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le tort tue.
04/04/2012 à 23h17
>
> J'ai un doute aussi sur le "que ce soit des médecins", quelqu'un connaît-il la
> forme juste?
on peut accorder "soient" pour la beauté du geste, mais "soit" n'est pas vraiment fautif.
mais il manque
quand même un toit sur l'hôpital;-)
04/04/2012 à 23h25
Bel effort, quoique je crois que tu as tort, Björn...;-)
http://chouxdesiam.canalblog.com/archives/2007/10/21/6609376.html
05/04/2012 à 00h26
Roumette, je n'ai pas tort, car la faute n'est pas celle-là.
En revanche tu as fait une faute de conjugaison... ;-)
--
Faut savoir faire autre chose que de regarder toute sa vie dans la bouche des gens. (Ameli, 7/12/11)
05/04/2012 à 10h59
En admettant que j’aie eu tort, j’ai bien cru que l’on parlait de quoique. (subjonctif)
Si j’ai eu tort, j’ai bien cru que l’on parlait de quoique. (indicatif)
Au cas où j’aurais eu tort, j’ai bien cru que l’on parlait de quoique. ( conditionnel)
C’est l’bordel, t’avoueras…;-)
05/04/2012 à 11h56
verbe croire et subjonctif ? SI la faute est ici, uɹöɾq, je NE crois pas que tu aies raison :-))
(Ma roumette, je n'avais pas vu le dernier message!!!)
05/04/2012 à 12h40
Conjonction de subordination / pronom indéfini:
Ne pas confondre quoique et quoi que :
quoique (+ subjonctif ou participe) = bien que
quoi que (+ subjonctif) = quelle que soit la chose que
http://www.etudes-litteraires.com/bac-francais/fautes-orthographe.php
-- quoi que je crois ???
ou quoique je croie ..
^ ... ^
Ô"""Ô
= o = que de couacs...
05/04/2012 à 13h09
Belette, c'est toi qui m'a enduite d'erreur avec ton quoique!!!!
de pire en pire;-)
05/04/2012 à 13h15
"Il sera permis à Galimatias de courir les Provinces et d'y faire de telles conquêtes que bon lui semblerait, particulièrement celles au-delà de la Loire qui seront abandonnées à sa discrétion quoique dans chaque ville il sera aménagé un lieu libre de l'influence dudit Galimatias pour servir d'asile aux amis d'Eloquence."
Extrait de "Histoire des derniers troubles arrivés au royaume d'Eloquerie", (Antoine Furetière, publié en 1658)
La princesse Rhétorique règne sur le royaume d'Eloquence, servie par un régiment d'élite : les Arguments.
Parmi ces Arguments, il y a des traitres : les Equivoques.
L'adversaire de Rhétorique est le prince Galimatias, servi par une troupe disparate composée des Exagérations, des Sophismes, des Hyperboles, dirigés par le Capitaine Hâbleur, et qui s'entraînent activement dans les Lieux Communs.
Eugénol est une place forte de Galimatias, dont je suis un adversaire. Pour ne pas me faire repérer comme inféodé à Rhétorique, je glisse par ci par là une petite faute afin de me rendre anonyme. J'agis ainsi par compassion, pour ne pas écraser les Galimatieux.
Je suis l'Equivoque infiltrée au royaume de Galimatias, comme bjorn, mais lui se dénonce en dénonçant. Il s'est fait repérer.
Contrairement à bjorn, je fais partie du régiment des Arguments. Lui a été refusé au concours d'entrée, il n'en a pas, hélas. Je ne désespère pas de le faire progresser.
05/04/2012 à 16h54
adhoc écrivait:
---------------
> verbe croire et subjonctif ? SI la faute est ici, uɹöɾq, je NE crois pas que tu
> aies raison :-))
>
>
Vous êtes tous à côté de la plaque.;-)
La faute d'ameli est d'avoir écrit réouvrir pour rouvrir.
La faute de roumette est d'avoir mis l'indicatif après quoique, qui prend dans sa phrase le sens de "bien que".
05/04/2012 à 17h00
Citation à l'usage de ceux qui seraient importunés par le premier fâcheux se rengorgeant de sa maîtrise en Bescherelle, dictionnaire et autres principes malsherbien, se gaussant ne serait-ce que d'une faute de frappe ou d'inattention:
"La langue française est faite pour nous servir et non pour qu'on la serve."
Personnellement suis plus dérangé par ceux qui ne savent pas lire que par ceux qui n'écrivent pas assez joliment. :)
05/04/2012 à 17h00
Ameli, inutile de sortir le grand jeu, tu as fait une faute, ce n'est pas grave.
Cela m'arrive aussi, et je suis bien content quand on me le fait remarquer puisque j'apprends.
