Cookie Consent byPrivacyPolicies.comNumérisation de la societe - Eugenol

Numérisation de la societe

azerty

03/10/2021 à 18h34

Libertés
Sous le masque du Covid, la numérisation intégrale de la société

Sous le masque du Covid, la numérisation intégrale de la société
Quid des changements structurels : moyens pour l’hôpital public, lutte contre la pollution, prévention des maladies environnementales ? Contre le Covid, le gouvernement a préféré tout miser sur la vaccination et le traçage numérique, rage notre chroniqueuse. Pour le bonheur des tenants des industriels de l’e-santé, de l’intelligence artificielle et de la big data.

Celia Izoard, journaliste et membre de la revue Z, a fait des études de philosophie et traduit des ouvrages critiques de la technologie moderne, dont 1984, de George Orwell (janvier 2021). Elle est aussi chroniqueuse pour Reporterre.

Un bon lapsus, parfois, résume une politique. C’est le 25 février 2021, en conférence de presse, qu’Emmanuel Macron a évoqué pour la première fois l’idée d’un passe sanitaire, et il a eu cette formule étrange : « Les gens s’enregistrent, avec un code, de la manière la plus simple et la plus numérique qui soit. » Dans la « start-up nation », c’est l’évidence. Qu’on parle d’écologie, d’éducation ou d’une pandémie, le numérique est toujours la réponse. Mais il faut se demander quelle est la question. La question est-elle celle-ci : comment limiter la mortalité et les effets les plus graves de la pandémie de Covid-19 ? Ou serait-ce plutôt : comment la France peut-elle utiliser la pandémie pour conforter son leadership technologique et économique sur la scène internationale ? En d’autres termes, la politique « sanitaire » du gouvernement (français, mais aussi israélien, chinois, etc.) est-elle une politique de santé publique ou une politique industrielle sur le front stratégique des big data et de l’intelligence artificielle ?

En matière de santé publique, dix-huit mois après le premier confinement, certaines mesures évidentes de protection et de prévention n’ont pas été prises. Contrairement au passe sanitaire et à l’usage systématique de vaccins en cours d’expérimentation, elles feraient pourtant largement consensus. Ainsi, concernant le besoin critique de moyens hospitaliers, 160 000 lits d’hôpitaux de soins de longue durée ont été fermés entre 1990 et 2017, quand le « Ségur de la santé » signé en juillet dernier projette d’en ouvrir seulement 4 000. De même, alors qu’on a très tôt établi le constat que les malades chroniques sont parmi les principales victimes du Covid, à savoir les personnes atteintes de maladies cardiovasculaires, d’obésité, de diabète, d’hypertension, de maladies respiratoires chroniques et de cancer, aucune mesure d’ampleur comme la limitation des fast-foods, la limitation des phtalates [1], l’élimination des perturbateurs endocriniens ou l’interdiction des pesticides n’a été prise. Concernant la prévention des zoonoses, sources d’explosions épidémiques, alors même que le ministère de la Transition écologique met explicitement en avant le rôle de l’élevage industriel dans l’apparition des épidémies, les installations gigantesques se multiplient dans toute la France, facilitées par la loi Asap (« Accélération et simplification de l’action publique », nommée en référence à l’expression [« As soon as possible »|« Aussi vite que possible », en français]).

Un monde fondé sur les nanotechnologies, les biotechnologies, l’informatique et les sciences cognitives

En deux mots, il n’y a pas eu de « monde d’après » — ou plutôt, nous sommes dans l’autre « monde d’après » : celui qui était en germe dans le monde d’avant. Ce monde-là repose sur ce qui est présenté depuis plus de vingt ans comme la clé de la compétitivité économique, résumé par le sigle « NBIC » : nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives. Face à une pandémie, il se déploie sous la forme d’une politique sanitaire exclusivement fondée sur la vaccination et le traçage numérique. Dans des domaines qui pourraient nuire aux intérêts de l’agro-industrie, la chimie, la grande distribution, ou qui nécessitent des investissements dans des moyens humains, comme l’hôpital, aucun bouleversement à l’horizon. Il semble inimaginable de modifier les lois et les réglementations au nom de la santé publique.


