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La sécu dévoile enfin son projet diabolique 🙃🤕🤒
28/03/2018 à 20h51
Bonsoir tout le monde, je passais par là et je lis que la FSDL est plus véhémente dans ses écrits que lors des séances de négociations et on nous le reproche, du moins certains cadres à côté de la plaque . Un coup, on serait trop gentil et en même temps ce que l’on demande à Nicolas REVEL relève de l’utopie voir de la mauvaise foi.
Quand je lis les propositions de l’UD d’octobre 2017, ils demandaient 1,5 milliard d’euros . Nous nous battons pour en obtenir 1,6 . La Cnsd souhaite 250 millions sur 10 ans soit 2,5 milliards ( seul souci, dans 10 ans il faudra rattraper les augmentations des plateaux techniques par rapport à aujourd’hui donc c’est idiot).
Alors si L’Ud demande 1,5 milliard d’euros juste pour la forme sachant parfaitement que la Cnam ne les mettra pas , pourquoi les demander ?
Pour le coup, on se demande qui sont les agneaux dans ce grand théâtre de négociations ou devrais je dire concertations à sens unique .
Nous continuerons à assister à ces réunions car nous avons des choses à dire et nous les répéterons jusqu’au dernier moment pour obtenir des avancées comme celles décrites dans notre article.
La FSDL se bat pour ses propositions cohérentes, chiffrées et voulues par la profession dans son ensemble que les 2 autres syndicats reprennent et que le Directeur de la CNAM valide.
Prévention avec une mission rémunérée pour le praticien.
Tout à 100 euros ( bases de remboursement inlay, reconstitution avec ancrage radiculaire foulée , compo 3 F , inlay core et couronne )
Responsabilisation des patients
À la prochaine séance, nous essaierons d’obtenir la levée de l’opposabilité encadrée sur les exos et l’endo et valider la suppression du plafond sur l’inlay onlay en bonne voie pour ce dernier point comme quoi le travail de fond paye que l’on soit gentil ou méchant ne change rien, c’est le sérieux et les compétences qui peuvent convaincre nos interlocuteurs , pas jouer à l’actor Studio comme certaines et certaines , dépourvus d’idées nouvelles et juste bons à remplir les paniers comme des épiciers.
https://www.fsdl.fr/negociations-ou-en-est-on/
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http://www.fsdl.fr/
04/04/2018 à 05h28
https://www.egora.fr/actus-pro/assurance-maladie-mutuelles/38544-les-comptables-de-la-secu-se-comportent-comme-des?nopaging=1
"..........
"Les comptables de la sécu se comportent comme des liquidateurs judiciaires"
Par Catherine Le Borgne le 04-04-2018
Engagés dans une négociation bras de fer avec l'assurance maladie sur leurs tarifs, les radiologues savent trop bien que l'article 99 de la loi de financement 2017, accordera in fine le dernier mot aux caisses. "On négocie avec un pistolet sur la tempe", tempête le président de la FNMR qui craint que les baisses annoncées ne bouchent l'avenir de sa spécialité
"On nous oblige à négocier sous la contrainte, le pistolet sur le tempe", clame le Dr Jean-Philippe Masson, le président de la Fédération nationale des médecins radiologues (FNMR). On ? l'Union nationale des caisses d'assurance maladie (Uncam) évidemment qui, depuis l'article 99 de la loi de financement de la sécurité sociale 2017, peut moduler à sa guise les tarifs des forfaits techniques de l'imagerie médicale en cas de dérapage de sa ligne allouée, et se passer de tout accord conventionnel pour ce faire.
"La caisse a une attitude irresponsable que je ne comprends pas. Elle va tuer l'imagerie française, les comptables de l'assurance maladie se comportent comme des liquidateurs judiciaires", geint le Dr Masson. Engagé dans la négociation tarifaire avec la commission des équipements matériels lourds d'imagerie médicale, instance paritaire créée par l'article 99, où l'assurance maladie est majoritaire, le président de la FNMR s'est entendu "proposer" le 28 mars dernier, une baisse annuelle des forfaits techniques de 10 % pendant deux ans.
L'accès aux soins sera impacté
"Ce sont des propositions inacceptables, ce montant est faramineux, délirant. Si ces coupes sont mises en place, elles casseront les structures d'imagerie lourde qui repousseront le renouvellement de certains équipements", affirme-t-il. Du fait de la réduction des heures d'ouvertures induites par la réduction de la masse salariale – il faut deux manipulateurs pour un scanner - l'accès aux soins sera impacté, prédit le responsable. Or, la...
profession n'a de cesse de rappeler qu'il faut 30 jours de délai pour accéder à un examen IRM, quand le plan cancer fixe un objectif de 20 jours.
