Cookie Consent byPrivacyPolicies.comQuelle colle pour les inlays? - Eugenol
cocobret

16/10/2009 à 02h14

Je viens de changer de cabinet et je n'ai que du superbond qui ne me semble pas la colle la plus adaptée pour les inlays même si elle présente de bonne propriétés d'adhésion. J'utilisais avant le variolink et je voulais savoir ce qui en était des colles automordancantes ou encore du multilink afin d'acheter la colle la plus adaptée (pour inlays compo ou céram en fonction des cas).
Merci de vos témoignages cliniques.


fr

16/10/2009 à 02h37

composite normal réchauffé à 50°C... c'est simple peu onéreux, terriblement efficace et en plus ça permet de mettre en place l'onlay tranquilou en retirant petit à petit les excès.
puis photo polymérisation sur chaque face +++.
Depuis que je fais ça, plus aucun pb ni de mise en place ni de douleurs post op ( j'ai appris ça à l'ADF l'année dernière et oui on y apprends parfois des choses mais ça fait un peu chero la combine)
MERCI DE M ENVOYER UNE PETITE PARTICIPATION POUR LA COMBINE QUI M A COUTE BIEN CHER....


Smile beach jgh0a1 - Eugenol
Céramik

16/10/2009 à 02h37


2 bons choix chez Ivoclar

1-Excite + variolink

2-Multilink

Plus il y d'émail, plus le total etch est suggéré.
Avec multilink, etcher l'émail aide, comme avec tout les auto-mordançant.

Je suis plus total ecth pour les inlay-onlay.
--
Céramik


cocobret

16/10/2009 à 10h01

Je pense que je vais essayer le multiink. J'avais aussi entendu parler de NX3 de chez Kerr? ou éventuellement du RelyX à qui on a voué toutes les qualités après son lancement (qu'en est il après quelques années?)
Entre temps je vais devoir collé un inlay au super bond et j'aurai aimé avoir quelques conseils: etching dent, silane sur compo... A quel moment enlever les excès(quand elle est encore fluide ou quand elle devient pâteuse et elastique)?


Grueavatar nptrc9 - Eugenol
Le Choixpeau magique

16/10/2009 à 11h15

cocobret écrivait:
------------------
> Je pense que je vais essayer le multiink. J'avais aussi entendu parler de NX3 de
> chez Kerr? ou éventuellement du RelyX à qui on a voué toutes les qualités après
> son lancement (qu'en est il après quelques années?)

Il faudrait peut être aller un peu au delà de la simple consultation des brochures publicitaires lors du choix d'un produit, en commençant par connaître à quelle famille chaque nom commercial correspond. Parce que là, tu mélanges des produits qui n'ont rien à voir entre eux, si tu veux juste qu'on te cite une marque ton commercial le fera tout aussi bien...


> Entre temps je vais devoir collé un inlay au super bond et j'aurai aimé avoir
> quelques conseils: etching dent, silane sur compo... A quel moment enlever les
> excès(quand elle est encore fluide ou quand elle devient pâteuse et elastique)?

Tu lis le mode d'emploi, non ? Et si tu trouves ça trop compliqué (ce que je comprendrais), tu déplaces ton rendez vous de pose le temps d'éclaircir tout ça.


zuka

16/10/2009 à 12h44

fr écrivait:
------------
> composite normal réchauffé à 50°C... c'est simple peu onéreux, terriblement
> efficace et en plus ça permet de mettre en place l'onlay tranquilou en retirant
> petit à petit les excès.
> puis photo polymérisation sur chaque face +++.
> Depuis que je fais ça, plus aucun pb ni de mise en place ni de douleurs post op


peux tu me dire comment tu chauffe le compo? et qu'elle type de compo tu utilises?
je n'ai jamais entendu parler de cette façon de procéder.
(j'ai pas fais la bonne conf à l'ADF)


Rorschachwhite tx6rqr - Eugenol
Candide Candida

16/10/2009 à 13h33


Quid de la phoyopolymérisation du composite (photo uniquement donc ..) sous l'inlay-onlay, d'accord pour les bords et les joints (et encore la polymérisation dans l'espace interdentaire ?), mais le compo qui est sous 4-5 mm d'inaly-onlay il reçoit quoi comme vecteur de polymérisation ?

