Cookie Consent byPrivacyPolicies.comnégociations conventionnelles du 15 décembre - Eugenol

négociations conventionnelles du 15 décembre

zazamouk

20/12/2017 à 11h57

Complètement dingue ces "discussions" conventionnelles....

L'état et la sécu nous prends pour des cons.... ne reconnait pas la dentisterie comme un acte de santé et tente de discuter sur des détails insignifiant.

La dentisterie n'est pas prise en charge par la sécu, et on discute un panier de soins, on pinaille pour 5/10€ de plus/moins sur un plafond, sur un acte....
C'est ridicule.

Est ce que demain la sécu va faire un panier de soins pour la traumato?
Fracture cheville, c'est dans le panier donc on rembourse, fracture tibia... dommage hors panier, votre remboursement sera digne de 1950 (donc soit le médecin soigne comme en 1950 soit le patient paye le supplément!)

La maison est en feu, et les pyromanes nous forcent à discuter de l'aménagement du jardin...

J'espère que le trio sécu/état/mutuel rigole bien en nous voyant nous battre pour les miettes qu'ils veulent bien nous laisser!

La CCAM devait faire de nous des médecins, la bonne blague... elle nous transforme juste remplisseur de code et permet de croire que le bricolage de ccam+ va nous sauver!

Pourquoi tout les patients/dentistes se rendent compte du ridicule de la situation et pas nos "dirigeants"...
Dès que l'on fait l'analogie entre notre métier de soignants et celui de n'importe quelle autres spécialités on se rends compte qu'il y a un problème...

Ces batailles de chiffres sont idiotes... pourquoi toutes les endos molaires devraient être au même tarifs?
Ne pourrait on pas demander un tarif horaire (dans une fourchette large si la sécu insiste!), un supplément (ou pas) difficulté et les prix du prothésistes en plus.
Cela sera plus "intelligent" que de proposer 70.24€ pour un acte, ou 98.12 pour un autre et des plafonds à 510 ou 520....


P2eqdh3csim6s7nb09ktdq3e7ev8 - Eugenol
barbabapat

20/12/2017 à 12h21

Ce qui est une grosse enculade de la part de l’État c'est d'attendre le 2 février pour donner enfin une réponse chiffrée à l'ensemble de ses demandes pour permettre de débuter enfin les négociations alors que ca fait 4 mois que l'on discute du sexe des anges.

Ce qui est bizarre c'est que la CNSD nous sorte sa liste de noël de propositions alors que l'on ne sait toujours rien de la position de l’État et que tout enfant sait que le père noël choisit ce qu'il veut sur la liste que l'on lui fait et parfois des équivalents premier prix ou du recyclage de cadeaux d'entreprise.


P2eqdh3csim6s7nb09ktdq3e7ev8 - Eugenol
barbabapat

20/12/2017 à 13h58

http://www.cnsd.fr/actualite/edito/1928-negociation-en-panne


X ray 03 medium zvq18j - Eugenol
cyber_quenottes

20/12/2017 à 14h42

bah oui c'est en panne depuis le début

- règlement arbitral débile avec des clauses de revoyure mal calculées qui produiront forcément un blocage ultérieur

- coùt réel des soins calculés en commission mais sur lesquels résultats on s'essuie les pieds

- exigences de plafonnements alors que tout le monde sait bien que c'est le seul oxygène que nous ayons pour entreprendre

- revalorisations ridicules saupoudrées çà et là avec des sommes calculées sur 4 ans ( et pourquoi pas 1 an ou 10 ans ??? )

- introduction d'un "caprice" politique de RAC zero comme celà a été le cas avec le TP généralisé de Mariefolle, sans aucune préparation technique du dossier ( effet d'annonce populiste )

- gestion des négociations par la CNAM pour ne rien donner comme info et faire moisir la situation

nos politiques et gestionnaires sécu sont des sous merdes
et "certaines" s'en accommodent encore et toujours

--
==================
la csnd a voulu le "fromage" de la CCAM
la SECU a ajouté une tapette autour


P2eqdh3csim6s7nb09ktdq3e7ev8 - Eugenol
barbabapat

20/12/2017 à 15h24

cyber_quenottes écrivait:
---------------
> bah oui c'est en panne depuis le début
>
> - règlement arbitral débile avec des clauses de revoyure mal calculées qui
> produiront forcément un blocage ultérieur
>
Pas d'erreur de calcul. C'est comme quand on crée un mensonge avec de méchants dentistes en secteur 2 qui sont responsable de problème d’accès aux soins. Incendie du reichstag n'a jamais été une erreur, il a permis derrière autre chose une fois que ennemis avait été désigné à la vindicte populaire.

