Cookie Consent byPrivacyPolicies.comla science évolue: une video étonnante - Eugenol

la science évolue: une video étonnante

MAUVE

21/07/2014 à 20h11

Bonjour,

Pour les vacances, je vous propose de regarder cette video sur Luc Montagnier et la mémoire de l'eau.

Bonne réflexion à tous!





flodec

21/07/2014 à 21h21

Merci MAUVE


Utilisateur banni

21/07/2014 à 22h23

MAUVE écrivait:
---------------
> Bonjour,
>
> Pour les vacances, je vous propose de regarder cette video sur Luc Montagnier et
> la mémoire de l'eau.
>
> Bonne réflexion à tous!
>
>


>
>


La vie est information !
Le pape aurait dit à Galilée "d'un point de vue astronomique vous avez probablement raison, mais vous ne devez pas le divulguer ..." :)


Rape p0as4f - Eugenol
rapelapente

21/07/2014 à 23h32

Video étonnante ? Non.
Affligeante.


Utilisateur banni

22/07/2014 à 00h16

il existe des recherches passionnantes sur la mémoire et le phénomène de résonance, avec preuves à l'appui
Des scientifiques respectables et prolifiques ont beaucoup écrit sur le sujet
Les compiles qui suivent sont un peu difficiles à lire après la "CCAM pour les Nuls" :) mais ça vaut la peine d'y réfléchir (pour ceux qui se posent des questions).
---------------
"Nous prenons la mémoire pour une évidence, tel l'air que nous respirons. Mais comment fonctionne la mémoire ?
Les souvenirs sont-ils conservés dans le cerveau ? Et dans ce cas, sous quelle forme ?

Le terme mémoire désigne au moins 2 processus distincts :
==> 1. on apprend quelque chose de nouveau sur le monde autour de soi
==> 2. on s'en souvient ultérieurement
Nous en déduisons qu'entre les processus d'apprentissage et de remémoration doit exister un processus d'enregistrement permanent laissant une empreinte mémorielle à l'intérieur du cerveau.

---------------
Hélas, la théorie des traces mémorielles est tout à fait contestable car malgré les milliards de dollars dépensés en recherche, les tentatives pour localiser ces empreintes mémorielles ont toujours échoué.

D'autres considéraient les souvenirs comme des connexions directes à travers le temps et non comme des structures présentes dans le cerveau.

Enfin, il y a l'option de la résonance morphique dont dépendraient tous les souvenirs :
- tout individu est influencé par la résonance morphique de son propre passé.
La mémoire individuelle et la mémoire collective dépendent toutes deux de la résonance morphique
---------------

L'infructueuse recherche des empreintes matérielles remet en question d'innombrables "certitudes"

A noter que les habitudes acquises le restent même si l'on détruit les aires cérébrales associatives.

Autre cas étonnant : un jeune homme ayant un QI de 126, diplômé en mathématiques de l'université de Sheffield, avait un cerveau qui ne faisait que 5% de la taille habituelle.

---------------
Plus d'un siècle de recherche intense et abondamment financée a échoué à mettre la main sur les empreintes mémorielles. Il y a peut-être une bonne raison à cela : ces empreintes n'existent probablement pas.

Concernant les pertes de mémoire après traumatismes et blessures au cerveau, les amnésies s'expliquent par un niveau plus faible de vigilance ou une perturbation d'un système plus large d'organisation fonctionnelle.

---------------
Plus corsé à comprendre :

1) Le cerveau est un analyseur de forme ondulatoire plutôt qu'un système de stockage.
On peut le comparer à un récepteur radio qui capterait les formes ondulatoires dans le "champ implicite" les rendant "explicites".

2) l'univers serait holographique, c'est à dire que la totalité serait présente dans chaque partie.
Le monde observable émerge d'un ordre implicite contenant une sorte de mémoire.
==> ce qui advient quelque part est "injecté" dans l'ordre implicite, potentiellement partout.

