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Bascule du prix de la couronne sur l inlay core !
20/06/2012 à 17h56
C'est évident, tu peux même panacher avec les inters de bridge. A quoi, crois tu que sert la fonction sur julie remboursement de la mutuelle sur le total du devis ? A devis équivalent reste à charge inférieur.
......Sauf pour ceux qui se sont mis un fil à la patte en signant un protocole avec des actes bloqués à vie qui voient ainsi leurs patients moins remboursés (sauf pour la mgen évidemment, mais elle a été très bien conseillée par la CNSD).
Faire gaffe aux mutuelles qui ont inventé une catégorie d'actes "soins prothétiques" concernant les inlays core remboursés à 100% comme pour les soins.
20/06/2012 à 19h56
Et si plutôt qu'une gréve qui ne sera pas suivie, on arrêtai d'arranger les patients tout en récupérant l’opprobre populaire (les dentistes font leur devis à la tête du patient); on expliquait ce que le patient perd avec les assurances qui ne lui expliquent pas les petites lignes tout en l'envoyant faire un esclandre chez sont assureur préferé devant les autres clients qui vont signer un contrat.
On se fait descendre médiatiquement tout en gérant le service après vente des mutuelles pour pas un rond et en étant stigmatisé à la place des mutuelles. Ca ne serait pas mieux que les patients se prennent en mains et aillent râler en publique dans les succursales des mutuelles.
21/06/2012 à 00h13
barbabapat écrivait:
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> On se fait descendre médiatiquement tout en gérant le service après vente des
> mutuelles pour pas un rond et en étant stigmatisé à la place des mutuelles. Ca
> ne serait pas mieux que les patients se prennent en mains et aillent râler en
> publique dans les succursales des mutuelles.
--------------
avec ligne claire il m'arrive de faire plusieurs devis (même montant final)
avec
-prix de la couronne.
-prix de la couronne + prix de la provisoire
-prix de la couronne + prix de la provisoire + paro,...
le patient se rend compte que finalement il y a des actes effectués et qui ne sont pas remboursés, et qu'il peut demander pourquoi à sa mutuelle.
En réponse un patient s'est même entendu dire que la provisoire n'était pas indispensable et qu'il ne fallait pas en faire!!!
21/06/2012 à 09h27
crocodilem écrivait:
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> c'est plus limité a 183 €?
>
> http://www.eugenol.com/sujets/386994-limitation-du-prix-d-un-inlay-core?page=1
Depuis la convention de 2006 (au grand dam des mutuelles) !
Perso, appliqué tout de suite.
Pour les devis, sous Julie, j'ai inclu une observation dans les lignes inlay-cores : il sera appliqué une réduction deshonoraires de X euros pour la réalisation d'une couronne concomittente (sur la même dent).
Le montant des honoraires des inlay-cores est augmenté de ces X euros. La provisoire apparait systématiquement sur le devis mais ses honorares pourrons être repris dans la ventilation.
Je dis au patient d'envoyer le devis à sa mutuelle et qu'en fonction de la réponse je ventillerai les honoraires entre les actes mais que le total à payer restera au maximum du montant du devis - les X euros.
= respect du code de la santé publique et aucune arnaque aux assurances.
Au niveau devis, je ne m'embête plus à faire plusieurs devis pour chaque type de couronne mais seulement le plus élevé et dit au patient que s'il y avait un reste à charge, je lui ferai d'autres propositions (pour les couronnes, j'en suis à 95 % de ccm). Et la plupart du temps je ventile selon une règle de 3, si la mutuelle est à plus de 350 % de la BR, il ne reste rien à la charge du patient après remboursement.
Et perso : aucun protocole ou contrat avec les mutuelles, pas de tiers-payant en dehors de la CMU !
21/06/2012 à 10h40
......Et ça se termine par des plans de traitement établis en fonction des remboursements et non pas en fonction de l'indication clinique. Je pense en particulier à la curieuse absence dans la bouche des français de la dentisterie collée.
21/06/2012 à 11h38
chicot29 écrivait:
------------------
> ......Et ça se termine par des plans de traitement établis en fonction des
> remboursements et non pas en fonction de l'indication clinique. Je pense en
> particulier à la curieuse absence dans la bouche des français de la dentisterie
> collée.
Ah une remarque pleine de bon sens!!
Si les prothèses sont à un tarif libre, et ben tu fixe librement ton tarif. Je comprends même pas ceux qui se posent la question...