CC.


zuka

16/10/2009 à 13h57

Candide Candida écrivait:
-------------------------
>
> Quid de la phoyopolymérisation du composite (photo uniquement donc ..) sous
> l'inlay-onlay, d'accord pour les bords et les joints (et encore la
> polymérisation dans l'espace interdentaire ?), mais le compo qui est sous 4-5 mm
> d'inaly-onlay il reçoit quoi comme vecteur de polymérisation ?
>
> CC.

+1


Pepsi tmi4vp - Eugenol
cartman

16/10/2009 à 14h06

salut,

la technique du compo réchauffé (bisico en vend je crois) est surtout décrite pour le collage des facettes. ( cf Magne de mémoire) Le collage semble plus aisé et la photopolymérisation est effective. (ps: jamais essayé pour ma part encore)


cocobret

16/10/2009 à 14h12

Pour ce qui est de savoir à quelles catégories appartiennent les colles, je n'ai pas attendu mettre un post. Le but de ma question est plus de savoir ce qu'en pense ce qui ont utilisé ces produits puisque justement d'après les notices ils peuvent tous être utilisés et que je ne pense pas que la seule qualité d'une colle ne repose sur ses valeurs expérimentales d'adhésion.
Merci de cette réponse mais j'aurais préféré savoir quelle colle vous utilisez et pour quelle raisons. Ma question ne repose pas sur la composition ou nature des colles (ou composites de collages)mais bien sur l'utilisation clinique de ces différents matériaux.


Smile beach jgh0a1 - Eugenol
Céramik

17/10/2009 à 04h01

Pour coller mes facettes, couronnes, inlays et onlays depuis 15 ans, j'utilise presque toujours du photo-polymérisable. Des milliers de cas, pas de soucis.

Je prend souvent 2 lampes, et avec les LED très puissantes et sans chaleur disponible depuis 5 ans, c'est super facile.

Les excès, et bien je les retire le plus possible avant de polymériser, c'est plus simple. Quand ça commence a devenir gélifié, il y a risque d'avoir des marge ouverte ou de bouger la restauration.

Pour zircone, le multilink (qui est dual).

Je viens d'assister à une conférence d'un type de UCLA.
Les ciments self-etch (unicem) sont très faible en adhésion (études sérieuse indépendentes). Pour avoir des valeurs correctes, il faut absolument séparer l'étape self-ecth de la résine. Ainsi, Multilink est le meilleur, avec 3 X l'adhésion du UNICEM. Si on etch avant unicem + primer 3M, on obtient de bon score.



--
Céramik


cocobret

17/10/2009 à 11h12

Merci pour cette réponse qui m'aide vraiment dans mon choix. Il me semble donc que je vais repartir pour l'instant avec le Variolink et je prendrais du mutilink en plus quand mon activité ce sera un peu développée.(je viens de reprendre un cab...).


Img 0812 mvp6i0 - Eugenol
jeamba

17/10/2009 à 16h38

> Pour zircone, le multilink (qui est dual).
> Céramik

Peut-on l'utiliser également pour les couronnes en zircone ou céramo céramique.


Rorschachwhite tx6rqr - Eugenol
Candide Candida

17/10/2009 à 18h48


La question reste sans réponse : comment le composite photoP est polymérisé sous l'onlay ?

Que l'on me réponde : "il ne l'est pas, mais le collage périphérique est suffisant pour assurer étanchéité et adhérence" ne me parait pas trés malin, mais serait au moins une réponse..

Les meilleures lampes LED donnent des puissances de 1200mW/cm² avec des penetrations de 7mm transmatériaux (d'ailleurs lequel et avec quelle teinte : mystère) , compatible avec un onlay : oui en occlusal (en étant sympa), par contre reste toujours le problème des boxs proximaux, non ?

Si l'on doit polymériser sous un onlay, la notion de chaleur émise par la lampe ne me parait pas forcement trés importante vu la faible conduction thermique des Ceroméres ou de la céramique.

Le multilink et le variolink sont dual, donc rien à voir avec des composites photos purs.

Le 50°C modifie le comportement rhéologique du composite, a-til une action sur la polymérisation ?

CC.