Le Dr Masson souligne que 18 % des centres de scanner et 5 % des installations IRM sont en déficit depuis les premières baisses de tarifs autoritaires prises par l'Uncam, dès janvier 2017 qui se sont traduites par la suppression du modificateur Z et son remplacement par la majoration Y moins avantageuse. A laquelle s'est ajoutée la diminution de 2 % des forfaits technique d'imagerie (scanner, IRM et TEP scan).
Les caisses étaient particulièrement gourmandes
Cet article 99, attaqué devant le Conseil d'Etat, honni par tous les syndicats signataires de la convention, a été inscrit dans le projet de budget de la sécurité sociale fin 2016, après que 18 mois de négociations au finish entre les caisses et les représentants des radiologues, n'ont pas permis de trouver un accord financier satisfaisant les uns et les autres. Il faut dire que les caisses étaient particulièrement gourmandes, réclamant à la profession, une économie de près de 230 millions d'euros sur une année. Alors que les radiologues avaient déjà été mis lourdement à l'amende, les années précédentes.
Jugeant l'affaire impossible d'autant que...
leurs contre-propositions de maîtrise médicalisée avaient été repoussées par l'assurance maladie, les spécialistes se sont vu imposer ledit article 99, accordant au directeur de l'Uncam, tous pouvoirs.
Mais au résultat, le loup a un peu rentré les dents : le premier plan "article 99" ne devrait peser que 60 millions d'euros en montant de remboursement annuels, "inférieur de 40 % en moyenne à celui des mesures précédentes" avait tenu à pondérer Nicolas Revel, le directeur de la CNAM. Un pourcentage qu'il mettait en rapport avec la croissance annuelle de 40 %, des sommes remboursées pour le secteur de l'imagerie en coupe depuis 2010. "La baisse appliquée aux forfaits techniques sera quatre fois moins importante que la dynamique annuelle de ces dépenses", s'était-il justifié il y a un an.
Rémunérations pointées du doigt
Pétitions, journées de grève des radiologues, rien n'a fait dévier la volonté de la Cnam et du gouvernement de faire plier la radiologie. Il est vrai que les revenus des professionnels se situent dans le top cinq des spécialités les mieux rémunérées, une fois les colossaux frais de fonctionnements déduits. Des rémunérations pointées du doigt par la Cour des comptes, ou calculées par la Drees, qui sont systématiquement contestées par les syndicats professionnels de radiologues libéraux. Lesquels ne recueillent la solidarité de la profession que du bout des lèvres. "Ce qui arrive aux radiologues pourrait arriver à toutes les spécialités un jour", dit-on à la CSMF, bonne fille. La centrale s'est d'ailleurs réjouie de la suppression de cet article, par les sénateurs, en première lecture du PLFSS 2018, avant qu'il ne soit réintroduit à l'Assemblée. Car malgré les sollicitations syndicales, Agnès Buzyn n'a rien changé en arrivant aux affaires.
Et c'est donc ce risque d'extension qui a...
conduit la centrale syndicat à faire de la suppression de cet article 99, l'une des conditions de son retour dans le giron conventionnel. Les négociations tarifaires se déroulent donc dans un climat pesant, mais tout de même un peu moins lourd que sous le règne de Marisol Touraine.
Invité aux journées de printemps du CNPS, interrogé sur cet article qui nie le rôle de la négociation conventionnelle, Nicolas Revel a un peu dévoilé le fonds de sa pensée, affirmant que "les régulations les plus efficaces sont celles construites sur un mode partenarial, tendant à une maîtrise des volumes par le juste soin". Une discussion est en cours avec les radiologues, a-t-il confirmé, "permettant de trouver un cadre conventionnel pour trois ans, construit sur la pertinence des actes et assorti d'objectifs économiques, aboutissant au résultat que les ajustements tarifaires ne soient plus la politique de demain". Le directeur a également souligné que les objectifs de maîtrise médicalisée avaient été atteints en 2017.
Fond d'optimisme
Pour sa part, le président de la FNMR – qui vient de recevoir le soutien de ses homologues hospitaliers du SRH et du SNAM-HP – n'entrevoit pas vraiment cette ouverture dans la négociation. Les propositions de maîtrise médicalisées proposées par son syndicat – notamment l'information et la formation du médecin demandeur sur le terrain, pour qu'il prescrive le juste soin - ont été sèchement repoussées par la CNAM, car "trop longues à porter leurs fruits. Ils veulent des résultats immédiats". Néanmoins, le Dr Masson garde un fond d'optimisme : il veut privilégier le consensus et la discussion avec les caisses. Et rêve, en cas d'accord, "de pouvoir demander la garantie au directeur de l'Uncam, de surseoir aux projets de baisses qu'il a formulées au travers de son représentant à la commission technique".
