Tous les forums
Revue de presse
13/06/2015 à 09h21
dentino écrivait:
-----------------
>
> > Aux états unis, ils fonctionnent sur le mode du don.
>
> Aux Etats-Unis, l'aide aux plus défavorisés se fait grâce à la charité
> En France, il se fait grâce à la solidarité
> La charité permet de gagner la reconnaissance de celui qu'on aide, mais on
> risque de passer à côté de nécessiteux trop embarrassés ou trop ignorants pour
> la demander.
-
la charité permet aussi de choisir ses pauvres.
> C'est une grosse différence culturelle entre nous et nos amis américains.
22/06/2015 à 10h48
http://www.cairn.info/revue-sante-publique-2015-2-page-233.htm
Une étude sur les prochaines évolutions de la déontologie "dentaire".
Très intéressant.
22/06/2015 à 11h18
> dentino écrivait:
> -----------------
> > Aux Etats-Unis, l'aide aux plus défavorisés se fait grâce à la charité
> > En France, il se fait grâce à la solidarité
Sur ce sujet, à noter un bouquin d'histoire :
"Politique et religion aux Etats Unis", par Camille Froidevaux-Metterie.
Si leur premier amendement garantit la séparation des Eglises et de l'Etat, si la laïcité est prétendue absolue, il y a une énorme vague religieuse qui inverse les pouvoirs.
Ainsi, les écoles religieuses sont subventionnées (à fond), et les hallucinogènes sont admis si la religion personnelle le permet, etc.
Bush faisait partie de ces évangéliques. Il a créé, contre cette séparation Eglises-état, le faith-based and community initiatives qui donne de l'argent public aux religions qui travaillent dans le domaine social, sans contrôler l'usage cet argent. Ces sommes ne sont pas destinées aux nécessiteux, c'est démontré... (et expliqué par Kuo, un ancien dirigeant de ces administrations, qui démontre et chiffre l'argent remerciant ces généreux politiciens donateurs).
22/06/2015 à 13h15
ameli écrivait:
---------------
> http://www.cairn.info/revue-sante-publique-2015-2-page-233.htm
>
> Une étude sur les prochaines évolutions de la déontologie "dentaire".
> Très intéressant.
---------
Les auteurs sont dentistes a priori, extrait:
La liberté de choix à laquelle les patients tiennent tant est donc explicite dans les codes de déontologie. Tout porterait donc à croire que ce principe est appliqué sans restriction. Pourtant, la mise en place de réseaux de soins par les complémentaires santé vient aujourd’hui contrarier ce principe.
53
Les liens entre les professionnels de santé et les organismes complémentaires d’assurance maladie (OCAM) reposent sur des conventions signées par les parties. Tel le contrat entre le praticien et son patient, ces conventions sont intuitu personae et comportent des devoirs réciproques. Les OCAM orientent les patients vers les praticiens membres de leurs réseaux. Les assurés gardent encore le choix de leur praticien, mais cette liberté est entravée par les remboursements différenciés. En effet, hors réseaux, l’assuré voit son remboursement diminué. Il est donc tenté de quitter son praticien habituel pour rejoindre un concurrent qui aurait contracté avec le réseau, sous peine de ne pas être remboursé ou voir son remboursement très minoré. Ce constat laisse présager une entorse au droit de la liberté de choix de son praticien.
54
C’est pourquoi dès 1997, le Conseil national de l’Ordre des chirurgiens-dentistes faisait part de ses inquiétudes questionnant le premier président honoraire de la Cour de cassation Pierre Drai, au sujet de possibles atteintes déontologiques [23].
55
Mais jusqu’à présent la jurisprudence n’a pas permis au Conseil national de l’Ordre d’éviter la mise en place de ces nouveaux réseaux. Une modification du Code de déontologie ne semble pas pouvoir y apporter une solution.
22/06/2015 à 15h05
Au Royaume-Uni, un nouveau rapport gouvernemental stipule que l’organisme de santé publique britannique, le NHS, pourrait réaliser quelque 6,9 milliards d’euros d’économies par an, en assurant notamment une meilleure gestion des ressources humaines et une optimisation de l’utilisation des médicaments dans les hôpitaux.