Marque a3 orange fyvhyq - Eugenol
Marc Apap

17/10/2009 à 19h01

Evidemment d'accord avec CC. Foutaise que tout cela.
Sous des facettes, c'est compréhensible. Sous un inlay ou un onlay, c'est de la pure betise. Aucun intéret, dès l'instant où il existe des matériaux justement faits pour éviter ce genre de problème : les composites de collage à prise duale.


Grueavatar nptrc9 - Eugenol
Le Choixpeau magique

17/10/2009 à 19h23

Candide Candida écrivait:
-------------------------
> Les meilleures lampes LED donnent des puissances de 1200mW/cm² avec des
> penetrations de 7mm transmatériaux (d'ailleurs lequel et avec quelle teinte :
> mystère)

Mouais, et encore, quand on voit les brochures de 3M (elipar S10) et ivoclar (Bluephase G2), ils annoncent respectivement 700 et 800 mW d'intensité à 7 ou 8 mm D'AIR !(et pas transmateriaux)


Rorschachwhite tx6rqr - Eugenol
Candide Candida

17/10/2009 à 19h37

Encore mieux ..

CC.


Image odged8 - Eugenol
ploc

17/10/2009 à 19h49

1800/2300 ...annoncés par Bisico en fonction du diamètre de l'embout
et comme ceramik, 2 lampes en mme temps(recahrgeables sur le mme socle)
cela dit comme ma colle est le varilonk,c'est mettre des bretelles supplementaires au parachute
BDC mais prudente!


Grueavatar nptrc9 - Eugenol
Le Choixpeau magique

17/10/2009 à 20h22

ploc écrivait:
--------------
> 1800/2300 ...annoncés par Bisico en fonction du diamètre de l'embout
> et comme ceramik, 2 lampes en mme temps(recahrgeables sur le mme socle)
> cela dit comme ma colle est le varilonk,c'est mettre des bretelles
> supplementaires au parachute


Tu as aussi un mode "émulation plasma" sur la valo d'ultradent à 4500 mW... Tu peux aussi très bien cuire ta dent !
Les hautes puissances sont de toute façon à éviter, polymérisation rapide = stress plus important.
Avec les compos dual cure, il est conseillé d'attendre au moins que le composite polymérise tout seul jusqu'au stade de gel avant d'envoyer la sauce, là encore pour limiter le stress de polymérisation.

A noter que d'après la pub de la bluephase G2, il existe de grandes disparités entre les puissances annoncées par les fabricants, et les puissances constatées. L'ancienne Elipar Freelight 2 très répandue dans les cabinets sort en moyenne 600 mW contre 1000 annoncés.... Un argument, amha, contre les lampes ebay à 100 euros, revendues sous leurs marques par les VPCistes (R&S, BA international).


Smile beach jgh0a1 - Eugenol
Céramik

17/10/2009 à 21h14

Marc Apap écrivait:
-------------------
> Evidemment d'accord avec CC. Foutaise que tout cela.
> Sous des facettes, c'est compréhensible. Sous un inlay ou un onlay, c'est de la
> pure betise. Aucun intéret, dès l'instant où il existe des matériaux justement
> faits pour éviter ce genre de problème : les composites de collage à prise
> duale.


Un onlay Empress laisse passé pas mal de lumière, pas de soucis. C'est juste plus sympa d'enlever les exces avant de tout durcir. Dans les cas limite (accès, épaisseur, zircone) ben le multilink est dual, ou bien variolink dual.


Photo Couronne Empress 46, lampe 1200 mW, collé mode photo en 2003...et ça tient encore...

Mais de toutes façon, Marc tu ne seras jamais en accord...
selon toi, j'ai 1500 unitées de céram mal collées...

--
Céramik

Empress 46 gk64si - Eugenol

Marque a3 orange fyvhyq - Eugenol
Marc Apap

17/10/2009 à 21h53

Céramik, quand tu auras fini de te la péter avec les "Moi, je pose à tire larigot" sans arrêt, tu comprendras peut être que lorsque l'on propose des solutions censées être appliquées par le plus grand nombre, y compris ceux sans grande culture scientifique fondamentale, il convient de rester prudent afin d'éviter les dérives, échecs et déconvenues.
Bravo pour ton talent de vendeur de dents, ton message est bien passé.