Si l'accord se fait, il faudra pour entrer en vigueur, qu'il soit traduit en avenant conventionnel, puis signé par les syndicats représentatifs polycatégoriels. "Si on trouve un moyen d'éviter l'arme atomique, je suis ouvert , commente le Dr Masson. Je le souhaite, voilà 10 ans qu'on réclame une véritable maîtrise médicalisée, basée sur la pertinence des soins. Tout comme la ministre de la Santé. On va peut être enfin y arriver
............."
04/04/2018 à 09h16
https://twitter.com/hashtag/ResteAChargeZ%C3%A9ro?src=hash
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2018/04/03/20002-20180403ARTFIG00301-les-opticiens-et-audioprothesistes-s-inquietent.php?redirect_premium
https://www.mutualite.fr/actualites/reste-a-charge-zero-premieres-esquisses-des-paniers-de-soins/
"............
es professionnels de l'optique et de l'audioprothèse réagissent aux premières orientations sur les paniers de soins à reste à charge zéro.
"Le panier de soins sans reste à charge pour l'assuré concernerait plus de monde que ne le souhaitent les professionnels", révèlent ce matin Les Echos, alors que se poursuivent les discussions avec les pouvoirs publics sur les contours du reste à charge zéro, la promesse de campagne d'Emmanuel Macron. Ces discussions "réunissent autour de la table le ministère de la Santé, Bercy, l’assurance maladie, les complémentaires et les professionnels concernés. Ils doivent s’accorder sur un panier de soins (quelle perte d’audition donne droit à quelle gamme d’audioprothèses et à quel prix) et sur son financement", rappelle Alternatives économiques dans un dossier didactique sur le sujet.
Dans le détail, les professionnels des filières optique et audioprothèse dénoncent un débat "confisqué" par une administration qui aurait selon eux choisi de ne pas faire confiance aux acteurs du secteur.
L'heure est à la construction des paniers de soins sans reste à charge, note le quotidien économique, qui pressent "un cadrage plus politique" du débat qui ne va pas tarder à s'ouvrir.
"Un avis de projet de nomenclature doit être publié début avril, suivi par l'ouverture d'une concertation officielle, puis par la publication d'un arrêté sur le reste à charge zéro fin mai", détaillent Les Echos.
Ce qui inquiète les professionnels de l'audioprothèse, c'est que les paniers de soins sans reste à charge pourraient finalement concerner 70% de la population appareillable, lorsqu'ils imaginaient les proposer à seulement 20%.
Même réaction dans la filière optique : le panier comprendrait des "verres unifocaux pour les myopes, multifocaux ou progressifs à partir de deux pathologies, avec un traitement anti-reflet, anti-UV, et même anti-rayures pour les lunettes d'enfants". Population couverte : 20% de la population cible, soit 70% des ventes pour certains fabricants. Ces derniers craignent pour leur chiffre d'affaires, et surtout pour leurs marges.
Autre annonce récente de la direction de la Sécurité sociale : les renouvellements de ces équipements seront à l'avenir plus espacés : tous les trois ans, au lieu de deux, pour les lunettes, et tous les cinq ans, au lieu de quatre, pour les prothèses auditives.
.........."
04/04/2018 à 09h21
https://www.alternatives-economiques.fr/va-financer-reste-a-charge-zero/00083839
"................
Une prothèse dentaire à 1 200 euros
>VOIR LE GRAPHIQUE UNE PROTHÈSE DENTAIRE À 1 200 EUROS
Lecture : pour une prothèse dentaire coûtant 1 200 euros, la Sécurité sociale prend en charge 72,75 euros. Les 10 % des bénéficiaires les moins bien couverts par un contrat individuel (D1 individuels) en 2013 ont un remboursement inférieur à 30 euros par leur assurance complémentaire et paient donc directement de leur poche au moins 1 100 euros.
Zoom L’accès à une complémentaire est très dépendant du statut d’emploi
>VOIR LE GRAPHIQUE
COUVERTURE COMPLÉMENTAIRE SANTÉ SELON LE STATUT D’EMPLOI EN 2014, EN %
Lecture : parmi les actifs salariés du privé, 2 % bénéficient de la CMU-C, 70 % d’un contrat collectif, 25 % d’un contrat individuel et 3 % sont non couverts.
Zoom Les chirurgiens-dentistes adeptes des dépassements
>VOIR LE GRAPHIQUE
PART DES DÉPASSEMENTS ET PART DES HONORAIRES DENTAIRES REMBOURSÉS PAR LA SÉCURITÉ SOCIALE EN 2016, EN %
1. Dans les réseaux de soins mis en place par les complémentaires depuis 2013, les professionnels doivent faire un effort sur les tarifs en échange d’un volume de clientèle garanti. Les patients, eux, sont mieux remboursés s’ils recourent à l’un des professionnels du réseau. Mais l’efficacité de ces réseaux sur l’accès aux soins reste difficile à déterminer, selon un récent rapport de l’Igas (http://bit.ly/2xQKRL0).
