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Hollande
04/04/2013 à 13h35
Y a comme une odeur de prolégomènes de guerre civile en France en ce moment ....
04/04/2013 à 13h40
Attila écrivait:
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> Y a comme une odeur de prolégomènes de guerre civile en France en ce moment ....
C'est qui "Prolegomène" ? une cousine à Ségolène?
04/04/2013 à 13h58
Bof, guerre civile, je ne sais pas trop. Une révolution peut-être ? Car finalement, de la gauche à la droite, le peuple entier se désole de ce gouvernement carnavalesque.
04/04/2013 à 14h07
Don Chicot écrivait:
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> ça va se terminer par une dissolution tout ça!
On y est déjà, à l'évidence, le socialisme est soluble dans le pognon.
04/04/2013 à 15h00
Marc Apap écrivait:
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> Bof, guerre civile, je ne sais pas trop. Une révolution peut-être ? Car
> finalement, de la gauche à la droite, le peuple entier se désole de ce
> gouvernement carnavalesque.
Je serais plutôt d'accord avec l'idée de risque de guerre civile, dans la mesure où les mécontentements les plus profonds susceptibles d'entraîner des actions violentes à défaut de masse, seraient du fait de deux extrêmes pour le coup prêts à en découdre, la droite nationale contre l'internationale de la lutte des classes.
Cela n'est pas sans rappeler les affrontements d'avant-guerre en pleine crise économique...
Et à la fin ce sont les urnes qui décideront d'une alternance molle avec quelques suppositoires de rigueur budgétaire...
04/04/2013 à 15h47
Guerre civile, révolution.... calmez vous les gars!
Ces guignols ont été régulièrement élus et s'en iront tout à fait régulièrement.
Je n'ai pas envie de vivre dans un pays révolutionnaire ou dictatorial.
Effectivement je pencherai pour une dissolution à court terme, qui serait LA solution démocratique.
Ceci dit il se trouve que je soigne pas mal de .......scientifiques:
"Mou Président" a dû être informé de l'origine authentique de l'enregistrement en quelques heures seulement.
L'analyse spectrale des voix est une technique bien rodée et très rapide.
En plus d'être un médiocre, ce type est un authentique menteur.
04/04/2013 à 15h55
Dis donc, tu nous demandes de nous calmer quand je déconne gentiment en parlant de révolution, et toi, tu nous annonces froidement que le FH est un menteur ! J'en ai entendu d'autres le proclamer ce matin dans les journaux ou à la radio. Mais là, tu dépasses les bornes : et le secret médical alors ?? Enfin, tu écris sous pseudo, tu n'as rien à craindre.
04/04/2013 à 15h58
.. va arriver tout simplement, grâce à la gauche, comme d'habitude.
Aura t'elle les cojones pour faire du ménage ?
04/04/2013 à 16h16
Marc Apap écrivait:
-------------------
> Mais là, tu dépasses les bornes : et le secret médical alors ?? Enfin, tu écris
> sous pseudo, tu n'as rien à craindre.
On m'a juste expliqué que ces techniques sont parfaitement au point.
Pas eu d'info sur le "sujet" lui même.
De toutes façons c'est de notoriété publique.
Raconter qu'il ne savait pas relève du parfait foutage de gueule.
Mais tu as raison, je corrige mes source.. ;-)
04/04/2013 à 16h19
heureusement pour nous que cahuzac n'est que chirurgien
pas chirurgien dentiste :)
ils nous auraient tous mis de le sac
04/04/2013 à 16h39
Il est qd même savoureux que cette baderne qui a été élue par les journalistes soit mise à terre par les même...
Juste retour des choses.
Vous verrez, bientôt les journaleux feront l'apologie de notre profession :-)
04/04/2013 à 16h59
rs4 écrivait:
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> ils nous auraient tous mis de le sac
On dira maintenant, etre pris la main dans le Cahusac.
04/04/2013 à 17h37
En 1932 :
M. Fabien Albertin, député socialiste : Si l'on lit ce matin les journaux suisses, on voit que l'opinion publique, en Suisse, est extrêmement émue, qu'on y redoute les retraits massifs des sommes qui ont été déposées dans ses banques, dont c'est le profit principal, je pourrais dire le profit exclusif.
