Cookie Consent byPrivacyPolicies.comRions toujours.......... - Eugenol

Rions toujours..........

canard59

01/06/2006 à 21h25

Devinettes :

A quoi reconnait-on un belge qui joue au combat de coqs ?
C'est le seul qui vient avec un canard.
A quoi reconnait-on un italien dans un combat de coqs ?
C'est le seul à parier sur le canard.
A quoi reconnait-on la Mafia dans un combat de coqs ?
C'est le canard qui gagne...


Et voilà .


Utilisateur banni

02/06/2006 à 00h51

Une dame a acheté une armoire chez Ikea et a décidé de la monter toute seule, sans attendre son mari. Elle regarde bien le plan et se met à l'ouvrage. Voilà, c'est fait. Mais en bas, dans la rue, un autobus passe. Le sol vibre, et l'armoire se met à trembler, et la voilà par terre. La dame ne s'avoue pas vaincue. Elle reprend le montage, en suivant bien les étapes une après l'autre, elle ajoute même un point de colle ici et là... Voilà, c'est terminé. Mais l'autobus qui fait la navette est revenu, et de nouveau le sol vibre, l'armoire tremble, tremble et plaf, elle s'effondre. Exténuée elle appelle le service après-vente Ikea. On lui envoie aussitôt un technicien. En arrivant, celui-ci dépose sa sacoche, laisse son mégot dans le cendrier et déclare :
- Bien, voyons ça, je vais refaire le montage et nous verrons ce qui se passe. Il assemble normalement et, en un quart d'heure, l'affaire est réglée.
- Hé bien, elle est très bien cette armoire, où est le problème ?
- Attendez un peu que le bus passe, et vous verrez... Le bus passe effectivement, et le sol vibre, l'armoire tremble, et l'armoire tombe en miettes.
- J'aurai le dernier mot ! dit le technicien, et il recommence le montage, mais avec de la colle superforte, des vis supplémentaires, de grands coups de marteau... Et le bus qui continue son service passe dans la rue, et le sol vibre, l'armoire tremble, tremble, tremble et vlan, elle se retrouve en mille morceaux. Le technicien se fâche :
- Putain de merde ! J'en aurai le coeur net. Je vais tout remonter normalement, et je vais me mettre à l'intérieur pour voir ce qui se passe quand ça vibre.
Et c'est à ce moment là que le mari de la dame rentre du travail. Il voit la sacoche, le mégot, et demande à sa femme :
- Tu me trompes, j'en suis sûr maintenant. À qui est cette sacoche ? et ce cigare ? Tiens, et cette armoire, c'est nouveau ! Ton amant est là-dedans, je le sais !.
Et il ouvre l'armoire.
- Alors, qu'est-ce que vous foutez là, vous ?
- Ben, vous n'allez pas me croire, mais j'attends l'autobus...


...Allez voir le spectacle de Stéphane Guillon...



canard59

02/06/2006 à 21h43

Après une soirée un gars ramène sa copine chez elle à 3h du matin dans un quartier très huppé. Ils sont près à s'embrasser pour se dire bonne nuit devant la porte d'entrée l'appartement de la jeune fille, lorsque le gars commence à se sentir excité.
D'un air confiant, il se penche vers elle en souriant, une main accolée sur le mur
(notez la position du gars, très important pour la suite de l'histoire!),

et lui dit :Chérie, me ferais-tu une pipe ?

Horrifiée elle répond :
Tu es malade ? Mes parents pourraient nous voir !

Oh, alleeez ! Qui va nous voir à cette heure ? demande-t-il d'une voix haletante.

Non, s'il te plaît Imagines-tu ? Si on se fait prendre ? La fille du juge local se doit d'être exemplaire

Oooh alleeez ! Il n'y a personne aux alentours, ils dorment tous.

P-A-S Q-U-E-S-T-I-O-N. C'est trop risqué...

Oooh s'il te plaît!, s'il te plaiiiiit, je t'aime tellement !!!

