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selles disjointe
21/05/2004 à 16h14
j'ai une patiente à qui il reste 17 13 12 11 et 21 au maxillaire. Les couronnes et céram sont toutes à reprendre.
Si j'ai bien compris les différents post de gjourda, il faut éviter les attachements, réaliser des couronnes fraisées et un stellite à selles disjointes.
Dans ce cas , qu'est ce qui diffère dans la réalisation d'un tel plan de traitement en plus du tracé de la plaque, par rapport à la réalisation classique semi-rigide ?
Le fraisage est il suffisant à lui seul pour assurer la rétention ?
22/05/2004 à 10h33
la seule chose qui diffère est que les selles sollicitent beaucoup moins les piliers donc les fraisages sont très largement suffisants pour la rétention
les attachements exercent beaucoup plus de contraintes et de plus induisent forcément une liason directe donc rigide
dans ton cas les selles disjointes permettront une mastication sélective sans déplacfement des éléments de rétention, donc sans déplacement des fraisages
29/08/2005 à 22h52
Bonjour,
Dites moi pour les concepts disjoint, existe il une technique ou un ordinateur qui realise les tracer en fonction de chaque cas ?
Si oui, comment s'appelle ce proceder ...
Merci
30/08/2005 à 00h58
oui
le logiciel stelligraphe permet parmi les autres possibilités et méthodologies de tracer les prothèses à selles disjointes
31/08/2005 à 20h46
Bonne question ! et ou peut ton éventuellement avoir une démo ou bien l'acheter ??
04/09/2005 à 20h55
Je suis allé sur le site et j'en suis resté dubitatif !
Je vais paraitre sévère et agressif, mais ce logiciel ne présente AUCUN intérêt car il ne tiens compte que du numéro des dents mais qu'en est-il :
- de la valeur parodontale des dents pouvant amener à sollidariser des dents affaiblies parodontalement
- de la valeur rétentive des dents (bombé vestibulaire peu rétentif)
- de la prise en compte de l'occlusion du patient, des perturbations des courbes occlusales ou de la DV
- de la hauteur occlusale prothétiquement utilisable ...
Enfin bref, pour tracer un dessin sans réfléchir à tous ces élements, je peux le faire moi-même sans ce mogiciel ;o)
11/09/2005 à 20h07
Stelligarqaphe fonctionne sur tous les PC
Pour lolo
si tu fais partie des 3 à 5 % de CD qui font le tracé, bravo, ...
mais
tu aurais du voir avant de parler
que le logiciel tient compte de la valeur paro des piliers ainsi que de leurs axes ...
en ce qui concerne la valeur rétentive des piliers, c'est .. le parallèliseur qui les donne
enfin un petit rappel de la méthode à utiliser en PPA
1 &tude du cas
2 tracé
3 préparation de la bouche,
4 empreinte secondaire
tu vois donc que stelligraphe trouve bien sa place dans notre cabinet
c'est aussi un moyen facile et rapide de conserver les propositions prothétiques dans le dossier du patient, car la aussi tu as parlé un peu vite car
tu aurais pu voir que ce logiciel ne concerne pas que la PPA
mais aussi, la fixée et les implants, .. TOUTE la prothèse
n'oublions pas que nous avons le devoir de proposer à notre patient TOUTES les solutions possibles ainsi que de les chiffrer
personnellement, sans le logiel, cela me parait long , fastidieu et inintéressant, ..
mais après tout on peut bien travailler sans radio, sans turbine , ...sans ordinateur aussi ..
18/09/2005 à 12h21
Désolé de devoir mettre les points sur les i, mais je ne peux pas accepter une critique gratuite et anonyme ...
je pense que le mérite premier de stelligraphe est de répondre à la demande de l'ADC,
Aide à la Décision Clinique.
C'est à ce titre que ce logiciel est très apprécié aux USA
d'autre part, stelligraphe permet une communication facile entre le lab et le CD, communication nécessaire pour la bonne marche du traitement, particulièrement en PAM
enfin en ce qui concerne le tracé de la prothèse , je ne ferai pas de commentaires car la stat est éloquente ...
18/09/2005 à 17h21
J'avoue être septique, d'autant que je parle sans connaitre ce logiciel...
Mais peut-on le tester gratuitement ou faut-il l'acheter au risque d'être déçu.