L'opinion publique redoute que, à la suite de ces retraits massifs de fonds, une véritable chute du franc suisse ne se produise.
M. le ministre des finances sait très bien que, depuis dix ans, la préoccupation de tous ses prédécesseurs a été de dépister cette fraude, qui est connue. Pour la réprimer, il faut la saisir. Or jusqu'ici, les renseignements qu'on avait pu obtenir étaient extrêmement vagues. Quand des documents parvenaient aux mains de la justice, c'étaient des carnets informes, sur lesquels les titulaires des comptes ne figuraient que sous un simple numéro d'ordre. Les employés des banques intéressées ne connaissaient pas les noms des titulaires des comptes. Ces noms sont connus du seul directeur de la banque, auquel les clients font défense absolue de correspondre avec eux, tellement ils sont soucieux de conserver l'anonymat. [...]
Il y a eu dans les journaux un récit, que je crois fidèle, des circonstances dans lesquelles, un juge d'instruction a été désigné par le parquet à la suite de la plainte de M. le ministre des finances. Le juge d'instruction a donné une commission rogatoire à la sûreté générale. Un commissaire du contrôle des recherches s'est présenté dans un hôtel de la rue de la Trémoille, située dans l'aristocratique quartier des Champs-Elysées. Le commissaire savait que les dirigeants de la banque suisse occupaient un appartement de cinq pièces. Il a trouvé dans le salon d'attente une foule de clients impatients de faire régler leurs coupons. Il a pénétré directement dans les bureaux. Il a pu dresser procès-verbal et opérer la saisie d'un certain nombre de documents.
Il est regrettable que cette opération de police n'ait pas eu lieu plus tôt. C'est le 26 octobre, à seize heures dix, très exactement, que M. Barthelet, commissaire au contrôle des recherches, s'est présenté rue de la Trémoille. Mais il faut qu'on sache que les employés, que le directeur même - car l'opération était à ce point importante que le directeur de Bâle s'était dérangé et était présent - il faut qu'on sache que ces paiements avaient commencé dix jours avant et s'étaient poursuivis sans aucune interruption.
A l'heure où le commissaire de police s'est présenté, il ne restait plus que quelques clients, car l'opération allait prendre fin vers six heures. Cependant - voici des chiffres qui nous fixent sur l'importance des opérations qui avaient été accomplies - le commissaire de police a pu saisir sur les employés de la banque une somme de 245 000 francs en argent français et 2 000 francs en argent suisse, sommes qui devaient permettre de faire face aux besoins de cette fin de journée.
Si l'on n'avait trouvé que cela, ce ne serait pas grand chose. Fort heureusement, on a saisi un répertoire, un livre de caisse, un fichier, et - retenez cette précision - dix carnets d'assez grandes dimensions.
Ces dix carnets contenaient environ 2 000 noms. On a dit 1 400. Un membre du Gouvernement disait 1 400 ou 1 500. Ne chicanons pas sur ces chiffres. Disons qu'il y a dans ces carnets un nombre considérable de noms.
A l'extrême gauche : Nous voulons les connaître. [...]
M. Fabien Albertin : Je disais, messieurs, que ces carnets sont tenus avec un soin tellement minutieux, qu'il a suffi à un secrétaire de la sûreté générale de quatre ou cinq heures pour dresser la liste complète des 2 000 noms, liste qui a dû être portée immédiatement au Gouvernement, en tout cas, au chef responsable de cet important service. Cette liste est connue. Le ministre la connaît...
M. le ministre des finances : Ah ! non ! Monsieur Albertin, j'affirme que je ne connais pas du tout cette liste.
M. Xavier Vallat : Puisque le ministre ne connaît pas la liste, c'est le moment de la lui lire.
M. Fabien Albertin : Je vais satisfaire votre curiosité. [...] On nous dira : « Ah ! comme vous êtes heureux, socialistes, de faire ces constatations, de déshonorer des adversaires politiques et de montrer qu'il y a des classes dans la société ! »
Oui, il y a des classes. Et les classes dirigeantes, l'élite de la société, viennent, à l'occasion de ce scandale, de montrer en même temps que leur égoïsme, la volonté qu'elles ont de ne pas se soumettre à la loi française.