Le National Health Service (NHS) pourrait économiser 5 milliards de livres (6,9 milliards d’euros) par an en améliorant son efficacité. Un rapport gouvernemental rendu mi-juin stipule que des économies pourraient être réalisées au sein de l’organisme de santé publique britannique en assurant notamment une meilleure gestion des ressources humaines et une optimisation de l’utilisation des médicaments dans les hôpitaux.
Le NHS doit entreprendre une diète sévère pour réduire ses coûts. C’est en tous les cas ce qui ressort d’un rapport rendu au gouvernement britannique, jeudi 11 juin, par Lord Carter of Coles, membre de la Chambre des lords.
(extrait de la revue "Acteur public")
Remarque : toutes les "sécus" europeennes sont en difficulté et surveillent et restreignent les dépenses.
22/06/2015 à 18h11
http://www.fredericbizard.com/2015/01/le-nhs-ne-peut-pas-survivre-sans-instaurer-un-paiement-direct-par-les-patients/
"THE GUARDIAN
Article original
http://www.theguardian.com/commentisfree/2015/jan/06/nhs-cant-survive-without-payment-frontline-treatments
Traduction
Le 6 janvier 2015
Par Simon Jenkins (écrivain et journaliste de renom pour le Guardian et la BBC)
LE NHS NE PEUT SURVIVRE SANS INSTAURER UN PAIEMENT DES SOINS EN DIRECT PAR LES PATIENTS
Rationner l’offre de soins par le paiement peut offenser les traditions, mais rationner par le chaos est cruel
Les politiques sont devenus fous. Le NHS doit être sauvé avec 2 milliards de livres des banques (conservateurs), avec 2,5 milliards de livres à partir des taxes sur les cigarettes (travaillistes), avec 1,5 milliard de livres de taxes locales (travaillistes), avec le même 1,5 milliard de livres pour les infirmières écossaises (travaillistes écossais) ou avec 8 milliards de livres avec les recettes de la croissance (libéraux démocrates). Ou le NHS peut toujours être sauvé par des gains d’efficience (tous les politiques, cette dernière décennie).
Pendant ce temps, six hôpitaux ont déclaré des « incidents majeurs » (accidents sanitaires majeurs). Les services d’urgences et d’accidents sont dans leur pire état depuis dix ans. Il y a un manque chronique de lits et de docteurs pour ces services. Le patron du NHS, ne laisse pas un mois passé sans demander de l’argent en menaçant les ministres, et généralement il l’obtient. Les médecins du NHS, longtemps adeptes du terrorisme financier, tiennent les politiques en joue. Le résultat est une panique politique.
Quand un service est gratuit, la demande est illimitée. Aneurin Bevan (homme politique gallois travailliste des années 50) craignait que le NHS mette les médecins au chômage alors que les citoyens devenaient plus riches et moins malades. Il avait tord. En devenant plus riches, ils vivent plus longtemps et demandent plus de soins.
........"
22/07/2015 à 10h55
La perspective d'un conventionnement sélectif hérisse les syndicats de médecins libéraux 17:13
PARIS, 21 juillet 2015 (APM) - La perspective d'un conventionnement sélectif des médecins libéraux, dont l'inscription dans le projet de loi de santé est envisagée par la commission de l'aménagement du territoire et du développement durable du Sénat, a soulevé plusieurs réactions hostiles de la part des syndicats.
Remarque :
Le "conventionnement" serait accordé (ou refusé) en fonction du lieu d'installation.
Cette position sénatoriale a peu de chances de passer : d'une part le ministère est archi-contre, d'autre part la majorité y est (semble-t-il) opposée.
Cette position, en résumé, c'est l'équivalent à une retraite = une installation (et pas davantage) dans toutes les zones sur-dotées en médecins.
A noter cependant certaines positions syndicales qui me semblent fantaisistes, surtout à propos des rémunérations (différentes en fonction des zones, donc contraires à l'égalité républicaine qui veut qu'un homme en vaut un autres, quel que soit son domicile).
Autre position étonnante, venant du "libéral" : si les installations se passent de façon inégalitaire, c'est parce que l'état ne fait pas son travail. Que demande-t-on ? Que l'état oblige-dirige des installations ? Que l'état installe des centres de soins étatiques et fonctionnarisés dans les zones rurales ou banlieusardes ?
Mon avis est clair : c'est à "l'Ordre" d'organiser ça, en suivant le code de la santé publique, car la santé publique est une mission ordinale. A l'Ordre de trancher.