Le « Ségur de la santé » projette d’ouvrir seulement 4 000 lits d’hôpitaux. © Mathieu Génon/Reporterre
En revanche, les mesures sanitaires NBIC, elles, justifient de mettre à bas toute une tradition de libéralisme politique et de soumettre la population à un degré de coercition hier impensable : présentation obligatoire d’un code QR à l’entrée de certains lieux publics, fermeture administrative pour les commerçants se refusant à trier leurs clients, licenciements d’agents publics non vaccinés...

Si l’on peut douter que le passe sanitaire protège la santé des plus fragiles, on ne peut pas douter qu’il s’inscrit, « de la manière la plus simple et la plus numérique qui soit », dans une politique industrielle. Ses enjeux ont été clairement explicités dans le rapport Villani de 2018 sur l’intelligence artificielle : face à la concurrence des géants internationaux, il faut créer « une politique économique articulée autour de la donnée ». Le rôle de l’État est ici « la mise en place de moyens de collecte de données de qualité » afin de susciter la création de start-up et l’émergence de géants dans ce domaine. Tout particulièrement dans le secteur prioritaire de la santé. Ainsi, « l’un des rôles de la puissance publique à l’heure de l’IA [intelligence artificielle] est d’orchestrer le “monitoring” de l’ensemble du système sanitaire, c’est-à-dire d’identifier les données susceptibles d’être utilisées et d’organiser les modalités concrètes de leur collecte et de leur exploitation à des fins de santé. »

Avant même l’entrée en scène du Covid-19, l’Agence européenne de santé avait lancé un appel d’offres pour développer une e-carte de vaccination destinée à limiter les risques pandémiques en Europe ; le marché a été remporté au printemps 2020 par un consortium de quatre entreprises françaises, piloté par le groupe de santé numérique Jouve. En juillet 2020, le « Ségur de la santé » a consacré d’un côté 8,2 milliards d’euros à l’augmentation des salaires du personnel soignant, mais il a investi en même temps 2 milliards pour informatiser les données médicales et organiser leur « partage ».

« Le Covid-19 n’a donné qu’un avant-goût des multiples cas d’usage possibles » des technologies numériques

Autre exemple : l’État est actionnaire de l’entreprise Doctolib, qu’il a chargée de la prise de rendez-vous pour la vaccination contre le Covid. Grâce à ce gigantesque marché intérieur ouvert par la contrainte vaccinale, l’entreprise a pu recueillir, sans qu’elles en soient informées, les données de santé de la patientèle de tous les professionnels de santé inscrits sur la plateforme (ce qui a valu à Doctolib de se voir décerner en juin dernier, en Allemagne, un « Big Brother Award »). Elle peut désormais les monétiser [2] et se livrer à toutes sortes d’expériences lucratives en matière de e-santé, ce qui pourrait lui permettre de dominer un marché estimé à entre 16 et 22 milliards d’euros [3].


La plateforme Doctolib a enregistré un pic de plus de trois millions de réservations la semaine suivant l’allocution de M. Macron. © Alexandre-Reza Kokabi/Reporterre
Si « nous sommes en guerre », comme l’a affirmé Emmanuel Macron, n’est-ce pas parce que la guerre est la continuation de la politique industrielle par d’autres moyens ? Dès le mois d’avril 2020, l’Institut Montaigne, principal groupe de réflexion du néolibéralisme à la française, s’est intéressé aux moyens déployés par les pays d’Asie orientale — Chine, Corée du Sud, Taïwan, Singapour — pour limiter la contagion, et tout particulièrement aux dispositifs de contrôle numérique : passe sanitaire (lancés en Chine et à Singapour dès mars 2020), applis de contact tracing, géolocalisation et usage des compteurs communicants pour contrôler les quarantaines, caméras à reconnaissance faciale pour surveiller les interactions dans l’espace public, etc. En juin dernier, un saisissant rapport de la Délégation sénatoriale à la prospective plaidait pour l’usage systématique de ces mêmes technologies en cas de crise. Il dénonçait la « sensibilité de la population à la collecte et au croisement de données par les autorités », qualifiée d’attachement à des « “principes” qui apparaissent aujourd’hui coûteux et mal placés ». « Les perspectives ouvertes par le recours aux technologies numériques sont immenses, écrivaient les sénateurs, et la crise du Covid-19 n’a donné qu’un avant-goût des multiples cas d’usage possibles. […] Il serait irresponsable de ne pas se saisir de telles possibilités. » Au fil du rapport, l’objectif transparaît clairement : avancer sur « les chantiers généraux, de plus longue haleine, qu’il faut continuer à mener avec détermination, en gagnant la confiance des citoyens : le numérique en santé, l’identité numérique, l’État-plateforme ».

