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Analyse céphalométrique 07/01 - 03/04
03/05/2005 à 12h57
Je vais éssayer de réunir des documents pour vous répondre.
A propos, j'ai perdu le lien de Speed système
Quelqu'un l'aurait-il?
@+
03/05/2005 à 16h13
Voici Bjc,
http://www.speedsystem.com/
Quel avantage lui trouves tu par rapport au système de Damon?
03/05/2005 à 18h19
Merci Trismus.
Celà fait beaucoup de questions.
Je vais éssayer d'y répondre l'une après l'autre, mais il vient de m'arriver un grave Pb. personnel, aussi pardonnez moi si je ne suis pas très rapide.
Abienôt et
@+
03/05/2005 à 19h58
bon courage pour tes soucis.
Pour revenir au thème, il serait interessant comme le souligne Isaïe d'avoir l'angle ( Xi-Pm , Xi-ENA ) en comparaisons entre la première télé et la dernière. J'avoue avoir eu la flemme !!!
04/05/2005 à 20h20
Bjc. a écrit:
--------------
> La moindre des choses quand on fait de l'occlusion est de monter ses modèles sur articulateur, aux différents stades. Et faire des Tomo. d'ATM.
>
En Gnathologie, sûrement, mais jamais en Occlusodontologie, M'sieur : chez nous, la bouche est un excellent articulateur suffisant.
Quant à l'occluseur, c'est pour le Technicien dentaire.
Ce n'est qu'une question de choix des valeurs, M'sieur. :-)
05/05/2005 à 00h19
Quand j'ai dit qu'il y avait du boulot, je ne pensais pas qu'il y en aurait autant!!!
Celui qui à dit:"le meilleur articulateur, c'est la bouche", est le Pr. Leibowitch.
A l'époque, c'était la réference européenne en occlusion. Il faisait monter les modèles sur articulateur par ses étudiants de C.E.S. et leur disait que s'ils ne voulaient pas se salir les mains: 'l'agriculture manquait de bras"
De mème pour les set up, qu'il faisait faire par les étudiants de C.E.S. Etc, etc, etc...
Monsieur le grand docteur blanc de l'occlusodontologie, non seulement ne veux pas se salir les mains dans le platre, mais a peur du controle Rx.
Dans ce cas tous les délires autodidacto-occluso-cinémato-sophiques sont possibles.
Fin de la minute de Mr. Cyclopède.
Bon, je livre à ta réflexion l'image tirée du livre de Mac Namara sur les traitement précoces.
@+
07/05/2005 à 23h13
Merci jeff,
Celà s'arrange au mieux. L'accident d'un enfant est toujours désagréable.
Bon, voyons les questions.
07/05/2005 à 23h52
Cher isaïe,
A propos de l'augmentation de la hauteur maxillaire, je l'ai tenté une fois sur un patient de 6 ans. Je l'ai revu au bout de 15 jours, tout le bas s'était ingressé, j'ai tout déposé immédiatement. Heurement tout est rentré dans l'ordre. Mais je me suis fait tellement peur que je n'ai jamais osé recommençer. C'est tout ce que je peux te dire.
@+
09/05/2005 à 21h11
Bjc. a écrit:
-------------
> Celui qui à dit:"le meilleur articulateur, c'est la bouche", est le Pr. Leibowitch (snip) Monsieur le grand docteur blanc de l'occlusodontologie, non seulement ne veux pas se salir les mains dans le platre, mais a peur du controle Rx.
>
Pr. Leibowitch n'est pas le seul utilisateur de son adage : l'occlusion ne se mesure pas sur les Rx et la bouche témoigne l'effet de la proprioception sur la musculature (symptômes), ce que le praticien peut palper (signes). Donc, avec ou sans plâtre, l'articulateur ne m'aide jamais pour le diagnostic, ce qui n'est pas le cas lors du traitement sur "occluseur" en Occlusodontologie (Jeanmonod A.) et en Occlusion neuromusculaire (Jankelson B.) pour assurer calages et guidances.
