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Revue de presse
17/02/2012 à 11h24
alapex écrivait:
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> Et sinon , côté cœur rien de nouveau ?
Normalement, ce soir, je dors chez moi. ça fait un moment que je n'y ai pas mis les pieds. Valentine souhaite un monopole qui m'angoisse un peu, alors je vais souffler à la maison. Elle est un peu comme la sécu : hors d'elle, c'est ennuyeux, mais point trop n'en faut.
S'il y a rien de neuf, demain soir, je serai seul. Si tu t'ennuies, tu peux venir, ce sera avec plaisir. J'ai plein de repassage en retard, je t'apprendrai, ça fera plaisir à ta dame. La vie est un apprentissage permanent.
Tu me montreras comment tu stérilises, il parait que tu t'y connais. Je te montrerai comment je féconde.
17/02/2012 à 18h29
Utilisation d'acide hyaluronique par les chirurgiens-dentistes: Nora Berra prévoit une exception
PARIS, 17 février 2012 (APM) - La secrétaire d'Etat chargée de la santé, Nora Berra, a précisé jeudi dans un courrier adressé à l'Ordre national des chirurgiens-dentistes (ONCD) les cas dans lesquels les chirurgiens-dentistes peuvent recourir à des injections d'acide hyaluronique.
18/02/2012 à 11h33
ameli écrivait:
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> Et cette donnée est parfaitement transposable au dentaire. Elle s'accroitra
> évidemment si on ouvre la délégation de tâches, avec des hygiénistes : des
> élèves d'HEC créeront des cabinets spécialisés en détartrage.
> Tant mieux ? pas certain, car ces cabinets trouveront vite d'autres créneaux,
> comme la paro...
>
> Si on pense que le cas n'est pas transposable en dentaire, on est naïf.
C'est mieux ameli,, tu as rectifié ton discours pro-sécu en nous comparant à une autre profession médicale.
Nous comparer aux opticiens était ridicule, en effet.
Mais...quelques points sont encore à revoir:
1/ Une fois de plus tu te contredis d'un jour à l'autre, puisque tu as écrit maintes fois qu'on ne pouvait se comparer aux professions médicales de "second recours", comme les ophtalmo.
2/ Les centre dentaires low cost existent DEJA, mais nous n'avons pas dans nos cabinets le droit à la délégation de tâches, et la rentabilité qui va avec... (double peine)
Ces centres dentaires investissent les actes rentables de notre boulot, qui ne peuvent pas être délégués et qui sont des actes MEDICAUX invasifs.
Attendons que la profession d'hygiéniste soit créée, mais je ne crois pas que la prévention et la maintenance intéressent les HEC (ou les pseudo HEC comme PS).
3/ Les ophtalmo gagnent leur vie avec les prescriptions de verres correcteurs, si on leur enlève demain ce priviliège en l'accordant à une profession moins chère (les opticiens par exemple...), on règle le problème des délais de rdv dans leurs cabinets et des dépassements d'honoraires que cela leur permet par le jeu de l'offre et de la demande.
Les dentistes ne gagnent pas leur vie sur la partie la moins technique de leur travail, qui n'intéresse donc pas ce type de centres, pour les ophtalmo c'est exactement le contraire!
4/ Dans ces centres, combien d'ophtalmo pour combien d'orthoptistes, et combien sont payés les (à mon avis, il n'y en aura qu'un par centre) ophtalmo pour incarner la caution médicale et ne faire que du management.
On signe où pour le dentaire?
En résumé, l'idée de ces centres ophtalmo, c'est de concurrencer les ophtalmo qui font payer, dans certaines zones, des actes délégables (les bilans) au prix d'un ophtalmo.
Moi je veux bien employer six hygiénistes et encaisser moi-même leurs détartrages au prix d'un dentiste (donc pas 28,92).
Pour ça faudrait qu'on crée les hygiénistes et qu'on donne le secteur 2 aux dentistes. Attendons..
Si le seul inconvénient est que 70 centres dentaires se créent en plus de ceux qui existent déjà, jusqu'en 2018, je prends!
