Cookie Consent byPrivacyPolicies.comcomment trouver un collaborateur ? - Eugenol

comment trouver un collaborateur ?

diasteme

25/04/2012 à 19h55

A tous ceux qui ont réussi à trouver un collaborateur, merci de me donner votre recette, aussi bien sur les supports utilisés ( sites internet, presse, association d'étudiants en dentaire), que sur les conditions professionnelles proposées ( contrat) suffisamment séduisantes pour que collaborateur ait envie de décrocher son téléphone, ou d'envoyer un mail de curiosité !

60 balais, omnipratique plus bonne dose de paro-implanto , 2 fauteuils et salle de chir. , débordé de boulot comme tout le monde ...... rien n'y fait !

Je m'adresse aussi aux collaborateurs : que désirez vous trouver quand vous recherchez un collaboration, et quels supports utilisez vous dans vos investigations ?

Il doit bien y avoir un endroit où se rencontrer , quand même !!!!!!


G-P

25/04/2012 à 20h44

Ce qui intéresse un collaborateur ? Gagner un maximum d'argent, bien sûr !
Blague à part, si tu es loin d'une grande ville ça va être très compliqué...
Des sites internet pour passer ton annonce, je pense que tous les jeunes praticiens recherchent un rempla/collabo quasi-exclusivement sur ce support
http://www.abcdent.fr
http://www.dentalespace.com
et le site du conseil de l'ordre http://www.ordre-chirurgiens-dentistes.fr


Images jm2g2g - Eugenol
dr_0le

25/04/2012 à 21h38

G-P écrivait:
-------------
> Ce qui intéresse un collaborateur ? Gagner un maximum d'argent, bien sûr !
> Blague à part, si tu es loin d'une grande ville ça va être très compliqué...
> Des sites internet pour passer ton annonce, je pense que tous les jeunes
> praticiens recherchent un rempla/collabo quasi-exclusivement sur ce support
> http://www.abcdent.fr
> http://www.dentalespace.com
> et le site du conseil de l'ordre http://www.ordre-chirurgiens-dentistes.fr

+1 comme dit GP...
moi a l époque j'avais même appelé tous les praticiens du secteur recherché de façon spontané (99% de "non merci") pour finalement trouver..


Sarté

25/04/2012 à 21h44

Coucou,

Personnellement,

-1) Un confrère compétant et disponible pour donner des avis/conseils

-2) Un cabinet correctement équipé

-3) Une bonne quantité de travail

-4) et pour finir, une rémunération convenable (pas le smic et 8 % brut comme certains propose en salariat)



Voila :)

PS : Ou es tu situé, si cela peux intéresser des copains de promos (j'ai réussi à faire bouger 3 citadins à la "campagne")


titecarie

26/04/2012 à 01h18

Moi je recherche exclusivement des collab à la campagne où je suis sure de pas manquer de patient.
Je cherche un cab où je ne suis pas là pour boucher les jours de l'autre praticien mais un endroit où l'on travaille ensemble (moins d'ennui).
Et surtout, je ne fais pas de stérilisation ni de téléphone.
70% des offres de collab que j'ai vu c'est : "l'assistante sera pas là et moi non plus ces jours là donc tu fera la sté et répondra au téléphone"

------------------------------------------------
On est tellement plus heureux à la campagne


Dog wwyerg - Eugenol
TTDAM

26/04/2012 à 03h50

Je suis d'accord avec tout ce qui a été dit:
Arrêter de prendre les gens pour des cons : les AD ou les collabos.
Oublier le passé et nos expériences d'anciens collaborateurs exploités.
Proposer des choses en rapport avec les demandes d'aujourd'hui.
Ne pas non plus attendre plus de choses qu'ils ne veulent en fournir:
Veulent avoir des patients, mais pas faire le ménage, les papiers, la gestion.
veulent avoir du matos, mais souvent ceux qu'ils ont appris à utiliser dans leurs facs, pas ceux du titulaire.
Veulent apprendre, mais n'ont pas de leçons à apprendre de toi, car leurs profs leur ont dit...., leurs copains leur ont dit....,Eugénol leur a dit.....
Ne pas leur dire que tu vérifies leurs actes pour être sûr qu'ils respectent la NGAP qu'ils ne connaissent, ni ne maitrisent.