Smile beach jgh0a1 - Eugenol
Céramik

17/10/2009 à 22h05


Salut,
Je ne dis pas «moi je», mais «il est possible de...»
et tu réponds « foutaise»...

On voit bien l'esprit d'ouverture.

J'ai appris tous ces trucs car j'ai voulu apprendre et changer.

Tous ces trucs sont fait par d'autres, de façon quotidienne.
Je n'invente rien, j'essais de montrer des choses possibles.
Si tu trouves cela trop, et bien tant pis.

Il y a des types qui nous montrent des expansions osseuses très avancées et je dis wow, on en veut encore, et non foutaise, ça marche pas, il y a des stélites, pourquoi faire des implants...



--
Céramik


Marque a3 orange fyvhyq - Eugenol
Marc Apap

17/10/2009 à 22h14

D'accord avec ça. Il est juste important de préciser les conditions : une épaisseur de matériau prothétique très fine, un matériau tranlucide.
Ceci étant, si c'est juste pour éviter que les excès ne bavent, c'est à mes yeux prendre des risques inutiles.
Honnêtement, je n'ai pas fait la biblio là dessus. Mais franchement, je doute que la polymérisation du composite soit top, même avec un lampe hyperpuissante.


Smile beach jgh0a1 - Eugenol
Céramik

17/10/2009 à 22h19

Empress: 2-3 mm se polymérise très bien.
Plus de 3mm, ça dépend de l'accès.
4 mm et plus, dual cure.

Les excès, ça devient important quand on colle un quadrant ou une arcade, pour une unitaire, chacun son truc, je photo-polymérise bcp plus souvent, dual parfois.



--
Céramik


Marque a3 orange fyvhyq - Eugenol
Marc Apap

17/10/2009 à 22h49

Voici 5 abstracts qui synthétisent bien ce que nous disons. Hormis les céramiques très translucides, pas plus épaisses que 2 mm et à condition d'appliquer l'embout de la lampe au contact de la restauration au minimum 40 secondes, mieux vaut employer une colle duale.

J Prosthet Dent. 2004 May;91(5):441-6
Light transmission through all-ceramic dental materials: a pilot study.
Rasetto FH, Driscoll CF, Prestipino V, Masri R, von Fraunhofer JA.
Department of Restorative Dentistry, Baltimore College of Dental Surgery, University of Maryland, 21202, USA. [email protected]
Statement of problem Light transmission through veneers affects the degree of polymerization of light-polymerized resin luting agents. PURPOSE: Light transmission through different all-ceramic veneers when irradiated by 3 types of light-polymerization units was measured to evaluate the degree of polymerization.Material and methods The power outputs from a conventional halogen (3M Unitek), a plasma arc (Apollo 95E), and a high-intensity halogen (Kreativ Kuring Light Model 2000) light were measured by a radiometer. The light intensity (mW/cm(2) ) from these units was also measured after transmission through 0.25-, 0.40-, and 0.60-mm-thick Procera copings and through 1-mm-thick disks of feldspathic porcelain (Ceramco II), aluminous porcelain (Vitadur Alpha), and a castable pressed ceramic (IPS Empress). Two disks of each material were fabricated by a commercial laboratory in accordance with the manufacturers' recommendations. The light transmissions through these materials were compared with those through Procera-aluminous porcelain combinations. These disks were fabricated by applying appropriate thicknesses of aluminous porcelain (AllCeram). Light intensities were subjected to ANOVA and post hoc Scheffé tests at a priori alpha=.05. RESULTS: Intensities of light from 3 polymerization units, conventional halogen light, high-intensity halogen light, and plasma arc, were 660, 1050, and 2475 mW/cm,(2) respectively, and these together with the ceramic veneer thickness dictated the light transmission through veneers. Mean values (+/-SD) of light transmission through Procera copings for thicknesses of 0.25, 0.40 and 0.60 mm, respectively, were as follows: Apollo plasma arc (1083 +/- 117, 843 +/- 59, and 593 +/- 132); Kreativ high-intensity halogen (425 +/- 41, 345 +/- 74, and 256 +/- 79); 3M Unitek halogen (270 +/- 102, 230 +/- 48, and 180 +/- 113). Comparable transmissions occurred with the other ceramics. Only the plasma arc and the high-intensity halogen polymerization units emitted light of sufficient energy to effect polymerization of a resin luting agent (P=.045). CONCLUSION: Within the limitations of this study, the intensity of light transmitted through ceramic veneers was dictated by the polymerization unit and the type and thickness of the ceramic. With conventional halogen polymerization units, there may be insufficient light transmission through thicker veneers or all-ceramic crowns for adequate light polymerization.