10/05/2005 à 08h53
occlusion a écrit:
""l'articulateur ne m'aide jamais pour le diagnostic,""
L'articulateur est un professeur intransigeant, sauf si tu ne regarde pas les dents de tes patients.
Dans le cas contaire, tu verra que sans la langue, les joues, la salive, etc... tu découvriras, plus de choses qu'avec des modèles dans la main.
Je ne dis pas qu'il ne faut pas faire d'éxamen clinique, mais au contraire que celà fait obligatoirement partie de l'éxamen de clinique.
C'est comme si on disait: celà ne sert à rien de palper les ptérigoïdien internes!
@+
10/05/2005 à 22h42
Mon cher Bjc,
- D'accord en cas d'occlusion "réflexe" (DSF) chez moins de 25 % de la population.
- Très discutable en cas d'occlusion "volontaire", puisqu'elle n'est pas une fonction "naturelle".
- Et en cas de déglutition salivaire infantile (DSD), à quoi te sert un articulateur : il n'y a jamais occlusion "réflexe", puisqu'il y a toujours interposition linguale (= étalement de la langue sur les tables occlusales) lors de la déglutition salivaire.
@+
11/05/2005 à 00h35
Très cher occlusion,
Tu veux dire qu'il te faut des contacts dentaires pour faire un montage en articulateur!!!
On va commencer par définir deux notions:
- OCCLUSION: Il y a occlusion dès qu'il y a un contact dentaire
- RELATION: Position de la tète condylienne dans la cavité glénoïde
Donc à toute occlusion correspond une relation, mais à toute relation ne correspond pas forcement une occlusion.
Je pense etre clair.
Or le principe du montage en articulateur est d'enregistrer une RELATION, et non pas une déglutition.
L'interposition linguale bilatérale n'est en rien un obstacle!
Je ne vois pas comment je pourrais mieux te l'expliquer. En tout cas, comme c'est le B.A. BA.
Je constate que tu as évité le sujet des Tomo. d'A.T.M.
@+
11/05/2005 à 11h20
Une question un peu bête : quelle est la différence entre la classe d'E.H.Angle et la classe squelettique ? Que déterminent-elles ? A quoi servent-elles ?
11/05/2005 à 22h21
Tu veux bien répondre occlusion, à notre etudiant 3, qui à le mérite de se poser des questions.
15/05/2005 à 09h26
Mon cher Bjc,
Tout n’est qu’une question de Références, et « neuromusculaires » de préférence.
Pour agrémenter ta première "définition" par l’Occlusodontologie, j’ajouterais : « OCCLUSION : Il y a occlusion dès qu'il y a un contact dentaire » REFLEXE.
Le mot « OCCLUSION », d’après le dictionnaire, définit à la fois « action de fermer » et « état de ce qui est fermé ».
Donc : « En odontologie il est de même utilisé dans les deux sens (…) Aussi ne sera-t-il pas parlé d’occlusion alors que dans telle ou telle position, seulement certaines dents antagonistes entreraient en contact. Pour une bonne compréhension nous parlerons dans ce cas de « rapports dento-dentaires antagonistes » dans telle ou telle situation (…) L’occlusion est qualifiée de "fonctionnelle" quand précisément elle se fait en harmonie avec le fonctionnement de tous les éléments du complexe stomatognathique, et quand ces derniers ne présentent aucun symptôme imputable à l’occlusion. Celle-ci est vivifiante pour toutes les structures tissulaires »
Jeanmonod A., Occlusodontologie, Applications cliniques, CdP, Paris (France):45
> RELATION: Position de la tète condylienne dans la cavité glénoïde
>
Là, on sent les relents de la Gnathologie et sa bonne vieille « relation centrée » à laquelle on s’interroge toujours « Tête condylienne centrée sur quoi ? » et l’anatomie ou la neurophysiologie n’apporte aucune réponse.