Sont tous "sérieux et motivés", mais pas vraiment; faut pas déconner, le travail aliène et cette génération ne pense pas qu'au fric (comme les anciens).
pourtant ce sont les mêmes qui râlent sur la NGAP, sur comment faire du HN, sur les patients qui n'acceptent pas leur devis ou leur plans de traitement.
Bon courage!

--
TTDAM


MiniMoi

26/04/2012 à 06h46

Pas d'accord, on trouve encore de tout chez les jeunes:

- des qui veulent pas trop bosser

- des qui veulent beaucoup bosser

- des qui ne pensent qu'au pognon

On trouve encore des jeunes qui n'en veulent rassurez-vous

Le meilleur moyen pour trouver un collab reste abcdent je pense, mais c'est certain il y a des coins qui font moins rêver les jeunes citadins (pendant mes recherches j'avais abcdent et google map ouverts...).
C'est surement une erreur, on passe parfois à côté de très bons plans mais bon...

Sinon les points importants à mon sens:
- titulaire pas trop agé (désolé mais le mec qui me dit je suis à la retraite dans 1 ou 2 ans, je ne l'imagine pas encore super motivé pour m'apprendre et échanger, mais plutôt préparer la revente de son cab), prêt à faire des petits efforts: si le courant passe bien, qu'il est ok pour acheter un peu de matériel, "prêter" son assitante de temps en temps...

- un peu de matos: pas forcément le cerec et cone-beam avec laser à portée de main... mais un tube radio pas d'un autre temps, rotation continue, éventuellement des digues dans un placard...

- des patients

De toutes façons entre un titulaire sympa et motivé et un collab sympa et motivé ça collera, au moins pour un temps, pour l'auteur du sujet il faut déjà appâter le client..
C'est avant tout dépendant du coin où tu bosses, mais une annonce du type cherche collab motivé, matériel (là un peu d'étalage de ce que tu as), jours et horaires au choix, assistante au fauteuil, reprise éventuelle, 40% de rétro, je trouverais bizarre que tu n'ais aucun appel ou mail...
Insiste sur les transports s'il y en a, s'il n'y en a pas sur les avantages indéniables de ta belle région :)

Pour finir, et un peu hors-sujet, vous gueulez souvent que les jeunes ne sont plus motivés. C'est peut-être vrai mais les conditions ne sont plus les mêmes qu'avant. Exemple, les tarifs ont très peu changé depuis 20 ans, donc le pouvoir d'achat a fortement chuté. Les jeunes le savent, pourquoi vous étonner qu'on ne se précipite pas chez le banquier pour s'endetter dès la fin des études????


machu

26/04/2012 à 08h18

Pour ma part, le bon plan n'etait pas tellement avoir une assistante, ne pas faire de sté ou de téléphone. Ma 1ère collab (où je suis restée 4 ans) était sans assistante (la titulaire n'en avait pas non plus), et je travaillais les jours où elle n'était pas là (un fauteuil), mardi, mercredi et samedi, toute la journée. J'ai appris la gestion du cabinet, gérer les urgences, le type d'exercice que je ne voulais pas forcemment (être seule, répondre au téléphone, faire la sté). J'estimais ne pas être lésée parce que j'avais la même chose que la titulaire (y compris en patients, j'en avais largement assez pour bien travailler.
Ensuite, en parallèle, nouvelle collab, super cabinet 1 prat, 3 assistantes, 1 secrétaire et moi! Je travaillais les mêmes jours que le titulaire, j'avais une assistante au fauteuil, je ne m'occupais de rien, ni encaissement, ni télétransmission, ni stock de produits,ni papiers, ni devis, rien d'autre que des soins et une certaine pression pour faire du chiffre. Là, j'ai bien appris à bosser, car en cas de difficulté, de question, le titulaire m'accompagnait.

Dans mon cabinet, j'ai une assistante, j'ai delegué la gestion des stocks, la sté, le téléphone, l'accueil mais je fais mes devis que j'explique, mes encaissements (parce que je suis soignante mais je vis bien de ce que je fais). Si je prends un collabo qui veut une assistante, il faut que j'en embauche pour lui. Ça me paraît un peu difficile de but en blanc. Je peux proposer un plateau, des patients, mais l'assistante il faut la former à sa sauce et si le collabo reste pas, tu en fais quoi de la fille?

