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oHHHH mon Dieu!!!
06/07/2011 à 13h54
Bjorn t'es ptetre un con aussi non??
Parceque si l'intelligence se mesure à la richesse, nous pauvres dentistes à côtés de pas mal d'autres branches on est des rigolos, petit bourgeois tout au plus (t'as pensé à la sterilisation?? ) (je plaisante)
Je suis par contre d'accord avec bjorn sur une chose, en France on inculque à la population dès l'enfance une mentalité de looser avec une pincée d'assistanat!
Faut arrêter avec ces conneries du gamin surdoué dont le pauvre papa ne peut pas assurer l'avenir. Quand on veut on peut!! c'est les mecs comme toi ameli ou les rigolos à la télé qui passent leurs temps à dire que c'est dur qui finissent par convaincre le papa en question du contraire.
Je suis fils d'ouvrier (fils de con pas stérile bjorn) et en plus fils d'immigrés arrivés sans rien à part leur bonne volonté et l'envie de s'en sortir.
De toute mon enfance je n'ai pas souvenir d'entendre une fois mes parents dire on va demande ça ou on a le droit à ça ou c'est pas juste ou on a pas de chance.
Par contre tout les ans petit je me souviens les entendre dire: les enfants on part pas en vacances cette été on a pas assez de sous pour tout faire. Ou l'hiver les enfants mettez deux pulls il fait froid et on a pas les moyens de chauffer plus. Puis quand en grandissant on a commencer à couter cher je me souviens aussi entendre ma mere expliquer: papa travail un peu plus tard il viendra te dire bonne nuit en rentrant s'il rentre pas trop tard.
On avait pas de vêtements de marque pas d'ordinateur pas de game boy, juste des parents qui s'arrachent. Des cons qui étaient pas polluer par les conneries d'aujourd'hui
Et quand il a fallu payer les études et qu'on m'a dit il va falloir que tu nous aide un peu à payer tout ça ben tu fais comme on a fait pour toi jusque là tu te sors les doigts, tu travail les vacances et plus s'il faut parce qu'on t 'as appris qu'on a rien sans rien. dans le climat actuel c'est presque une grossièreté mais c'est pourtant vrai quand on veut on peut. C'est peut etre moins facile pour certain que pour d'autre mais c'est possible
Alors dans le cas que tu décris ameli le con c'est ptetre pas le papa, ou pas que lui . C'est peut être aussi tous ceux qui lui mettent dans la tête depuis des années que quand on est pauvre à part demander de l'aide ou geindre sur les plus riches que soit on peut rien faire d'autre. Pourtant si on peut.
Travailler et travailler plus encore si besoin!
Aujourd'hui un ouvrier qui fait 60 ou 70 heures dans la semaine on dit qu'il se fait exploiter. A l'époque de mon père on le disait travailleur ayant la volonté de s'en sortir... peut ertre que son boss à gagné sur son dos mais lui il peut se regarder dans le miroir et y voir un con qui s'en est sorti aux enfants qui s'en sortent pas trop mal non plus pour des fils de cons...
06/07/2011 à 17h50
Fils de pied noir ( on a tout perdu... ;)
3 boursiers
un dentiste et 2 qui ont fait Sciences Po
J'ai commencé a boire du café au bar qd j'ai compris que c'etait le truc le moins cher a commander.
J'ai donné des cours de philo ( ben si;) fais des petits boulots puis des nuits d'aide soignants. j'allais a la fac a pied pour economiser le bus ( 1h et demi aller retour.) ça a été un peu plus simple en 4° et 5° année qd mon frere et ma soeur ont eu fini.
J'ai assez rarement eu l'impressin de manquer de qqchose ( c'est arrivé mais pas tres souvent) c'etait juste comme ça.
Par contre j crois que JAMAIS nos parents ou nous n'avons envisagé de ne pas faire d'etude apres le bac.
J'ai fait dentaire qui etait plus long que Sciences po sans que ça fase lever n sourcil; c'est moi qui n'ait pas voulu faire medecne que je trouvait trop long, pas mes parents.
A chacun d'en tirer les conclusions qu'il voudra
06/07/2011 à 20h42
T'es gonflé, modo.
Bjorn dit des horreurs, et c'est moi qu'on traite de provo !
Cela étant dit, tout ce que j'ai affirmé est rigoureusement vrai. Ce n'est pas de mon fait, mais la réalité pleine et entière. J'ai parfois l'impression qu'il y en a qui vivent dans un monde parallèle ! Je dois donner les noms ? Mais vous sortez d'où ? : Deux élèves très brillants, l'une va en tec de co en IUT, et un autre va en fac de sciences-éco.
Je le redis : tout ce que je dis est strictement vrai.
Vos gamins sont dans de beaux lycées en ville, la mienne est en lycée ZEP. Alors, évidemment, il y a des différences de clientèle ! mais ce n'est pas parce que c'est un lycée ZEP que les lycéens sont des cancres... par contre, quand il faut piloter les gosses vers des études longues, ça hésite ferme, et parfois ça dit non, ou ça choisit du court, du pas cher ou du pas trop compliqué, en croyant de bonne foi assurer l'avenir.
Pourquoi cette réalité ? je n'en sais rien. Peut être effectivement cette mentalité de looser, ou plutôt un fatalisme et un manque d'ambition pour ses enfants. La peur financière doit certainement jouer !
Je ne juge pas, je constate.
Alors oui, quand on veut on peut.
Je n'ai pas dit le contraire ! Moi aussi, orphelin, fauché, je me suis débrouillé seul, j'ai financé mes études seul avec l'aide d'une bourse, j'ai bossé de nuit à la Sernam à vider des wagons et pendant toutes mes vacances. Et j'ai choisi dentaire parce que c'était des études courtes, les sacrifices ça va un moment. Mais trouver un boulot maintenant est certainement plus dur qu'à mon époque.
