Tous les forums
relation avec ces assistantes
12/03/2005 à 11h02
tornade69 :allez moi, j'arrête là car cela devient un peu bebete.
Quand tout se fait petit, femmes vous restez grandes.
[Victor Hugo]
Extrait de Châtiments
12/03/2005 à 12h38
Perso, honnêtement, j'ai de la peine pour toutes les assistantes qui ont à travailler avec de pareils crétins.
13/03/2005 à 21h21
tornade69 a écrit:
-------------------------------------------------------
> allez, on se détend. je suis certaine que tu es un
> très bon et gentil chirurgien dentiste.
> d'ailleurs, ça se voit dans ta manière de
> t'exprimer. Je suis parfaite,oui c'est vrai mais
> belle, je n'avais pas osé le signaler mais grâce à
> toi... je suis le prototipe même de la SUPER
> PARFAITE ET BELLE assistante dentaire "QUALIFIEE"
> et le pire dans tout ça, c'est que je pousse le
> vice à être blonde aux yeux bleus... allez moi,
> j'arrête là car cela devient un peu bebete.
> tchao
Quel programme ! Et avec du caractère en plus !Cela m'intérèsse !J'ai justement besoin d'une assistante...Dispo ? où et quand ?
13/03/2005 à 21h29
bonjour, combien ? tu serais prêt à rémunérer une assistant comme moi ? j'ai 35 ans et 18 ans de "carrière" si j'ose dire. aujourd'hui, je gagne en travaillant pour deux dentistes (les malins) 1400 net avec un treizième mois...voilà votre majesté. bonne soirée et bon courage
13/03/2005 à 23h04
tornade69 dit:
"Je pense qu'elles sont dégoutées car il n'y a aucunes évolutions possibles dans ce metier"
En orthographe, je pense que la marge de progression est importante...
"je suis le prototipe même de la SUPER PARFAITE ET BELLE assistante dentaire "QUALIFIEE"
Idem pour la modestie...( prototype?)
"tu serais prêt à rémunérer une assistant comme moi"
NON! tu te la pètes pas un peu ou tu te le pètes pas un peu? :-)))
14/03/2005 à 17h42
Je me pose des questions, j'ai une nouvelle assistante depuis le 1er janvier, et je n'ai toujours pas eu de relation avec elle.
Docteur, est-ce normal?
A+
14/03/2005 à 22h10
réponse pour zorbeca
peut-être que ton déo n'est pas top...
ou alors ton charme
14/03/2005 à 22h14
Merci pour ton mail, je vais me faire un relooking.
Si le syndrome persiste, peux-tu me conseiller un spécialiste ou une spécialiste.
Amitiés
14/03/2005 à 23h53
Dis donc, c'est chaud ici...
Le thème de ce post tombe à pic car en terminant ce soir j'ai une petite explication avec mon assistante.
Je lui ai gentillement (je répète gentillement) signifiée qu'il y avait de la poussière en dessous du fauteuil donc que le nettoyage (je suis un peu maniaque sur ce point) n'avait pas été optimum depuis plusieurs jours. Tout de suite elle se met à pleurer et part se confier à une assistante comme quoi elle est sous pression, qu'elle n'en peut plus...
J'essaye pourtant de la ménager le plus possible car elle est enceinte de 5 mois. Ce n'est pas mon genre de raler tous les jours mais quand quelque chose n'est pas bien fait, je me dois de le dire mais jamais méchamment ou de façon humiliante.
Elle me dit qu'elle ne supporte pas qu'on lui dise qu'elle ait fait une erreur, qu'elle n'a jamais été habitué à ce que l'on lui fasse des reproches. Elle dit qu'elle n'a pas le temps de tout faire alors qu'elles sont 7 à se partager la tâche pour 3 praticiens... et les autres assistantes lui filent souvent un coup de main. Elle n'a pas de temps de nettoyer le fauteuil mais par contre pour parler de ses naussées, de sa dernière échographie, on sait tout en long, en large et en travers. C'est une vraie pipelette... sans compter que la pause café s'éternise un peu.
De ce fait, elle ne veut plus travailler avec moi et préfère bosser avec mon boss qui est plus "indulgent". C'est quand même fort, c'est l'employéqui décide de ce qu'il va faire maintenant...
Et maintenant, c'est moi qui suit dégouté car je passe pour un gougat alors que cette réflexion était tout à fait justifié.
Comment gérer le fait qu'elle n'accepte pas la critique alors qu'elle est en faute?
Merci de vos réactions.
14/03/2005 à 23h59
Bon , déjà la méthode amibien me semble délicate dans ce cas... ;-)
Plus sérieusement il n'y a pas de recettes miracles, tu as le feeling avec certaines personnes à qui tu pourras tout dire sans pb et avec d'autres, la moindre remarque tourne au drame...
Essaie de t'entourer des premières (difficile quand on n'est pas chez soi, je te l'accorde...)
A+
15/03/2005 à 00h13
salut,
conf sur la communication de jeudi dernier par une pro de la comm :
Méthode en 5 points :
-"convocation" de la personne concernée (de préférence avec ton boss et les associés);
- exposition des faits réels et traduction de leurs conséquences dans le cabinet, par rapport aux patients, à l'hygiène,...;
- Question : "que comptez-vous faire pour remédier à cela?" (+ "Charge de travail trop importante?" ; "manque de matériel?");
Là, il faut noter les réponses, éventuellement guider le salarié vers la solution mais c'est lui(elle) qui s'implique.
- réévaluation à X jours;
- Encouragements ou félicitations ou convocation officielle à un entretien;
Voilà, tout ca sans croire, dans ton cas, que tu n'auras pas de congès maternité pathologique...
En outre, l'appui des confrères est indispensable dans le cas où tu n'es qu'un "simple" collaborateur.