Tu tapes encore une fois à côté, mais c'est bien essayé, les cnsd qui te lisent y croiront, c'est le plus important. ;-)
20/02/2012 à 10h10
uɹöɾq écrivait:
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> C'est mieux ameli,, tu as rectifié ton discours pro-sécu en nous comparant à une
> autre profession médicale.
Je ne suis ni anti-sécu ni pro-sécu par principe. Je suis pro-dentiste. Le dentiste, qu'il soit libéral ou salarié a besoin de solvabiliser son patient ; et le patient a besoin d'un payeur. Les soins seront toujours assurés, que ce soit par la sécu ou par un assureur. J'ai l'heur de penser que les assureurs (a fortiori privés) défendront d'abord leurs budgets et non la santé publique, le patient ou le dentiste. Je suis donc pro-sécu après un raisonnement, et par défaut.
> Nous comparer aux opticiens était ridicule, en effet.
Tu ne sais pas lire, ce qui m'étonne de toi. Je n'ai rien comparé. La CNAM, par contre, dans sa démarche des remboursements dentaires, applique avec méthode et progressivité la même démarche qu'elle a déjà utilisée pour les opticiens : étranglement des remboursements, puis passage du champ vers le privé. Le nier, c'est être aveugle, et avoir besoin d'une paire de lunettes.
> 1/ Une fois de plus tu te contredis d'un jour à l'autre, puisque tu as écrit
> maintes fois qu'on ne pouvait se comparer aux professions médicales de "second
> recours", comme les ophtalmo.
Tu connais bien mal ce domaine.
Les bilans, c'est du premier recours. Les implants, l'ODF, c'est du deuxième recours. Un soin dentaire, c'est du premier.
Notre profession, c'est du premier recours majoritairement, surtout si on considère que le patient ne vient pas pour une couronne, mais parce qu'il a mal. Et c'est cet aspect "premier recours" qui doit rester opposable.
> 2/ Les centre dentaires low cost existent DEJA, mais nous n'avons pas dans nos
> cabinets le droit à la délégation de tâches,
Oui.
Pour le moment...
> Ces centres dentaires investissent les actes rentables de notre boulot, qui ne
> peuvent pas être délégués et qui sont des actes MEDICAUX invasifs.
... ils gagnent leur argent sur la non-opposabilité. Ils ne font pas les soins, ou les limitent ; ne soignent pas les enfants, etc.
Elargit la non-opposabilité à tous les actes, et tu verras fleurir des centres type HEC partout.
> Attendons que la profession d'hygiéniste soit créée, mais je ne crois pas que la
> prévention et la maintenance intéressent les HEC (ou les pseudo HEC comme PS).
Tout ce qui permet de faire de l'argent intéresse les HEC. Une prévention peut être faite en "groupe", elle est non-individuelle, elle est protocolisable, donc rentable.
Elle peut avoir des débouchés sur des soins paro-med très juteux, après une consult d'un praticien du centre.
C'est archi-facile à faire.
Tu vas acheter des pneus, et tu repars avec les pneus et des amortisseurs...
Ce n'est pas une comparaison de travail avec la noble profession de vendeur de pneus, mais une comparaison de démarche commerciale.
> Les dentistes ne gagnent pas leur vie sur la partie la moins technique de leur
> travail, qui n'intéresse donc pas ce type de centres, pour les ophtalmo c'est
> exactement le contraire!
Je ne comprends pas bien : tu trouves qu'une endo de 47, c'est peu technique ?
En fait, ce qui intéresse ces centres, c'est un créneau d'activité à exploiter. Plus les tarifs sont "libres", plus les créneaux sont ouverts et nombreux.
La concurrence HEC-libéraux ne se fera plus sur la qualité du travail, mais sur le prix.
20/02/2012 à 10h12
Trois quarts des Français déclarent faire confiance à l'homéopathie (sondage Boiron/Ipsos)
PARIS, 17 février 2012 (APM) - Plus des trois quarts des Français font confiance aux produits homéopathiques, selon un sondage publié vendredi par les laboratoires Boiron
20/02/2012 à 10h20
Bruxelles et la retraite (espace social européen)
La Commission européenne vient de présenter ses options en matière d'évolution des systèmes de retraite: un rallongement généralisé du temps de la durée de travail, la réglementation des fonds de pension privés, etc.
