymement, sur https://goo.gl/forms/nAO0htnsVmxotjYm1
22/07/2017 à 11h50
"Avec 700 collaborateurs, nous pouvons nous donner les moyens de gérer ces projets. Mais je ne vois pas comment les petits acteurs de l’assurance santé peuvent suivre, notamment s’ils interviennent en délégation de gestion. Pour une entreprise, un tel cycle d’investissement sans valeur ajoutée ni retour sur investissement est mortifère."
Et comment se démerde un professionnel de santé pour gérer le tiers payant tout en soignant ses patients ? Vous vous n'avez que ca à foutre et c'est votre boulot. Vous vous plaignez de devoir faire votre boulot ?
Une fois que le tiers payant généralisé va etre mis en place vous allez vous prendre pour dieu.
De quoi vous plaignez vous ? Ca c'est la meilleure.
--
En cas d'échec des négociations conventionnelles, seriez-vous prêt à suivre la promotion d'un déconventionnement massif de la profession par les syndicats représentatifs ? OUI - NON
Participez, anonymement, sur https://goo.gl/forms/nAO0htnsVmxotjYm1