Pour résumer, l’état d’urgence sanitaire permet à l’État de remplir ses deux fonctions historiques essentielles : le maintien de l’ordre et le pilotage de la croissance économique. La protection de la santé publique ne s’y rattache que par accident, si et seulement si elle satisfait également ces deux premières conditions. La protection des libertés, elle, est le produit d’un rapport de forces. Nous devons aujourd’hui lutter pour nos libertés, ne serait-ce que pour défendre des pratiques de santé qui ne soient pas assujetties à la croissance économique, mais qui, au contraire, la combattent — car nous les savons, à terme, malheureusement incompatibles.


Source: reporterre


RépondreCiter
Ylfwcw979cz1jnx9gfqeaxndiuzk - Eugenol
Algi

05/10/2021 à 08h31


On peut rajouter à ça le peu d'empressement des pays occidentaux à développer ou tester sérieusement un traitement contre le covid.....



--

On a toujours le choix mais entre quoi et quoi?
Vas-y boulégue et l'avenir te le dira!


Hok 1b hgd3rj - Eugenol
Hokusai

05/10/2021 à 09h04

azerty écrivait:
------
> Pour résumer, l’état d’urgence sanitaire permet à l’État de remplir ses deux
> fonctions historiques essentielles : le maintien de l’ordre et le pilotage de la
> croissance économique.

et bin c'est un epic fail sur les deux fonctions... je crois qu'on doit pas parler du même pays.

https://www.lefigaro.fr/faits-divers/metropole-de-lyon-un-cortege-de-mariage-provoque-une-grosse-pagaille-sur-une-route-nationale-20211003


P2eqdh3csim6s7nb09ktdq3e7ev8 - Eugenol
barbabapat

05/10/2021 à 09h34

Hokusai écrivait:
-------
> azerty écrivait:
> ------
> > Pour résumer, l’état d’urgence sanitaire permet à l’État de remplir ses deux
> > fonctions historiques essentielles : le maintien de l’ordre et le pilotage de
> la
> > croissance économique.
>
> et bin c'est un epic fail sur les deux fonctions... je crois qu'on doit pas
> parler du même pays.
>
> https://www.lefigaro.fr/faits-divers/metropole-de-lyon-un-cortege-de-mariage-provoque-une-grosse-pagaille-sur-une-route-nationale-20211003

Tu ne veux quand même pas emmerder les jeunes des cité qui les font vivre avec le trafic de drogue.

On, te parles de maintient de l'ordre pour la population et tu veux que la police se risque à emmerder des jeunes pour se faire traiter de racistes à la télé.


Gabzou

05/10/2021 à 17h25

"En matière de santé publique, dix-huit mois après le premier confinement, certaines mesures évidentes de protection et de prévention n’ont pas été prises. "

Bon sang, mais lesquelles?

" Contrairement au passe sanitaire et à l’usage systématique de vaccins en cours d’expérimentation, elles feraient pourtant largement consensus. "

Mais crachez le morceau !

"aucune mesure d’ampleur comme la limitation des fast-foods, la limitation des phtalates [1], l’élimination des perturbateurs endocriniens ou l’interdiction des pesticides n’a été prise. Concernant la prévention des zoonoses, sources d’explosions épidémiques, "

Ah, je croyais qu'on parlait de prévention COVID moi, pas de prévention générale à long terme. suis con.


croc1765

05/10/2021 à 17h53

azety tu me me dire en quoi le vaccin est en cours d'experimentation ?
par la même occasion me donner la liste e chefs d'etats disparus en 2021?

ou tu te contentes de faire des copiés collés?


azerty

05/10/2021 à 17h57

pour le vaccin, tu vas sur les sies ad hoc(je ne les ai plus de memoire) et il est bien spécifié qu'ils ont une amm provisoire et qu'ils sont en cours d'expérimentation sur l'homme.