Voilà.
15/03/2005 à 00h14
Tonio,
il faut absolument que les prérogatives de chacunes des assistantes soient parfaitement définies et établir des protocoles qui intègrent des tâches à réaliser périodiquement (ex: contrôle de la présence de poussière sous le fauteuil)
Ces protocoles doivent être établis en concertation avec elles, il est important qu'elles se sentent impliqués dans leur élaboration car,ainsi, elles y adhéreront plus facilement.
En revanche, il faut être juste et ne pas reprocher à une assistante un manquement pour une chose qui n'est pas de son ressort, d'où l'importance de définir le plus précisement possible les ròles de chacun (y compris la femme de ménage).
et quelques encouragements donnent aussi souvent d'excellent résultats sur la motivation du personnel)
@+
15/03/2005 à 00h17
oui, mais comment aborder cette situation. C'est elle qui fuit le dialogue pas moi! J'essaie d'être gentil, de ne pas mettre de pression psychologique sur le dos car elle est enceinte.
C'est une stressée de nature, c'est elle qui tient la culotte dans son ménage ( son mec est gentil mais c'est pas un nerveux), elle est pipelette, a toujours l'impression d'être débordée et a toujours l'impression d'être caliméro.
Par contre, c'est quelqu'un qui je pense aime profondément son métier, a un bon contact avec les patients, un bon feed back sur les patients (vous savez Mme Truc, c'est la nièce de la tante de Me bidule a qui vous avez fait une céram), sait très bien gérer une entente financière.
Elle a pas mal de qualités mais elle est inconstante dans le travail, surtout pour la préparation des plateaux malgré des protocoles (pour elle c'est normal d'oublier un petit truc de temps en temps comme les pointes papiers, mais moi, je les oublie jamais...). Tout ça me fait penser qu'elle n'est pas assez rigoureuse.
La situation n'est pas simple car je suis le collaborateur. Oui mais, ça fait quand même presque 1 an 1/2 que j'y suis.
Comment gérer ce problème?
15/03/2005 à 00h18
suis d'accord avec growler
encore faut-il gérer "l'urgence" avant.
La mise en place d'un référentiel de travail, ou d'un code de "bonnes conduites" est indispensable dans une structure importante ( pour un cabinet dentaire)si on veut que cela foncitionne bien.
Faudrait que Rodolphe nous dise ce qu'il en pense ou même c'te sacrée tonade69.
15/03/2005 à 00h22
Merci sbire et growler pour vos conseils.
Les protocoles sont faits (car cabinet qui a fait IDO il y a 4-5 ans) mais j'ai l'impression qu'ils sont au fond d'un tiroir...
Je suis exigeant avec moi même dans mon travail et j'en atttends autant de mes assistantes.
Sbire, ton idée me séduit beaucoup, je vais l'appliquer.
15/03/2005 à 00h27
non... ton protocole en 5 points avec la convocation, l'entretien...
En plus, impossible de choisir une de tes deux propositions de ton post précédent, y a ma petite femme à côté de moi qui lit ce que j'écris...
15/03/2005 à 00h34
la mienne est couchée à cette heuri ci, demain y menage, gosses, courses...etc...Ca aussi c'est du managment.
Bon, OK si elle était là...
15/03/2005 à 00h55
moi, elle vient d'aller se coucher. Je crois que je vais bientôt la rejoindre...
15/03/2005 à 09h03
bill a écrit:
-------------------------------------------------------
> Bon , déjà la méthode amibien me semble délicate
> dans ce cas... ;-)
Ce ne sont pas quelques baffes qui vont décrocher le moutard...!!!
15/03/2005 à 12h55
Tonio, la nan en question est une rêveuse...
Aucune assistante ne sera jamais parfaite...
Offre-lui des vêtements de bébé en lui souhaitant bonne chance...
Valorise-là de temps en temps...
Tout le temps des reproches (jamais devant le patient !!!!) ça use la relation...
15/03/2005 à 23h52
roi des amibes,
je ne lui ai jamias fait de repoches devant un patient et jamais non plus devant les autres assistantes pour qu'elle n'ait pas le sentiment d'être humiliée.
J'ai bien compris que depuis un moment (8 mois environ), la priorité de sa vie était d'avoir un enfant. C'est très bien et je n'ai rien à redire à ce désir maternel, surtout qu'elle a un peu galéré (4 mois pour être effectivement enceinte) pour y être mais ce délai reste dans la normalité.
Je veux bien comprendre sa priorité actuelle, être compréhensif, ne pas la harceler (ce que je n'ai jamais fait)... mais si elle décide de venir travailler, c'est pour bosser, et vraiment, pas pour raconter toute la journée sa dernière échographie. Sinon, elle se met en arrêt maladie si elle ne se sent pas prête à assumer son rôle d'assistante. Je ne peux pas me permettre de mettre en péril la sécurité sanitaire de mes patients par le fait qu'elle soit distraite par son état actuel.
Je suis conscient aussi que le fait qu'elle soit enceinte amplifie ses réactions émotionnelles mais je pense qu'il y a quand même des limites. Elle m'a manqué de respect en refusant le dialogue, en imposant de façon impulsive son choix de changer de praticien. Bref, elle fuit ses errueurs... Je n'ose imaginer sa réaction si j'avais demandé de changer d'assistante parce que je ne la sentais plus capable d'assurer sa fonction. Je serais passé pour un paria...
Après, con voit toujours ce qui ne va pas... et pas souvent ce qui est bien, qui passe pour la normalité. Peut être que je ne lui en fait pas tous les jours, mais elle ne m'en fait pas beaucoup spontanémént non plus...
Pourquoidevrais t'on toujours être redevable enver son assistante car c'est loin d'être toujours réciproque.