22/07/2015 à 11h08
72% de la population vis sur 22% du territoire français.
Donc, oui la répartitions des professions médicales doit suivre la répartitions des français sur le territoire est doit donc être inégalitaire pour permettre un accès aux soins harmonieux pour tous.
Un départ obligatoirement remplacé est complètement débile pour deux raisons.
Un il y a plus de retraités que de dentistes formés. Et cela à un sens avec la réduction de la carie observée.
Deux comment croire qu'une répartition datant de 40 ans basée sur une répartition de la population qui a évoluée depuis devrait être conservée aujourd'hui alors que la population à évoluée fortement en 40 ans.
Enfin, il existe un status salarié. pourquoi donc vouloir faire du salariés avec un status libéral sauf à ce que la représentation nationale accepte alors que toute entreprise puisse salarier des libéraux comme le faisait uber.
22/07/2015 à 13h51
http://www.drees.sante.gouv.fr/IMG/pdf/serie_source_method50.pdf
Etude intéressante sur les risques sociaux et leurs conséquences. A noter l'aspect "sanitaire-dentaire".
La main est donnée aux prefets et ARS pour ajuster ces critères d'études, et surtout sur les évolutions à privilégier pour organiser les parades.
22/07/2015 à 14h37
l'anenxe sur le dentaire;
.........
Soins dentaires
: soins conservateurs SC (dét
artrage, traitement d'une carie,
dévitalisation...), consultation D, actes chirurgicaux DC
Les
populations les plus pauvres, celles dont
l'état de santé est le plus détérioré, ont les recours les plus faibles aux soins. C'est
particulièrement marqué en France pour les soins de spécialité et pour les soins
relevant de la prévention.
Les soins de spécialité dentaires sont le premier poste de renoncement aux soins,
notamment les soins prothétiques.
..........
L'annexe est d'un banalité sans noms digne d'un élève de CM2 copiant une fiche Wikipédia.
23/07/2015 à 11h02
Nouveaux éléments en faveur de l'intervention multidomaine pour ralentir le déclin cognitif chez les seniors (étude française) 20:00
WASHINGTON, 22 juillet 2015 (APM) - Une intervention multidomaine, qui associe un entraînement cognitif, de l'exercice physique et une éducation nutritionnelle, combinée à une supplémentation en acides gras oméga-3 a permis de ralentir le déclin cognitif chez des personnes âgées avec une plainte mnésique, selon les résultats d'une étude française présentée mercredi à l'Alzheimer's Association International Conference (AAIC) à Washington.
Remarque : attention au sens du mot "déclin" ! Le déclin cognitif est irréversible, et souvent lié aux lobes frontaux et temporaux.
La "rupture" cognitive (que j'ai explorée) est temporaire, reversible ou définitive, et liée souvent à l'hypothalamus, dont les neurones peuvent se lier au temporal ou frontal. Elle est marquée par les pertes de mémoire, l'agressivité, des humeurs changeantes, et un raisonnement incohérent. Le retour à la normalité est fonction de la volonté liée à la prise de conscience des problèmes cognitifs.
Lier le "cognitif" à une seule zone du cerveau est une erreur....
23/07/2015 à 11h52
ameli écrivait:
---------------
> http://www.cairn.info/revue-sante-publique-2015-2-page-233.htm
>
> Une étude sur les prochaines évolutions de la déontologie "dentaire".
> Très intéressant.
oui? quel intérêt selon toi? Je n'y ai lu que des rappels de contraintes à la charge du soignant, pas un mot sur le patient et sa relation au thérapeute !!
Pourquoi ne pas l'évoquer ici, les patients nous regardent comme un prolongement de la structure étato-administrative qui les ignorent, pas toujours certes, mais réellement lorsque cela existe. Et l 'augmentation du panel admis à des soins gratuits , voir l'arrivée du tiers payant va accentuer cet état.
Considérations éthiques? Je suis pas assez grand pour les connaitre, les appliquer et faire passer un message à l' Autre?
Et quand bien même je serai confronter à une difficulté , n'ai je pas les moyens intellectuels et matériels de recours?
Mais vous nous prenez pour QUI?
Je suis vraiment consterné de lire de pareils inepties..
24/07/2015 à 00h55
ameli écrivait:
---------------
> A noter cependant certaines positions syndicales qui me semblent fantaisistes,
> surtout à propos des rémunérations (différentes en fonction des zones, donc
> contraires à l'égalité républicaine qui veut qu'un homme en vaut un autres, quel
> que soit son domicile).
