Tous les forums
Biotech fait de la résistance.
03/11/2025 à 16h47
Gabzou écrivait:
------
> wakrap écrivait:
> > . Leur patrimoine est strictement le même, le même nombre d'actions. La
> > valorisation varie. Il ne peut y avoir enrichissement que si vente des
> actions.
> > Tu comprends mieux ?
> 
> Tu réalises que si je t'écoute des gens avec 600 millions de capital ne feraient
> aucun bénéfice...
Ce ne sont pas des gens, ce sont des sociétés valorisées 600 000 000. tiens Medincell passe les 2 milliards et ne dégage toujours aucun bénéfice, mais cela viendra ddans 2 ans, enfin on espère.
> 
> Je repars d'un fait:
> Depuis plusieurs décennies, le capital se concentre, à un rythme effréné.
> Partout dans le monde.
C'est absolument faux. Le développement en particulier des retraites par capit le diffuse. Ce n'est pas parce que Blackrock en gère des trouzaines de trouzaines de milliards que ce capital appartient à blackrock. Sur 50 ans la part je crois des 1% (ou0.1% ou...je m'en fous) n'a quasiment pas bougé sur la planète autour de 25/27%.
> Ce qui entraine un appauvrissement relatif des travailleurs par rapport aux
> rentiers. 
non sequitur. Et non, le rapport revenu du travail/revenu du patrimoine n'a pas bougé. Mais il existe un problème français, la part du travail servant à payer les inactif gonfle car refus de la capitalisation. C'est un soucis franco-français.
La décorrélation coût de l'immobilier / salaires en est en exemple
> typique.
Idem, non sequitur. Le coût de l'immobilier est le résultat de la politique du logement, offre... et c'est un problème gravissime, oui.
> Pour vous:
> 1) Ce n'est pas un problème ? (Vous croyez encore au ruissellement?)
> 2) C'est un problème mais vous avez une autre solution que taxer ce capital?
> Laquelle?
> 3) C'est un problème mais on ne va rien faire parce que les riches pourraient
> aller ailleurs (crainte jamais vérifiée à ma connaissance) et c'est mieux que si
> c'était pire?
> 
Ni problème ni pas problème, cela n'existe pas. Seul existe le refus de faire accéder les travailleur français au capital par refus de la capitalisation.
> Enfin, je me permet une interprétation personnelle, dites moi si j'ai tort.
> Tout le monde râle de nos tarifs trop faibles. L'état fixe ces tarifs car il n'a
> pas de quoi payer plus.
> L'état se rémunère avant tout sur les revenus du travail, pas sur ceux du
> capital.
> N'y a-t-il pas un lien?
Le capital est surtaxé en France: Is + flat tax on est à 50% au premier franc. C'est plus que le travail.
03/11/2025 à 17h38
Ceci dit, viendra le jour où je ne mettrai plus mon nez dans vos débats, j'ai reçu de quoi démarrer la formation pour ma reconversion.
03/11/2025 à 18h22
Un libertarien à Tahiti. Déjà, ça sonne comme une blague que même la mer trouve un peu longue.
Le gars fuit l’État, les impôts, la société du contrôle — pour s’installer sur une île française, couverte d’administration, de fonctionnaires et de lagons réglementés au centimètre. C’est beau, la cohérence tropicale.
Et maintenant, le voilà qui veut s’acheter un catamaran. La liberté, la vraie ! Enfin… dès qu’il aura fini le Cours des Glénans, ce petit bréviaire pour marins qui veulent tutoyer l’océan sans trop froisser la Préfecture maritime.
On l’imagine déjà, le front salé, citant Hayek entre deux bourrasques, hurlant “vive l’individu souverain !” pendant qu’il suit religieusement les chapitres sur la gîte et la dérive.
Un libertarien à Tahiti, c’est un peu comme un vegan dans une rôtisserie : il est libre, oui, mais ça sent quand même un peu le compromis tiède.
04/11/2025 à 07h32
dentiste avisé écrivait:
--------------
> Si tu es content de payer les impots pour eux, tant mieux. 
très sincèrement je préfère donner mon pognon pour apple google microsoft amazon qui me facilitent la vie tous les jours 
qu a la sncf aux intermittents du spectacle fonctionnaires territoriaux css et autres branleurs français...
taxer les gafam c est rendre leurs services plus cher et dilapider la taxe perçue dans des gabegies... mais pourquoi pas... au point où on en est.
maintenant, si on arrêtait les gabegies et qu on foutait les branleurs au travail, on aurait les mêmes taux de prélèvement qu ailleurs et y aurait aucun sujet d optimisation fiscale.
faut prendre le pbm dans le bon sens.
après je pense qu on a attend le point de non retour, c est a dire que la seule et unique option c est l effondrement.
par contre je suis impressionné c est par la lenteur de l effondrement, je pensais que ce serait un krach mais finalement c est plus proche du feu qui s éteint.
04/11/2025 à 10h47
dentiste avisé écrivait:
--------------
> https://www.lefigaro.fr/conjoncture/adieu-a-30-ans-d-inefficacite-pourquoi-le-royaume-uni-renationalise-ses-chemins-de-fer-20250923
Heureusement que la SNCF est privé. Qu'est ce que cela serait si c'était un établissement public en terme de retard, de sous investissement, de prix des billets incompréhensibles.
Le gros problème est dans l'inadéquation des services face à la concurrence de la voiture ou même de l'avion.
Après ca permet de relancer le petit commerce le train. Et encore heureusement que les couteaux sont interdits en Angleterre.