3) Quand l'ordre implicite se déplie dans l'ordre explicite, ce souvenir affecte ce qui arrive, donnant à ce processus des ressemblances avec la résonance morphique.

La résonance morphique sera peut-être un jour intégrée dans une version élargie de la théorie quantique
Les souvenirs sont transférés par résonance depuis des modèles similaires d'activité dans le passé.
Nous ne transportons pas nous souvenirs dans notre tête, nous nous branchons sur nous-même dans le passé.

Il existerait une résonance à travers l'espace et le temps, de modèles d'activité vibratoire dans tous les systèmes auto-organisés
* * "Par systèmes auto-organisés, je fais référence aux atomes, aux molécules, aux cristaux, aux cellules, aux tissus, aux organes, aux organismes, aux animaux, aux sociétés, aux écosystèmes. Je n’y englobe pas les machines ni les morceaux de roches, ni les chaises car ce sont des agrégats de matière mais qui ne s’organisent pas eux-mêmes."


-------------
Apprentissage par résonance
Beaucoup d'animaux apprennent leurs modèles comportementaux en imitant les autres membres de leurs groupes.
Par exemple, les merles apprennent une partie de leur chant en écoutant celui des adultes. Une sorte d'héritage culturel.

L'héritage culturel atteint des sommets chez les humains : par exemple l'usage du langage, et grand nombre de savoir-faire physiques ou mentaux comme compter, jouer de la flûte, tricoter.

Du point de vue de la thèse morphique, le transfert de ces capacités est un processus de résonance.
* * on a beaucoup entendu parler des neurones miroirs mais ce terme prête à confusion car il induit que des neurones d'un genre spécial sont nécessaires à ce phénomène. L'un des découvreurs des neurones miroirs parle d'un "comportement de résonance".

-------------
Si la mémoire est un phénomène de résonance grâce auquel les organismes vivants résonnent avec leur passé, alors la mémoire individuelle et collective sont deux aspects du même phénomène.
...
Les humains devraient apprendre plus vite ce que d'autres ont déjà appris. Beaucoup d'anecdotes semblent venir confirmer cette idée;

CONCLUSION DU JOUR :
Se souvenir c'est se brancher sur ses souvenirs et non pas les extraire d'un entrepôt cérébral.

Le transfert mémoriel par résonance relancerait la recherche sur la mémoire collective que le psychologue Carl Jung considérait comme faisant partie de l'inconscient collectif.

Toutes les religions considèrent que certains aspects de la mémoire d'une personne survivent après sa mort.
Dans les théories hindoues ou bouddhistes de la réincarnation, souvenirs habitudes ou tendances sont transportés d'une vie à l'autre.
Ce transfert de mémoire fait partie de l'action du karma.
Les actes ont des effets dans une autre vie, même dans le futur.

La théorie de la résonance prévoit que si des animaux, des rats par exemple, apprennent quelque chose quelque part, à Harvard par exemple, les rats du monde entier devraient l'apprendre plus vite ensuite.
Il existe des preuves montrant que c'est le cas.
Les mêmes principes s'appliquent aux humains."



edmond

22/07/2014 à 11h42

Bonjour ,

Il semble pourtant qu'il existe des recherches désignant certaines protéines comme support matériel du souvenir

http://www.lemonde.fr/sciences/article/2014/02/24/une-proteine-prion-gardienne-du-souvenir_4372461_1650684.html

"Le support physique d’un souvenir, dans le cerveau, est formé par le réseau de neurones activé lors d’un événement vécu. Mais l’activité électrique d’un tel réseau est fugace. Pour pérenniser le souvenir, les synapses (ces zones de communication entre deux neurones) de ce réseau doivent être stabilisées. Cette stabilisation requiert la production de protéines. Mais la demi-vie moyenne d’une protéine, dans les synapses, ne dépasse pas deux jours. Dès lors, comment protéger le souvenir de l’usure du temps ? C’est là qu’entrent en jeu les deux grandes propriétés des prions. D’une part, ils peuvent exister sous deux formes : l’une normale – inactive –, l’autre agrégée – active ou toxique. D’autre part, les agrégats de prions peuvent convertir la forme normale en la forme agrégée, très stable dans le temps.

