Tous les forums
De l'aide pour un cas pénible !
21/11/2013 à 21h54
@Sethef: ta méthode est OK pour le pénible de base, mais là c'est du lourd et il faut sortir le lance-flammes, pas essayer de l'assommer avec un coton-tige ;)
--
Dites nous de quoi vous avez besoin, on vous dira comment vous en passer.
21/11/2013 à 21h56
Je suggère à Trottinette en premier de parler avec douceur et fermeté, puis après 1 minute de dialogue de changer de registre, sans prévenir, et de jouer "L'Exorciste" à son patient. A la JM Bigard. Rigolade assurée, effet garanti:)
22/11/2013 à 00h40
riccyman écrivait:
------------------
> fais un tour de passe-passe et récupère le devis.
>
> Je crois qu'un devis signé t'engage à faire le boulot.
>
> Qu'en pense les autres?
ça dépends si c'est le nouveau devis ou pas!!
PLus sérieusement, je ne pense pas que le devis nous oblige à faire le boulot.
On peut changer d'avis en fonction du déroulement du soin (découverte d'une fracture invisible à la radio), ou de l'évolution de la relation avec le patient.
Et comme tout le monde te le dit : VIRE LE!
Appel demain, tu lui expliques calmement et tu vois sa réactions.
Et 2/3 rugbymans qui font semblant d'attendre dans ta salle d'attente lundi pour te rassurer !
22/11/2013 à 08h02
Allez zou, vous m'avez gonflée à bloc, je l'appelle ce matin, j'ai passé une nuit de merde, stop.
C'est sûr que j'ai peur des conséquences, mais voir déjà comment il va réagir.
A suivre les z'amis...
Bonne journée sans schizo, parano et autre fadas...
22/11/2013 à 09h34
Un accompte oblige à faire le taf, un devis c'est à vérifier.
22/11/2013 à 09h50
une demande d'assistance + une main courante à l'ordre,une déclaration de sinistre possible à ta rcp mais surtout aucun mensonge ni exagération de prix,ça va se retourner contre toi.le manque de respect caractérisé de ce patient envers toi et ton équipe (preuves et témoignages) et la peur que tu ressens sembleraient des raisons suffisantes pour une rupture de soins à ton initiative mais il faudrait que tu trouves un confrère qui accepte de prendre le relais quitte qu'à ce que ce dernier ne se laisse pas avoir à l'intox comme toi et empêche ce patient de nuire encore une fois. nous avons le droit de se séparer d'un patient mais aussi le devoir de le confier à un autre praticien
22/11/2013 à 10h31
pgc écrivait:
-------------
> C'est une erreur d'essayer de manipuler ce patient, de le contourner ou
> d'essayer d'être plus fin que lui. > Ce monsieur a besoin d'être bordé et de voir la limite.
+1
Exactement : franchise et fermeté.
On ne joue pas avec ce type de patient : on annonce la couleur.
Ce n'est pas du tout un manipulateur !
http://www.psychologies.com/Moi/Problemes-psy/Troubles-Maladies-psy/Articles-et-Dossiers/Manipulateurs-pervers-narcissiques-qui-sont-ils
Un manipulateur n'annonce pas ce qu'il va faire, ne rentre pas dans le conflit d'emblée, ce qui est le cas de ce patient : il pourrit la vie sur le long terme et entreprend une entreprise de démolition une fois qu'il a tous les éléments en sa faveur. C'est un calculateur.
Ce patient-ci a besoin d'un cadrage, c'est tout. C'est bien plus facile : on fixe une règle et on s'y tient ; mais il faut que cette règle lui soit connue.
22/11/2013 à 12h09
Bon.
Je l'ai appelé. Illico, le ton est monté (de son côté).
Il compte venir lundi matin à l'heure de son rdv pour constater que je ne veux plus le recevoir, accompagné d'un huissier.
Je lui ai envoyé un courrier R/AR, qu'il réclamait et que je comptais de toute façon faire. En espérant qu'il arrive demain...
Coup de fil à ma RCP, et je vais aussi appeler l'ordre pour prendre les devants, puisqu'il nous menace de procédures à l'encontre du cabinet.
La joie !