Réaction générale des gouvernements et des organisations syndicales: de quoi "je me mêle!"...
20/02/2012 à 10h23
Contraception : le Pr Nisand propose un forfait contraception jusqu'à 18 ans
Dans le rapport qu'il vient de remettre à Jeannette Bougrab, la secrétaire d'Etat à la Jeunesse et à la Vie associative, le Pr Isarel Nisand propose un ensemble de 18 mesures. L'objectif : s'attaquer au paradoxe de la situation française dans ce domaine : l'explosion, malgré la contraception, des grossesses non désirées en particulier chez les adolescentes. La cause : en France, en dehors des centres de planification familiale, la contraception demeure payante et nécessite une autorisation familiale. Face à cela, le Pr Nisand propose notamment d'instaurer un forfait contraception permettant aux jeunes de ne rien avoir à rembourser jusqu'à 18 ans. "Xavier Bertrand ne veut rien entendre sur cette question, indique le Pr Nisand. Pourtant la prise en charge d'une pilule qui revient à 80€ par an me semble une bonne solution par rapport aux 60 000 IVG évitables avant 25 ans qui coûtent -ni plus ni moins-30Ms€ à la société chaque année".
20/02/2012 à 10h25
Bonnes pratiques : la "nouvelle" stratégie de la HAS
Dans un entretien accordé au Quotidien du Médecin, le Dr Cédric Grouchka, membre du Collège de la HAS, explique la stratégie que va développer la HAS pour l'élaboration des recommandations de bonnes pratiques. La HAS va concentrer ses interventions sur les "domaines plus complexes qui pourront utilement bénéficier de sa plus-value". D'un autre côté, elle estime nécessaire de développer l'attribution du label HAS à des recommandations plus générales et élaborées par des sociétés savantes ou par des collèges professionnels nationaux. "L'idée, précise le Dr Grouchka, est d'aider ces organismes sur le plan méthodoloqique, par le biais d'une note de cadrage délivrée en amont pour leur permettre d'élaborer des recommandations qui puissent être labellisées par le HAS". Enfin, la HAS veut simplifier les procédures et réduire les délais.
20/02/2012 à 10h26
Accessibilité 1 : le ministère des Solidarités et l'Observatoire de l'accessibilité viennent de lancer un nouveau site Internet dédié à l'accessibilité, comme cela avait été annoncé lors de la 2e Conférence nationale de l'accessiblité en juin 2011 (www.accessiblite.gouv.fr).
Accessibilité 2 : les professionnels de santé doivent rendre leurs cabinets accessibles aux personnes handicapées d'ici le 1er janvier 2015. La CSMF estime qu'il s'agit "d'aménagements lourds, dont la faisabilité n'est pas toujours évidente", et elle "demande aux pouvoirs publics d'aider les cabinets à s'adapter".
20/02/2012 à 10h28
Chiffres
-0,5 points: baisse du pouvoir d'achat des salariés au 4e trimestre 2011 (0,1 point sur l'année).
-34% : progression de la rémunération moyenne des dirigeants du CAC 40 en 2010.
20/02/2012 à 10h30
Agenda
-28 et 29 février, Ministère de l'Economie, Colloque des industries du numérique de la santé
-5 et 6 mars, Ciss et département des politiques de santé du PRES Sorbonne Paris Cité, colloque, "La loi sur les droits des malades 10 ans après".
-6 mars, Rencontres Dauphine Santé, débat contradictoire, "Bismark, Beveridge, débat d'aujourd'hui, débat de demain. Le financement de la sécurité sociale, quel nouveau modèle?"
20/02/2012 à 17h22
Rapport très critique de l'Académie de médecine sur les génériques
PARIS, 20 février 2012 (APM) - L'Académie nationale de médecine a adopté la semaine dernière un rapport et des recommandations sur la place des médicaments génériques dans la prescription qui s'avèrent très critiques à leur encontre.
Exemple :
- les différentes formes orales à libération immédiates (sels, isomères, etc) sont considérées comme génériques alors qu'elles n'ont pas la même efficacité.