Non, non, et non. Je t'aime aussi, mais je ne peux pas

Oh siiiii tu peux ! Tu peeeeeux ! S'il te plaiiiiiiiiit !

Non, non et non. Je ne peux simplement pas.

Je t'en suppliiiiiiiiie...

Donne-moi une seule bonne raison, dit-elle.


Le jeune homme se lance alors dans une argumentation passionnée de 15 bonnes minutes sur les besoins et pulsions masculines, d'une voix de plus en plus rauque.

Soudain, la lumière dans l'escalier s'allume, et la p'tite soeur de la jeune fille apparaît en pyjama, les cheveux en bataille,les yeux bouffis et leur annonce d'une voix endormie :
Papa m'a dit de te dire : Soit tu lui fais sa pipe, soit moi je lui fais sa pipe.

En cas de besoin maman dit qu'elle peut descendre elle-même la lui faire.

Mais par pitié dis à ce con, d'enlever sa main de l'interphone !!!!


Blason dql7mj - Eugenol
growler

02/06/2006 à 22h36

MDR!!!

une autre:

Premier jour d'ecole dans une classe americaine.

L'institutrice présente à la classe un nouvel élève : Sakiro Suzuki.

L'heure commence. L'institutrice :

- Bon, voyons qui maîtrise l'histoire de la culture américaine?



qui a dit: "DONNEZ-MOI LA LIBERTE OU LA MORT" ?



Pas un murmure dans la salle.

Suzuki lève la main:

- Patrick Henry, 1775 à Philadelphia.

- Très bien Suzuki !



Et qui a dit : "L'ETAT EST LE PEUPLE, LE PEUPLE NE PEUT PAS SOMBRER" ?

- Abraham Lincoln, 1863 à Washington, répond Suzuki.



L'institutrice regarde les élèves et dit:

- Honte a vous ! Suzuki est Japonais et il connait l'histoire américaine mieux que vous !



On entend alors une petite voix au fond de la classe

- Allez tous vous faire f..., connards de Japonais !

- Qui a dit ça ? S’insurge l'institutrice.

Suzuki lève la main et sans attendre, dit:

- General Mc Arthur, 1942, au Canal de Panama et Lee Iacocca,1982,

lors de l'assemblée générale de General Motors.



Dans la classe plongée dans le silence, on entend un discret:

- Y'm'fait vomir.

L'institutrice de hurler:- Qui a dit ça ?

Et Suzuki de répondre:

- George Bush Senior au premier Ministre Tanaka pendant un dîner officiel à Tokyo en 1991.



Un des élèves se lève alors et crie:

- Pomp'moi l'gland !

Et Suzuki, sans sourciller:

- Bill Clinton a Monica Lewinsky, 1997 dans la salle ovale de la

Maison Blanche , à Washington.



Un autre élève lui hurle alors:

- Suzuki, espèce de merde !

Et Suzuki:

-Valentino Rossi, lors du Grand Prix de Moto en Afrique du Sud en 2002.



La salle tombe littéralement dans l'hystérie, l'institutrice perd

connaissance,la porte s'ouvre et le directeur de l'école apparaît:

- MERDE, j'ai encore jamais vu un bordel pareil !



Et Suzuki:



Jacques Chirac, en ouvrant le dossier "CPE"..


