Cookie Consent byPrivacyPolicies.comJe savais que ça finirait par arriver... - Eugenol

Je savais que ça finirait par arriver...

isaïe

26/03/2008 à 12h41

Il est possible de détendre les élévateurs de l'épaule ou tout autre masse musculaire sans toucher le patient, simplement en imposant les mains à 10 cm de son front sans le toucher...
A vos méninges, c'est on ne peut plus rationnel.


trismus

26/03/2008 à 16h22

Ta méthode de communication commence vraiment à devenir fatigante..


Phil Imcreer

26/03/2008 à 16h31

C'est la bénédiction papale "urbi et orbi " de Paques qui t'a fait venir l'inspiration ?????

Merci pour tes futures explications.


Ylfwcw979cz1jnx9gfqeaxndiuzk - Eugenol
Algi

26/03/2008 à 16h40

J'ai ma petite idée mais je resterai coit.

ON SE VOIT "QUAND" BANDE DE.....????????


Cuisinier2 vnbbxx - Eugenol
jeff2

26/03/2008 à 17h07

Et l'autre qui nous dit en MP, je ne veux surtout pas que le site du CRROC soit ésotérique, tu te fiches de nous?


trismus

26/03/2008 à 17h11

Mon Algi préféré,
Mets toi un écouteur dans une oreille, envoie une fréquence précise en mettant les mains à moins de 10 cm du front du patient et observe les conséquences . Tu peux aussi le faire avec les filtres.


trismus

26/03/2008 à 21h52

Un papier parmi tant d'autres. Celui ci est d'Emmanuel Comte de Montréal. Cela vous permettra de mieux comprendre....;))))))



"Des pendules de même longueur
Une expérience de physique simple permet d’expérimenter le principe de résonance : sur un petit portique de laboratoire placé sur une table, sont suspendus des pendules ayant des masses identiques mais des longueurs de cordes différentes, à l’exception de deux d’entre eux qui ont une longueur de corde égale.

Un opérateur saisit l’un des deux pendules similaires et lui donne un balan en le relâchant perpendiculairement à l’axe du support, imitant le mouvement d’une balançoire. Tous les autres pendules sont donc immobiles à l’exception de celui qui oscille. Puis quelques secondes plus tard, le second pendule identique à celui qui a été excité, se met à bouger ostensiblement puis à osciller aussi, de lui-même, sans avoir été touché par l’expérimentateur. Ce phénomène est appelé principe de résonance ou de cohérence.

Dans cet exemple, une corde oscillante met en vibration par résonance une autre corde immobile ayant la même longueur d’onde. Cette dernière se met en vibration alors qu’elle n’a pas été excitée préalablement et dans cette expérience, elle se met à bouger comme par enchantement.

Tout objet ou système physique, mécanique, électrique ou magnétique est dit résonant lorsque son état d’équilibre est modifié par une sollicitation externe ou vibration, générée à une fréquence identique. Il emmagasine alors de l’énergie à cette même fréquence correspondant donc à sa fréquence de résonance, qui le fait vibrer. C’est ce qu’on appelle des modèles de cohérence ou loi de vibration sympathique.

Les diapasons sympathiques
Une deuxième expérience très simple permet de vérifier cette loi de vibration sympathique : il suffit de disposer de deux diapasons similaires, que l’on trouve facilement dans les magasins de musique, par exemple, deux diapasons de 440 Hz, correspondant à la note LA de la tonalité du téléphone. Pour que l’expérience se déroule dans de bonnes conditions, il est nécessaire de disposer aussi d’une caisse de résonance, comme celle d’une guitare ou une petite boîte en bois utilisée pour emballer les bouteilles de vin. Ensuite, il suffit de déposer l’un des deux diapasons sur la caisse de résonance, d’exciter le second et de le poser à côté du premier. Le diapason excité est ensuite retiré et le premier qui était au départ silencieux, se met à résonner.

Si l’expérience est renouvelée avec deux diapasons différents, par exemple 440 Hz et 320 Hz, ce dernier correspondant à la note MI dans la même gamme musicale diatonique que le LA à 440, rien ne se passe, quelque soit le diapason excité, alors qu’avec deux diapasons identiques à 440 Hz ou 320 Hz ou quelque soit leur fréquence, si l’un d’entre eux vibre et que le second est dans son champ d’influence vibratoire, le second va vibrer en résonance, car les deux fréquences sont en cohérence.

Sur un plan émotionnel, lorsque vous ressentez être «sur le même diapason» qu’une autre personne, c’est un peu le même phénomène qui pourrait se produire… car nous émettons l’hypothèse que les émotions sont comme des diapasons avec des fréquences de résonance.

Les liaisons radio (ondes hertziennes de télévision ou de téléphone, etc.) sont établies sur le même principe, de même que semble-t-il, la télépathie ou communication directe, etc.

La corde sensible
Cette loi est valable pour deux objets identiques. Maintenant, voyons si l’expérience se vérifie avec deux objets différents : par exemple une corde et un diapason.

Disposez d’un petit instrument à corde tel qu’une lyre ou une guitare et placez-le à l’horizontale sur une table. Découpez ensuite de petits morceaux de papiers mesurant environ 2 cm par 1 cm de côté, pliés-les en deux afin que le grand côté soit divisé et disposez-les en cavalier et au centre des cordes de l’instrument. Vous aurez pris soin préalablement d’accorder une des cordes à la fréquence d’un diapason dont vous disposez (par exemple 440 Hz). Puis, activez le diapason et placez-le sur la caisse de résonance de l’instrument. Que se passe-t-il? Aussitôt, un seul morceau de papier quitte son emplacement et chute, alors que les autres ne bronchent pas. Le morceau de papier qui est tombé est celui qui était placé sur la corde ajustée à 440 Hz et n’a pas pu résister à la vibration qui l’a soudainement animé car la corde sur laquelle il était en équilibre, s’est mise à vibrer en résonance sympathique ou en cohérence, avec la fréquence du diapason.