Dans les années 2000, le laboratoire d’Eric Kandel découvrait une protéine-prion dans les synapses de la « limace de mer » (aplysie) puis de la souris. Cette famille de prions, nommée CPEB, constitue « un candidat idéal pour le stockage mnésique », dit Eric Kandel (Le Monde du 14 janvier 2012) : des molécules capables « de s’auto-perpétuer et de demeurer indéfiniment dans la terminaison synaptique ».

UN RODÉO AMOUREUX

Kausik s’est intéressé à la mémoire de la mouche drosophile, chez laquelle il avait déjà découvert un prion analogue à CEPB : Orb2. Ici, « il montre comment le stockage mnésique est contrôlé au bon endroit et au bon moment, via cette protéine-prion », relève Stéphane Haïk, directeur d’une équipe Inserm et du Centre de référence des prions, à l’Institut du cerveau et de la moelle épinière (hôpital de la Pitié-Salpêtrière, Paris).

Avant la mise en mémoire d’un événement, la synapse est riche en prion non agrégé : Orb2A. Arrive un influx nerveux, dans une des synapses en jeu dans la mémorisation. Cet influx active une kinase, LimK, qui ajoute un groupe phosphate sur une des formes d’Orb2. Cela déclenche son agrégation sous forme fonctionnelle. Et la synapse active est stabilisée. Et le souvenir, consolidé, peut dormir tranquille…

L’équipe du Kansas a soumis les mouches à un rodéo amoureux. Les drosophiles mâles ont été exposées à des femelles non réceptives. Après plusieurs approches infructueuses, les mâles comprenaient la vanité de leur parade nuptiale. Au prochain rendez-vous galant, on ne les y reprenait pas ! Mais les mâles mutants (pour cette voie d’agrégation d’Orb2) ne mémorisaient pas durablement cet échec : ils y retournaient avec conviction. Endurant un nouveau fiasco…"


Utilisateur banni

22/07/2014 à 14h41

Bonjour,
Il semblerait qu'il y ait confusion dans cette formulation : "Le support physique d’un souvenir, dans le cerveau, est formé par le réseau de neurones activé lors d’un événement vécu."
Ne s'agit-il pas d'une conviction ne reposant sur aucune preuve ? Du coup, on part d'un à priori qui rend la suite de l'expérience inutile.
Un peu comme dans certaines formations proposées par l'éducation nationale : "il faut avoir une certaine compétence en informatique pour s'inscrire à une formation qui dispense des cours de prise en main du matériel informatique"

Un autre exemple plus proche du cas concerné :
"le fait qu'une dégénérescence du cerveau conduise à une perte de mémoire, comme dans la maladie d'Alzheimer, ne prouve pas que les tissus affectés stockaient des souvenirs.
Si l'on arrache un fil ou un composant au système sonore de votre télé, on peut le rendre muet ou aphasique. cela ne signifie pas que les sons étaient stockés dans les composants prélevés" (pour savoir quel programme vous avez regardé hier, il serait inutile d'analyser les fils et les transistors du poste télé pour y chercher les traces du programme de la veille)."

Quant au rodéo amoureux, il me semble surtout démonter qu'il y a une sorte "d'auto-régulation" (il faut rester prudent avec des mots aussi forts).
J'ai lu récemment que pour se protéger du paludisme, les moustiquaires étaient de plus en plus utilisées en Afrique (les moustiques piquent la nuit). Mais ces derniers ont avancé l'heure du repas, (le sang humain), quand ils ont vu que les moustiquaires les empêchaient de piquer (donc de se nourrir);
Bref... encore beaucoup à découvrir.