- Pour l’Occlusion neuromusculaire (Jankelson B.) / Electromyographie et Kinésiographie crâniomandibulaire : « La "RELATION maxillo-mandibulaire" est une relation physiologique entre la mandibule et le maxillaire »
- Pour l’Occlusodontologie : « L’expression "RELATION maxillo-mandibulaire" est utilisée pour définir le rapport qui existe entre la mandibule et le maxillaire durant son mouvement d’élévation et d’abaissement, et à tout moment de ce mouvement, en dehors de tout contact dentaire et de l’interposition de quoi que ce soit. Le trajet de fermeture est DIFFERENT, selon que le mouvement se fait librement, au cours du mouvement REFLEXE de fermeture, ou qu’il résulte, soit d’une action VOLONTAIRE, orientée par le sujet lui-même, soit du guidage d’un opérateur »
Jeanmonod A., Occlusodontologie, Applications cliniques, CdP, Paris (France):35
- Et si tu voudrais combiner les deux : « La RELATION maxillo-mandibulaire est une relation dento-dentaire myodéterminée asymptomatique dans un espace maxillo-mandibulaire physiologique ». Ceci m’a valu une grande dis en Electromyographie et Kinésiographie crâniomandibulaire, ULg (Liège), 1998.
> Donc à toute occlusion correspond une relation, mais à toute relation ne correspond pas forcement une occlusion. Je pense etre clair.
>
Si on tient compte de tous les éléments rappelés ci-dessus, on ne peut en effet être plus clair.
> (snip) En tout cas, comme c'est le B.A. BA.
>
de l’Occlusion neuromusculaire (Jankelson B.) et de l’Occlusodontologie (Jeanmonod A.)
> Je constate que tu as évité le sujet des Tomo. d'A.T.M.
>
Ta "conclusion" est hâtive et non contradictoire, mon cher Bjc : je n’ai rien "évité" du tout.
Les différentes positions du condyle et du ménisque dans la cavité glénoïde ne dépendent que de ce qui est décrit ci-dessus. La conformation de l’ATM à un instant infinitésimal n’est qu’un symptôme parmi d’autres dans une éventuelle « maladie occlusale », non une quelconque étiologie de ladite maladie.
Ce sont les patients bicondylectomisés qui te le confirmeront volontiers.
En conclusion, l’essentiel de la réflexion « occlusale » se passe sur le patient avec l’aide indispensable de nos Bases fondamentales enseignées dans les Candis.
L’articulateur, avec toute erreur de montage, accepte tout et n'importe quoi. Donc, il n’est d’aucun recours, ni secours et ni pour le praticien, ni pour le patient.
Te voilà définitvement rassuré ?
@+
15/05/2005 à 11h54
etudiant3 a écrit:
-------------------
> Une question un peu bête : quelle est la différence entre la classe d'E.H.Angle et la classe squelettique ? Que déterminent-elles ? A quoi servent-elles ?
>
- Mon cher Bjc, tu sais qu’il y a des questions d'occluso qui se posent sur "Occlusodontie" de www.eugenol.com/eugenol, mais puisque tu insistes lourdement, je vais donner à étudiant3 une ébauche de réponse via ce Forum ODF.
A.- "Diagnostic de la Classification d'E.H. Angle" est une terminologie plus appropriée :
- Aujourd’hui, on prend la Classe I d'E. H. Angle pour une disposition occlusale « normale » et alors que l'Auteur précisait très clairement qu'il ne s'agit que d'une Classification de Diagnostics de MALocclusions.
- E. H. Angle cite explicitement dans son ouvrage "Treatment of malocclusion of the teeth and Fractures of the maxillæ. Angle's system", 6th edition, 1900, 315 pages : "In the begining we wish to throroughly impress the necessity for complete separation of diagnosis from treatment (...) all cases of malocclusion may be readily arranged in well-defined classes as plants, animals, or the elements, and having a thourough knowledge of distinguishing characteristics of occlusion and of facial lines peculiar to each class, the diagnosis of any given case is greatly simplified", p.34-35.