Un tarif de merde pour des soins de merde est totalement républicain par contre : l'égalité pour tous ! Y a pas à dire quand l'état controle les prix ca envoie du bois ! -))))
24/07/2015 à 07h37
http://data.blog.lemonde.fr/2015/07/21/de-la-prudence-en-matiere-dutilisation-des-statistiques/
"..........
C'est en rencontrant un chercheur bordelais, Sébastien Guigner, qui critiquait l'utilisation d'un chiffre dans l'un de nos articles qu'est née l'idée de ce post de blog : le chiffre contesté était extrait d'un classement de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) qui plaçait, en 2000, la France à la première place en terme de qualité de soins.
Il comparait la performance globale de 191 systèmes de santé en mettant en relation les "résultats" avec le niveau de dépenses. L'indicateur représentant le "degré d’atteinte des objectifs" était construit à partir de cinq indicateurs : l'état de santé et sa distribution, la capacité du système à répondre aux attentes des populations et sa distribution, et l'équité du financement.
Même si des institutions reconnues ont repris ce chiffre (ici ou ici), ce classement a en effet aussi été critiqué autant concernant les données utilisées que la méthode (en particulier dans cette étude publiée un an après).
Si, pour l'OMS, ce rapport a visiblement servi d'outil marketing, ajoute Sébastien Guigner, les acteurs politiques l'ont eux utilisé comme arme politique. Par exemple, le gouvernement espagnol a ainsi mis en avant le bon classement de l'Espagne dans cette comparaison pour défendre le statu quo alors qu'il était confronté à cette époque à des manifestations d'ampleur contre les délais de soins.
Reste que les Décodeurs font certes du travail de vérifications des faits, mais pas des statistiques elles-mêmes. Nous ne sommes pas statisticiens ni économistes. Nous ne pouvons pas refaire chaque étude pour vérifier si elle est fondée à tirer ses conclusions.
L'argument de notre chercheur, Sébastien Guigner, nous a tout de même posé question quand il cite l'exemple des salaires des infirmières en Europe, un bon cas d'école pour comprendre comment naît une statistique et comment elle devient ensuite parole d'Evangile.
Des "comparaisons ventriloques"
Dans une étude intitulée Gouverner par la comparaison : usages et mésusages des comparaisons internationales des systèmes de santé, le maître de conférence à l'Institut de sciences politiques de Bordeaux, essaie de montrer comment la nécessité de produire des comparaisons internationales aboutit à la création de chiffres "fragiles".
Ces comparaisons permettent aux décideurs de "se draper d'objectivité", pour brandir la nécessité de brandir une réforme, juge Sébastien Guigner. Le chercheur juge qu'il y a aujourd'hui une "frénésie comparative". "Frénésie" qui peut déboucher sur des biais d'étude – par exemple des "comparaisons ventriloques" où l'observateur fait dire à la comparaison ce qu'il présuppose - confinant à l'erreur statistique
........."
24/07/2015 à 08h46
ameli écrivait:
---------------
> http://www.drees.sante.gouv.fr/IMG/pdf/serie_source_method50.pdf
>
> Etude intéressante sur les risques sociaux et leurs conséquences. A noter
> l'aspect "sanitaire-dentaire".
> La main est donnée aux prefets et ARS pour ajuster ces critères d'études, et
> surtout sur les évolutions à privilégier pour organiser les parades.
"...........
Cmucistes vs non cmucistes
NB :
le champ change :
il s’agit des consommants (bénéficiaires de l’EGB qui ont au moins eu un rembourse-
ment au cours de l’année) et plus de l’ensemble des bénéficiaires.
En effet les variables bénéfice de la Cmu-c ne sont pour le moment pas renseignées dans le référentiel des
bénéficiaires mais remontées au moment de la liquidation des prestations.