Ylfwcw979cz1jnx9gfqeaxndiuzk - Eugenol
Algi

23/07/2014 à 01h56

"Les négociateurs ont été exposés à des représentants secu et complémentaires non réceptifs. Après plusieurs approches infructueuses, les négociateurs comprenaient la vanité de leur parade nuptiale. Au prochain rendez-vous galant, on ne les y reprenait pas !

Mais les négociateurs cnsd ne mémorisaient pas durablement cet échec : ils y retournaient avec conviction. Endurant un nouveau fiasco…"



Je sors....



On a toujours le choix mais entre quoi et quoi?
Vas-y boulégue et l'avenir te le dira!


Ylfwcw979cz1jnx9gfqeaxndiuzk - Eugenol
Algi

23/07/2014 à 02h01

Plus sérieusement, il y a aussi les proteodies de joel sternmeyer.

On a aussi l'ami isaie qui joue avec les fréquences et plein plein d'autres gens qui font des trucs avec des champs, notamment les russes.

Rest à ouvrir ses yeux et son coeur.

Bonne nuit à tous.

On a toujours le choix mais entre quoi et quoi?
Vas-y boulégue et l'avenir te le dira!


Ylfwcw979cz1jnx9gfqeaxndiuzk - Eugenol
Algi

23/07/2014 à 02h09

Pour répondre à gaudeloupe, le cerveau est il le siége de la conscience?

Allez voir les vidéos de jean jacques charbonnier...


--
On a toujours le choix mais entre quoi et quoi?
Vas-y boulégue et l'avenir te le dira!


edmond

23/07/2014 à 11h40

Bonjour,

Guadeloupe tu as raison de remarquer que les théories scientifiques se développent dans le cadre de paradigmes influencés par les idées du temps .

Agi , oui on peut trouver des raisons de croire , mais la démarche scientifique c'est de croire avec raison

Je pense que la conscience émerge de l'activité cérébrale sur la base de deux principes biologiques

- L'évolution : La conscience est le fruit de l'évolution darwininienne

- La coopération cellulaire: La conscience est une activité qui émerge de la coopération cellulaire , et donc de l'activité neuronale


Utilisateur banni

23/07/2014 à 14h59

La conscience est difficile à définir. On avait déjà évoqué ce sujet sur ce forum.
L'approche qui me semble la plus aboutie parmi celles que je connaisse est celle de Marc Halévy :

"Un problème sémantique surgit dès lors que l'on s'approche de la réalité spirituelle ou psychique. Une pléïade de mots, concepts, notions se proposent, qui chacun font sens sans qu'aucun ne satisfasse le contour de ce dont on veut parler.

Pensée, Ame, Esprit, Mental, Intelligence, Conscience, Activité encéphalique, Psychisme, Activité cérébrale, et bien d'autres, parlent tous de cette activité immatérielle qu'ils abordent chacun par un biais spécifique, mais dont aucun ne parvient à rassembler.

Le mot conscience lui aussi est ambigu. Il a un sens psychanalitique aux côtés du subconscient et de l'inconscient. Il a aussi un sens philosophique et métaphysique en tant que pensée qui se pense elle-même et un sens spirituel en tant que niveau de conscientisation. Il a enfin un sens moral qui donne bonne ou mauvaise conscience;

...
Pour en revenir à la mémoire : les conclusions sont unanimes. Notre mémoire ne se trouve pas dans notre cerveau.
Où est la mémoire de la mémoire ?

La mémoire est un processus de ressouvenance, c'est à dire de réactivation dans la conscience présente, du passé lui-même.
Ma mémoire, si elle est bonne, a la faculté de revisiter ses états de conscience passés et de les réimporter - donc de les réactiver - dans son présent.
La mémoire est un dialogue permanent entre le présent réel et le passé rel sous-jacent."