Je ne me suis jamais sentie sur exploitée et sous payée en collab mais j'ai vraiment l'impression que les attentes des collaborateurs ont changé en 5 ans...


G-P

26/04/2012 à 10h39

Aucun collabo n'ira exiger qu'on embauche une assistante pour lui, mais, si une assistante est présente pour le titulaire, qu'elle vienne lui faire la sté et de temps en temps aide au fauteuil pour une grosse chir par exemple, ça ne me parait pas abusif.


denty352

26/04/2012 à 11h21

D'accord avec toi GP.

Certains titulaires ont du mal à comprendre que:
1- les patients font difficilement confiance à un collaborateur, ce qui veut dire bine moins de patients que le titulaire et surtout une grande majorité de soins

2 - du fait que la majorité des actes sont des soins, de faibles CA, sur lesquels on rétrocède la moitié et sur la moitié restante on paie 50/% en taxe et impôts. Il reste le SMIC. Et bien sûr, que dans ce cas, on s'intéresse de près au potentiel financier du cabinet. Vous savez tous que contrairement au salariat, on peut travailler A PERTE !

3- et NON on ne veut pas se contenter du SMIC en libéral, en faisant des distances énormes pour aller travailler (inacceptables pour un salarié d'ailleurs) et en faisant un travail dur, stressant et à responsabilité.

4 - si vous voulez un confrère/consœur dans le cabinet, n'oubliez pas qu'il ne connait rien au départ à votre organisation, l'aide au moins ponctuelle d'un(e) assistant(e) est indispensable si c'est un cabinet qui en emploi une. Chaque cabinet est différent et le collaborateur le plus expérimenté sera forcément perdu au départ.Et puis même plus tard, pourquoi ne pas comprendre que de temps en temps le collaborateur peut aussi avoir besoin d'aide..

Ce qui est drôle, c'est qu'une fois installé on oublie tout ça, je ferai tout pour que ce ne soit pas mon cas !


doagui

26/04/2012 à 12h08

Perso je cherchais :

= un cabinet avec un cadre agréable (pas un vieux cabinet des années 70 avec un halogène qui grésille et clignote au dessus de ma tête 9h par jour, ni une cave sans fenêtre)

= une assistante qui me fasse la sté, l'accueil et le téléphone (c'était clairement un impératif pour moi). Pas forcément de travail à 4 mains par contre, il faut rester réaliste.

= un agenda raisonnablement rempli (encore un impératif, un temps partiel était complètement envisageable, mais je ne voulais pas qu'on me raconte des salades genre "venez 4 jours par semaine, je croule sous les demandes" et au final on a à peine de quoi remplir 2 jours...)

= Du matériel acceptable (rien de fou, mais par exemple la rotation continue, la digue, ...) et surtout un praticien ouvert aux commandes tant que ça reste raisonnable.

= Un titulaire si possible dynamique et qui aurait eu des choses à m'apprendre. Au pire, qu'au moins il ne me surveille pas comme un môme (je déteste qu'on regarde par dessus mon épaule pour contrôler mon travail).

= ah oui et enfin une patientèle "normale" au minimum (pas de coin "craignos" où je me ferais agresser si je refusais une urgence...).


Conclusion des courses, j'ai trouvé à peu près tout cela assez facilement (avec quelques concessions évidemment), et je pense que mon titulaire est content de voir que je fais les efforts nécessaires pour que lui aussi soit satisfait. On a beau dire, des bonnes conditions de travail ça aide les collabos à être motivés et à se donner...

EDIT : un critère CAPITAL concerne l'impression d'être en équipe avec le titulaire et non d'être sa petite main. Ainsi, le tri des patients me semble complètement inacceptable. Je refuse de me farcir toute la pédo ou tous les CMU (à moins que ça ce soit décidé dès le départ et dit clairement, je détèste qu'on m'entube en douce). C'est même une question de principe, parce que dans l'absolu la pédo ça me plait bien, mais c'est pas une raison pour se faire prendre pour un con.