* bénéficiaires ayant été affiliés au moins un jour au RG dans
l'année, non décédés en cours d'année et qui ont eu au moins une
prestation prise en charge au titre de la Cmuc dans l'année
** bénéficiaires ayant eu au moins une prestation dentai
re prise en charge au titre de la Cmuc dans l'année
[b]Comme on sous-estime le dénominateur (il manque les Cmucistes non consommants) on
préfère adopter une définition stricte des recourants en dentaire Cmucistes (pour ne pas sur-
estimer encore une fois le taux de recours), à sa
voir les Cmucistes qui étaient à la CMUC au
moment où ils ont consulté un dentiste.[/b]
Cette définition paraît en outre cohérente avec celle
des Cmuciste :
Cmucistes recourants
=
bénéficiaires ayant eu une prestation dentaire en Cmuc dans l'année
Cmucistes
= bénéficiaires ayant eu une prestation en Cmuc au cours de l'année
.........."
Comme on sous-estime le dénominateur (il manque les Cmucistes non consommants) on
préfère adopter une définition stricte des recourants en dentaire Cmucistes (pour ne pas sur-
estimer encore une fois le taux de recours),
Amusant de chercher absolument à ne pas surestimer encore une fois le taux de recours des cmu pour prouver l’entête de l’étude qui veux qu'il soit absolument plus faible que la population générale.
24/07/2015 à 09h16
Mouhahaha ! La pauvreté ca c'est vraiment une courbe qui a la cote ! il y a de plus en plus de pauvres et de plus en plus de CMU.
Objectif atteint : ce pays est foutu.
L'état n'est pas la solution c'est le problème.
24/07/2015 à 09h41
Enormes similitudes entre la dentisterie francaise subventionnée et l'agriculture francaise subventionnée :
http://www.contrepoints.org/2015/07/24/215302-crise-des-eleveurs-pourquoi-il-faut-liberer-lagriculture-francaise
"De nombreuses exploitations se sont donc structurées non pas en fonction des attentes des clients, mais en fonction des dispositifs d’aides disponibles. Or, il semblerait que ces aides n’aient pas favorisé l’éclosion de la qualité ou de l’excellence au sein de la filière."
Après tout le rêve de tout patient n'est il pas de se retrouver avec une bouche farcie de couronnes sur des endos avec des boules de noel à l'apex et de prothèses mobiles ? hein ? -)))))
Cas classique du résultat d'une politique dentaire administrée par l'état . Quelle sont les responsabilités réciproques de l'état et du patient pour obtenir un tel résultat ?
Il est à souligner que la sécu et la mutuelle de ce patient lui ont couté beaucoup plus chers que les chefs d'oeuvres présents en bouche. -))))
Le but ultime du traitement (complets haut et bas) est en vue ! -))))
J'adore l'été et ses urgences touristiques c'est mon tour de France dentaire à moi !!!!!. -))))
ameli écrivait:
---------------
> La main est donnée aux prefets et ARS pour ajuster ces critères d'études, et
> surtout sur les évolutions à privilégier pour organiser les parades.
Si le préfet et les ARS s'en mèlent alors nous sommes sauvés ! Des pyromanes pour éteindre un feu , youpiiiiii ! -))))
24/07/2015 à 10h07
Hausse de 3,4% des dépenses du régime général d'assurance maladie à fin juin 17:51
PARIS, 23 juillet 2015 (APM) - Les dépenses du régime général d'assurance maladie ont progressé de 3,4% à fin juin (taux corrigé des jours ouvrés -CJO) en année mobile, comme à fin mai, a annoncé jeudi la Caisse nationale d'assurance maladie des travailleurs salariés (Cnamts) dans un communiqué.
(1,9% pour les remboursements dentaires)
24/07/2015 à 10h19
Projet de loi de santé: le texte amplement revu et corrigé par la commission des affaires sociales du Sénat 15:49
PARIS, 23 juillet 2015 (APM) - Les sénateurs ont amplement revu et corrigé le projet de loi de santé lors de son examen en commission des affaires sociales, au cours d'une réunion marathon qui s'est étalée mercredi sur toute la journée.
Remarque : le sénat (avec énormément d'absents) et sa commission ont vidé le texte... au point où certains observateurs pensent qu'ils ont montré leur mauvaise humeur, tout en sachant que ce sont les députés qui votent et que l'avis des sénateurs est juste là pour le vent.