-----------
Chacun de nous est plus ou moins doué pour s'enfoncer dans les couches passés du temps. Dans certains cas, il nous est possible de "remonter" au delà des états proches.
C'est le cas dans les expériences de "near-death-experience".
C'est le cas des flashs mémoriels que nous avons tous connus lorsqu'un événement, un détail ou une rencontre réveillent brutalement mais précisément des souvenirs très lointains ou totalement disparus.
Enfin, certains, sous l'effet de drogues ou de transes particulières ont été capables, semble t-il, de réactiver des événements passés en dehors de leurs propres états de conscience, et ainsi, d'entrer en communication avec des passés qui ne sont pas les leurs.

-----------
Les rapports qui existent entre notre conscience et notre mémoire nous ramènent à ces notions d'intuition, d'illumination, de révélation, de clairvoyance etc.
Notre mémoire est une petite part de la mémoire globale cosmique.
Sans cette mémoire cosmique, il est impossible de comprendre par exemple, comment des tisserins, couvés et élevés en laboratoire, loin d leurs congénères, parviennent à maturité, à construire un nid subtil, délicat et sophistiqué de tisserin, alors qu'ils n'en ont jamais ni vu, ni habité."
Cf : Ni hasard ni nécessité - Marc Halévy.

Enfin, pour reprendre une phrase de Didier Raoult (Professeur de microbiologie et recherche sur les maladies infectieuses) : "l'évolution comme vous n l'aviez jamais imaginée" :
On peut considérer l'organisme vivant à une maison. l'ADN (les gènes) en est l'architecte; les protéines sont les ouvriers, des ouvriers commandés par les chefs de chantier que sont les ARN. Quant à savoir qui a commandé la maison et choisi l'architecte, nous quittons là le domaine de la science pour entrer dans celui de la croyance.


Ylfwcw979cz1jnx9gfqeaxndiuzk - Eugenol
Algi

24/07/2014 à 21h33

Pour ceux qui dénigrent montagnier.... avez vous pris le temps de regarder le doc????

Si vous avez la flemme: 10 min de votre temps de 22 à 32 du doc...

On dilue de l'adn à 6 ou 7, on enregistre le signal electromagnetique de l'eau "informée", on l'envoie ailleurs (en italie) et on arrive à synthetiser un neo adn identique à partir de bases et d'une enzyme (PCR) juste en lui faisant "ecouter" le signal....

Pour le moins etonnant, non? En tout cas facile à reproduire et à vérifier...... et pourtant....

Allez, bisous à tous.

--
On a toujours le choix mais entre quoi et quoi?
Vas-y boulégue et l'avenir te le dira!


Utilisateur banni

25/07/2014 à 00h09

Ce que dit le Professeur Didier Raoult à propos de Luc Montagnier : " Prix Nobel, auteur de la découverte du virus du SIDA. Il a joué un rôle déminent dans la maladie la plus grave du XXè siècle. Une découverte de cette nature (le virus du Sida) donne le pouvoir d'attirer des fonds (manne financière) et des chercheurs, et d'en faire bénéficier les gens de son institution, qui doit gérer les bénéfices. C'est l'inverse qui a été fait, tout le monde s'est mis à détester Montagnier, surtout dans son propre Institut. C'est sur lui que j'ai entendu le plus grand nombre d'horreurs car sa gloire rendait tout le monde fou de jalousie. Dès que cela a été possible, on l'a mis dehors malgré tous les services rendus. On a du mal à comprendre un tel aveuglement.


Ylfwcw979cz1jnx9gfqeaxndiuzk - Eugenol
Algi

25/07/2014 à 00h51

Jacques Benveniste en est mort mais il y a 30 ans internet existait pas.

Aujourd'hui on peut largement diffuser les expériences de Montagnier. Peut être ça va changer quelque chose. .....

--
On a toujours le choix mais entre quoi et quoi?
Vas-y boulégue et l'avenir te le dira!