D'autres ne font pas ces sacrifices, je le regrette, et je ne le leur reproche pas. On ne peut pas reprocher à quelqu'un d'avoir peur, de manquer d'ambition, de se débrouiller mal face à une éducation nationale parfois opaque, d'être très mal informé par les profs de terminale qui ne parlent jamais de l'aspect logistique des études, ou plus simplement aux parents de parler si mal le français qu'ils ne comprennent rien et qu'ils ont peur de tout.
Le système ne les aide pas, il est inquiétant. Le financement des études aussi reste un problème pour beaucoup, et pas seulement chez les classes défavorisées.
Est-ce provocateur que faire un simple constat : parmi les bons élèves de terminale, il y a des enfants d'origine sociale défavorisée ; en prépa et dans les grandes écoles, il n'y en a presque pas. Ils ont disparu !
Oui, ils auraient pu y aller. Non, ils n'ont pas demandé à y aller. Ce n'est pas les prépas qui les ont refusés, c'est eux qui ont refusé de faire ce choix. On les retrouve en fac ou dans les IUT. C'est du gâchis, et c'est dommage.
06/07/2011 à 21h16
En général une burne n'a pas mention très bien au bac. Les inscriptions en prépa (surtout les meilleures) sont bachées avant que la messe soit dite au vu des bulletins scolaires. Ca a peut etre changé mais un de mes potes était accepté à louis le grand à la fin du premier trimestre de terminale.
06/07/2011 à 21h23
Remarque sur ceux qui veulent et ceux qui ne veulent pas:
Après avoir reuni les anciens du conservatoire de musique d'Avignon 30 ans après.....
Un constat s'impose,
De ceux qui ont poursuivi leur etude musicale, tous ont réussit à faire de belles à très belles carrières.
De ceux qui ont décidé d'arrêter la musique (après avoir reussit à passer leur prix sur Avignon) ils ont tous continué des études supérieures (medecin, orl, chirurgiens chefs de service en milieu hospitalier, chefs d'entreprise, pharmaciens, radiologue, ophtalmo etc....)
A quoi cela est-il du.
Un point commun :
nous avons tous été habitué à passer de nombreux concours depuis l'age de 7 ans.
Nous avons tous encaissé des charges de travail supérieures aux autres copains du lyçée.
Quant à l'argent il ne rentre pas tjs forcément en ligne de compte.
Tous on en voulait, et c'est peut-être cela qui nous a sorti de l'ornière.
Enfin quand je dis on en voulait faut rajouter..... pas du bâton à la maison:)))
Bon ben maintenant que j'ai fait dans le sérieux je vais me marrer ailleurs parceque là ....me fait vraiment ch..
--
Utilisez les pouces dans l'angle en haut à droite pour voter SVP
Kikcéti kiadi quélénonol nété pas une arène
Avé César
06/07/2011 à 23h27
ameli écrivait:
---------------
Meilleure
> philosophe du lycée, elle se tape péniblement un 10, alors que des cancres
> illettrés ont eu 16. Pour son prof, c'est un vrai mystère.
>
Ils expliquent ce mystère dans le tableau 7:
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/socco_1150-1944_1993_num_16_1_1138
08/07/2011 à 14h59
Une étude qui dans son ensemble confirme le poids des préjugés sexuels sur le choix d'un cursus, l'estimation de soi, la notation (visuelle ou anonyme), le choix de l'orientation etc. etc. etc.
Rien de neuf sous le soleil de 68 et les mouvements de libération féminine.
La question demeure: en avoir ou pas. :)
08/07/2011 à 16h59
mark écrivait:
--------------
> le poids des préjugés sexuels ...
N'est pas forcément dans la cervelle des mâles.
"Alors, fillette, ça a gazé, ton oral ?
- Bof, j'ai été gentille, j'ai laissé une chance aux moches d'avoir une meilleure note que moi...
08/07/2011 à 18h13
Mais faut se méfier des petites, quand elles ont la tchatche :
Entrainement à l'oral de concours, avec le prof de philo
- Bon, moustique, c'est quoi le dernier livre qui t'a plu ?
- j'irai cracher sur ta tombe, ça m'a fait beaucoup de bien.
A propos des maths :
-le logarithme neperien nous enterrera tous.
- j'emmerde la fonction exponentielle, et elle me le rend bien.
- (en découvrant le sujet du devoir) le motif de la résistance, c'est l'indignation.
- Maths versus moi. J'ai jamais gagné un match.
- (en sortant de l'épreuve du bac)(à moi) Il reste plus qu'à aller me pendre, sur la messe en si mineur de Bach, ce sera plus joli.
- je crois pas en Dieu. Aux maths non plus.
Au prof de sport :
- mes mollets sont dispensés du 3X500m. Moi, ça va. Mais aujourd'hui, c'est eux qui décident.
Au prof de philo, au sujet de la morale :
- que Lady Gaga sorte des trucs étranges de son vagin, dans son dernier clip, ça me choque pas. Par contre, vous avez vu, elle porte des tongs.
En sortant de l'oral d'allemand, à moi
- l'imposture germanique persiste. C'est pas juste. Je m'en suis tirée, la prof a dit que c'était bien, les germaines sont folles ou sourdes.
Devant la télé :
- t'as vu, Soeur Boutin va se présenter, il va pleuvoir de la sainte semence.
- (à propos de Hollande) Quand on n'a pas de personnalité, faut penser au suicide, c'est plus simple.
- (à propos de Mme Chirac) La machine à remonter le temps fonctionne.
- Il est midi. A New York il n'est que 6 heures. DSK va devoir attendre encore un peu pour qu'on vienne lui servir le petit dej. Il doit être impatient.