Les erreurs de calculs se seraient transformés en vérité dans les rapport de la cours de compte pour justifier toujours plus.

> - coùt réel des soins calculés en commission mais sur lesquels résultats on
> s'essuie les pieds

Ils n'ont pas 3 milliard à mettre sur le dentaire et ne veulent donner corps à cette somme qui devrait être mis sur la table. Donc ils font donc disparaître les données discordantes.


P2eqdh3csim6s7nb09ktdq3e7ev8 - Eugenol
barbabapat

20/12/2017 à 16h35

https://placedelasante.mutualite.fr/sante-leviers-dactions-dun-reste-a-charge-zero/

".........

La Fondation Jean Jaurès propose des solutions opérationnelles pour mettre en place un reste à charge zéro pour les assurés. Parmi celles-ci : une prise en charge centrée sur des parcours définis, un investissement sur les plus jeunes générations, une redéfinition du panier de soins, une prise en charge par parcours orientés.

L’assurance maladie paye la plupart des dépenses de santé. La part des dépenses couvertes par l’assurance maladie a connu un pic à 80% en 1980 et s’établit autour des 75% depuis. De l’autre côté, la part financée par les organismes complémentaires d’assurance maladie (Ocam) et les ménages a diminué.

Sur les quinze dernières années, la prise en charge par les Ocam s’est accrue (14% environ de la dépense) alors que le reste à charge des ménages fluctue ces derniers temps autour de 10%. Les ménages continuent donc à payer directement pour leur santé.

Le reste à charge aujourd’hui

Le reste à charge hospitalier est évalué à 5% tandis que la couverture par l’assurance maladie des soins courants tourne autour de 35%. Parler de reste à charge (hors prise en charge des Ocam) invite donc à réfléchir à la prise en charge du coût des soins allant d’un curseur entre 0 et 65% du montant total. Cependant, depuis plusieurs années, la part de la Sécurité sociale du coût global des soins est stable aux alentours de 75%, celle des mutuelles est en progression (14%) et le reste à charge baisse de manière mesurée, dans une approche macroéconomique.

Deux éléments doivent cependant être gardés à l’esprit. D’une part, même si un individu adhérent à un Ocam dispose d’un reste à charge nul, il paye en toute hypothèse une cotisation adhérent qui constitue alors une dépense personnelle même si mutualisée. D’autre part, le reste à charge ne peut se comprendre que sur un périmètre défini et donc interroge, à terme, le panier de soins pris en charge.

S’interroger sur un reste à charge nul revient à questionner les prises en charge à 100% par la Sécurité sociale et donc ramène à la question du bouclier sanitaire, c’est-à-dire du montant à partir duquel tout est pris en charge sans « out of paiement » de la part de l’usager (dans ce cas fixé à 0 euro). Or, cette question du bouclier sanitaire et ses critiques sont déjà forts connues, et conduisent systématiquement à la question, d’une part, de la cible souhaitée et, d’autre part, à celle du montant à identifier.

Remboursement à 100% : l’exemple des affections de longue durée (ALD)

Etudions le seul exemple de remboursement actuel de pathologies à 100% : les affections de longue durée (ALD). Définies selon une liste établie par l’assurance maladie, la prise en charge des pathologies y est assurée à 100%. On pourrait donc penser logiquement que les patients traités pour des ALD n’ont aucun frais, en accord avec le principe même de la définition de cette liste.

Or, au contraire, il apparait que les personnes en ALD sont aussi celles qui ont le plus de reste à charge. En effet, toutes les affections qui touchent ces personnes ne sont pas liées à la maladie identifiée alors même qu’elles cumulent tragiquement les pathologies.

Par ailleurs, le classement et déclassement de certaines maladies dans ces prises en charge posent des effets de seuils particulièrement néfastes.

Surtout, le financement même de ces ALD pose actuellement la question de la pérennité dans le temps de ce mode de prise en charge : la grande partie de l’augmentation des dépenses de santé est due à ces ALD concentrant les prises en charge de l’assurance maladie sur des maladies lourdes et longues.