Mais ceci dit, 90% des inlay core réalisés en France le sont pour des raisons pécuniaires et non pour des raisons médicales. Et disons au moins 60% des couronnes.
Et quand on sait qu'une dent couronnés est une dent à extraire dans 15 ans, il va peut-être falloir que les dentistes prennent position sur l'obsolescence de la nomenclature en soulignant surtout les mutilations inutiles qu'elle engendre...
21/06/2012 à 12h28
+1 Barbabapat !
chatondecarte écrivait:
-----------------------
> Et quand on sait qu'une dent couronnés est une dent à extraire dans 15 ans, il
> va peut-être falloir que les dentistes prennent position sur l'obsolescence de
> la nomenclature en soulignant surtout les mutilations inutiles qu'elle
> engendre...
J'imagine bien comment ça pourrait se passer:
- Les couronnes sont mutilantes et "pousse-au-crime".
-OK, pas de problème on va vous les dérembourser-limiter-contrôler-interdire!
(là, il faut rayer la ou les mentions inutiles)
- Oui, et à la place?
-A la place... Rien.
21/06/2012 à 12h35
Tu ajoutes des soins conservateurs a des tarifs soviétiques pour motiver les troupes..... et tu fais sonner les portiques au aéroports si ils sont réglés trop fins.)))))
21/06/2012 à 12h40
domi38 écrivait:
----------------
> +1 Barbabapat !
>
>
> chatondecarte écrivait:
> -----------------------
>
>
> > Et quand on sait qu'une dent couronnés est une dent à extraire dans 15 ans, il
> > va peut-être falloir que les dentistes prennent position sur l'obsolescence de
> > la nomenclature en soulignant surtout les mutilations inutiles qu'elle
> > engendre...
>
>
>
> J'imagine bien comment ça pourrait se passer:
>
> - Les couronnes sont mutilantes et "pousse-au-crime".
> -OK, pas de problème on va vous les dérembourser-limiter-contrôler-interdire!
> (là, il faut rayer la ou les mentions inutiles)
> - Oui, et à la place?
> -A la place... Rien.
Si si si, déconventionnement en masse et dentisterie collée. Vu que le max de remboursement est de 40 euros et des brouettes pour un onlay ceram (sc17)plus de raison de se conventionner. notre nomenclature est un bel exemple de fiasco de l'état décideur couplé à une extrême mollesse syndicale.
21/06/2012 à 14h27
mosquito écrivait:
------------------
> En réponse un patient s'est même entendu dire que la provisoire n'était pas
> indispensable et qu'il ne fallait pas en faire!!!
Voilà la raison principale pour laquelle je reste un anti-libéral(au sens économique) convaincu, dans le secteur de la santé.
Un système de soins fondé sur l'assurantiel "libre", donc sur la concurrence entre assurances, est fondé sur le montant de la cotisation des adhérents. C'est donc la course aux primes d'assurance les moins chères.
... et pour que la prime soit la moins chère possible, les assurances-mutuelles n'hésitent pas à déterminer le soin nécessaire, en lieu et place de l'homme de l'art.
Cette ingérence dans la qualité du soin, et dans la nécessité (ou non) du soin finit par devenir insupportable, et a des conséquences en terme de santé publique.
Jamais la sécu, pourtant en situation de monopole, ne se permettrait une telle ingérence. Notons qu'elle l'a fait dans le passé (avec les ententes préalables) mais y a renoncé... et que les assurances y reviennent pour limiter le montant des sinistres.
Sur ce point, j'ai une position irréconciliable avec wakrap le libéral ! En santé, le libéralisme économique est une contrainte insupportable tant en terme de qualité que de cout pour la société. La liberté a aussi des inconvénients, rien n'est noir, rien n'est blanc !
21/06/2012 à 16h21
La sécu ne se permet pas une telle ingérence,
elle se permet juste de décider qu'un acte hors nomenclature doit être compris dans un acte nomenclaturé (notion d'acte global...)
Ex: dépose de couronne, d'inlay core, d'instruments...
Chez moi, mon CDC: tout ça est compris avec le retraitement (qui soit dit en passant était HN pour le CDC de ma région précédente...)
Elle se permet juste d'inciter les praticiens à faire de l’abatage en bloquant leurs tarifs...
Qu'est-ce que c'est mieux avec la sécu!!! La qualité des soins en bouche le montre tous les jours...