pour le reste, cherche et tu trouveras


croc1765

05/10/2021 à 18h47

pour ta gouverne le pfizer est en amm definitive aux usa depuis fin aout mais c'est pas grave
j'aimerais juste que tu m'expliques en quoi il est encore experimental ou qu'entends tu par experimental
si tu as lu cela tu dois etre capable de l'expliquer

pour les chefs d'etats j'ai cherché mais pas trouvé
si tu me dis que je devrais trouver c'est que des sources existent pourquoi ne pas les faire suivre afin de prouver tes ecrits

azerty écrivait:
------
> pour le vaccin, tu vas sur les sies ad hoc(je ne les ai plus de memoire) et il
> est bien spécifié qu'ils ont une amm provisoire et qu'ils sont en cours
> d'expérimentation sur l'homme.
>
> pour le reste, cherche et tu trouveras


azerty

05/10/2021 à 18h52

je te rappelle que ce n'est pas moi qui est ecrit l'article
et quand je suis allé voir les amm il y a 2-4 mois c'etait jusqu'en 2022


croc1765

05/10/2021 à 19h05

mais c'est toi qui le relaies
a quoi correspond pour toi cette date de 2022?
malgré tout tu ne reponds pas en quoi il est experimental ?

et les souces pour les chefs d'etats?

azerty écrivait:
------
> je te rappelle que ce n'est pas moi qui est ecrit l'article
> et quand je suis allé voir les amm il y a 2-4 mois c'etait jusqu'en 2022


azerty

05/10/2021 à 19h15

avant de mettre un medoc sur le marche il y a différentes etapes.
une phase in vitro pour voir si ca marche
une phase sur les aniùaux pour voir si ca marche et les effets secondaires
une phase sur des volontaires pour voir si ca marche et les effets secondaires.
et cette dernière etape a été sautée.
on a pris une technique qui marche a peu pres et on a pris le risque que cela se passe bien sur l'homme. sans prendre en compte des effets secondaires.
pour le moment, a priori pas trop des merdes mais le jeu est risqué.
deja qu'en respectant toutes les etapes cela peut merder sec... (thalidomide, vioxx....)


croc1765

05/10/2021 à 19h38

en quoi "la dernière etape a été sauté"
et de quelle etape tu parles?


azerty écrivait:
------
> avant de mettre un medoc sur le marche il y a différentes etapes.
> une phase in vitro pour voir si ca marche
> une phase sur les aniùaux pour voir si ca marche et les effets secondaires
> une phase sur des volontaires pour voir si ca marche et les effets secondaires.
> et cette dernière etape a été sautée.
> on a pris une technique qui marche a peu pres et on a pris le risque que cela se
> passe bien sur l'homme. sans prendre en compte des effets secondaires.
> pour le moment, a priori pas trop des merdes mais le jeu est risqué.
> deja qu'en respectant toutes les etapes cela peut merder sec... (thalidomide,
> vioxx....)


aimπ

05/10/2021 à 19h41

Ben voilà, ça y est, vous nous avez encore énervé notre commissaire politique. Déjà avec un truc foireux de Raoult, ça lui a pourri son année. Maintenant c'est reparti avec deux ou trois approximations sur agoravox.
Les AMM pour le Pfizzer c'est conditionnel pour deux ans à partir du 20/12/20
https://www.ema.europa.eu/en/news/ema-recommends-first-covid-19-
vaccine-authorisation-eu
https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/vaccins-autorises
Les chefs d'état éliminés, c'est juste que l'assassinat de Juvenel Moïse à Haïti n'a pas été élucidé. Mais faut-il fusiller tous ceux qui donnent leur avis sur les réseaux sociaux?


azerty

05/10/2021 à 19h50

l'essai sur l'homme.
c'est bien pour ca que les labos ont fait transférer leur responsabilité en cas de merde sur les etats. cou comment se défausser.


croc1765

05/10/2021 à 20h01

le roi des graphique est de retour
1/en quoi le vaccin est-il encore experimental ?

2/sur ansm :
L’AMM conditionnelle rassemble tous les verrous de contrôles d’une autorisation de mise sur le marché standard pour garantir un niveau élevé de sécurité pour les patients.
Une AMM conditionnelle est accordée pour un an et peut être renouvelée. Lorsque les autorités européennes ont reçu et évalué toutes les données complémentaires exigées, l’AMM conditionnelle peut être convertie en une AMM standard.

3/ a quoi correspondent concretement les 2ans

Pour le président haïtien
Comment dire....