Utilisateur banni

02/06/2006 à 22h42

C'est un pirate qui rentre dans une taverne, avec son perroquet coco sur son épaule.
Après trois mois de pillage sans merci en mer, le pirate à bien envie d'une petite bière...
Il va donc trouver le tavernier, et il lui demande une bière, en s'accoudant au bar.
Le perroquet lui interpelle le tavernier "Et un Coca!!!!!" Le tavernier ne sachant pas ce que cela peut bien être, lui déclare : "Désolé, mais nous n'avons pas de Coca", mais coco rétorque "S'il vous plaît coco veut un Coca" Le tavernier agacé lui dit, "bon, ben je vais essayer dans trouver à la cave, mais je ne pense vraiment pas en avoir... Après une demi heure de recherche acharnée, le tavernier revient, et dis : "je suis certain de ne pas avoir de Coca", mais Coco ne renonce pas et déclare encore une fois :" Coco veut un Coca", le tavernier hors de lui, lui répond : "Toi mon ptit père, si tu continu je vais t'clouer au mur !!!!!!", Mais le perroquet rétorque "Coco veut un..." Il n'a pas le temps de finir sa phrase, le tavernier s'empare de lui, et le cloue au mur. Coco cloué sur le mur lève les yeux et vois un crucifié. Et, voyant Jésus, il lui demande : "Toi aussi t'as commandé un Coca ???"


Blason dql7mj - Eugenol
growler

02/06/2006 à 22h42

la réintroduction de l'ours en France


Pa050055 igyagy - Eugenol
mark

05/06/2006 à 13h00

Un agent des forces spéciales, coursant les terroristes dans les hautes vallées du Panshir, traverse un frêle passerelle au-dessus de gorges vertigineuse quand celle-ci cède et le précipite dans l'abîme.

"Mon Dieu! Mon Dieu! Sauve-moi !", crie le valeureux guerrier du Bien, sans autre recours à cet instant.

Un main invisible alors le saisit pour arrêter sa chute.

" Djizeuuss Craïsst!" s'écrie le fervent soldat, touché par la Foi.

Alors Allah le lâche...


canard59

06/06/2006 à 23h06



Un syndicaliste-dentaire (!) épouse une femme qui a déjà été mariée 6 fois.
Au cours de la nuit de noce, la jeune épouse dit à son mari:
- Mon chéri, sois plus doux, s'il te plait. Je suis vierge.
Les bras en tombent à notre ami (!!):
- Hein, quoi? Mais tu as déjà été mariée 6 fois.
- Ben oui.
Mon premier mari était psychiatre.
Il ne faisait que parler de sexe.
Mon deuxième était gynécologue. Il ne faisait qu'ausculter.
Mon troisième était philateliste et se contentait de lécher.
Mon quatrième était manager des ventes : il disait qu'il connaissait bien
le produit, mais ne savait pas comment l'utiliser.
Le cinquième était fonctionnaire : lui disait qu'il savait ce qu'il fallait
faire, mais que ce n'était pas de sa compétence.
Et mon sixième, enfin, était informaticien. Il disait que si tout
fonctionne
normalement, il vaut mieux ne toucher à rien.


Alors, je t'ai épouse toi, un syndicaliste-dentaire, pour être certaine de bien me faire
baiser !!!


Ps:Toute ressemblance etc etc etc....


Blue eye thumb medium dx1i0w - Eugenol
bill

07/06/2006 à 02h46

canard59 Ecrivait:
-------------------------------------------------------
> >
>
>
>
> Alors, je t'ai épouse toi, un
> syndicaliste-dentaire, pour être certaine de bien
> me faire
> baiser !!!
>
>
Un syndicaliste cnsd alors, ce sont les plus performants... ;-)



ZORBECA

07/06/2006 à 10h41

Comment appelle-t-on le jeu des 1000 francs dans l'Yonne?













L'émile Louis


Silverquenottes

07/06/2006 à 11h00

Une dame entre dans le cabinet du dentiste.
Sans hésiter, elle retire sa petite culotte, remonte sa jupe,
s'assied dans le fauteuil et ouvre ses jambes bien large!...
- Vous devez faire erreur -lui dit le dentiste outré-
Je suis chirurgien-dentiste! Le gynécologue, c'est l'étage au dessus!
- Non non, je n'ai pas fait erreur.
C'est vous qui avez installé le nouveau dentier de mon mari la semaine dernière,
eh bien c'est vous qui allez le retirer maintenant!