Il apparait que les personnes en ALD sont aussi celles qui ont le plus de reste à charge.
On atteint alors rapidement la question du financement d’un reste à charge nul, ce qui conduit systématiquement à s’interroger sur la définition d’un panier de soins. Le panier de soins désigne l’ensemble des prestations qui seraient pris en charge totalement par la Sécurité sociale de celles qui ne le seraient que partiellement ou pas du tout. Face à cette dégressivité de la part Sécurité sociale pourrait s’établir parallèlement et, en lien, une montée en puissance de la prise en charge des Ocam. Cette définition du panier de soins pose donc légitimement la question de l’identification des soins remboursés, de ceux moins remboursés ou non-remboursés.

Comment définir le panier de soins ?

Définir le panier de soins implique de choisir ce qui doit être remboursé… ou pas. Une des premières solutions serait de corréler ces prises en charge à des comportements vertueux en insistant ainsi sur l’importance de la prévention et sur la responsabilité des citoyens. Or, les actions de prévention profitent essentiellement aux personnes avec les revenus les plus aisés. Cela va à rebours d’une lutte contre les inégalités sociales de santé puisqu’il existe un gradient de l’état de santé selon les catégories sociales et les revenus. Il est donc illusoire de penser à une action efficace de ce type de dispositif qui, par ailleurs, serait socialement une ligne rouge à ne pas franchir, sauf à favoriser la discrimination.

Une seconde solution pourrait être de ne rembourser que les prises en charge à partir d’un certain montant qui serait corrélé au niveau de revenu des personnes. Outre l’aspect d’effet de seuil de la fixation de ce revenu, ce type de dispositif défavoriserait surtout la mise en œuvre de petites dépenses et notamment de celles de prévention qui ne seraient « pas rentables » car non remboursées par la Sécurité sociale. Nous pouvons notamment l »illustrer avec la prise en charge du dépistage du cancer du col de l »utérus qui selon ce dispositif ne serait pas remboursé tandis que la prise en charge de cette pathologie le serait.

Propositions pour un reste à charge zéro

Pour dépasser ces questionnements, plusieurs pistes peuvent être identifiées qui impliquent légitimement un positionnement des pouvoirs publics :

1) Une prise en charge centrée sur des parcours définis

– La définition de parcours de soins de base définis pris en charge à 100% pour toute la population. Ces parcours pourraient inclure par exemple une consultation généraliste par an ainsi qu’un certain nombre de consultations spécialistes régulières (régulières auprès de spécialistes). Ces parcours permettraient un meilleur dépistage et une plus grande prévention avec des effets économiques conséquents à terme.

– La difficulté principale se concentre sur le financement de cet investissement et l’effet d’aubaine de ces parcours (pour les personnes réalisant déjà ces consultations).

– Le financement pourrait être envisagé par une participation des Ocam à la part des ALD, ce qui serait incitatif à la bonne mise en œuvre des actions de prévention et de dépistage également par ces organismes.

2) Une prise en charge centrée sur les générations avec un investissement sur les plus jeunes

Ce sont les plus jeunes, en effet, qui concentrent le plus d’inégalités (les inégalités sociales se transforment en inégalités sociales de santé dès l’enfance) et sur lesquels l’investissement est le plus rentable. Ce dispositif pourrait consister sur/en la prise en charge totale des plus jeunes générations et donnerait un sens à la lutte contre les inégalités de santé.

– La difficulté principale est également le coût de ce dispositif qui serait très important et qui impliquerait un véritable choix de société générationnel. Des effets d’aubaine et de seuils sont également présents.

– Les évaluations économiques montrent qu’une diminution de 5% des dépenses d’ALD permettraient de financer ce type de dispositif ; prise en charge financière qui pourrait être déléguée aux Ocam sous réserve d’une cotisation dès l’enfance des populations (7% de la population n’ayant pas aujourd’hui d’Ocam) favorisant ainsi la bonne utilisation du dispositif pour les jeunes générations.

3) Une redéfinition de trois paniers de soins

– Un panier de soins de base pris en charge à 100% par l’assurance maladie, un panier de soins mixtes (assurance maladie + Ocam) et un panier de soins non-remboursés et libres. Choix politique et sociétal, la définition du panier de soins pourrait être validée par l’Assemblée nationale.