2. Le ticket modérateur est la partie des dépenses de santé qui reste à la charge des patients après intervention de l’assurance maladie.
............"
04/04/2018 à 11h09
https://www.alternatives-economiques.fr/va-financer-reste-a-charge-zero/00083839
1200 €, c'est VRAIiiiiiiiMENT le tarif moyen d'une couronne (c'est l'exemple pris par ce canard) ... quelle bande de rigolos ...
mais c'est tout ce que retiendra l'opinion publique ... et nous, en face, toujours pas un seul syndicat capable de démonter cette désinformation de manière EFFICACE ...
On est vraiment aussi nul que ces journaleux
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Suite à l'échec des négociations conventionnelles et la mise en place d'un règlement arbitral, seriez-vous prêt à suivre la promotion d'un déconventionnement massif de la profession par les syndicats représentatifs ? OUI - NON
Participez, anonymement, sur https://goo.gl/forms/nAO0htnsVmxotjYm1
Calculez votre impact financier du règlement arbitral sur : https://docs.google.com/spreadsheets/d/1TI0-w878rn7kdnDafB5qWfq-4RWbKjeESZWv9TC0t80/edit?usp=sharing
04/04/2018 à 11h31
107,50 X 0,7= 75,25
Je sais bien que c'est un magazine d'alternative à l’économie, mais quand même pas aux math niveau CP.
04/04/2018 à 11h41
j'avais même pas vu !
mais à ce niveau de journalisme on ne peut pas tout avoir !!!
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Suite à l'échec des négociations conventionnelles et la mise en place d'un règlement arbitral, seriez-vous prêt à suivre la promotion d'un déconventionnement massif de la profession par les syndicats représentatifs ? OUI - NON
Participez, anonymement, sur https://goo.gl/forms/nAO0htnsVmxotjYm1
Calculez votre impact financier du règlement arbitral sur : https://docs.google.com/spreadsheets/d/1TI0-w878rn7kdnDafB5qWfq-4RWbKjeESZWv9TC0t80/edit?usp=sharing
06/04/2018 à 06h13
Annonces sur le RACZ lors du congrès de la mutualité ????????
C'est sur que c'est un évènement non partisans avec de généreux donateurs de campagne à qui il faut rendre l'appareil.
http://www.edp-audio.fr/actualites/politique/5870-guillaume-flahault-au-figaro-nous-sommes-inquiets-de-la-tournure-que-prennent-les-negociations
"............
Guillaume Flahault est président du Synea depuis le mois de janvier 2014 - ©GB
Dans les colonnes du quotidien Le Figaro en date du 4 avril, le président du Syndicat national des entreprises de l’audition (Synea) fait part de son inquiétude quant à la tournure que prennent les négociations sur le RAC zéro.
La journaliste Marie-Cécile Renault rapporte dans son papier la déception de Guillaume Flahault notamment, concernant la mise en œuvre de la promesse de campagne d’Emmanuel Macron d’arriver à un reste à charge zéro dans les domaines de l’optique, du dentaire et de l’audioprothèse. Une idée simple, mais une mise en place plus délicate que prévu, relève la journaliste du Figaro. Qui plus est, les négociations sont menées tambours battant pour une révision de la nomenclature en audioprothèse qui devrait être réalisée début avril et des annonces plus globales qui devraient être faites lors du congrès de la Mutualité française mi-juin.
Aux côtés des opticiens, les audioprothésistes, en l’occurrence hier, Guillaume Flahault, tirent la sonnette d’alarme : « La réforme telle qu’elle est engagée pourrait être un rendez-vous manqué. Elle est confisquée et détournée de son objectif initial, souligne-t-il. On va vers un moins-disant pour tous, et les personnes âgées seront les premières touchées ». Le président du Syndicat national des entreprises de l’audition (Synea) fait référence aux différentes pistes évoquées par la direction de la Sécurité sociale (DSS) avec laquelle les professionnels sont actuellement en négociations : non-remboursement des appareils auditifs au-dessous de 40 décibels de perte d’audition, découplage entre la vente des appareils auditifs et des services associés, renouvellement des appareils tous les cinq ans (au lieu de quatre). Une forme de sur-réglementation de la profession en quelque sorte. « L’audioprothèse ce n’est pas la SNCF, c’est un marché très concurrentiel, détaille Guillaume Flahault. Où est la logique d’un gouvernement qui veut libéraliser le ferroviaire, et en même temps s’apprête à administrer le marché très concurrentiel de l’audioprothèse ? », s’insurge-t-il. D’autres réunions à la DSS donneront probablement aux professionnels l’occasion de tenter de corriger le tir.
.........."