- Sans aucune notion de Physiologie ni de Biochimie, la préface de 1906 d'E. H. Angle, alors âgé de 51 ans, vante les mérites de l'occlusion de la première molaire supérieure avec son antagoniste, ce " nombril sacralisé " du développement de la face dans la 7ème édition "Treatment of malocclusion of the teeth. Angle's system"de 1907, 628 pages,
E. H. Angle écrivait en page 58 : « Out of several thousand cases of *MAL*occlusion examined, the proportion per thousand belonging to each class was as follow : Class I = 692/1000 » des patients qu’il examinait.
Dans le "Chapter XVI. Treatment of cases. - Class I." (p.319-447), E. H. Angle écrit : "As already noted in the classification of *MAL*occlusion, the number of cases belonging to this case is the greatest and comprises by far the largest variety" : "69,2 %" des patients d’E. H. Angle sont en 1907 en MALocclusion de Classe I.
En 1907, l'auteur ne généralise jamais ce pourcentage à l'ensemble de la population, mais bien aux seuls patients qui le consultent, et il est courant d'obtenir une Relation MyoDéterminée Asymptomatique (R.M.D.A.) « réflexe » (Occlusodontologie) dans les "Classe I", "Classes II" et "Classe III" d' E. H. Angle.
- Par conséquent, le Diagnostic de MAL*occlusion de Classe I, obtenu par occlusion « volontaire » de l’arcade dentaire inférieure sur la supérieure et, de préférence, sur articulateur, ne peut jamais plus être l'unique objectif final dans tous les traitements d'Orthopédie Dento-Faciale et de Chirurgie Maxillo-Faciale réalisés au IIIème millénaire. Malheureusement, ce n’est pas encore le cas et cela ouvre la porte à tous les dérapages.
- Ce n'est pas le DIAGNOSTIC de Classification d' E.H. Angle qui est fautif entre 1898 et 1907, c'est son usage pervers en FINALITE des traitements contemporains, ce qui va à l'encontre :
1°- des PRINCIPES totalement EMPIRIQUES énoncés en son temps par E. H. Angle (voy. ci-dessus),
2°- des BASES FONDAMENTALES de la Physiologie de la manducation réflexe (Sir Charles Scott SHERRINGTON (1852-1957), ½ Nobel Prize in Physiology or Medicine 1932 -
http://nobelprize.org/medicine/laureates/1932/) et
3.- des BASES FONDAMENTALES de la Biochimie, ou Biologie moléculaire, née au début du XXème siècle (Hans Adolf KREBS, ½ Nobel Prize in Physiology or Medicine 1953 -
http://nobelprize.org/medicine/laureates/1953/).
D’autre part, E. H. Angle n’a jamais reçu le moindre Prix Nobel -
http://nobelprize.org/medicine/laureates/
- CONCLUSION : la seule "erreur" d’Edward Hartley Angle (1855-1930) est d'être né entre 100 et 150 ans trop tôt et les reliquats de sa Classification de Diagnostics de MALocclusions n'a perduré qu'au travers d'un Enseignement universel toujours trop incomplet (1) par la Gnathologie, "science" des Articulateurs et technique sombrée dans la Préhistoire de l'Art dentaire par le 18th Technology Assessment Conference Statement de l'U.S. National Institutes of Health (N.I.H.) ou "Management of Temporomandibular Disorders", April 29 & May 1, 1996 (2), qui conclut que les classifications des malocclusions sont basées sur des signes et des symptômes, plutôt que sur l'étiologie.