– La soutenabilité de ce dispositif réside dans la bonne définition médico-économique de ces paniers et sous réserve d’une adhésion totale de la population aux Ocam.

4) Une prise en charge par parcours orientés

– Sur le modèle du National Healthcare System anglais, dont les résultats en termes de santé publique et de maitrise des coûts sont particulièrement attirants. Il permettrait une prise en charge élargie de la population sous réserve d’une orientation des lieux et moyens de prise en charge. C’est actuellement pour partie ce qui est réalisé par les Ocam à travers les réseaux mutualistes ou assurantiels, et en œuvre plus précisément pour l’optique par exemple.

– Plusieurs limites majeures existent cependant autour de la question du libre choix d’installation des praticiens et de choix des patients. Pour être viable, ce dispositif implique un « gatekeeper » définissant les parcours qui irait à l’encontre de la Charte de 1928 concernant la libre installation des praticiens. Ce système implique aussi l’assurance d’une couverture totale de la population permettant de lutter contre la désertification médicale et donc une légitimité par un vote à l’Assemblée nationale.

Erwann Paul

........."


jacquot

21/12/2017 à 13h15

Alors Patrick, il parait que tu serais prêt de signer?


moritooth

21/12/2017 à 13h21

jacquot écrivait:
-------
> Alors Patrick, il parait que tu serais prêt de signer?

Vu que les deux autres veulent signer, ça ne change pas grand chose...


Ba2be871 3220 4edb a5bc d126045cb763 jy2fsv - Eugenol
cyber ratiches

21/12/2017 à 13h50

https://www.le-partenaire-sante.fr/professionnels-sante/dentiste
.
Il y a du " dépôt de plainte" dans l'air pour compérage illicite 😉


--
•La chose la plus importante dans la communication est d'entendre ce qui n'a pas été dit. (Peter F. Drucker)


zolimome

21/12/2017 à 15h28

cyber ratiches écrivait:
--------------
> https://www.le-partenaire-sante.fr/professionnels-sante/dentiste
> .
> Il y a du " dépôt de plainte" dans l'air pour compérage illicite 😉



ça devrait, mais comme j'y vois des membres de co....m'étonnerait.....

le cno peut se saisir sans plainte...le fera t il ?

ça devrait...mais ne rêvons pas.


dedent

29/12/2017 à 16h12

Négocier: quel grand mot !
Quand je constate amèrement qu'un prothèse résine dite provisoire ne peut pas être facturée plus de 96€ pour 5 dents en ACS: même pas de quoi payer le prothésiste et macron qui veut que le reste à charge soit de zéro.
Comment a-t-on pu en arriver là? Honte à la CNSD et à tous les confrères qui n'ont jamais voulu ne serait-ce que bouger le petit doigt pour conserver un peu de dignité dans notre profession.
Je n'ai plus qu'une envie : aller prendre l'air ailleurs.


Roger federer 300x217 eqdnuv - Eugenol
Patatrasse

30/12/2017 à 11h19

jacquot écrivait:
-------
> Alors Patrick, il parait que tu serais prêt de signer?
Salut mon Jacquot,
Prêt de signer ? Oui sûrement, je n'ai jamais été aussi prêt de sortir le stylo.
Tu sais, des fois, je me demande ce que certains de mes confrères ou consœurs ont à la place de' leur cerveau.
Quand le DG de la CNAM te sort un document le 15 décembre sans aucun chiffres ni plafonds pour ne pas froisser les négociateurs que nous sommes, tu te dis que c'est quand même un comble qu'un syndicat ait cru bon de fixer lui même les plafonds prothétiques alors que l'on ne lui demandait rien.
Du coup, pour montrer ton étonnement sans rompre cette belle unité syndicale j'ai dit au DG que son projet sans plafonds était signable s'il restait en l'état . En effet 800 millions cela ne se refuse pas quand aucune contre partie n'est avancée par la partie adverse.
Ce trait d'humour n'a semble t il'pas été perçu par les mêmes qui lors d'un débat public devant un parterre de journalistes à l'ADF ont sorti que trop de prévention égale pas de caries et donc pas de cabinets et plus de dentistes.
Oui décidément nous n'avons pas les mêmes valeurs, nous ne défendons pas de la même façon la profession et pour l'humour, comment dire ....on n'est pas sur la même longueur d'ondes.