Oper Dent. 2006 Jan-Feb;31(1):68-77
Polymerization efficiency of different photocuring units through ceramic discs.
Jung H, Friedl KH, Hiller KA, Furch H, Bernhart S, Schmalz G.
This study compared the ability of a variety of light sources and exposure modes to polymerize a dual-cured resin composite through ceramic discs of different thicknesses by depth of cure and Vickers microhardness (VHN). Ceramic specimens (360) (Empress 2 [Ivoclar Vivadent], color 300, diameter 4 mm, height 1 or 2 mm) were prepared and inserted into steel molds according to ISO 4049, after which a dual-cured composite resin luting material (Variolink II [Ivoclar Vivadent]) with and without self-curing catalyst was placed. The light curing units used were either a conventional halogen curing unit (Elipar TriLight [3M/ESPE] for 40 seconds), a high-power halogen curing unit (Astralis 10 [Ivoclar Vivadent] for 20 seconds), a plasma arc curing unit (Aurys [Degré K] for 10 seconds or 20 seconds) or different light emitting diode (LED) curing units (Elipar FreeLight I [3M/ESPE] for 40 seconds, Elipar FreeLight II [3M/ESPE] for 20 seconds, LuxOmax [Akeda] for 40 seconds, e-Light [GC] for 12 seconds or 40 seconds). Depth of cure under the ceramic discs was assessed according to ISO 4049, and VHN at 0.5 and 1.0 mm distance from the ceramic disc bottom was determined (ISO 6507-1). Medians and the 25th and 75th percentiles were determined for each group (n=10), and statistical analysis was performed using the Mann-Whitney-U-test (p < or = 0.05). The results showed that increasing ceramic disc thickness had a negative effect on the curing depth and hardness of all light curing units, with hardness decreasing dramatically under the 2-mm thick discs using LuxOmax, e-Light (12 seconds) or Aurys (10 seconds or 20 seconds). The use of a self-curing catalyst is recommended over the light-curable portion only, because it produced an equivalent or greater hardness and depth of cure with all light polymerization modes.


J Adhes Dent. 2007 Oct;9(5):449-62
Influence of ceramic translucency on curing efficacy of different light-curing units.
Koch A, Kroeger M, Hartung M, Manetsberger I, Hiller KA, Schmalz G, Friedl KH.
Department of Operative Dentistry and Periodontology, University Clinics, Regensburg, Germany. [email protected]
PURPOSE: The aim of the study was to examine the influence of dental ceramic translucency under different exposure conditions upon the polymerization rate of a dual-curing composite resin by measuring the depth of cure (DOC) and the Vickers microhardness (VHN). MATERIALS AND METHODS: Three hundred twenty ceramic specimens (160 Empress 2, Ivoclar Vivadent, color 300, and 160 ProCAD, Ivoclar Vivadent, 300, 114; diameter 4 mm, height 1 mm or 2 mm) were inserted into steel molds and overlayed using a composite resin (Variolink II, Ivoclar Vivadent) with and without a self-curing catalyst. Specimens were cured either in contact with or at a 5-mm distance from a conventional halogen curing light (Elipar TriLight, 3M ESPE, exposure duration 40 s, standard mode) and a light-emitting diode (LED: Bluephase 16i, Ivoclar-Vivadent, exposure duration 20 s, high-power mode). DOC under the ceramic specimen was measured following ISO 4049:2000. The VHN of the resin composite was determined at 0.5 mm and 1.0 mm distance from the ceramic using a Vickers hardness tester. Statistical analysis was performed using the Mann-Whitney U-test (alpha = 0.05) and the error-rates method (ERM). RESULTS: Higher translucency of the ceramic restoration resulted in higher DOC and VHN values, which were statistically significant for the halogen light source and in most cases for the LED groups. The use of a self-curing catalyst generally produced an increase in DOC and VHN data, with the exception of DOC data for the highly translucent ceramic and direct contact of the tip of the light source with the ceramic. No significant differences between VHN data of the highly translucent ceramic without catalyst and the opaque ceramic with catalyst were observed in 3 out of 4 pairwise comparisons and according to the ERM. Thus, there are indications that for a highly translucent ceramic with the LED unit tested the catalyst may be waived for a ceramic thickness up to 2 mm. CONCLUSIONS: There are indications that for a highly translucent ceramic with the LED unit tested, the catalyst may be omitted with a ceramic thickness up to 2 mm. High ceramic translucency improves polymerization of luting compo

