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Coaching Binhas
10/10/2008 à 10h56
Ce que je n'aime pas, c'est qu'il proposent un modèle unique de gestion, à la fois sur le plan technique, humain, psychologique... alors que nous ne sommes pas tous faits pareil.
La grande règle du coaching qui est de permettre à chacun de développer SES propres potentialités est bafouée au profit de celle consistant à developper une SEULE manière de faire proclamée efficace.
10/10/2008 à 10h59
Marc Apap Ecrivait:
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> D'après mon expérience, pour profiter au maximum
> du coaching, qui s'adresse quand même à un profil
> de praticien particuler, il faut réunir les 3
> conditions suivantes :
> - Avoir un grand nombre de patients
> - Avoir une (ou plusieurs) assistante(s) très
> performante(s)
> - Etre un gentil garçon (fille) avec un esprit
> critique moyennement développé, prêt à suivre
> aveuglément les conseils prodigués .
> S'il manque un des trois éléments, la mayonnaise
> ne prend pas. A fortiori lorsqu'il manque plus
> d'un élément.
Ah bon, c'est curieux moi c'était plutôt l'inverse.J'avais pas assez de patients et j'était très méfiant vis à vis des solutions toutes faites et des faiseurs de miracles pour en avoir déja été victime. Par contre c'est vrai que j'ai une assistante tres competente et motivée...
Renseigne toi avant de parler.
10/10/2008 à 11h48
Marc Apap Ecrivait:
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> D'après mon expérience, pour profiter au maximum
> du coaching, qui s'adresse quand même à un profil
> de praticien particuler, il faut réunir les 3
> conditions suivantes :
> - Avoir un grand nombre de patients
> - Avoir une (ou plusieurs) assistante(s) très
> performante(s)
> - Etre un gentil garçon (fille) avec un esprit
> critique moyennement développé, prêt à suivre
> aveuglément les conseils prodigués .
> S'il manque un des trois éléments, la mayonnaise
> ne prend pas. A fortiori lorsqu'il manque plus
> d'un élément.
pour reprendre quelques éléments de ta réflexion
pour les AD : il est évident que l'on doit avoir des AD cérébrées et que l'on sache les motiver ...(un merci est loin d'être suffisant !)mais il en va de même pour le prat
grand nombre de patients : ce 'était pas le cas de tout le monde mais parfois avec un bon impressario certains artistes réussissent bien mieux, la comm n'est quand même pas notre point fort: tout se travaille (dustyle un impkant c'est quoi ? ben c'est un implant pov naz, et y cone mm pas...)
je suis très certainement un très très gentil garçon mais je pense avoir gardé un oeil critique (avec en + celui de mon associée et...)l'intérêt de CE coaching est justement que les choses ne soient pas stéréotypées même si les principes eux le sont.
n'avons nous pas un exemple parlant en ce moment de structures qui s'effondrent faute de pilotes et de tableaux de bord !
je ne veux pas aller pus loin car on pourrait penser que CE coaching constitue une panacée pour moi, il est évident que l'on enfonce un certains nombre de portes ouvertes , j'avais besoin sans doute d'être rassuré avant d'entreprendre des changements donc j'en ai payé le prix...
au final franchement je ne regrette rien c'est donc là que tu dois penser que je suis vraiment un GENTIL garçon...
10/10/2008 à 12h27
Marc Apap Ecrivait:
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> Ce que je n'aime pas, c'est qu'il proposent un
> modèle unique de gestion, à la fois sur le plan
> technique, humain, psychologique... alors que nous
> ne sommes pas tous faits pareil.
Bah mince alors pour une fois que tu dis un truc dont tu n'es pas au courant... C'est justement pas le cas de EB. Ceux qui l'ont fait le disent.
Le Choixpeau magique Ecrivait:
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> Par contre, je ne comprend pas qu'ils ne proposent
> pas des formules plus light, avec les conf, les
> jeux de rôle, mais sans la partie coaching qui ne
> plait pas forcémment à tout le monde (c'est assez
> infantilisant, comme le souligne Marc ça peut
> poser des soucis à ceux qui aiment bien être les
> patrons).
EB le propose, c'est 5 k pour les 5 week ends de formation sans le coaching.
10/10/2008 à 15h30
Je suis désolé, mais non seulement je suis renseigné, mais encore j'ai fais moi-même la démarche.
Je persiste et signe, donc.