24/07/2015 à 11h12
ameli écrivait:
---------------
> Projet de loi de santé: le texte amplement revu et corrigé par la commission des
> affaires sociales du Sénat 15:49
> Remarque : le sénat (avec énormément d'absents) et sa commission ont vidé le
> texte... au point où certains observateurs pensent qu'ils ont montré leur
> mauvaise humeur, tout en sachant que ce sont les députés qui votent et que
> l'avis des sénateurs est juste là pour le vent.
http://www.challenges.fr/economie/20140918.CHA7897/l-indecent-train-de-vie-de-nos-chers-senateurs.html
Le vent l'emportera.. A noter le cri du coeur de G.Longuet :)
24/07/2015 à 15h32
ameli écrivait:
---------------
>
> Remarque : le sénat (avec énormément d'absents) et sa commission ont vidé le
> texte... au point où certains observateurs pensent qu'ils ont montré leur
> mauvaise humeur, tout en sachant que ce sont les députés qui votent et que
> l'avis des sénateurs est juste là pour le vent.
Ouais c'est pas comme quand les députés votent eux, on sent l'implication.
Qu'en pensent les "observateurs" ?
http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20150409.OBS6783/le-tiers-payant-vote-a-l-assemblee-devant-35-deputes.html
Quel grand-guignol, faudra pas s'étonner du séisme politique à venir en 2017...
24/07/2015 à 18h03
bill écrivait:
>
> Quel grand-guignol, faudra pas s'étonner du séisme politique à venir en 2017...
Surtout que le séisme politique sera la réélection de grand-guignol!!!
25/07/2015 à 07h21
http://www.lequotidiendumedecin.fr/actualites/article/2015/07/24/renoncement-aux-soins-les-resultats-des-etudes-dopinion-prendre-avec-des-pincettes_766621
".........
La DREES, organisme du ministère de la Santé spécialiste des données statistiques et des analyses sur le système de santé, démontre dans une récente étude que les enquêtes d’opinion sur le renoncement aux soins, très en vogue pour identifier les problèmes d’accès aux soins des populations, doivent être prises avec des pincettes. Les résultats varient en effet sensiblement d’une étude à une autre selon la formulation des questionnaires.
Une différence de 15 points dans les réponses
La DREES a analysé les questions de son propre baromètre d’opinion sur l’année 2013 et les réponses des 4 000 sondés de l’échantillon. Surprenante conclusion : le taux de renoncement aux soins peut varier de quinze points selon la formulation employé.
..........."
- See more at: http://www.lequotidiendumedecin.fr/actualites/article/2015/07/24/renoncement-aux-soins-les-resultats-des-etudes-dopinion-prendre-avec-des-pincettes_766621#sthash.PxNsqYEc.dpuf
27/07/2015 à 10h25
L'antibiorésistance rendrait les bactéries plus virulentes 17:57
WASHINGTON, 24 juillet 2015 (APM) - L'antibiorésistance acquise par des bactéries semble stimuler leur aptitude à infecter et tuer leur hôte, contrairement au paradigme du coût biologique de l'antibiorésistance, montre une étude expérimentale française publiée dans Science Translational Medicine.
Remarque : Suite logique de la nouvelle résistance de la "tuberculose" dans sa nouvelle forme. On ne sait plus quoi faire pour la vaincre : elle résiste, et est très agressive, donc mortelle vite.
Les médecins, très convaincus par leur haut pouvoir sur les bactéries, pensaient que bourrer ces organismes d'antibiotiques les affaiblirait... et ils voient que non ! non seulement ils résistent, mais deviennent encore plus vindicatifs.
Du coup, ces tuberculoses mettent des années à guérir, quand on trouve un antibio qui marche ! Et quand on ne trouve pas, on y passe.
Il y en a qui pensent qu'on peut se passer de tenter de guérir les immigrants illégaux (souvent de l'Est) porteurs d'une nouvelle tuberculose ; qu'on doit les renvoyer. En attendant, ces micro-organismes résistants à tout prolifèrent dans leur nouveau pays d'accueil et sont actifs.
27/07/2015 à 13h47
ameli écrivait:
---------------
> Il y en a qui pensent qu'on peut se passer de tenter de guérir les immigrants
> illégaux (souvent de l'Est) porteurs d'une nouvelle tuberculose ; qu'on doit les
> renvoyer. En attendant, ces micro-organismes résistants à tout prolifèrent dans
> leur nouveau pays d'accueil et sont actifs.
Le problème est que tu n'as pas d'observance des traitements dans ces cas là et une amélioration de l’antibiorésistance à cause de cette mauvaise observance.
Après, si tu es d'accord pour ré-ouvrir les sanatoriums et trouver un financement par les malades.