--
Normal is not something to aspire to, it's something to get away from...
21/06/2012 à 16h52
DDS écrivait:
-------------
> La sécu ne se permet pas une telle ingérence,
Ton argument est biaisé.
Tu associes soins et remboursements des soins. S'il est exact que les soins "nomenclaturés" sont mal rémunérés, la sécu n'interdit aucun soin, et ne donne aucun conseil aux patients ; elle ne s'ingère pas dans la relation entre patient et dentiste.
La sécu fixe une règle sur le remboursement, possible ou non, et pas sur les choix thérapeutiques : le dentiste est libre de décider, en accord avec le patient, de la thérapeutique adaptée.
Est-ce le cas des complémentaires, qu'elles soient mutualistes ou privées ?
A mon sens, les complémentaires mettent le dentiste sous une tutelle : le choix thérapeutique tend a devenir un choix partagé entre praticien et organisme payeur, dans lequel le patient sera piloté-orienté par l'assureur du sinistre.
La liberté économique ne profitera ni au praticien, qui perdra sa liberté de décider ce qu'il faut faire, ni au patient car il sera influencé par des conseillers économiques des assureurs.
Ce sera une liberté qui ne profitera qu'aux assureurs ! Je n'y vois aucun intérêt.
21/06/2012 à 17h07
ameli écrivait:
---------------
> DDS écrivait:
> -------------
> > La sécu ne se permet pas une telle ingérence,
>
> Ton argument est biaisé.
> Tu associes soins et remboursements des soins. S'il est exact que les soins
> "nomenclaturés" sont mal rémunérés, la sécu n'interdit aucun soin,
Quand mon CDC m'interdit de faire un inlay core résine sous prétexte que le patient ne peut être remboursé, et me "suggère" de lui facturer un Sc 33 pour qu'il puisse être remboursé en dépit du fait que je perde de l'argent, c'est quoi?
> et ne donne
> aucun conseil aux patients ; elle ne s'ingère pas dans la relation entre patient
> et dentiste.
Elle "suggère" au dentiste de ne pas faire d'onlays sur des patients CMU pour leur éviter de payer...
> La sécu fixe une règle sur le remboursement, possible ou non, et pas sur les
> choix thérapeutiques : le dentiste est libre de décider, en accord avec le
> patient, de la thérapeutique adaptée.
Quand le CDC décide que ce qui n'est pas dans la nomenclature en fait partie parce qu'il l'a décidé (juste pour diminuer les coûts pour le patient), dans ce cas il y a ingérence. En particulier lorsqu'il te menace de t'allumer si tu n'es pas d'accord.
--
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21/06/2012 à 17h54
ameli écrivait:
---------------
elle ne s'ingère pas dans la relation entre patient
> et dentiste.
> La sécu fixe une règle sur le remboursement, possible ou non, et pas sur les
> choix thérapeutiques : le dentiste est libre de décider, en accord avec le
> patient, de la thérapeutique adaptée.
Et pour ça elle a même fait un site ou les patients peuvent comparer les tarifs entre praticiens.
Elle ne s'ingère pas... C'est clair, on ne peut plus l'avaler! ;-)
21/06/2012 à 17h54
ameli écrivait:
---------------
> DDS écrivait:
> -------------
> > La sécu ne se permet pas une telle ingérence,
>
> Ton argument est biaisé.
> Tu associes soins et remboursements des soins. S'il est exact que les soins
> "nomenclaturés" sont mal rémunérés, la sécu n'interdit aucun soin, et ne donne
> aucun conseil aux patients ; elle ne s'ingère pas dans la relation entre patient
> et dentiste.
> La sécu fixe une règle sur le remboursement, possible ou non, et pas sur les
> choix thérapeutiques : le dentiste est libre de décider, en accord avec le
> patient, de la thérapeutique adaptée.
>
> Est-ce le cas des complémentaires, qu'elles soient mutualistes ou privées ?
> A mon sens, les complémentaires mettent le dentiste sous une tutelle : le choix
> thérapeutique tend a devenir un choix partagé entre praticien et organisme
> payeur, dans lequel le patient sera piloté-orienté par l'assureur du sinistre.
> La liberté économique ne profitera ni au praticien, qui perdra sa liberté de
> décider ce qu'il faut faire, ni au patient car il sera influencé par des
> conseillers économiques des assureurs.