06/04/2018 à 06h58
https://www.francetvinfo.fr/sante/soigner/quel-futur-remboursement-pour-les-protheses-dentaires_2692552.html
"...........
La promesse du reste-à-charge zéro concerne aussi les lunettes et les prothèses auditives, mais c'est bien en dentaire que les attentes sont les plus importantes. Et pour cause, on constate dans ce domaine le plus de renoncements aux soins pour raisons financières. On estime que 4,7 millions de personnes renoncent chaque année à se faire poser une prothèse dentaire, le plus souvent par crainte de la facture.
À lire aussi : Optique : le casse-tête du zéro reste à charge
Les fausses dents sont presque devenues un luxe. Une couronne coûte en moyenne 541 euros (de 375 à plus de 1.000 euros en fonction de la ville). Et la Sécurité sociale ne rembourse que 75,25 euros, quel que soit le prix. Le patient doit donc payer de sa poche environ 135 euros, même s'il a une bonne mutuelle.
Objectif : supprimer le reste-à-charge
L'objectif de la réforme est de supprimer le reste-à-charge. Un casse-tête parce qu'en France, les tarifs des prothèses ont toujours été libres. Les seuls tarifs encadrés sont ceux des soins dits conservateurs : détartrage, traitement d'une carie... Pour les prothèses, chaque dentiste fait comme il veut, à condition de présenter un devis au patient.
L'idée de cette réforme n'est pas d'offrir un sourire de star à tout le monde mais de déterminer un panier de soins, autrement dit de sélectionner un certain nombre de prothèses de qualité, mais pas les plus sophistiquées, qui sont essentielles et donc auxquelles les patients doivent avoir accès sans rien débourser.
À lire aussi : Remboursement limité pour les lunettes, prothèses auditives et dentaires
Un reste-à-charge choisi et non subi
Pour l'instant, la proposition de l'Assurance maladie est un peu complexe avec des tarifs différents selon la localisation de la dent et le matériau utilisé. Si la dent à soigner est une dent de devant (canine ou incisive), le patient pourra se faire poser une couronne céramo-métallique sans rien avoir à payer. En revanche, s'il s'agit d'une dent moins visible (à partir de la deuxième prémolaire), les seules couronnes entièrement remboursées seront les couronnes métalliques. Dans cette liste de prothèses entièrement prises en charge, on trouve aussi des appareils pour dents manquantes, mais pas avec les matériaux les plus nobles.
Ces prothèses "reste-à-charge zéro" ne sont pas une obligation. Le dentiste peut très bien proposer une prothèse plus haut de gamme, par exemple tout céramique, et de son côté, le patient reste libre d'avoir des exigences esthétiques plus poussées, mais dans ce cas il devra le prendre en charge.
Quelles conséquences pour les dentistes ?
Les tarifs de certaines prothèses seront donc plafonnés et les dentistes risquent de gagner beaucoup moins d'argent. Aujourd'hui, les prothèses représentent seulement 11% des actes des dentistes mais 55% de leur chiffre d'affaires. Or, selon les dentistes, avec cette réforme, la majorité des patients vont se reporter sur les prothèses entièrement remboursées et donc ils ne pourront plus compter sur leur liberté tarifaire pour faire tourner leurs cabinets. Il s'agit en effet d'un effet pervers du système instauré il y a maintenant trente ans. Les tarifs des soins conservateurs imposés par la Sécu ont toujours été très bas et tacitement, les dentistes étaient autorisés à se rattraper sur les prothèses grâce aux honoraires libres.
La réforme du reste-à-charge zéro change la donne. La Sécu en a conscience. Du coup, pour compenser le manque à gagner sur les prothèses, elle propose de revaloriser les tarifs des soins conservateurs. Et cette décision est loin d'être symbolique : en fonction des actes, cela va de 10 à 60% en plus. Mais quand les dentistes font leurs calculs, le compte n'y est pas, et cette réforme risque de mettre en difficulté certains cabinets.
À lire aussi : Implants, bridges, couronnes… Pourquoi c'est si cher ?
Qui va payer l'addition des prothèses sans reste-à-charge ?
Même si les prix vont baisser, il faut tout de même que quelqu'un paie ces prothèses à la place du patient. La Sécu s'est engagée à faire un effort, mais il ne sera pas démesuré. Par exemple, pour une couronne céramo-métallique à 541 euros, la Sécu remboursait jusqu'à présent 75,25 euros, elle prévoit désormais de rembourser 84 euros.