Je pense que le dossier est vide ou presque, mais il fait beaucoup de bruit... Et la calomnie n'est jamais agréable. Je ne peux que me féliciter de ne pas être allée plus loin dans les soins, il y aurait toujours eu qqch de travers (et c'est forcément là qu'on fait un faux canal, qu'on casse un instru ou que sais-je !)
En tout cas merci pour vos conseils et votre humour.
A suivre ou pas...
22/11/2013 à 12h23
pgc écrivait:
-------------
ameli tu lui
> ressortiras l'arrêté Mercier de 1936?
On parlait de l'aspect juridique, qui définit ce qu'on a le droit ou pas le droit de faire... et non ce qu'on fait !
Mais comme ce qu'on fait a parfois des conséquences, autant les connaître.
L'arrêt "Mercier" est une constante juridique qui ressort régulièrement dans les contentieux "santé". Je ne dis pas qu'il m'enthousiasme, mais je dis ce qui est.
22/11/2013 à 12h59
Cas flippant....
On se doit d'être extrêmement attentifs dans nos cabs car ce genre de profil a tendance à se multiplier ces derniers temps....
Merci à toi de partager cela et bon courage!
22/11/2013 à 14h10
Laisse le donc aller porter plainte au Conseil de l'Ordre. Tu as rempli tes obligations déontologiques : répondu à l'urgence et donner une liste d'autres praticiens.
Si le CdO fait bien son boulo le patient recevra une lettre qui lui dira que son courrier à bien été pris en considération mais que le praticien n'ayant commis aucune faute déontologique...
Si le CdO est un peu plus ..."prudent"..., il organisera la réunion d'une commission de conciliation. Il y a déjà une chance sur 2 pour que le patient ne s'y présente pas. Dans ce cas le dossier sera transmis au Conseil régional. Le plus souvent le patient qui n'est pas venu à la conciliation ne viennent pas non plus au régional. Si toute fois il vient, son absence à la conciliation est un très mauvais point pour lui.
Si il vient à la conciliation, il ne pourra rien réclamer d'autre que tu le reçoives. Tu peux refuser sur la base du libre choix du patient par le praticien. Tu argumenteras que le contra de soins est un contra de confiance, qu'en l'espèce la confiance n'étant pas présente...Il sera alors dressé un procès verbal de non conciliation => conseil régional.
C'est du temps perdu mais il est très rare que le patient suive la procédure. Dans le cas contraire il est encore plus rare que le praticien soit condamné dans ce genre de dossier.
Il peut toujours aller au civile, mais sans condamnation ordinale où, encore pire, sans être venu à la conciliation, il va dans le mur.
Tout ce qui précède n'engage que moi, c'est juste ce que j'ai pu constater dans ce genre de dossiers. Ça n'en fait pas pour autant la règle.
Si le conflit en arrivait là je te conseille de prendre un avocat. On économise beaucoup d'argent à prendre un bon avocat. Si tu connais bien un membre de ton CdO il devrait pouvoir t'indiquer quels sont les avocats qui ont été les plus performants. (en tous cas pour mon département je sais qui j’appellerai).
22/11/2013 à 14h21
Ne reste pas seule lundi matin et fais fais venir un copain costaud ! Et courage car ce doit être flippant ...
Bon week-end quand même !
22/11/2013 à 14h39
salut
a ta place j'appelle de suite la police municipale et leur demande de venir lundi matin suite a des menaces
22/11/2013 à 15h00
pourri écrivait:
----------------
> salut
> a ta place j'appelle de suite la police municipale et leur demande de venir
> lundi matin suite a des menaces
Ce que je ferais moi aussi.
Qu'il voit bien que toi aussi, tu ne te laisse pas faire, et tu n'hésite pas à t'adjoindre la police, les huissiers, et tutti quanti.
22/11/2013 à 15h03
Moi aussi, je dis copain costaud ou police, on redit une dernière fois pourquoi on refuse catégoriquement et définitivement de poursuivre les soins: esclandre, agressivité, pas de respect ni de confiance, tout cela rend le contrat de soins impossible. Dans l'intérêt de tout le monde, on en reste là, point.