> Ce sera une liberté qui ne profitera qu'aux assureurs ! Je n'y vois aucun
> intérêt.
C'est ou qu'on s'inscrit pour être dentiste conseil des assureurs ? parce qu’il va falloir qu'ils en embauchent un stock. Comme ça on pourra dire ce qu'il faut faire aux dentistes roumains qui vont nous remplacer. ))))
21/06/2012 à 18h57
DDS écrivait:
-------------
> Quand mon CDC m'interdit de faire un inlay core résine
J'aimerais bien connaître le nom d'un DC de la sécu qui oserait interdire un choix thérapeutique ou qui oserait élaborer un plan de traitement ! je n'en connais pas.
A noter cependant que le DC sécu n'est pas employé par la sécu, dois-je le répéter ? Il est employé par la DRSM, ce qui est davantage qu'une nuance : aucun ordre du "payeur" ne lui est envoyé.
En est-il de même pour les DC des assurances ? ... qui sont des contractuels dont on ne renouvelle pas le contrat s'ils ont l'heur de ne pas plaire à leur employeur, qui est le payeur des sinistres ? Le conflit d'intérêts est patent : le DC des assurances ne peut revendiquer une impartialité car il est employé de l'assurance.
> Elle "suggère" au dentiste de ne pas faire d'onlays sur des patients CMU pour
> leur éviter de payer...
Idem : rappel du contenu du panier de soins, et rappel des obligations du consentement éclairé, donc d'informer complètement, de proposer des alternatives thérapeutiques, et de préciser les couts respectifs.
La décision reste à prendre par le patient.
Ce n'est pas le praticien qui fait le choix du soin, mais le patient, une fois que ce dernier est complètement informé.
Attention à ne pas inverser les rôles de chacun ! Relis l'art L 1111-2 du CSP.
> Quand le CDC décide que ce qui n'est pas dans la nomenclature en fait partie
C'est une faute professionnelle du DC. Ecris à la DRSM.
Un DC s'occupe de l'application des textes, pas de les interpréter ou de les réinventer.
21/06/2012 à 19h25
domi38 écrivait:
----------------
> Et pour ça elle a même fait un site ou les patients peuvent comparer les tarifs
> entre praticiens.
Tu es libéral, et donc pour la concurrence !
Tu admets forcément que le tarif est un des critères des patients pour choisir un praticien.
Tu préfères des tarifs identiques pour tout le monde et fixés par décret ?
Dès lors que le tarif est libre, et que le tarif est un critère de choix, l'information doit circuler. C'est le jeu de la concurrence.
21/06/2012 à 19h25
ameli écrivait:
---------------
> DDS écrivait:
> -------------
> > Quand mon CDC m'interdit de faire un inlay core résine
>
> J'aimerais bien connaître le nom d'un DC de la sécu qui oserait interdire un
> choix thérapeutique ou qui oserait élaborer un plan de traitement ! je n'en
> connais pas.
Soit, ça n'existe pas, et j'ai du mal comprendre alors, si ça n'existe pas. Je suis certainement mythomane :(
> A noter cependant que le DC sécu n'est pas employé par la sécu, dois-je le
> répéter ? Il est employé par la DRSM, ce qui est davantage qu'une nuance : aucun
> ordre du "payeur" ne lui est envoyé.
Peut être pas d'ordres, mais juste une envie de faire du zèle en favorisant une dentisterie low-cost pour le patient alors.
> En est-il de même pour les DC des assurances ? ... qui sont des contractuels
> dont on ne renouvelle pas le contrat s'ils ont l'heur de ne pas plaire à leur
> employeur, qui est le payeur des sinistres ? Le conflit d'intérêts est patent :
> le DC des assurances ne peut revendiquer une impartialité car il est employé de
> l'assurance.
>
> > Elle "suggère" au dentiste de ne pas faire d'onlays sur des patients CMU pour
> > leur éviter de payer...
>
> Idem : rappel du contenu du panier de soins, et rappel des obligations du
> consentement éclairé, donc d'informer complètement, de proposer des alternatives
> thérapeutiques, et de préciser les couts respectifs.
> La décision reste à prendre par le patient.
> Ce n'est pas le praticien qui fait le choix du soin, mais le patient, une fois
> que ce dernier est complètement informé.
> Attention à ne pas inverser les rôles de chacun ! Relis l'art L 1111-2 du CSP.
On est d'accord.