En réalité, ce sont les complémentaires santé qui vont régler la facture, puisque elles sont déjà les principaux payeurs du dentaire en France. Problème, Emmanuel Macron avait promis que cette réforme se ferait sans aucune augmentation des cotisations des mutuelles pour les Français. Or, on a du mal à voir comment elles vont accepter de payer encore plus (la réforme reste-à-charge zéro dentaire + optique + audioprothèses = 4 à 5 milliards d'euros) sans répercuter le coût sur les assurés. Cela ressemble à une usine à gaz, et il ne reste plus beaucoup de temps pour négocier. Le gouvernement s'est fixé pour objectif de régler la question d'ici le mois de juin 2018, même s'il faudra attendre la fin du quinquennat pour l'entrée en vigueur officielle de la réforme.
............"
Sinon 4,7 millions de personnes renonçant avec un tarif moyen de 541 euros la couronne, c'est un budget de 2,5 milliard d'euros.
06/04/2018 à 09h07
Chers camarades, futurs ouvriers spécialisés de ce bien trop cher Etat,
" " en même temps" " il y aura beaucoup plus de prothèses à faire!
Le vrai problème reste que l'on garde une CCAM axée sur le curatif, aucun remboursement pour les séances de motivation à l'hygiène par exemple, évolutions de la dentisterie conservatrice ignorées (voire méprisées)...
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Smile, it's for free
06/04/2018 à 09h40
Sheeez écrivait:
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> Chers camarades, futurs ouvriers spécialisés de ce bien trop cher Etat,
> " " en même temps" " il y aura beaucoup plus de prothèses à faire!
Bin bien sur... elle est superbe cette nouvelle convention... du soin mal réalisé a refaire plus fréquemment... et un volume augmenté mécaniquement par le RAC faible... ca va embêter que ceux qui font de la qualité, pour les autres c'est champagne !!!
Un bon patient est un patient perpétuellement malade... on va en fabriquer des millions $$$
06/04/2018 à 10h08
Le problème est la présence d'assureurs santé en France qui ont besoin de fabriquer des malades pour exister.
https://www.lequotidiendumedecin.fr/actualites/article/2018/04/05/les-taxes-sur-lalcool-le-tabac-les-sodas-ont-des-effets-plus-positifs-quattendus-sur-les-foyers-faibles-revenus_856767
"............
Une large analyse du « Lancet » sur les maladies non transmissibles (MNT) telles que les AVC, le diabète, la BPCO ou les cancers, menée en partenariat avec la commission sur les MNT de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) s’est en particulier intéressée aux bénéfices et risques (pour la santé, mais aussi financiers) des taxes sur certains produits comme l’alcool, le tabac, ou encore les boissons sucrées ou les produits gras.
Elle parvient à la conclusion que contrairement aux inquiétudes majeures qui ont été avancées, ces taxes peuvent avoir de larges bénéfices pour les foyers à faibles revenus. D’autres articles publiés dans le même numéro du « Lancet » montrent qu’un faible niveau socio-économique est associé à des taux élevés de MNT dans les pays à revenus faibles et moyens, et que ces MNT font peser un poids économique plus élevé sur ces mêmes foyers que sur les foyers à haut revenus, surtout en l’absence d’assurance santé.
Des taxes pas si régressives
L’analyse qui se focalise sur les effets des taxes se base sur des données obtenues dans 13 pays à moyens et faibles revenus (Chili, Guatemala, Panama, Nicaragua, Albanie, Pologne, Tadjikistan, Tanzanie, Turquie, Niger, Nigeria, Inde et Timor Oriental). Et les résultats contredisent largement l’idée que ces taxes sont globalement régressives (c’est-à-dire qu’elles pèsent davantage sur les plus pauvres que sur les plus riches).
L’article montre en effet que dans ces pays, les foyers à revenus élevés consomment généralement davantage (et dépensent aussi davantage) en alcool, sodas, et snacks, par rapport aux foyers à faibles revenus. Les comportements les plus à risque, tel que le binge drinking, ne sont cependant pas pris en compte. En Inde par exemple, les foyers les plus riches dépensent sept fois plus en alcool et trois fois plus en sodas et snacks que les plus pauvres. Les résultats concernant le tabac sont moins évidents.
Les auteurs soulignent aussi que les taxes sur ces produits génèrent davantage de recettes de la part des foyers à hauts revenus que des foyers à bas revenus.
Une plus grande « élasticité » des foyers à bas revenus
De plus, ils constatent que les foyers à bas revenus ont davantage tendance à modifier leurs comportements (sont plus « élastiques ») face aux augmentations des prix des produits du fait des taxes. Du coup, les bénéfices pour la santé sont plus grands dans ces foyers que dans les foyers à hauts revenus.
Et les bénéfices financiers existent aussi ! En effet, l’adaptation de la consommation des plus pauvres augmente leurs revenus à long terme, et prévient les dépenses importantes que des MNT auraient fait peser sur ces foyers.