Maintenant pour EB, je pense qu'il est celui qui propose les solutions les moins stéréotypées, mais bon, ça reste quand même assez calqué sur les mêmes modèles.
Ceci étant, je connais EB personnellement, mais je n'ai pas suivi son coaching. En revanche, j'ai suivi le coaching de PB mais je ne le connais pas personnellement, et je connais personnellement PS et j'ai vu quelques unes de ses conférences/prestations.
J'ai surtout vu la clientèle de tout ce petit monde, ce qui m'a conduit à me faire une opinion sur le problème.
Mais il est fort possible que je sois moi-même extrêmement différent de l'archétype du dentiste français standard.
10/10/2008 à 15h36
Marc Apap Ecrivait:
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> Je suis désolé, mais non seulement je suis
> renseigné, mais encore j'ai fais moi-même la
> démarche.
> Je persiste et signe, donc.
> Maintenant pour EB, je pense qu'il est celui qui
> propose les solutions les moins stéréotypées, mais
> bon, ça reste quand même assez calqué sur les
> mêmes modèles.
> Ceci étant, je connais EB personnellement, mais je
> n'ai pas suivi son coaching. En revanche, j'ai
> suivi le coaching de PB mais je ne le connais pas
> personnellement, et je connais personnellement PS
> et j'ai vu quelques unes de ses
> conférences/prestations.
> J'ai surtout vu la clientèle de tout ce petit
> monde, ce qui m'a conduit à me faire une opinion
> sur le problème.
> Mais il est fort possible que je sois moi-même
> extrêmement différent de l'archétype du dentiste
> français standard.
j'ai suivi le coaching de PB moi aussi au début de ma carriere et là par contre je suis d'accord avec toi
10/10/2008 à 16h52
> Mais il est fort possible que je sois moi-même
> extrêmement différent de l'archétype du dentiste
> français standard.
sans flagornerie aucune, penses tu sincèrement être l'archétype du df standard ?
je ne pense pas que la comm te pose le moindre problème , ni même l'aspect comptable et bien d'autre choses encore...
le disque dur reste le disque dur mis certains (j'en fais partie) ont besoin de mettre à jour les pilotes;,pour d'autres c'est en mode auto
ton parcours reste t'il typique du dfs ?
.
10/10/2008 à 18h18
Marc, je trouve ton ton condescendant très désagréable : le fait d'être corticalisé cérébralement n'est pas une clause d'impossibilité au coaching.
Il faut arrêter de croire que seuls les imbéciles heureux et les praticiens avides font des coaching.
Il y a milles raisons de le faire, et si le coach est bon il y a mille façon de rendre service à un dentiste.
10/10/2008 à 21h51
Malentendu : je ne me place pas au dessus du lot, bien au contraire. Juste à côté. Je le regrette sincèrement d'ailleurs, car j'aurais sûrement profité beaucoup mieux de l'enseignement suivi.
10/10/2008 à 22h20
Tu cites ailleurs aussi, marc, le fait d'être un gentil garçon comme une condition sine qua non à adhérer à certaines formations.
Je pense, sans me surestimer moi même, que l'on peut aborder nombres de formations en étant capable d'en prendre et d'en laisser.
Et je crois que c'est valable pour toutes les informations qui nous sont distillées que ce soit oralement ou par écrit.
Le fait que les coach disent que leur façon de faire est un tout te pousse à sortir de ta zone de confort (très coach comme discours) autrement dit à se mettre, au travers de l'application de méthodes éprouvées, dans une situation que tu n'aurais pas crée par toi même (sinon, en effet, pas besoin de coach).
Après, avec le temps et quand vient la compréhension du système que tu appliques de façon scolaire, tu aménages à ta sauce les conseils prodigués, simplement car tu les as intégrés comme des paramètres de ton travail et non plus comme une doctrine.
C'est en cela que je parlais d'aller se faire coacher avec un cerveau.
Et le fait d'aller écouter certains formateurs qui, parce qu'ils sont de très bons orateurs, passent pour des gourous n'est pas toujours une mauvaise chose si on parvient à en tirer quelque chose sur le plan professionnel ou personnel.
Sans rancune, aucune ;).
12/10/2008 à 22h12
Salut à toi!
Que veut dire: j'ai suivi le coaching de PB, mais je ne le connais pas personnellement.
Perso, j'ai fait sa formation en 2000, puis après j'ai mes réunions en petit comité avec lui pendant 1 an, puis j'ai redoublé sur certains modules supplémentaires que j'ai approfondi.