Composer avec les fâcheux congénitaux n'amène jamais à rien de bon. On se ruine la santé en stress, on est écrasé, sous emprise psychologique, on ne travaille pas serein et le clash finit toujours par arriver. J'ai failli laisser ma santé, il y a quinze ans, à cause d'un emmanché dans le même genre. Je n'ai résolu le problème qu'en trouvant la force de le lourder, puis de l'inclure dans mes recueils de "cas cliniques". Ça vaut toutes les psychanalyses. Voici mon fiel de l'époque:
FERNAND
J’en ai croisé, pourtant, des connards !
Mais alors, Fernand, c’est l’as des as ! Au premier abord, on l’exècre déjà. Bon, mais il y a des types qui ont des qualités enfouies. Ben pas lui. C’est le genre de mec qui gagne à être pas connu. Au second abord, on espère que ce sera le dernier, et on commence à rêver toutes les nuits de lui écrapoutir le service trois pièces à coups de maillet sur un billot.
Dire qu’il est laid tiendrait du plaisant euphémisme. C’est un gnome contrefait, ignoble, a-bo-mi-freux ! Un mètre soixante de mocheté et de disgrâce décatie !
Décrochons d’abord le grotesque couvre-chef gapétoïde qu’il s’est emmanché sur la théière. Peut-on sérieusement appeler tignasse cet amas noirâtre et informe de poils pubiens grossièrement agglomérés à la laque bon marché ? Certes non, d’autant qu’au premier courant d’air, l’ensemble se déstructure pour flotter en une pitoyable banderole, accrochée médiocrement au dessus des amas de cartilage fondu qui lui tiennent lieu d’esgourdes. Car ce triste bouffon de race marseillaise abâtardie, qui est complètement dégarni du scalp, croit pouvoir passer pour un jeune rasta en se choucroûtant hélicoïdal une mèche de cinquante centimètres de long à partir de ce qui lui reste sur les bords !
Cette face de singe panzé vicelard comporte deux globes enculaires dissymétriques et pochés, type merlan frit, situés de part et d’autre d’un appendice ovoïdo-syphilitique tombant, dont le seul rapport avec un nez serait une certaine aptitude au mouchage.
La lippe est baveuse aux commissures, comme écœurée d’elle-même, trop amorphe et méprisante pour dissimuler par jointure un mâchicoulis répugnant de pavés tabagiques.
En dépit d’un lifting désespéré, tout pendouille et s’affaisse, des bajoues pileuses et vérolées au sous-menton flasque de style ballamou.
L’infâme n’est pas peu fier de son poitrail flétri, teinte beurre pas frais sous la chaîne plaquée or, entre les trois derniers poils grisâtres et fanés. Il déboutonne donc jusqu’au nombril sa chemisette rayée marron et vert dont on dit qu’il reste un dernier exemplaire à Trifouillis-les-Oies, au bazar de Maurice et Colette Bigourdan, tout au fond de la réserve).
Cette bévue de la création est dotée d’un QI de bigorneau trisomique. Sans se planquer de sa bobonne soumise, il emballe et trimballe en ville quelques gourdasses vulgaires, d’horribles péri pétassiennes tout ébaubies par son pognon, mal acquis en mafio-trafics divers et qu’il étale comme une preuve d’intelligence supérieure.
Le charcutier au black qui l’a lifté complet a du le mettre au parfum : « Vu la traction exercée derrière les portugaises, mec, si tu clignes d’un œil ou si tu souris, tu défèques instantanément dans ton calfouet ! » Alors, Fernand fige la gueule en continu. Il s’engouffre en retard dans la salle d’attente sans regarder personne, ne dis jamais ni bonjour, ni au revoir (alors, merci, vous pensez !)
Depuis deux ans, ce crapaud indigne me broute, m’abrase, me corrode les boyaux de la tête, à m’imposer la vision d’apocalypse de sa carcasse de rascasse décomposée, à exiger des miracles en étalant des paquets de biftons sur le burlingue, à me causer comme à un clebs : « Donnez-moi de l’eau ! Passez-moi la glace ! ».
Et comme je suis d’une nature romantique et que j’ai été élevé par les frères, au lieu de l’envoyer se faire coton-tiger l’oreille sourde chez les grecs, je déglutis et je reste gentleman.
Bilan, dès que j’entrevois son blase sur l’agenda, je somatise, régurgitant du jus d’estogome, déclinant du coup de fourchette et du sommeil paradoxal.