R8 p797bs - Eugenol
vive l'endo

26/04/2012 à 12h19

pour moi les point indispensable:

- un cabinet assez récent
- une assistante pour le téléphone et la stérilisation
- j'ai une exigence assez élevé pour le matos d'endo ( bien que j'ai bcp de matos a moi): digue ,lime multiple, protaper,cone ..etc (mais c'est pas le cas pour tout le monde)

et le plus important : pas trop de tri de patient pour filé que les cmu ou les gent non sur au colab.
un collaborateur qui ne fait de gros cas prothétique c'est un collaborateur qui s’emmerde.


personnellement tous mais ami qui on eu des problème en collaboration c’était sur le dernier point que ca a posé problème.


carototo

27/04/2012 à 14h25

encore relativement jeune praticien (35 ans), je suis bien entendu tout a fait d'accord avec ce qui précède, mias il y a une chose quand même a bien comprendre, si le titulaire ne fait pas de "tri", au début de la collaboration, les patients viennent pour lui, et pas le collaborateur, un démarrage sur les chapeuax de roue de l'activité du collaborateur est donc illusoire, même dans les cab a grosse activité.
faut un peu créer sa patientèle quand on est collaborateur.
ca peut aller vite, mais le tri ne doit pas se faire non plus que vers le collab.


Dog wwyerg - Eugenol
TTDAM

27/04/2012 à 14h52

"un collaborateur qui ne fait de gros cas prothétique c'est un collaborateur qui s’emmerde"

N'est-ce pas à lui, avec ses connaissances d'établir un diagnostic,un plan de traitement, les devis, les ententes financières qui vont avec?
S'il ne sait pas comment présenter des devis et augmenter l'acceptation de ses plans de traitement, le titulaire est-il responsable?

Personnellement, je soigne ma clientèle et les soins EFFECTUES, je fais la prothèse.
Personne ne vient avec ses dents soignées et en attente de grosses reconstructions prothétiques.

--
TTDAM


doagui

27/04/2012 à 15h54

carototo écrivait:
------------------
un démarrage sur les
> chapeuax de roue de l'activité du collaborateur est donc illusoire, même dans
> les cab a grosse activité.
> faut un peu créer sa patientèle quand on est collaborateur.


Oui et non, dans ma collab actuelle j'ai eu mon planning rempli aux 3/4 dès le 1er jour, et c'est la même chose avec le 2eme collab qui vient d'être embauché. Il suffit que le titulaire soit réaliste et honnête au sujet de son pool de patient potentiel : ne pas proposer un temps plein quand on a à peine de quoi remplir 2 jours.

A partir de là, les jeunes ne sont pas stupides, ils savent bien que s'il n'y a pas de tri fait à la source, les cas de prothèse ou autre vont venir d'eux-mêmes.


Photo 046 c2xbxf - Eugenol
jimm33

27/04/2012 à 16h53

Bonjour,
Je vIens de lire tous vos messages et pour ma part je cherche un ou une collaboratrice et pourtant je n'ai pratiquement aucun contact sérieux.
J'ai laissé des annonces sur tous les sites spécialisés en vain.
Sur mon annonce j'ai mis en avant la situation géographique (dans le sud est, au bord de la mer, ça pourrait être pire!), le matos moderne.
Comme je compte démenager de la région ( et non partir à la retraite, j'ai 39ans), je souhaite faire un relais avec le collaborateur avant une cession et donc me mettre à la disposition du futur collaborateur et pourtant......personne! Ah si tous les dentistes de Roumanie sont prêts à venir bosser à notre place!
Qu'est ce qui se passe? Pas envie de se lancer?


lfdupérou

27/04/2012 à 16h58

La question étant "comment trouver un collaborateur" et non pas "comment gérer un collaborateur" il faut, avant toute chose, soigner votre annonce ( surtout si votre cabinet ne se situe pas en ville universitaire ).
Pour moi (en tant que collaboratrice qui se souvient encore bien de ses recherches) ce qui est important c'est de :
-situer précisément le cabinet, le département ne suffit pas
- si cela ne plombe pas votre annonce , le temps de trajet depuis la grosse ville la plus proche ( pas plus de 30 min sinon ne pas le mentionner)
- proposer une liberté totale sur les jours travaillés ( mi temps, plein temps samedi ou pas mercredi ou pas)
- proposer une assistante pour rdv sté et décontamination du fauteuil au moins 75% du temps.

Par la suite, lorsque vous rencontrez les postulants, il faut se montrer réceptif aux demandes de matériel.

Le montant de la rétrocession n'a pas vraiment d'importance à partir du moment où vous êtes dans la moyenne de votre région.

Mais SURTOUT, il faut que vous convainquiez votre futur collaborateur qu'il aura assez de patients.