- désorientation des malades agés dont on change les habitudes
- influences des excipients pour les médicaments à marge thérapeutique étroite (antiépileptiques) : il n'y a pas toujours équivalence thérapeutique.
- pour l'anti-agrégant plaquettaire Plavix, il y a une différence dans la nature du pricipe actif (le sel de clopidogrel) qui augmente la fluctuation de biodisponibilité.
- dans la fabrication, les règles de bonne conduite sont détournées (surtout pour les productions délocalisées).
L'académie demande que l'ordonnance soit obligatoirement rédigée en DCI, et que la demande de non-substitution soit médicalement justifiée et respectée par le pharmacien.
Les règles de pharmacovigilance doivent être identiques pour les princeps et pour les génériques.
20/02/2012 à 17h23
Générale de santé dans le rouge en 2011
PARIS, 20 février 2012 (APM) - Le groupe de cliniques Générale de santé a annoncé lundi dans un communiqué qu'il avait enregistré en 2011 une perte nette de 28,5 millions d'euros en raison de dépréciations d'actifs tout en mettant en avant de bons résultats opérationnels.
20/02/2012 à 17h33
ANSM: des équipes constituées par produit (Dominique Maraninchi)
PARIS, 20 février 2012 (APM) - Plusieurs équipes d'une cinquantaine de personnes chacune ont été constituées en vue de la création de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) pour suivre un produit "tout au long de sa vie", a indiqué son futur directeur général, Dominique Maraninchi, mercredi devant la commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale.
Le compte-rendu de l'audition :
http://www.assemblee-nationale.fr/13/cr-soc/11-12/c1112034.asp#P9_728
20/02/2012 à 21h26
ameli écrivait:
---------------
>Bjorn écrivait:
> >1/ Une fois de plus tu te contredis d'un jour à l'autre, puisque tu as écrit
> > maintes fois qu'on ne pouvait se comparer aux professions médicales de "second
> > recours", comme les ophtalmo.
>
> Tu connais bien mal ce domaine.
> Les bilans, c'est du premier recours. Les implants, l'ODF, c'est du deuxième
> recours. Un soin dentaire, c'est du premier.
> Notre profession, c'est du premier recours majoritairement, surtout si on
> considère que le patient ne vient pas pour une couronne, mais parce qu'il a mal.
> Et c'est cet aspect "premier recours" qui doit rester opposable.
Et les ophtalmo ne font pas majoritairement des bilans?!!
Ils sont donc une profession de "premier recours majoritairement", comme les dentistes, si l'on applique ta logique?
Peux-tu alors m'expliquer pourquoi les ophtalmo ont droit au secteur 2, et pas les dentistes? ;-)
20/02/2012 à 21h59
uɹöɾq écrivait:
---------------
>
> ameli écrivait:
> ---------------
> >Bjorn écrivait:
>
> > >1/ Une fois de plus tu te contredis d'un jour à l'autre, puisque tu as écrit
> > > maintes fois qu'on ne pouvait se comparer aux professions médicales de
> "second
> > > recours", comme les ophtalmo.
> >
> > Tu connais bien mal ce domaine.
> > Les bilans, c'est du premier recours. Les implants, l'ODF, c'est du deuxième
> > recours. Un soin dentaire, c'est du premier.
> > Notre profession, c'est du premier recours majoritairement, surtout si on
> > considère que le patient ne vient pas pour une couronne, mais parce qu'il a
> mal.
> > Et c'est cet aspect "premier recours" qui doit rester opposable.
>
> Et les ophtalmo ne font pas majoritairement des bilans?!!
> Ils sont donc une profession de "premier recours majoritairement", comme les
> dentistes, si l'on applique ta logique?
>
> Peux-tu alors m'expliquer pourquoi les ophtalmo ont droit au secteur 2, et pas
> les dentistes? ;-)
Ben ophtalmo second recours secteur 2, logique.)
Par contre je suis pas d'accord un ophtalmo pour lui enlever la poutre qu'il a dans l'oeil c'est plutôt secteur 1.)