Utilisateur banni

25/07/2014 à 02h25

Algi écrivait:
--------------
> Jacques Benveniste en est mort mais il y a 30 ans internet existait pas.
>
> Aujourd'hui on peut largement diffuser les expériences de Montagnier. Peut être
> ça va changer quelque chose. .....
>


Ses travaux sont relayés par des experts et ça fait à nouveau son chemin, d'autres reprennent le flambeau.
Les esprits n'étaient pas prêts et comme il le dit : " dès que vous sortez des sentiers battus, que vous ne célébrez pas à l’unisson la gloire de notre médecine triomphante, vos pairs vous rejettent comme un virus qu’il faut éliminer à tout prix. Vont-ils inventer un vaccin contre l’esprit critique ou, pire, la dissidence ?"
Les disciplines scientifiques ont tout intérêt à collaborer plutôt que de se livrer des batailles stériles. On voit une explosion de popularité des médecines alternatives, aux côtés des médecins conventionnelles ;=)


isaïe

27/07/2014 à 09h33

Je n'ai pas d'avis sur la conscience et pas de compétences sur la mémoire. Ce qui m'étonne est la méfiance vis-à-vis des hypothèses fondées sur les champs alternatifs.
Un champ alternatif est "informateur" sur un récepteur dont c'est la fréquence de résonance.
Le fait de pincer une corde de mi dans un magasin de guitares va faire vibrer toutes les cordes de mi de toutes les guitares, rien de plus, rien de moins. C'est pareil pour tous les systèmes oscillants.
De ce fait, je n'ai aucun problème à accepter qu'une observation biologique soit opérateur-dépendante puisque l'opérateur est une somme d'oscillateurs qui impacte inévitablement l'observation.
C'est difficile de dire dans quelle mesure, mais ça rend les conclusions suspectes si on n'en tient pas compte, peu importe le sens qu'elles prennent.
A priori l'éventuelle mémoire de l'eau ne me dérange pas, ni l'ADN qu'on reproduirait, mais le facteur opérateur me pose un problème d'autant plus qu'il s'agit de valeurs de champs très faibles alors que nous sommes comparativement de gros émetteurs.
Le collagène est connu depuis des dizaines d'années comme un polymère piézoélectrique : déformable dans un champ et générateur de champ si déformé. Penser que le champ que je génère n'a pas d'effet sur un matériau piézoélectrique qui se trouve à portée de ce champ est contre les premières lois de l'électricité. Rien de sorcier là-derrière. C'est le contraire qui serait de la magie.


S2y2o1v7q53ws4r5wy6ou8czrpom - Eugenol
pxav

27/07/2014 à 12h20

Que ça fait du bien de voir des gens qui ne croient pas que tout est écrit.
Les sciences exactes n'existent pas, pas encore du moins.
Merci pour ce partage
Pierre Dac, en sourit dans sa tombe...

--
xbk
"Si tous ceux qui croient avoir raison n'avaient pas tort, la vérité ne serait pas loin" Dac Pierre


Vw campersurfvan bmnk1q - Eugenol
enlaye

27/07/2014 à 23h04

@ guadeloupe:

tu veux parler de la theorie de Greg Braden dans ce que tu cites plus haut ?


Avatar transparent iqadnc - Eugenol
adhoc

28/07/2014 à 00h27

Je n'ai pas le niveau de vos bonnes connaissances en electro physiologie, mais je me pose des questions (qui vont vous paraître peut etre naïves mais tant pis :-)

Comme un processeur qui contient des cases memoires temporaires (registres) qui servent au traitement des infos , l'entretien de ces dernières necessite de l'electricité pour fonctionner .
Admettons par analogie que ca soit le systeme limbique , lieu dit de la mémoire ,qui envoie en effet par voie afferente (axonale)des informations. La il faut du jus, de l'influx nerveux.