Si gjourda est d'accord, je suis prêt à donner mes coordonnées personnelles et à réaliser une étude (avec mon université d'attache) avec nos spécialistes en Prothèse amovible (maitres de conf et prof d'université, mais aussi assistants et attachés).
Je m'engage aussi à publier sans une revue le résultat du test. S'il est positif, il contribuera à convaincre.
Pour résumer, je fais en effet parti des praticiens qui dessinentla plaque, définissent les types de crochets. Mais je suis ouvert et serait TRES heureux d'être surpris par ce logiciel auquel je ne demanderais bien sur pas 100% de réussite.
Bref, la balle est dans le camps de gjourda, en espérant qu'il accepte la proposition.
18/09/2005 à 19h39
cher lolo
stelligraphe a été validé par de nombreuses facultés ( voir les sites de stelligraphe et apolline productions )
il est actuellement utilisé dans 25 pays au monde et je ne pense pas que son utilisation soit à remettre en question
les deux "pères" de stelligraphe ont été enseignants en fac pendant 25 ans en ppa edt connaissent bien cette spécialité
stelligraphe sera présent à l'ADF ,
je vous adresserai en temps utile la référence du stand
afin d'éviter toute idée de tremplin mercantile passant par eugenol, toutes les consoeurs et tous les confrères intéressés par stelligraphe peuvent me contacter par mail perso et me donner leurs coordonnées afin que je les tienne au courant
[email protected]
cordialement
18/09/2005 à 22h16
Une étude de tracés faite par des spécialistes en prothèse amovible sur modèles, et ensuite comparées aux tracés stelligraphe (outil auxiliaire) ce serait déjà une approche de son utilité.
Beaucoup de chemin à faire. Exemple.
Côté de la rétention V ou L.
Valeur du retrait rétention au-delà de la LGC, tenant compte de l’état paro, mobilitée et position sur l’arcade, de la dent. (Je ne crois pas que stelli effectue la différenciation entre une 12 et une 13)
Longueur et section des crochets en rapport avec un module de d’élasticité du métal et anatomie de la dent
Pour les selles disjointes, pilier foutu, prothèse à renouveler.
Ta proposition lolo, si accepté me paraît intéressante.
24/09/2005 à 20h32
il me semble qu'une prothese supraradiculaire type overdenture avec des dents en contreplaqées(les dents restantes sont taillées à minima ou avec une chape et recouvertes par la PA)est ici la solution idéale. Ceci limite la résorption souvent constatée avec les selles disjointes et limites les contraintes sur les quelques dents restantes)
25/09/2005 à 00h44
c'est bien le contraire qui se produit
les travaux de recherche cliniques et sur banc d'essai ont clairement prouvé que les selles disjointes limitaient la résorption, absence de nécessité de rebaser, et limitaient les contraintes au niveau des dents piliers.
si les résultats obtenus ne sont pas ceux ci , c'est que vraisemblablement la procédure de réalisation clinique et laboratoire n'a pas été respectée, tracé, empreintes, préformes spécifiques notamment
je constate avec regret que beaucoup de soit disant selles disjointes sont réalisées, en fait sans respectger cette préocédure et entrainent de ce fait des résultats cliniques décevants
le concept n'est pas en cause
seul l'opérateur en est le responsable ...
25/09/2005 à 02h18
Comment expliquer alors, sauf votre respect, le peu de succés rencontré par ce concept ?
25/09/2005 à 11h09
je pense que parler de peu de sccès est inexact
toutes les consoeurs et confrères qui ont reçu la formation appliquent avec satisfaction le concept
la diffusion du concept a été freinée pour de multiples raisons ...., souvent par pure malhonneteté intellectuelle hélas
plus grave, ceux qui ont esseyé de l'appliquer sans avoir été formé ont eu des échecs qu'ils ont attribué au concept alors que seul le défaut de procédure était en jeu, absence de tracé conforme, absence de préparation de la bouche, absence d'empreinte tertiaire, absence des préformes spécifiques, ...
25/09/2005 à 13h22
Peut être alors que la mise en oeuvre est trop compliquée ?
Comment peut-on apprendre cette technique ?
25/09/2005 à 13h29
la mise en oeuvre n'est pas compliquée
elle découle seulement d'une logique anatomique et physiologique
l'enseignement de ce concept est fait par la SIREO, société scientifique membre du GSSOS,
voir le site de la SIREO