Il y a des personnages dont le rôle est de faire les lois : trois sénateurs - leurs noms ont été donnés - des personnages dont le rôle est d'appliquer les lois, des magistrats, de l'ordre administratif et judiciaire.
Il y a des hommes qui sont d'un patriotisme particulièrement chatouilleux et qui, sans doute, ignore que l'argent qu'ils constituent en dépôt à l'étranger est prêté par la Suisse à l'Allemagne.
Nous trouvons sur cette liste une douzaine de généraux ! [...] Sur ces listes figurent, outre des généraux, un contrôleur général de l'armée.
M. Renaud Jean : Lequel ?
M. Fabien Albertin : Vous serez bien avancé, quand j'aurai dit qu'il s'appelle Delalande. [...]
Il en est un que je peux prononcer sans hésitation, parce qu'on ne le trouve pas seulement dans le répertoire. Le titulaire de ce nom, si j'ose dire, a pris contact avec le commissaire de police. Il s'est présenté de lui-même rue de la Trémoille pour toucher ses coupons. C'est M. Viellard, sénateur de Belfort.
M. Lionel de Tastes : Il y en a d'autres.
M. Fabien Albertin : C'est exact. M. de Tastes sera heureux d'apprendre qu'il y a M. le sénateur Jourdain. Il y en a un troisième, c'est M. le sénateur Schrameck. [...]
M. Gustave Guérin : Y a-t-il des députés sur cette liste, monsieur Albertin ?
M. Fabien Albertin : Monsieur de Tastes et monsieur Vallat, qui m'avez interrompu tout à l'heure, voulez-vous que je vous dise aussi qu'il y a des évêques, en particulier l'évêque d'Orléans ?
M. le Président : Le règlement ne me permet pas de vous laissez la parole, monsieur Albertin.
M. Fabien Albertin : Il n'y a pas de règlement qui puisse empêcher un député de remplir son devoir au regard du pays. [...]
Je disais, puisqu'on m'a obligé à donner cette précision, qu'en effet, il y a de hauts dignitaires de l'Eglise, deux évêques dont, évidemment, le royaume n'est pas de ce monde mais qui, certainement, grâce à d'habiles restrictions mentales, ont pu concilier à la fois la nécessité du serment fiscal, qui doit être sincère, avec le juste souci de mettre à l'abri leur fortune
Il y a de grands chefs d'une industrie automobile, dont le siège est à Valentigney ; il y a un fabricant de meubles...
A droite : Les noms ! [...]
M. Fabien Albertin : On y trouve surtout des chefs de la grande industrie automobile, les frères Peugeot, puisque vous voulez leur nom. On trouve aussi un fabricant de meubles dont la T.S.F. nous proclame assidûment la pérennité de la fabrication ; je crois qu'il se nomme Lévitan.
Jamais, messieurs, une liste de noms n'a fait un pareil emprunt à l'armorial français. Je vais, messieurs, montrer que je ne recule devant aucun des risques que peut comporter mon attitude.
La presse est une grande puissance. Je ne sais pas quel lien de droit unit au directeur de l'Ami du peuple Mme Henriette François Coty, je ne sais pas s'il s'agit d'un compte qui appartient en propre à Mme Coty ou si cette dernière n'est ici qu'une personne interposée. Je ne sais pas si le nom de M. Sapètre s'applique bien au directeur du Matin. Ce que je sais, messieurs, c'est qu'il n'y a rien de plus douloureux, de plus attristant et de plus tragique, rien qui puisse décourager plus profondément la masse des travailleurs français que de voir, chaque jour, des hommes qui dirigent et qui inspirent l'opinion française faire, du haut des colonnes de leurs grands quotidiens, appel au patriotisme fiscal du pays, faire prévoir de nouveaux sacrifices que l'on demandera nécessairement aux petits fonctionnaires, aux victimes de la guerre, ou, par l'établissement de nouveaux impôts indirects, à la masse énorme des consommateurs et frauder pour leur part.
En face de semblables constatations, nous avons le droit d'être profondément attristés.
Source : Journal Officiel des Débats de la Chambre des députés, 10 novembre 1932, p. 2997 et suiv.