Désormais, tu écriras rouvrir... ;-)
--
Faut savoir faire autre chose que de regarder toute sa vie dans la bouche des gens. (Ameli, 7/12/11)
05/04/2012 à 17h26
mark écrivait:
--------------
> Citation à l'usage de ceux qui seraient importunés par le premier fâcheux se
> rengorgeant de sa maîtrise en Bescherelle, dictionnaire et autres principes
> malsherbien, se gaussant ne serait-ce que d'une faute de frappe ou
> d'inattention:
Hors-sujet...
05/04/2012 à 23h48
Ah? Ceux qui écrivent tord le font par inattention?
T'es HS, t'es HS! :-))
06/04/2012 à 00h39
Vous donnez tous dans la branlette de roupettes à ce que je vois! :))))
Moi j'ai retenu tort et non tord.
Merci roumette!
--
Utilisez les pouces dans l'angle en haut à droite pour voter SVP
Kikcéti kiadi quélénonol nété pas une arène
Avé César
06/04/2012 à 01h17
Je me demandais quelle expression existait ou restait à inventer pour l'équivalent au clavier d'un lapsus calami.
Vous savez, ce petit acte manqué qui consiste à écrire un mot pour un autre, quelquefois à une lettre ou une syllabe près, qui peut paraître une faute de vocabulaire mais fait le régal des psys de comptoir ou plutôt de boudoir qui s'évertuent à démasquer le sens caché de cette faute seulement apparente, négligeant quelquefois de voir à quoi de plus personnel et inconscient les renvoient leurs propres jugements sur les fautes des autres... :)
06/04/2012 à 01h38
mark écrivait:
--------------
> Je me demandais quelle expression existait ou restait à inventer pour
> l'équivalent au clavier d'un lapsus calami.
>
Par exemple : "la différence entre l'interne et l'interné n'a que l'épaisseur d'un accent aigu" ?
06/04/2012 à 15h49
mark écrivait: Je me demandais quelle expression existait ou restait à inventer pour l'équivalent au clavier d'un lapsus calami.
"Faute de frappe" : ça te va ?
Les psy de comptoirs sauront distinguer la "petite faute de frappe" avec " faute de petite frappe".
^ ... ^
Ô"""Ô
= o =
06/04/2012 à 16h13
Guadeloupe écrivait:
--------------------
"la différence entre l'interne et l'interné n'a que l'épaisseur
> d'un accent aigu" ?
Et parfois l'homophonie peut provoquer des incompréhensions, que la lecture ne dissipe pas forcément :
Je sus comme un cochon résister à vos armes
Et je pus comme un bouc dissiper vos alarmes,
Peu m'importe, madame, vos savoirs insondables,
Il faudrait que vous en sussiez de plus agréables.
Le prix trop haut de ces locaux motive
Que je réponde par la négative
Ah je déplorerais que ces insupportables pétasses
Plus haut que leur minijupes pétassent.
Ma femme, désespérée, est au lit, clouée,
J'aimerais que vous l'y vissiez.
06/04/2012 à 16h43
Les jeux avec les sons :
Oui, dès l'instant où je vous vis,
Beauté féroce, vous me plûtes,
Et je ne sais comment vous pûtes
Vous transformer ainsi en pute,
Me taillant toutes ces turluttes.
Mais de quel air froid vous reçûtes
Tous les pieds qu'en vous je pris,
Et les dons que je vous offris.
En vain, je priai, je gémis,
Aussi, maintenant, je vous dis flute.
06/04/2012 à 16h57
uɹöɾq écrivait:
---------------
> Dans ce fil, tu es le seul à juger. ;-)
J'observe. :)
06/04/2012 à 19h40
ameli écrivait:
---------------
> --------
>
> Je sus comme un cochon résister à vos armes
> Et je pus comme un bouc dissiper vos alarmes,
>
> Peu m'importe, madame, vos savoirs insondables,
> Il faudrait que vous en sussiez de plus agréables.
>
> Le prix trop haut de ces locaux motive
> Que je réponde par la négative
>
> Ah je déplorerais que ces insupportables pétasses
> Plus haut que leur minijupes pétassent.
>
> Ma femme, désespérée, est au lit, clouée,
> J'aimerais que vous l'y vissiez.
http://www.miscellanees.com/b/bievre02.htm
Cite tes sources!
06/04/2012 à 19h41
ameli écrivait:
---------------
> Les jeux avec les sons :
>
> Oui, dès l'instant où je vous vis,
> Beauté féroce, vous me plûtes,
> Et je ne sais comment vous pûtes
> Vous transformer ainsi en pute,
> Me taillant toutes ces turluttes.
> Mais de quel air froid vous reçûtes
> Tous les pieds qu'en vous je pris,
> Et les dons que je vous offris.
> En vain, je priai, je gémis,
> Aussi, maintenant, je vous dis flute.
http://www.fatrazie.com/allais.htm