: Am J Dent. 2008 Jun;21(3):135-42
Light curing of resin-based composites in the LED era.
Krämer N, Lohbauer U, García-Godoy F, Frankenberger R.
Department of Pediatric Dentistry, University of Dresden, Germany.
This review thoroughly accumulated information regarding new technologies for state-of-the-art light curing of resin composite materials. Visible light cured resin-based composites allow the dentist to navigate the initiation of the polymerization step for each layer being applied. Curing technology was regularly subjected to changes during the last decades, but meanwhile the LED era is fully established. Today, four main polymerization types are available, i.e. halogen bulbs, plasma are lamps, argon ion lasers, and light emitting diodes. Additionally, different curing protocols should help to improve photopolymerization in terms of less stress being generated. Conclusions were: (1) with high-power LED units of the latest generation, curing time of 2 mm thick increments of resin composite can be reduced to 20 seconds to obtain durable results; (2) curing depth is fundamentally dependent on the distance of the resin composite to the light source, but only decisive when exceeding 6 mm; (3) polymerization kinetics can be modified for better marginal adaptation by softstart polymerization; however, in the majority of cavities this may not be the case; (4) adhesives should be light-cured separately for at least 10 seconds when resin composite is applied directly; (5) photocuring through indirect restorations such as ceramics is still a problem, therefore, both dual-cured adhesives and dual-cured composites and resin coating in any way are recommended; and (6) heat generation with high-power photopolymerization units should not be underestimated as a biological problem for both gingival and pulpal tissues.


J Prosthodont. 2009 Jul;18(5):411-6. Epub 2009 Mar 26
Microhardness of a resin cement polymerized by light-emitting diode and halogen lights through ceramic.
Hooshmand T, Mahmoodi N, Keshvad A.
Department of Dental Materials, School of Dentistry/Research Center for Science and Technology in Medicine, Tehran University of Medical Sciences, Tehran, Iran. [email protected]
PURPOSE: This study evaluated the curing efficiency of light-emitting diode (LED) and halogen [quartz tungsten halogens (QTH)] lights through ceramic by determining the surface microhardness of a highly filled resin cement. MATERIALS AND METHODS: Resin cement specimens (Variolink Ultra; with and without catalyst) (5-mm diameter, 1-mm thick) were condensed in a Teflon mold. They were irradiated through a ceramic disc (IPS Empress 2, diameter 5 mm, thickness 2 mm) by high-power light-curing units as follows: (1) QTH for 40 seconds (continuous), (2) LED for 20 seconds, and (3) LED for 40 seconds (5-second ramp mode). The specimens in control groups were cured under a Mylar strip. Vickers microhardness was measured on the top and bottom surfaces by a microhardness tester. Data were analyzed using analysis of variance (ANOVA) and a post hoc Bonferroni test at a significance level of p < 0.05. RESULTS: The mean microhardness values of the top and bottom surfaces for the dual-cured cement polymerized beneath the ceramic by QTH or LED (40 seconds) were significantly higher than that of light-cured cement (p < 0.05). The top and bottom surface microhardness of dual-cured cement polymerized beneath the ceramic did not show a statistically significant difference between the LED and QTH for 40 seconds (p > 0.05). CONCLUSIONS: The efficiency of high-power LED light in polymerization of the resin cement used in this study was comparable to the high-power QTH light only with a longer exposure time. A reduced curing time of 20 seconds with high-power LED light for photopolymerizing the dual-cured resin cement under ceramic restorations with a minimum 2-mm thickness is not recommended.




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