04/04/2013 à 17h43
Sur les 2000 noms, plus de la moitié étaient députés sénateurs et fonctionnaires. En 1934 la Suisse vota le secret bancaire à leur grand soulagement puis l'allemagne hitlerienne vota une loi condamnant à mort tout citoyen possédant un compte en Suisse.
La république et la démocratie sont pourries depuis toujours. Simplement, avant, elles ne nous coutaient pas trop cher et ne créaient pas trop de pauvres. Ce qui devient insupportable c'est l'élevage des pauvres par les socialauds d'aujourd'hui.
04/04/2013 à 18h44
Un socialiste de grande influence est aussi de mon avis pour la dissolution dans ce genre de situation politique:
http://www.lepoint.fr/politique/sarkozy-doit-changer-de-gouvernement-ou-dissoudre-l-assemblee-selon-cahuzac-ps-07-07-2010-1211911_20.php
On se sent moins seul comme ça...
04/04/2013 à 20h35
Don Chicot écrivait:
--------------------
> L'ex-trésorier de la campagne d'Hollande a investi aux Caïmans
>
> Selon Le Monde et le Guardian, le trésorier de campagne de François Hollande,
> Jean-Jacques Augier, est actionnaire de deux sociétés offshore basées dans les
> îles Caïmans. Il reconnaît les faits tout en affirmant que «rien n'est illégal».
> Mais, en pleine tempête autour de Jérôme Cahuzac, il s'agit au minimum d'une
> énorme maladresse politique.
>
>
> ça va se terminer par une dissolution tout ça!
Il parait meme que c'est le seul a être en règle.))))))) Ancien inspecteur des finances en plus.
04/04/2013 à 21h31
Sur Egora , ils annoncent que Cahu lorsqu'il travaillait dans sa clinique esthétique beaucoup plus rémunératrice que le travail de Chirurgien cardiaque était déclaré auprès de la secu
comme médecin généraliste secteur 1 , pas mal pour payer moins !!
05/04/2013 à 01h51
Histoire de remuer un peu la merde socialiste, qu'est devenu le sénateur Jean-Marc PASTOR et son histoire de "fausses notes de frais" et du faux communiqué de Gérard LARCHER, établi par PASTOR lui-même ...?
Pour ceux qui auraient oublié cette incroyable histoire de 2011 :
http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/07/05/les-notes-de-frais-d-un-questeur-du-senat-empoisonnent-l-atmosphere-au-palais-du-luxembourg_1544843_3224.html
En citant Le Monde, on ne va pas remettre en question mes sources, cette fois-ci ...
05/04/2013 à 03h19
Affaire Cahuzac. Pour Mediapart, « Hollande savait ».
Pour Laurent Mauduit, l’un des fondateurs de Mediapart, le site internet qui a révélé l’affaire du compte bancaire à l’étranger de Jérôme Cahuzac, François Hollande ment, quand il dit n’avoir découvert le fond de l’affaire que ce mardi 2 avril, avec les aveux de son ex-ministre.
Selon Laurent Mauduit, le chef de l’État était au courant au moins depuis le 4 décembre, date à laquelle le site internet Mediapart publie l’enregistrement mettant en cause Jérôme Cahuzac.
Au lendemain de ce séisme politique, la question que tout le monde se pose est : François Hollande savait-il ?
Car ni l’intervention de Jean-Marc Ayrault, mardi soir au 20 Heures de France 2, ni l’allocution télévisée enregistrée du chef de l’État mercredi ne sont parvenues à convaincre du contraire.
Laurent Mauduit, fondateur de Mediapart, qui a révélé l’affaire Cahuzac, assurait, lui, ce matin sur Europe 1 que François Hollande savait.
« Il le savait au moins dès lors que l’information préliminaire est ouverte, donc bien avant la demande d’entraide organisée par Pierre Moscovici, parce que les policiers qui enquêtent pour le compte du parquet sont sous les ordres hiérarchiques du ministère de l’Intérieur. »
Selon Laurent Mauduit, « tout le monde savait au moins depuis le 4 décembre », date de la révélation de l’affaire par Mediapart. « Y compris le chef de l’État. »
Le journaliste va plus loin en assurant qu’il y a « un inspecteur des impôts qui dit dès 2008, qu’il faut faire une vérification fiscale ».