Les auteurs soulignent cependant que l’effet positif des taxes peut être amélioré par un design adapté des politiques de taxation. Ils donnent ainsi l’exemple de l’alcool, précisant que taxer davantage les produits les plus chers pèsera moins sur les plus pauvres que de taxer simplement au volume. Et ils soulignent aussi que les substitutions et les addictions doivent être prises en compte dans ces taxations.
« Ces résultats suggèrent que les inquiétudes à propos de taxes élevées sur le tabac, l'alcool et les boissons sucrées qui seraient davantage délétères pour les plus pauvres sont excessives, indique le Dr Rachel Nugent, auteure principale. Les politiques de taxes sont une part majeure de la réponse à l'augmentation de la prévalence des MNT. »
.............."
06/04/2018 à 13h55
Ce genre de "bon patient" comme les aime l'industrie pharmaceutique, soit dit en passant!
(j'ai failli mettre comme les aiment les copains de nos ministres en charge des AMM par exemple)
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Smile, it's for free
06/04/2018 à 14h04
https://www.union-dentaire.com/signature-2/
"...............
Dans notre précédent éditorial, nous nous sommes posés la question des conséquences d’un échec des négociations, mais qu’en serait il d’une signature ?
Après 2 séances plénières cruciales pour l’ensemble de la profession et la filière dentaire, nous devons peser le pour et le contre d’une signature en fonction des nouveaux éléments à notre disposition et en prévision de la mise en oeuvre d’une nouvelle convention dentaire.
Une signature impliquerait actuellement selon les derniers éléments :
une mise en place de 3 paniers, représentant chacun environ un tiers de notre exercice : un panier à prise en charge totale dit “RAC zéro” imposé par le gouvernement, un autre « maitrisé » avec des plafonnements et un dernier à tarifs libres.
un investissement avec des revalorisations d’environ 50 % sur les actes conservateurs, 30% sur l’endodontie et 20% sur la chirurgie. Le montant total de ses investissements est de 596 millions d’euros.
une prise en charge de nouveaux actes : couronne provisoire, consultation d’urgence, coiffages pulpaires et supplément Meopa entre autres.
un investissement dans la prévention bucco-dentaire de 102 millions ventilés sur les vernis fluorés, la consultation et le traitement de parodontologie chez les diabétiques, ainsi que l’extension du BBD chez les 3, 21 et 24 ans.
L’investissement total se chiffre alors à hauteur d’1,1 milliard d’euros entre l’assurance maladie obligatoire et complémentaire par la mise en place de ces revalorisations et des différents paniers.
Les contreparties tarifaires sont encore en cours de négociations. Pour l’instant, à titre d’exemple, on peut noter :
le plafonnement de la couronne céramo-métallique à 500 euros dans le RAC zéro (Incisives, Canines et 1ere PM) avec en sus une couronne provisoire plafonnée et remboursée à 60 euros
le plafonnement dans les paniers RAC zéro et modéré de l’inlay-core acier à 185 euros
celui de l’inlay-onlay en résine à 350 euros dans le panier maitrisé
Le déplacement des couronnes céramo-céramiques ainsi que des onlays céramiques vers le panier à tarifs libres.
L’acceptation d’intégrer dans la convention une clause de révision annuelle des plafonds
Une non signature impliquerait actuellement :
La fin de l’exercice dans le cadre conventionnel, c’est à dire la perte de ses avantages.
En effet, Nicolas REVEL, le directeur général de l’UNCAM, en réponse à une question de Philippe DENOYELLE, a clairement exposé devant tous les négociateurs sa vision des faits en cas d’échec des négociations : il y aura une disposition législative qui interviendra dans le PLFSS 2019.
« Que peut faire le législateur ? : Il confiera aux parlementaires la totalité des tarifs d’actes opposables ou à entente directe.
La loi a totalement la compétence pour fixer les niveaux de tarifs par ce véhicule réglementaire.
Quel que soit le choix du législateur, les praticiens et la CNAM perdraient la main sur le cadre conventionnel ! »
Vous le comprenez tous, la négociation n’est pas finie et l’Union Dentaire est consciente que pour l’instant, la situation actuelle ne peut convenir à l’ensemble de la profession.
Notre syndicat négociera jusqu’au bout pour améliorer et obtenir le maximum dans le cadre strict et arbitraire qui nous est imposé par le gouvernement et permettre au plus grand nombre de praticiens de s’y retrouver.
Viendra ensuite l’heure du choix :
Celui de chacun des trois syndicats par rapport à la proposition finale. Pour l’UD, ce choix se fera le 31 Mai en Conseil d’Administration National.
Celui de chaque praticien qui, si il y a signature, devra choisir entre exercer dans le cadre de la nouvelle convention ou se déconventionner.