Gruobnenork

09/06/2006 à 20h02

ZORBECA Ecrivait:
-------------------------------------------------------
> Comment appelle-t-on le jeu des 1000 francs dans
> l'Yonne?
>
>
>
>
>
>
>
>
>
>
>
>
>
> L'émile Louis
>

et le :
e-mile Louis ( de la monnaie electronique ).


Utilisateur banni

13/06/2006 à 13h45

Je trouve que dans l'Indépendantaire du mois de juin, un copier-coller de certaines histoires de ce fil est abusivement usité...


Pa050055 igyagy - Eugenol
mark

13/06/2006 à 18h21

Voudrais tu insinuer que la rédactrice en chef est une Marie-coach-toi-là?


LdL

14/06/2006 à 20h02

Vous ne regarderez plus une tache de dentifrice de la même façon...


024 vownvo - Eugenol
annie

14/06/2006 à 20h38

LdL Ecrivait:
-------------------------------------------------------
> Vous ne regarderez plus une tache de dentifrice de
> la même façon...

pou ça,elles peuvent se brosser!!


Silverquenottes

15/06/2006 à 15h44

En effet elle est crado celle là , adieu au Maitre Raymond :(


Utilisateur banni

15/06/2006 à 15h48

La Porte

Chaque fois que je fais mon " tour " à un moment j'invente une histoire.
Je dis au public:
Si quelqu'un veut bien me donner un thème sur lequel je puisse improviser...
Et un soir, dans la salle, un spectateur me crie:
- Moi, je vais vous en donner un.
Voilá! Vous, Devos, l'artiste, quand vous n'êtes pas sur votre planche qui oscille sur la mer (rappel du sketch intitulé " L'artiste "), vous avez bien un pied-à-terre?
Je lui dis:
- Oui monsieur!
- Eh bien, supposons que vous n'ayez pas payé votre loyer depuis des semaines.
Le propriétaire des murs vous met à la rue
II vous dit: " Prenez la porte!".
Qu'est-ce que vous faites?
Je lui dis:
- Je la prends... et avec son chambranle!
(Parce que, sans chambranle, une porte ne peut ni s'ouvrir ni se fermer, je vous le signale. Si vous prenez la porte, il faut emporter le chambranle avec!)
Bref! Je prends la porte avec son chambranle et je sors dans la rue.
Le spectateur:
- Et alors?
Je dis:
- Et alors, arrivé au milieu de la rue, je pose ma porte...
Il me dit:
- Et alors?
- J'ouvre la porte. Je sors dans la rue.
Je prends l'air... Je fais quelques pas pour me dégourdir les jambes... Et comme le temps est à la pluie, je rentre. Je repasse le pas de la porte... et je me retrouve à la rue. Je dis: Tiens ? J'ai dû faire une fausse manoeuvre. Je ressors dans la rue. Je reprends l'air... le même... Je refais quelques pas pour me dégourdir les jambes... les mêmes! Et comme le temps est toujours à la pluie, je rentre. Je repasse le pas de la porte... et je me retrouve dans la même rue.
Le spectateur:
- Et alors?
Je dis:
- Alors, je change de rue.
Je reprends ma porte... avec son chambranle... Tout à coup, j'entends frapper
- Qui c'est?
- Police!
J'ouvre. Un agent de police...
- Vous avez votre passe-porte ?
- !!
- Et votre permis de port de porte?
Je dis:
- ! Non!
- Je vais être obligé de le mettre dans mon rapport(e).
Je lui dis:
- Mettez! Mettez!
Il me dit:
- Quel est votre nom?
Je lui dis:
- Il est sur la porte.
- Ah, il me dit, c'est vous, Devos? N'allez pas en faire une histoire!
Je lui dis:
- C'est trop tard, je suis en train de la faire...
Il me dit:
- Oú habitez-vous?
Je n'ai pas osé lui dire que j'habitais une porte... Pensez... à un agent!...
J'ai dit:
- J'habite le petit hôtel qui est lá!
- Ah, il me dit, c'est la porte à côté. Je vous accompagne. Arrivé devant l'hôtel, je laisse ma porte au portier... avec la clef... pour qu'il puisse la déplacer le cas échéant..
(Au public:)
Vous me suivez, là ?
Je loue une chambre et je vais me coucher...
Le spectateur:
- Et alors?
Je dis:
- Et alors, le lendemain, je téléphone au portier.
Cinq minutes plus tard, ma porte est devant la porte de ma chambre. Je n'ai plus que deux portes à traverser et je suis chez moi. Je prends ma porte par la poignée (comme une valise), pour ne pas me faire remarquer... Je descends dans le hall... Et le concierge me dit:
Monsieur, vous avez oublié de remettre la clef de la chambre!
- Ah, je dis, non, je l'ai laissée sur la porte!
Il me dit:
- Oui, mais vous avez gardé la porte sur vous! (J'avais emporté les deux portes!)
Alors, je lui rends la porte-clef...
et je sors avec ma porte-bagage.
(Au public:)
Lá, il faut suivre, hein...Il faut suivre!
Le portier se précipite. II me dit:
- Monsieur, on vient de me mettre à la porte.
Voulez-vous m'engager comme portier?
Je lui dis:
- Mais mon pauvre ami, si je vous engage comme portier, je vais être obligé de vous remettre á la porte!
- Ah, il me dit, je n'avais pas pensé á ça...
Je lui dis:
- Si, si!... Ce que je peux faire pour vous, c'est vous prendre comme porteur...
- Ah, il me dit, c'est mon premier métier. Avant d'être portier, j 'étais porteur.
Je lui dis:
- Qu'est-ce que vous portiez?
Il me dit:
- Tout ce qui se porte!
Je lui dis:
- Vous pouvez porter ma porte?
Il me dit:
Volontiers!... Je la porte oú?
Je lui dis:
- N'importe où ! Peu importe!
Il prend ma porte sur son épaule.
Oh, je lui dis, elle vous va bien.
Vous la portez mieux que moi!
Il me dit:
- C'est une prête-á-porter...
C'est ce que je porte le mieux!
Et nous voilá partis...
A un moment, il me dit:
- Vous savez que j'ai voulu faire comme vous... Mais au lieu de prendre la porte, j'ai voulu emporter le toit.
Je lui dis:
- Et alors?
Il me dit:
- Comme le toit ne passait pas par la porte, j'ai voulu le passer par la fenêtre, mais ma femme s'y est opposée.
Elle m'a dit: " Si tu franchis ce pas, je ne pourrais plus vivre avec toi car je ne saurais vivre sans toit! ".
Elle m'a dit: " C'est le toit ou moi. Ou tu me prends, moi, ou tu prends le toit!"
Je lui dis:
- Qu'est-ce que vous avez fait?
Il me dit:
- J'ai fait le mur!
A un moment, je lui dis:
- Où on est ici?
- On est à mi-chemin de " n'importe oú ". On vient de passer " n'importe " et on va arriver à " où ".
Je lui dis:
- Bon, laissez-moi lá! Ca va très bien...
Il me dit:
- Vous pouvez me donner un autographe?
Je dis:
- Volontiers ! Je le mets où?
Il me dit:
- Sur le chèque!
Alors, je mets: " Au porteur... avec toute ma sympathie! "
- Au revoir, monsieur. Portez-vous bien!
Je ne sais pas ce qu'il a voulu dire...
Et comme je m'apprêtais à reprendre ma porte,
J'entends derrière... des gloussements... des rires étouffés..
J'ouvre. Et je vois une salle obscure... avec des gens assis au premier rang... tout comme je vous vois, mesdames et messieurs...
Et au milieu de la salle, un spectateur qui se met à crier...
Des spectateurs:
- Et alors?
J'ai dit:
- Alors... euh...
Je ne savais plus du tout comment mon histoire se terminait.
Je ne savais même plus comment elle avait commencé...
Un trou de mémoire!
J'ai dit:
- Excusez-moi! Je me suis trompé de porte!
Pfoff! (geste de la refermer)
J'ai dit: Je vais sortir par la porte côté cour...
Fermée!
La porte côté jardin... fermée !?
La porte du fond... fermée!
Je dis: Tiens? Ca doit être la fermeture annuelle des portes. Je vais sortir par la porte qui donne dans la salle...
Et alors que je croyais tourner la poignée de ma porte,
je me suis aperçu que c'était la porte qui tournait mon poignet...
Lá, j'ai compris que j'avais franchi un seuil.
Comme on " s'emmure " dans un mur,
Je m'étais " emporté " dans ma porte
J'étais pétrifié dans mon chambranle...
Je ne pouvais plus ni m'ouvrir ni me fermer...
Savez-vous ce qui m'a sauvé, mesdames et messieurs?
C'est la pluie... La pluie qui s'est mise à tomber.
Une pluie bienfaisante...
une pluie torrentielle... diluvienne!
En peu de temps, tout a été inondé.
J'avais de l'eau jusqu'à ma... serrure!
C'est alors que l'image de l'artiste sur sa planche...
(Rappel du sketch intitulé " L'artiste ")
... qui oscille sur la mer...
J'ai pris ma porte.
Je l'ai posée sur l'eau.
Je suis monté dessus...
Et je me suis laissé emporter par les flots
en priant le Ciel que ma porte ne s'ouvre pas!