Avec quoi il va me bassiner aujourd’hui, ce résidu de capote poreuse? Je lui ai dépulpationné une 17 avant-hier, je l’ai prévenu des aléas possibles et prescrit au cas où un Ibu. Alors quoi ?
L’enfoiré sort de sa poche un petit bout de miroir cassé qui lui sert habituellement à contrôler le tenue de sa moumoutte apicale, et il ronchonne : « Ça va pas, ça ! Il est pas esthétique, votre plâtrage ! »
Qqqquoi ??? Cette horreur de la nature, cet alien repoussant, hideux à faire avorter une couvée de macaques, vient me courir sur le haricot parce qu’il aperçoit, en levant sa figure de pelle à chiottes, un millimètre carré de ciment blanc ?
Aahh, mais tu tombes mal, Fernand, tu tombes très mal ! Vois-tu, mon meilleur ami, mon frère, un type en or massif, jeune, beau, gentil, bienveillant, rigolo, est mort hier soir dans mes bras…. Alors, depuis le temps que ça me démange, je vais te dire le fin-fond de ma pensée, te concernant….
Alors je draîne enfin mon stress abcédé en lui exprimant toute mon exécration et en le foutant définitivement à la porte.
Quelle délivrance !
Mais pourquoi ai-je tant procrastiné ?
Pourtant, pendant plusieurs mois, je rêverai encore de l’empoigner par le colbac, de lui faire avaler ses Richmonds à coups de genoux dans la chetron, de lui turbiner dans l’œil, de lui hacher le gland, de lui forer le mou à la fraise boule, pour qu’il carpaille à la place de mon pote !
22/11/2013 à 16h34
j'ai vraiment beaucoup rit jusqu'à ce que je lise la fin... Desolé pour toi Pal.
concernant ton bonhomme trotinette, je pense qu'il faut que la police municipale soit là aussi, pour lui montrer que tu n'as pas peur de faire appel à des gens pour t'aider à le gérer. Si tu as un copain avocat, dis lui de venir aussi, juste pour faire impression. En tout cas, maintenant que tu ne dois plus travailler dans sa bouche, dis toi que tout se présente sous les meilleurs hospices!
bon courage et félicitation pour ton initiative.
22/11/2013 à 17h09
a ameli:
l'arret mercier est un contrat qui defini une obligation de moyen.
tu est certes lié par le patient, mais tu as le droit de refuser de continuer les soins., il y a nu article du code de déontologie pour ca.
Pour le reste, j'ai eu cela il y a qq année au cabinet. Tout le monde s'est bien foutu de ma gueule sur eugenol.
marche a suivre:
enregistre la conversation. pose des cameras dans le cabinet, mais c'est un peu tard. fait venir des témoins que tu planques dans la salle de sté. préviens la police qu'il vient tel jour à telle heure dans ton cab, de facon a ce que si cela se passe mal, ils débarquent out de suite.
Si menace, porte plainte.
je te le répète, tu a le droit de faire une rupture de soins pour motifs perso.
22/11/2013 à 18h46
Trottinette écrivait:
---------------------
> Bon.
>
> Je l'ai appelé. Illico, le ton est monté (de son côté).
> Il compte venir lundi matin à l'heure de son rdv
C'était couru d'avance.
pour constater que je ne veux
> plus le recevoir, accompagné d'un huissier.
C'est vraiment un grand malade. Mais il se trompe. Beaucoup de patients croient "que vous êtes OBLIGE de me soigner". Il n'en est rien. l(huissier va constater...que tu refuses de le soigner, ce qui dans ce cas précis est entièrement ton droit.
> Je lui ai envoyé un courrier R/AR, qu'il réclamait et que je comptais de toute
> façon faire. En espérant qu'il arrive demain...
> Coup de fil à ma RCP
Bonne précaution + la RCP donnera des conseils de bon sens.
, et je vais aussi appeler l'ordre pour prendre les devants,
> puisqu'il nous menace de procédures à l'encontre du cabinet.
>
> La joie !
Mets les gendarmes au courant, ce serait bien qu'il y ait 2 pandores à la réception à son arrivée. Il va se dégonfler...
>
> Je pense que le dossier est vide ou presque, mais il fait beaucoup de bruit...