Mais les memoires de masse (ferrite, condensateurs de nos disques durs ou clefs ou plus anciennement disquettes) dans lesquelles les données finales sont stockées, n’émettent plus rien quand elles ne sont pas sollicitées.

Est il plausible de considerer qu'il faudrait de l'influx nerveux sans cesse pour stocker les souvenirs de notre vie? Ca me parait énorme.... Il doit forcément exister un support protéique (ou lipidique qui se conserve infiniment plus longtemps) pour conserver ces données sans AUCUNE dépense d'energie, donc sans champ électrique objectivable.

C'est pour cela que cette experience me gène...

Les neuro mediateurs des espaces intersynaptiques, comme il a été tres bien écrit plus haut se renouvellent trop vite, il y en a trop peu, c'est trop fugace, donc a mon avis ne peuvent pas du tout servir de memoire de masse .

Par contre, un truc bizarre, l'embryon ne possede pas ou peu de gaine de myéline autour de ses filets nerveux centraux, et ca se développe au cours du temps, c'est costaud, stable, et avec des striations inexpliquées, et en grande reserve pour stocker des péta octets d'infos.

Mais pour moi, c'est neutre, c'est sans aucun champs electrique sauf lors de la lecture ou de l’écriture.




uɹöɾq

28/07/2014 à 00h30

La mémoire de l'eau, c'est la théorie qui serait censée valider l'efficacité de l'homéopathie?


Je repose ma question.


Utilisateur banni

28/07/2014 à 02h29

enlaye écrivait:
----------------
> @ guadeloupe:
>
> tu veux parler de la theorie de Greg Braden dans ce que tu cites plus haut ?

Je faisais référence à Rupert Sheldrake et Marc Halévy et la théorie de la résonance morphique. (ces champs possèdent des capacités d'organisation et des propriétés systémiques qui relèvent de principes encore inconnus de la science).

De Rupert Sheldrake, pionnier de la découverte du procesus de vieillissement cellulaire :
"Notre science est encore au stade de l’enfance. Je suis convaincu que la science a perdu beaucoup de sa vigueur, de sa viltalité, de sa curiosisté.Les sciences seront bien plus attitantes et excitantes quand elles rejetteront les dogmes qui restreignent la liberté de recherche et musellent l'imagination.
Mon espoir est que les sciences deviennent plus scientifiques et moins dogmatiques"


isaïe

28/07/2014 à 08h04

"...sans AUCUNE dépense d'energie, donc sans champ électrique objectivable."
Le champ électrique n'est pas nécessairement lié à une dépense énergétique.
Le champ électrique émis par les cellules ciliées de l'oreille interne est généré par un moteur cellulaire qui ne consomme pas d'ATP, c'est le gradient anionique (Cl) qui déforme la protéine (prestine) moteur cellulaire. Contrairement à un flagelle.
La déformation d'un matériau piézoélectrique par résonance ne consomme pas d'énergie (hormis celle de l'émetteur).
Il y a un champ électrique autour de la molécule H2O du fait de sa polarité.

Ce qui ne veut pas dire qu'il y a une mémoire de l'eau ni que le champ électrique est le support de la mémoire, mais que le champ électrique alternatif est une de nos composantes fondamentales et que ses lois s'appliquent à la matière dont nous sommes constitués. Et une de ces propriétés est la résonance.


Don quichotte xrbqem - Eugenol
Don Chicot

28/07/2014 à 10h46

uɹöɾq écrivait:
---------------
> La mémoire de l'eau, c'est la théorie qui serait censée valider l'efficacité de
> l'homéopathie?

C'est ça , c'est l'a théorie que les marchands de bouboules ( et notamment es laboratoires Boiron) défendent pour expliquer cette pseudo thérapie qui a toujours échoué aux essais en double aveugle mais qui obtiennent quand même leur AMM , va savoir pourquoi....


Don quichotte xrbqem - Eugenol
Don Chicot

28/07/2014 à 11h04

http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1383