> > Quand le CDC décide que ce qui n'est pas dans la nomenclature en fait partie
>
> C'est une faute professionnelle du DC. Ecris à la DRSM.
> Un DC s'occupe de l'application des textes, pas de les interpréter ou de les
> réinventer.
J'ai d'autres priorités en ce moment que d'affronter le DC et la DRSM. Toujours est-il que cela existe...
--
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21/06/2012 à 19h28
ameli écrivait:
---------------
> domi38 écrivait:
> ----------------
> > Et pour ça elle a même fait un site ou les patients peuvent comparer les
> tarifs
> > entre praticiens.
>
> Tu es libéral, et donc pour la concurrence !
> Tu admets forcément que le tarif est un des critères des patients pour choisir
> un praticien.
> Tu préfères des tarifs identiques pour tout le monde et fixés par décret ?
> Dès lors que le tarif est libre, et que le tarif est un critère de choix,
> l'information doit circuler. C'est le jeu de la concurrence.
La concurrence serait plus loyale si le tarif était libre pour tout, ainsi le patient ferait son choix selon ses critères (tarifs, qualité de soins)
--
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21/06/2012 à 19h40
DDS écrivait:
-------------
> Peut être pas d'ordres, mais juste une envie de faire du zèle en favorisant une
> dentisterie low-cost pour le patient alors.
Absolument pas, c'est une idée reçue.
Dans mon ancien job, je ne me suis jamais intéressé au low-cost autrement qu'avec la plus grande méfiance.
Et, conseiller de centres de soins, je me suis toujours refusé de pratiquer des couts bas. La qualité n'est pas forcément très onéreuse, mais le prix ne peut passer sous un seuil sans provoquer des dérives en actes "inventés pour compenser" ou de qualité déplorable.
Et, en passant, certains centres low-cost ont été très ciblés par les DC, sans que ça fasse la Une. Les DC ont autant envie que l'Ordre de les fermer, avec parfois d'étonnantes alliances locales de circonstance, mais ce n'est pas si facile...
Le cout élevé n'est pas un critère pertinent pour un DC : il s'en fout. Le cout étonnament bas peut être un critère !
21/06/2012 à 23h10
J'ai lu ce message de ameli en me disant ils vont lui tomber dessus. Et puis non, après quelques heures,rien.
Je ne sais si c'est par lassitude ou perte momentanée de toute réalité, mais lire que ameli se méfie du low cost, lui qui défends la sécu et son, non pas low cost, mais undercost sur les soins, dépasse l'entendement.
Le brainwash en phase terminale.
Ce pays s'enfonce dans le pathos.
21/06/2012 à 23h50
C'est très tendance, c'est du Hollandisme...
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21/06/2012 à 23h54
ameli écrivait:
---------------
> DDS écrivait:
> -------------
> > Peut être pas d'ordres, mais juste une envie de faire du zèle en favorisant
> une
> > dentisterie low-cost pour le patient alors.
>
> Absolument pas, c'est une idée reçue.
> Dans mon ancien job, je ne me suis jamais intéressé au low-cost autrement
> qu'avec la plus grande méfiance.
> Et, conseiller de centres de soins, je me suis toujours refusé de pratiquer des
> couts bas. La qualité n'est pas forcément très onéreuse, mais le prix ne peut
> passer sous un seuil sans provoquer des dérives en actes "inventés pour
> compenser" ou de qualité déplorable.
Ça ça s'appelle "actes conventionnés"...
> Et, en passant, certains centres low-cost ont été très ciblés par les DC, sans
> que ça fasse la Une. Les DC ont autant envie que l'Ordre de les fermer, avec
> parfois d'étonnantes alliances locales de circonstance, mais ce n'est pas si
> facile...
> Le cout élevé n'est pas un critère pertinent pour un DC : il s'en fout. Le cout
> étonnament bas peut être un critère !
Donc quelqu'un qui ferait payer ses actes à des tarifs étonnamment bas risque les contrôles.
Zut, faut que j'arrête les soins à perte, je risque d'être contrôlé et de perdre encore plus...
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25/06/2012 à 22h26
Dans mon ancien job, je ne me suis jamais intéressé au low-cost autrement qu'avec la plus grande méfiance.
Et, conseiller de centres de soins, je me suis toujours refusé de pratiquer des couts bas.
AMEI?
CELA FAIT COMBIEN DE TEMPS QUE VOUS AVEZ QUITTE"LE TERRAIN"???