Tu n'as RIEN à te reprocher!
> Et la calomnie n'est jamais agréable. Je ne peux que me féliciter de ne pas être
> allée plus loin dans les soins, il y aurait toujours eu qqch de travers (et
> c'est forcément là qu'on fait un faux canal, qu'on casse un instru ou que
> sais-je !)
>
> En tout cas merci pour vos conseils et votre humour.
>
> A suivre ou pas...
>
Fais nous savoir la suite. S'il y a des menaces, tu portes plainte. Si c'est juste un peu chaud, tu déposes une main-courante.
Le principe, c'est: pour un vent (de lui), un ouragan (de toi). Il n'y a qu'à cette condition qu'il te respectera, toi, ta personne et tes décisions. Ce qui lui permettra de lâcher le morceau.
Je pense que l'essentiel a été dit. Tiens nous informés.
22/11/2013 à 20h52
Nouvelles du soir, espoir ?
j'ai passé un temps certain chez les gendarmes cet après-midi... Je comptais seulement les appeler, mais ils m'ont demandé de venir.
Apprenez qu'aujourd'hui, on ne dit plus une main courante mais une information judiciaire.
Mon patient était passé en fin de matinée, remonté comme une pendule, pour porter plainte car je lui aurais sciemment fait une dent "de dracula tranchante comme un rasoir".......... oO
(à savoir qu'il n'avait pas une égratignure lorsque que la partie superficielle du cavit s'est détachée sur ce qui restait de 46...)
Mes les gendarmes ont désamorcé sa bombe, et ont calmé le jeu. Amen. Je pense qu'ils ont bien cerné le bonhomme.
Bon, j'ai fait le maximum, j'attends, mais suis plus confiante, à condition qu'on ne vienne pas m'enquiquiner sur une prétendue continuité de soins.
Bon week-end ! Merci pour le soutien, on se sent moins seule. :)
22/11/2013 à 21h03
Article R4127-232 En savoir plus sur cet article...
Hors le cas d'urgence et celui où il manquerait à ses devoirs d'humanité, le chirurgien-dentiste a toujours le droit de refuser ses soins pour des raisons personnelles ou professionnelles, à condition :
1° De ne jamais nuire de ce fait à son patient ;
2° De s'assurer de la continuité des soins et de fournir à cet effet tous renseignements utiles.
Le chirurgien-dentiste ne peut exercer ce droit que dans le respect de la règle énoncée à l'article R. 4127-211.
tu lui envoies en AR une liste de chirurgien dentiste de quartier et le nom du service hospitalier le plus proche.
Te stresses pas pour ça ... Dire qu'on nous fait chier avec des Devoirs pour 23euros ,alors que les autres ont tous les droits... J'aurais du faire plombier...
22/11/2013 à 21h19
C'est un véritable psychopathe ce mec!
Aller voir les gendarmes car il n'est pas content de sa dentiste?!....Mais où va le monde....
Sois forte....
22/11/2013 à 21h22
Oui, surtout que même mécontent, il voulait que je continue les soins.
Que celui qui n'a jamais eu un pansement provisoire qui s'émiette partiellement me jette la première pierre !
22/11/2013 à 21h42
10 contre 1 qu'il ne viendra pas.
Au cas où, prévois tout de même de quoi être efficace en cas de problème réel lundi. Ca peut aussi être se barricader dans une pièce en attendant les bleus...
En vrai, à mon avis, le problème est réglé.
25/11/2013 à 11h26
Suite (et fin ??) de l'histoire...
Pas de nouvelles ce matin, OUF. (comme on le pensait, mais bon !)
Notre secrétaire m'a dit que vendredi soir il est passé récupérer son dossier (qu'elle lui a donné après qu'il ait payé sa consult...)
Qu'il était plus calme (calmé par les gendarmes...) mais qu'il a clamé haut et fort qu'il connaissait du monde et allait "nous faire de la pub"...
On ne peut pas l'en empêcher, et même venant d'un sale type, c'est toujours désagréable...
Je ne regrette malgré tout pas d'avoir stoppé avant qu'il n'ait vraiment qqch à me reprocher. Je vais peut-être investir dans un porte manteaux ?!
Bonne semaine les eugénoliens...