On connait le bonhomme; on apprécie ou pas (moi oui)
Je l'ai frequenté 2 ans 1/2; chaque euro dépensé chez lui (déductible intégralement), m'a rapporté beaucoup plus (également à titre personnel).
C'est un des meilleurs investissements de ma carrière prof car ça m'a enlevé des blocages que je m'étais imposé par les rumeurs de la profession.
Chez lui la vue externe est encore plus externe car il n'est pas français (même s'il a des liens très fort avec notre pays).
Tous les coachs peuvent nous apportent quelque chose de positif que nous pouvons (si nous le désirons) transformer en CA augmenté, en loisir,...
A bientôt,
Lazydoc
12/10/2008 à 22h28
Coaching ou pas il faut travailler mes amis !
Au début de votre révolution il faudra oeuvrer au moins 60 heures par semaine et 52 semaines par an...
12/10/2008 à 23h36
Bjorn Ecrivait:
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> Oui, et faire des dips pour le dos.
sacré Bjorn !
13/10/2008 à 11h06
lazydoc1 Ecrivait:
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>
>
>
> Chez lui la vue externe est encore plus externe
> car il n'est pas français (même s'il a des liens
> très fort avec notre pays).
il a surtout des liens avec la scientologie !
>
13/10/2008 à 11h33
C'est possible je ne l'ai jamais noté durant les formations. Pourtant j'y ai prêté attention du fait de ces rumeurs.
Et connaissant la propension de toutes les sectes à faire du prosélytisme, je pense que cela aurait au moins transpiré.
13/10/2008 à 11h52
Je n'ai jamais fait de telle formation, et pourtant, j'en ai eu des bénéfices !
3 anciens confrères et anciennement amis se sont fais coachés (PMD et ??).
Les résultats après 2 ans: ils ont vu leurs bénéfices augmenter, et travail diminuer.
A moyen terme: ils ont encore moins de travail, mais encore moins de benef..
Moi qui était fraichement installé, cela m'a apporté beaucoup de patientèle, travail et bénéf !
13/10/2008 à 13h05
rester humble, penser global, ne pas faire de concession sur le plan de traitement, travailler en respectant les principes élémentaires en matière d'hygiène, se passionner, se former, faire la différence, faire en sorte que le patient n'aie plus de problèmes avec ses dents après nos traitements, se faire assister efficacement, ne plus faire de bridge au maxillaire !!!! la dernière publication de Isaïe vous confortera dans cette décision... c'est devenu une réalité, il vous faudra changer votre fusil d'épaule... si vous ne me croyez pas demandez donc les raisons, nous vous expliquerons.
13/10/2008 à 16h00
Pour commencer, faites de "l'auto-coaching", il suffi simplement de réfléchir à ce qu'on souhaite (au niveau prise en charge des patients, materiel, qualité de soins, temps de travail, CA etc...) et apres de réfléchir à comment y arriver et de l'appliquer.
Commencez par prendre une ou deux journées dans votre cahier de rdv que vous passerez a y reflechir.
Ca va vous couter du temps mais meme si le temps c'est de l'argent, 15 000 euros de votre temps (a comparer a votre benef' annuel, pas a votre chiffre annuel...), ça fait quand meme quelques heures (semaines...) a perdre. Il faut savoir s'arreter un peu pour reflechir de temps en temps, c'est pas compliqué.
Le coaching peut aider pour deux choses précises : lever le tabou de l'argent et vous apprendre à dire non.
13/10/2008 à 16h13
Estrée Ecrivait:
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> Le coaching peut aider pour deux choses précises :
> lever le tabou de l'argent et vous apprendre à
> dire non.
c'est marrant, dire oui au fric et non au travail !
et si ce n'est pas a travail, dire non à quoi alors ?
merci
13/10/2008 à 16h22
Dire non au patient
et effectivement mon objectif est de gagner le plus possible en travaillant le moins possible. Je travaille pour vivre pas l'inverse, mais chacun fait comme il veut...
(ça n'empeche pas d'avoir des valeurs morales et de les respecter...)
13/10/2008 à 16h34
Pour gagner plus en travaillant moins, il n'est pas nécessairement besoin de dépenser plus. Pour la plupart nous avons un complexe vis à vis de l'argent à demander au patient et sur la valeur de notre compétence. Parfois simplement augmenter ses tarifs à hauteur de ses confrères suffit.