L’expérience peut être renouvelée à l’infini et nous permet d’apporter un élargissement, qui va donner à la loi de résonance son universalité : quand deux objets quels qu’il soient sont accordés à la même fréquence et qu’un des deux objets vibre et que le second est dans son champ d’influence vibratoire, le second objet va vibrer. Dans notre expérience, la corde, en cohérence avec la fréquence du diapason, s’est mise à vibrer lorsque ce dernier est entré en contact avec l’instrument. Le morceau de papier en équilibre sur la corde a été éjecté du fait de sa vibration, alors que tous les autres sont restés immobiles.

C’est le même processus qui s’applique à nos pensées qui pourraient être comparées aussi à des diapasons, qui mettraient en vibration ce à quoi elles se consacrent et ainsi attireraient à nous, objets, événements, situations ou personnes en cohérence avec leurs vibrations. C’est ce qui aurait pu faire dire à Bouddha : «Vous ne pensez pas vos pensées, vos pensées vous pensent», car le processus fonctionne consciemment ou inconsciemment : nous créons notre réalité et sommes responsables de ce qui nous arrive car nous l’attirons à nous-mêmes selon cette loi de vibration sympathique.

Nous expérimentons aussi cette loi de cohérence sur le plan émotionnel quand un événement vient «toucher notre corde sensible». Et si l’on comprend que le corps est un instrument, que chacune de nos cellules vibre, que nos organes vibrent, que nos os, muscles, tendons nerfs etc. vibrent aussi, il est aisé de comprendre comment les sons et les vibrations peuvent nous affecter et comment ce principe peut constituer les bases d’une recherche pour une nouvelle médecine et d’une nouvelle psychologie énergétique, basées sur la physique des vibrations.



Cuisinier2 vnbbxx - Eugenol
jeff2

26/03/2008 à 22h22

tu te rends compte de tout ce que tu écris et les problêmes de couple qui en découlent?


trismus

27/03/2008 à 00h15

Ben oui, et malheureusement nous sommes nombreux à en avoir fait l'expérience.
;))))


isaïe

27/03/2008 à 14h19

"L’expérience peut être renouvelée à l’infini et nous permet d’apporter un élargissement, qui va donner à la loi de résonance son universalité : quand deux objets quels qu’il soient sont accordés à la même fréquence et qu’un des deux objets vibre et que le second est dans son champ d’influence vibratoire, le second objet va vibrer. Dans notre expérience, la corde, en cohérence avec la fréquence du diapason, s’est mise à vibrer lorsque ce dernier est entré en contact avec l’instrument. Le morceau de papier en équilibre sur la corde a été éjecté du fait de sa vibration, alors que tous les autres sont restés immobiles."

D'accord, chacun peut l'expérimenter et le reproduire.

"C’est le même processus qui s’applique à nos pensées qui pourraient être comparées aussi à des diapasons, qui mettraient en vibration ce à quoi elles se consacrent et ainsi attireraient à nous, objets, événements, situations ou personnes en cohérence avec leurs vibrations."

Pas d'accord, ce n'est pas expérimentable.
On part d'une vérité scientifiquement admise par tous pour justifier par analogie et parenté de vocabulaire un autre concept.
Du conditionnel "C’est le même processus qui s’applique à nos pensées qui pourraient être comparées aussi à des diapasons..." on passe à l'indicatif "il est aisé de comprendre comment les sons et les vibrations peuvent nous affecter..."

On trouve souvent ces glissements de genre dans pas mal de publications. Résistent-elles à l'impitoyable " observation- hypothèse- expérimentation" ?



trismus

27/03/2008 à 15h09

Tu as raison Daniel, l'emploie par cet auteur du mode indicatif dans cette phrase trahit son mysticisme. Mais on va quand même pas le mettre au bûcher pour ça.;)))))


Amibien

28/03/2008 à 01h13

trismus Ecrivait:
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> Tu as raison Daniel, l'emploie par cet auteur du
> mode indicatif dans cette phrase trahit son
> mysticisme. Mais on va quand même pas le mettre au
> bûcher pour ça.;)))))


Vois-tu Trismus, Daniel refuse d'entrer dans ce domaine, à tort ou à raison, souvent je lui en parle, je le vois alors sourire intérieurement, il n'empêche que mes expériences personnelles confirment ce que tu as si bien développé.

Daniel reconnaît que nous ne disposons pas des outils de mesure suffisants pour décortiquer la bande de bruit de fond des OAS par exemple tout en admettant qu'il devrait être intéressant d'aller plus loin dans cette voie, pourquoi ne pourrait-on pas alors avancer qu'il pourrait en être de même pour le phénomène "pensée" ?

Nous créons notre destinée, nous sommes le père de notre fils et nous sommes le fils de notre père en même temps, la seconde qui suit peut faire basculer notre vie dans un sens comme dans l'autre...

Daniel, pense à une couleur, je te dis ce que je reçois... chiche !


024 vownvo - Eugenol
annie

28/03/2008 à 05h31

Amibien écrivait

Daniel, pense à une couleur, je te dis ce que je reçois... chiche !

T'es pas tout seul,moi aussi j'ai trouvé ,c'est le Jaune;)et même une petite tache verte!