20/02/2012 à 22h41
ameli écrivait:
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> Notre profession, c'est du premier recours majoritairement, surtout si on
> considère que le patient ne vient pas pour une couronne, mais parce qu'il a mal.
> Et c'est cet aspect "premier recours" qui doit rester opposable.
Aux dernières nouvelles le traitement des urgences ne peut pas donner lieu à cotation (encore un scandale de plus), donc j'aimerais bien que tu précises stp le fond de ta pensée quand tu dis que le patient vient parce qu'il a mal et pas pour une couronne.
La couronne c'est du superflu, c'est ça ?
20/02/2012 à 22h54
Premier recours opposable. D'un point de vue pratique ça semble nécessaire. En effet faire un devis et attendre la réponse de la mutuelle sur un patient en pulpite me parait inhumain. D'autant que la réponse tarde si le praticien n'est pas partenaire.)
23/02/2012 à 17h09
http://www.legifrance.gouv.fr/jopdf/common/jo_pdf.jsp?numJO=0&dateJO=20120223&numTexte=77&pageDebut=03102&pageFin=03102
Bienvenue, Alexandra !
23/02/2012 à 17h11
Nora Berra n'est pas investie par l'UMP dans la quatrième circonscription du Rhône
PARIS, 23 février 2012 (APM) - L'UMP ne veut pas investir la secrétaire d'Etat à la santé, Nora Berra, dans la quatrième circonscription du Rhône, a annoncé jeudi la radio RTL
Malvenue ! Nora.
23/02/2012 à 17h15
Hôpital: les dépassements d'honoraires moyens atteignent jusqu'à quatre fois le tarif de la sécurité sociale
PARIS, 23 février 2012 (APM) - Le taux de dépassement d'honoraires moyen oscille entre 68% et 408% du tarif de la sécurité sociale dans le cadre de l'activité libérale de praticiens hospitaliers, selon une enquête menée par le mensuel 60 millions de consommateurs sur une quarantaine d'actes chirurgicaux.
Dépassements d'honoraires à l'hôpital: la FHF appelle à un encadrement strict pour éviter les abus
PARIS, 23 février 2012 (APM) - La Fédération hospitalière de France (FHF) réclame un encadrement strict des dépassements d'honoraires pratiqués dans le cadre de l'activité libérale des praticiens hospitaliers, a indiqué jeudi à l'APM son président, Frédéric Valletoux.
24/02/2012 à 09h55
Bulletin de l'INVS du jour : Les points clés
- Poursuite de l’épidémie de grippe en métropole
- Personnes âgées de 65 ans et plus : augmentation des hospitalisations pour grippe et des cas groupés d’infections respiratoires aiguës
Grippe: la conférence des présidents de CME de CHU alerte sur la saturation des urgences et des lits de médecine
PARIS, 23 février 2012 (APM) - La conférence des présidents de commission médicale d'établissement (CME) de centre hospitalier universitaire (CHU) a alerté jeudi dans un communiqué sur la saturation des services d'urgences et des unités d'hospitalisation, en grande partie liée à la grippe touchant plus particulièrement des personnes âgées.
24/02/2012 à 09h57
http://circulaire.legifrance.gouv.fr/pdf/2012/02/cir_34682.pdf
Good bye “Mademoiselle”
24/02/2012 à 09h59
Assemblée nationale
Les clubs parlementaires invités à plus de transparence
Dans son rapport rendu public le 22 février, le déontologue de l’Assemblée nationale, Jean Gicquel, pointe le manque de transparence des clubs parlementaires, souvent financés par des grands groupes privés. Le déontologue évoque “un curieux mélange des genres”.
http://www.assemblee-nationale.fr/qui/rapport_deontologue_2012.pdf
Le déontologue de l'Assemblée nationale épingle le financement du "club Hippocrate" par un laboratoire pharmaceutique
PARIS, 23 février 2012 (APM) - Le déontologue de l'Assemblée nationale, Jean Gicquel, épingle le financement par un laboratoire pharmaceutique du "club Hippocrate", cercle de réflexion parlementaire consacré à l'économie de la santé, dans un premier rapport d'étape présenté mercredi.