François Hollande, et donc Jean-Marc Ayrault et Pierre Moscovici, mentent selon Laurent Mauduit, pour qui « la faute éthique et politique commence le 7 février quand il y a cette manipulation avec la demande d’entraide administrative et une campagne de presse tapant sur Mediapart ».
L’associé d’Edwy Plenel va plus loin en déclarant que l’affaire a failli être étouffée à l’époque, avec l’aide notamment de certains journalistes « aplatis », référence ironique à Jean-Michel Apathie, qui a toujours douté des révélations de Mediapart.
Comment Bernard Cazeneuve peut-il alors affirmer qu’il ne s’agit pas d’une affaire d’État, comme il l’a fait ce matin, toujours sur Europe1 ?
http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Affaire-Cahuzac.-Pour-Mediapart-Hollande-savait-_55257-2180047_actu.Htm
05/04/2013 à 12h26
Il va falloir remettre de l'ordre dans tout ca. Mais c'est ce qui se passe après toute gestion socialiste. Reste plus qu'a mettre ca en musique.))))))
http://mp3skull.com/mp3/horst_wessel_lied.html
Il y a le choix !)))))))
A prendre au 2eme degré.)))))))))
05/04/2013 à 14h10
chicot29 écrivait:
------------------
> Il va falloir remettre de l'ordre dans tout ca. Mais c'est ce qui se passe après
> toute gestion socialiste. Reste plus qu'a mettre ca en musique.))))))
>
> http://mp3skull.com/mp3/horst_wessel_lied.html
>
> Il y a le choix !)))))))
>
> A prendre au 2eme degré.)))))))))
Cela n'est pas sans rappeler les débuts de Jean-Marie dans l'édition musicale ...
Un autre spécialiste de la vanne au 2ème degré. :)
05/04/2013 à 14h25
Les dentistes français sont des gagne-petits:
http://www.20minutes.fr/economie/1131227-20130404-offshore-leaks-revele-lenquete-paradis-fiscaux
Cela pourrait expliquer la rancoeur ou la frustration de certains sur ce fil. ;)
05/04/2013 à 16h09
Il y a des fois où tu es lourd, justement l'optimisation fiscale est parfaitement morale et fait partie de l'arsenal fiscal étatique par ses niches et autres dégrèvements , les scelliers girardins...
Ce que les minables comme certains ici ne supportent pas c'est que parfois des hommes libres vont la chercher ailleurs. Il est finalement cocasse que ce soit le socialisme qui sombre dans le nationalisme le plus lourd après avoir tenté durant des décennies de faire croire que le fascisme était différent du socialisme bien que de politique économique identique, justement en raison de l'absence de nationalisme des socialistes.
Tiens j'en ai appris une autre sur les retraites : un fonctionnaire ou politique avec une retraite ahurissante comme nos députés sénateurs haut fonctionnaires ne sont imposés que sur le revenu de cette retraite. Un citoyen normal qui aurait économisé pour ne pas avoir la retraite minable des non membres de l'élite répugnante de ce pays, se verra imposé sur l'ISF du montant équivalent en capital de la rente viagère selon un barème de conversion de l'administration fiscale. Salaud de tiers-état qui voudrait vivre comme les élus, tu vas payer.
05/04/2013 à 16h23
mark écrivait:
--------------
> chicot29 écrivait:
> ------------------
> > Il va falloir remettre de l'ordre dans tout ca. Mais c'est ce qui se passe
> après
> > toute gestion socialiste. Reste plus qu'a mettre ca en musique.))))))
> >
> > http://mp3skull.com/mp3/horst_wessel_lied.html
> >
> > Il y a le choix !)))))))
> >
> > A prendre au 2eme degré.)))))))))
>
>
> Cela n'est pas sans rappeler les débuts de Jean-Marie dans l'édition musicale
> ...
> Un autre spécialiste de la vanne au 2ème degré. :)
Non, non jean marie n'est pas le spécialiste de la vanne au 2 eme degré. Moi je suis pour moins d'état et on ne peu pas dire que ce soit une des caractéristiques du National-socialisme du socialisme ni du communisme. Tu préfères cette musique là peut être plus douce pour tes oreilles ?
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