Et pour le druide cela ne m’a pas pourri l’année cela a juste montrer ton niveau de capacité d’analyse

aimπ écrivait:
----
> Ben voilà, ça y est, vous nous avez encore énervé notre commissaire politique.
> Déjà avec un truc foireux de Raoult, ça lui a pourri son année. Maintenant c'est
> reparti avec deux ou trois approximations sur agoravox.
> Les AMM pour le Pfizzer c'est conditionnel pour deux ans à partir du 20/12/20
> https://www.ema.europa.eu/en/news/ema-recommends-first-covid-19-
> vaccine-authorisation-eu
> https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/vaccins-autorises
> Les chefs d'état éliminés, c'est juste que l'assassinat de Juvenel Moïse à Haïti
> n'a pas été élucidé. Mais faut-il fusiller tous ceux qui donnent leur avis sur
> les réseaux sociaux?


Hok 1b hgd3rj - Eugenol
Hokusai

05/10/2021 à 20h29

azerty écrivait:
------
> l'essai sur l'homme.
> c'est bien pour ca que les labos ont fait transférer leur responsabilité en cas
> de merde sur les etats. cou comment se défausser.

Je vois plutôt ça comme des doses a 20e sans assurance et pas a 1600e avec assurance...
Le labos il fait ses calculs de risque, fixe un tarif et il vend après AMM.
Maintenant quand je vois les chiffres du covid, je vous trouve vraiment dur avec les vaccins a arnm... Ce fut efficace, pas cher et sur.


croc1765

05/10/2021 à 20h38

azerty écrivait:
------
> l'essai sur l'homme.
T’es sérieux ?


> c'est bien pour ca que les labos ont fait transférer leur responsabilité en cas
> de merde sur les etats. cou comment se défausser.
Une source pour cela


azerty

05/10/2021 à 21h13

Cherche un peu.
Et pour les essais thérapeutiques cultive toi un peu. Il y a forcément des essais clinique sur l homme


croc1765

05/10/2021 à 21h49

En quoi l’étape a été sauté ? Et laquelle ?
En quoi le vaccin est encore expérimental
A quoi correspondent concrètement les 2ans
Ce sont pourtant des questions simples

Car c’est facile de raconter autant de conneries mais argumente au lieu de troller
Si tu es si sûr de toi cela doit être facile de prouver tes écrits




azerty écrivait:
------
> Cherche un peu.
> Et pour les essais thérapeutiques cultive toi un peu. Il y a forcément des
> essais clinique sur l homme


azerty

06/10/2021 à 09h05

https://msss.gouv.qc.ca/professionnels/vaccination/piq-immunologie-de-la-vaccination/de-la-conception-des-vaccins-a-leur-commercialisation/


croc1765

06/10/2021 à 09h13

voilà ce que tu ecris
"une phase sur des volontaires pour voir si ca marche et les effets secondaires.
et cette dernière etape a été sautée. "

quelle étape a été sauté?
en quoi le vax est -il experimental
a quoi correspondent concretement les 2 ans ?
azerty écrivait:
------
> https://msss.gouv.qc.ca/professionnels/vaccination/piq-immunologie-de-la-vaccination/de-la-conception-des-vaccins-a-leur-commercialisation/


azerty

06/10/2021 à 09h54

la tu me fatigues sec.


P2eqdh3csim6s7nb09ktdq3e7ev8 - Eugenol
barbabapat

06/10/2021 à 09h55

croc1765 écrivait:
--------
>
> quelle étape a été sauté?
> en quoi le vax est -il experimental

La phase 3 à quand même largement sauté avec le fait que le groupe témoins se soit fait vacciner en cour d'étude clinique de mise sur le marche avant la fin de cette étude.

Un médicament qui est mis sur le marcher avec une AMM conditionnelle est il un médicament robuste non expérimental.


croc1765

06/10/2021 à 09h56

logique
tu es incapable de repondre

azerty écrivait:
------
> la tu me fatigues sec.


azerty

06/10/2021 à 10h05

si mais quand on a la flemme de chercher des infos et que l'on ne veut pas les lies ca me gonfle.
et meme barbapapat viens de t écrire la meme chose dans son post.
après si tu ne veux pas lire ou comprendre je n'y peux rien.
quand on pose une amm conditionnelle c'est qu'il y a quand meme des zones d'ombre et que l'on ne sait pas exactement ou on va.