Ce dernier choix est radical et nous avons le devoir d’informer la profession de la situation de ceux qui décideraient de sortir du système conventionnel :
Se déconventionner est d’une facilité déconcertante ! Un courrier à sa caisse primaire et, un mois après réception tout est acté. Le praticien est libre de définir la valeur de ses honoraires sur les actes opposables et ses patients seront remboursés sur la base du tarif d’autorité.
Le praticien déconventionné perdra alors le bénéfice des deux avantages sociaux liés à une activité conventionnée. Il s’agit d’une part de l’ASM (Avantage Social Maladie) et d’autre part de la possibilité de cotiser au PCV et ainsi de bénéficier de la participation des caisses. Si la perte de l’ASM est sans effet sur sa couverture maladie, le praticien devra cotiser au RSI à taux plein et renforcer son contrat de retraite complémentaire facultative pour assurer son avenir.
Quand l’heure des choix sonnera, chaque syndicat devra assumer ses responsabilités. Quel que soit sa décision, il devra la défendre devant la profession. C’est rien de moins que notre avenir commun qui sera en jeu. Pour l’UD qui défend depuis des années la nécessité d’une réforme ambitieuse de notre exercice, notre Conseil d’Administration National devra trancher. L’UD devra apprécier le texte final et s’engager sans état d’âme si la nouvelle convention est positive et qu’elle trace une page prospective pour notre exercice professionnel.
Retrouver ci-apres les derniers documents distribués en séance :
https://www.union-dentaire.com/wp-content/uploads/2018/04/Ne%C4%97go-CD-05-06042018_VF.pdf
https://www.union-dentaire.com/wp-content/uploads/2018/04/N%C3%A9go-CD-06042018.pdf
Les derniers documents diffusés, après l’interruption de séance demandée par le Directeur Général, seront mis en ligne lorsque nous les aurons reçus.
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06/04/2018 à 14h10
Donc signer c'est pas si grave, alors que ne pas signer ce serait l'apocalypse ?
On ne le saura jamais donc...
06/04/2018 à 14h25
Attention sur les extractions, ca va s'amuser fortement avec les conneries d’amélioration des codages entre des extractions simple, des extractions avec séparation de racine pour la seconde et alveolectomie pour la troisième.
Par contre la secu nous nique sur la prise en charge des urgences avec une consultation. Ca devient legal même si c'est souvent déjà codé par mal de praticiens. Donc au final un gain pour les dentiste plutôt hypothétique dans les chiffres alors que le gain pour la sécu est fort avec un passage aux urgence qui lui coûte 250 euros. En plus la cotation en C rend l'urgence totalement invisible d'un point de vue statistique ce qui ne permet pas d'utiliser les chiffres pour la prévention.
06/04/2018 à 14h55
Résumons:
on va signer par ce que c'est un tout petit peu mieux que le RA.
si vous êtes pas content déconventionnez vous.
Cet argument glissé dans la partition fait bien tache. on dirait un directeur de l'unocam.
06/04/2018 à 15h25
Aujourd'hui à l'émission TV Allo docteur
-- https://www.francetvinfo.fr/sante/soigner/quel-futur-remboursement-pour-les-protheses-dentaires_2692552.html
•La chose la plus importante dans la communication est d'entendre ce qui n'a pas été dit. (Peter F. Drucker)
06/04/2018 à 15h41
Ce qui est dramatique c'est qu'ils n'aient pas encore intégré qu'ils peuvent signer ce qu'ils veulent, cela n'engage que la profession, sur les contraintes uniquement.
Les avantages, revalorisations et autres, toujours hypothétiques et lointains, peuvent être rayés d'un trait de plume.
06/04/2018 à 16h28
autre chose.
signer ce truc sans que les mutuelle aient encore parlé.... c'est chaud.
Visiblement c'est elles qui vont financer la partie prothèse et on ne sait pas encore comment...
Enfin si, on sait comment... y'a pas 36 moyens pour ne pas que la demande explose.
06/04/2018 à 16h32
lardonbis écrivait:
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> autre chose.
> signer ce truc sans que les mutuelle aient encore parlé.... c'est chaud.
> Visiblement c'est elles qui vont financer la partie prothèse et on ne sait pas
> encore comment...
>
> Enfin si, on sait comment... y'a pas 36 moyens pour ne pas que la demande
> explose.
https://twitter.com/JFTripodi/status/981925054245163008
06/04/2018 à 17h00
les réseaux de soins ne sont pas assez mûr pour pouvoir créer et maintenir une pénurie d'offre qui éviterait un gros dérapage avec le RAC0 sans toucher aux contrats.
La seule façon d’éviter la fête du slip c'est de verrouiller tout les contrat avec des plafonds assez bas.
Tout le monde est content. Les muts dépensent pas plus, mouchou a son RAC0, la sécu reste dans les clous, les bouches des patients sont encore plus destroy qu'avant mais la médiocrité est mieux répartie dans la population.