--
http://www.fsdl.fr/


P2eqdh3csim6s7nb09ktdq3e7ev8 - Eugenol
barbabapat

03/01/2018 à 12h14

http://www.cnsd.fr/images/Negos_2017/Nego_CD_15122017_VDEF.pdf

Ils ont compris quoi dans la partie rendre les actes de soins rentables pour les cabinets. Car le paiement au forfait sur ce type de prestations pouvant nécessiter plusieurs séances, ca va mal se finir en terme de résultat dans la bouche des français qui en auront besoin.

Prevention zgqcid - Eugenol

P2eqdh3csim6s7nb09ktdq3e7ev8 - Eugenol
barbabapat

05/01/2018 à 10h31

http://www.letelegramme.fr/france/sante-les-quatre-chantiers-de-la-ministre-agnes-buzyn-05-01-2018-11801802.php

"..........

5. Et les moyens, dans tout ça ? « Dire qu'il faut toujours plus d'argent, c'est céder à la facilité », rétorque Agnès Buzyn. « Parlons d'abord d'organisation efficace de notre système, tous les professionnels de santé savent que là est le problème. » Manière de ménager l'avenir. Car la ministre le sait : le gouvernement veut réduire la dépense publique de trois points d'ici à la fin du quinquennat et ne s'interdit « aucun sujet ».
© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/france/sante-les-quatre-chantiers-de-la-ministre-agnes-buzyn-05-01-2018-11801802.php
..........

https://www.union-dentaire.com/interets/

".........


Pour sa part, l’UD n’a jamais dévié de la trajectoire qu’elle s’était fixée pour ces négociations. Les propositions de revalorisation que nous avons présentées sont de loin les plus élevées, et nous considérons en outre que l’enveloppe globale déjà obtenue peut encore être améliorée. À nous tous de nous comporter désormais en négociateurs résolus car porteurs des intérêts fondamentaux de la profession que nous représentons. À nous tous de savoir nous rassembler sur l’essentiel : une ambition forte pour la profession que nous avons choisie.

........."


P2eqdh3csim6s7nb09ktdq3e7ev8 - Eugenol
barbabapat

19/01/2018 à 08h40

https://www.union-dentaire.com/comparaison/

https://www.union-dentaire.com/aborde/

Bilatéral avec revel aujourd'hui.
Quid des annonces de la ministre mardi sur le RAZ. En cas d'annonces publiques devant la presse, ce sera alors totalement bloqué pour la négociation derrière.

Bon, de la communication vers l'ensemble des dentistes en faisant un condensé des précédentes séances.

Par contre la présentation des différentes listes au père Noel pour dire que sa liste est la meilleure présente peut d’intérêt avec des parents qui font le tri et se sont mis en position d'avoir le mot de la fin.


john33

19/01/2018 à 10h09

Intéressant le comparatif des remboursements , Or il aurait été cohérent de ne marquer aucune revalorisation dans le cadre du règlement arbitral étant donné que les clauses de sauvegarde n'auraient jamais permis les revalorisations espérées


P2eqdh3csim6s7nb09ktdq3e7ev8 - Eugenol
barbabapat

19/01/2018 à 10h16

john33 écrivait:
------
> Intéressant le comparatif des remboursements , Or il aurait été cohérent de ne
> marquer aucune revalorisation dans le cadre du règlement arbitral étant donné
> que les clauses de sauvegarde n'auraient jamais permis les revalorisations
> espérées

Le gros problème étant que l'on a toujours pas la proposition de la sécu qui est globalement la seule intéressante surtout sur les clauses de revoyure qui n'ont pas été supprimées aujourd'hui et qui restent toujours dans les propositions.

Enfin, le fait que al ministre intervienne sur le RAZ avant d'avoir les propositions réelles de la sécu pose un problème.


Devil wxz6j6 - Eugenol
devil s dare

19/01/2018 à 13h31

de toute façon macron buzin et compagnie ne revent que d une chose: nous baiser!!! bon courage a ceux qui negocient et essayent de trouver des solutions moi je n en aurai plus la force ...... donc je ne critique plus personne!!!! si le resultat ne me plait pas .... j arrete et basta . quitte a etre sous paye je ferai autre chose sans me fouler au boulot ! on n a qu une vie