Sources :
(1) "La « Science de l'occlusion » est considérée un des sujets les plus complexes et les plus difficiles en art dentaire. Par conséquent on l'enseigne rarement dans les Ecoles dentaires au degré qu'il devrait être et la plupart des diplômés partent de l'Ecole avec une compréhension très limitée de l'occlusion."
I.A.G., About the IAG. What is Gnathology?, §2, © International Academy of Gnathology, American Section.
http://www.gnathologyusa.org/cgi-bin/cal.html
(2) http://odp.od.nih.gov/consensus/ta/018/018_statement.htm
Tu retrouveras le résumé de tout çà sur :
http://users.skynet.be/occlusion/patients/p1_accueil.html
http://users.skynet.be/occlusion/patients/glossaire/8_extreme.html
B.- Pour le surplus, cher etudiant3, les ODF et les CMF ont une meilleure approche que moi des "CLASSES SQUELETTIQUES", puisqu'ils s'en servent tous les jours par la disposition spatiale en étages superposés et de haut en bas : étage Base maxillaire - étage alvéolaire supérieur (racines dentaires) - étage coronaire supérieur (Espace libre) étage coronaire inférieur étage alvéolaire inférieur étage Base mandibulaire.
Tu retires l’Espace libre de cette énumération d’étages si tu demandes au patient de « serrer les dents » = occlusion « volontaire » = aucun intérêt diagnostic, ni thérapeutique en Occlusion neuromusculaire (Jankelson B.), et encore moins en Occlusodontologie (Jeanmonod A.).
@+
15/05/2005 à 13h32
bonjour,
ayant quelques soucis orthodontiques, j'hésite à me relancer dans un traitement.
quelles sont les réelles proportions de recessions, résorptions lors de traitements adultes?
est ce que le fait que j'ai déjà eu un ttt pdt l'adolescence a fragilisé mon "capital osseux"?
à la fac, entre les prof d'ortho et de paro, on a un peu 2 sons de cloches....
et en ce qui concerne les traitements en lingual, qu'en pensez vous?
c'est plus douloureux et plus longs, c'est ça?
merci bcp
29/05/2005 à 10h08
Florent B. : les derniers constats métriques et angulaires sur les résultats 2005 des REIOR et GAL placés en 2001 [http://eugenol.com/ - ODF] optaient pour une proposition d'extractions des prémolaires, x2 ou x4.
Que dites-vous alors de ceci (1999) :
"Resources for publicly funded dental programs may never be sufficient to accommodate unlimited orthodontic service demands. There is therefore an obligation to ensure that they are preferentially provided to those patients most likely to derive the greatest benefits. To address this strategic concern, the pretreatment records of 38 patients were prioritized on a visual-analog scale relative to their differential orthodontic service needs by 16 independent orthodontic specialists. Unfortunately, inconsistencies in these assessments were unacceptable for a publicly funded program. When these same records were prioritized relative to their scores derived from the Dental Aesthetic Index, their assessments proved more consistent, especially when based on a modified Dental Aesthetic Index. The relevance of such Dental Aesthetic Index scores proved controversial, because the need for orthodontic services is dependent on other factors in addition to esthetics. The lack of established clinical guidelines to delineate the most appropriate service and timing for specific occlusal discrepancies further hampers the prioritization of orthodontic service needs. Dental Aesthetic Index case-scores may therefore be considered as just 1 of many criteria to prioritize orthodontic service needs, although the potential impact of the others has yet to be quantified."
Source :
- Danyluk K, Lavelle C, Hassard T. (1), Potential application of the dental aesthetic index to prioritize the orthodontic service needs in a publicly funded dental program, Am J Orthod Dentofacial Orthop. 1999 Sep;116(3):279-286 - MID: 10474100 [(c) PubMed - indexed for MEDLINE]
(1) Department of Dental, Diagnostic & Surgical Sciences, University of Manitoba, Winnipeg, Canada.
?
@+
30/05/2005 à 20h17
je veux l'analyse de Sassouni les arc en particulier l'arc 4
merci