Raymond Devos

Salut l'artiste...


canard59

16/06/2006 à 15h07

R.I.P.


canard59

16/06/2006 à 15h07

Et la vie continue :


Une femme commence une partie de golf.
Elle frappe sa balle et voit celle-ci heurter un homme qui fait son
parcours pas loin devant elle.
Elle le voit mettre immédiatement ses mains serrées ensemble entre ses
deux jambes et tomber au sol.
Elle se presse aussitôt d' aller le voir. Il est tordu de douleur au sol
dans la position foetale.
Elle lui demande pardon et lui explique ensuite qu' elle est physiothérapeute et qu' elle sait qu' elle pourrait diminuer sa douleur s'il la laissait faire.
- Oooh... nnooon, dit-il. Ce n'est pas nécessaire, tout va aller pour le mieux tout à l' heure, dit-il avec le souffle court.
Mais elle insiste pour lui faire un traitement et finalement il se laisse faire.
Gentiment, elle enlève ses mains d' entre ses jambes, ouvre son pantalon et place ses mains à l' intérieur en le massant... délicatement...
Après quelques minutes, elle lui demande :
- Comment vous sentez-vous ?
- Ça fait du bien, mais j' ai toujours mal au pouce !



canard59

19/06/2006 à 14h13

A voir : http://www.eepybird.com/dcm1.html


isaïe

21/06/2006 à 23h41

-Docteur, j'ai un problème, je perds la mémoire.
-Gênant, ça, chère Madame, et depuis quand?
-Depuis quand quoi docteur?


plouf

21/06/2006 à 23h57

Monsieur est un joyeux drill !


Image 4 lrchtq - Eugenol
Alain

22/06/2006 à 00h37

isaïe Ecrivait:
-------------------------------------------------------
> -Docteur, j'ai un problème, je perds la mémoire.
> -Gênant, ça, chère Madame, et depuis quand?
> -Depuis quand quoi docteur?

- Moi j'ai plus de problème depuis que le médecin me donne un médicament pour la mémoire.

= Ah, et c'est quoi, ce médoc?

- Euh, comment ça s'appelle déjà, la belle fleur qui sent bon mais qui a des épines?

= Une rose.

- Ah ouais! Eh, Rose! C'est quoi le nom de mon médicament?


jean Plâtre

22/06/2006 à 01h15

http://www.transbuddha.com/mediaHolder.php?id=576"


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