Le reste de ce qui a été abordé dans cette discussion vient, selon moi, dans un deuxième temps. Et même si c'est très important vous ne saurez comment le gérer qu'une fois le collaborateur en place.


Photo 046 c2xbxf - Eugenol
jimm33

27/04/2012 à 23h42

Encore faudrait il avoir des postulants!


R8 p797bs - Eugenol
vive l'endo

28/04/2012 à 07h31

TTDAM écrivait:
---------------
> "un collaborateur qui ne fait de gros cas prothétique c'est un collaborateur qui
> s’emmerde"
>
> N'est-ce pas à lui, avec ses connaissances d'établir un diagnostic,un plan de
> traitement, les devis, les ententes financières qui vont avec?
> S'il ne sait pas comment présenter des devis et augmenter l'acceptation de ses
> plans de traitement, le titulaire est-il responsable?
>
> Personnellement, je soigne ma clientèle et les soins EFFECTUES, je fais la
> prothèse.
> Personne ne vient avec ses dents soignées et en attente de grosses
> reconstructions prothétiques.
>
> --
> TTDAM

je t'assure que ca existe ;en fonction de l'appel et du type de travail a effectuer les assistance faisssais en sorte que le praticien est tout les gens qui peuvent payer et le collaborateur que les patient sans argent ou il faut bricolé des truc pour compensé.

10 mois d activité pour 2 amis ; aucun devis qui ne fasse plus que de 2 ccm.




Images oecc9d ijdijh - Eugenol
Akrobat

28/04/2012 à 09h04

Sur la tournure des annonces...
Eviter les info du genre: RVG rotation continue en 2012, ça fait une peu élétricité/Telephone/ eau chaude au robinet. Moi ça me fait penser que le titulaire est has been. (="cabinet bien équipé") Charge au collab de voir sur place si vous avez la même définition du bien équipé.
J'ai visité un cab dont l’annonce était: cab cherche collab SERIEUX pour chir implantaire, prothèse, informatisé, assistante au fauteuil... . Verdict: cab pourri pas de salle de chir, salle de soins vétuste peinture écaillée (pour y faire l'implanto) éclairage faiblard (voir blafard). Méfiez vous, les collaborateurs qui se présentent pourraint être beaucoup plus sérieux que vous même... Donc pas "collab sérieux" mais "motivé".
Trou paumé-> cadre de vie agréable, région à fort potentiel de dévellopement.
Activité importante

Et si l'ambiance ne parait pas sympa ou que la sté est aux normes des années 80 dans votre cabinet, c'est foutu.



Marque a3 orange fyvhyq - Eugenol
Marc Apap

28/04/2012 à 09h07

vive l'endo écrivait:
---------------------

>
> je t'assure que ca existe ;en fonction de l'appel et du type de travail a
> effectuer les assistance faisssais en sorte que le praticien est tout les gens
> qui peuvent payer et le collaborateur que les patient sans argent ou il faut
> bricolé des truc pour compensé.
>
> 10 mois d activité pour 2 amis ; aucun devis qui ne fasse plus que de 2 ccm.
>
>
>
Vive l'endo, avec toi, c'est pas vive l'ortho(graphe) ! Il a fallu que je relise deux fois ton texte pour comprendre.
Excuse si je suis chiant, mais mes deux parents étaient instit quand j'étais petit; chez nous, c'est chevillé au corps.

- "faisssais en sorte que le praticien est tout les gens" :
faisaient en sorte que le praticien ait tous les gens

-"ou il faut bricolé des truc pour compensé"
où il faut bricoler des trucs pour compenser


P2eqdh3csim6s7nb09ktdq3e7ev8 - Eugenol
barbabapat

28/04/2012 à 09h42

Il serait peut être temps sinon de refondre la politique d'offre au niveau de l'ordre.

On a une offre qui est éclatée entre les différents départements, entre différents sites et médias mais aucune offre réellement cohérente.

On a l'impression que cette offre morcelée à plus pour but d’aider à vendre les cab des amis locaux du conseil de l'ordre plus que de donner une visibilité à long terme des besoins.

Pour mes première collab, c'est le bouche à oreille qui a fonctionné et il est vrai que les chiffres d'affaires réalisés dans certaines collab n'engagent pas à faire de grosses dépenses comme des déménagements.