Cookie Consent byPrivacyPolicies.comDans 10 ans on est morts - Eugenol

Dans 10 ans on est morts

malaire

03/08/2014 à 13h48

"Les dentistes sont ainsi dans le viseur de l'IGF, et plus particulièrement "leur rôle d'intermédiaire dans la vente aux patients de prothèses dentaires", dont les prix explosent par ailleurs. Ainsi, l'IGF propose d'après le JDD de "réglementer le tarif de l'acte de conseil pour une prothèse", mais aussi l'"achat de la prothèse directement auprès du prothésiste par le patient" ou la "communication au patient du prix d'achat" de l'objet."


Là, on touche le fond: tant de bêtise en si peu de mots
Ces fonctionnaires nous prennent pour des revendeurs de prothèse: c'est dingue.


olivier

03/08/2014 à 14h05

Moi je dis en septembre grande baisse de tarif:

Je fournis au patient un miroir , une turbine du silicone et pendant ce temps là je joue à Candy crush où je surfe sur Youpourn....

Il paie le prothésiste directement ...une petite obole pour moi au passage (et oui je loue mon fauteuil) ..par contre plus de 10 ans de responsabilité,etc....le rêve :)))


Debroc

03/08/2014 à 14h25

Bon... Assez de conneries...
Il est temps que la société civile prenne le pouvoir....
Étant donné l état de déliquescence des partis actuels .. Cela me paraît assez simple , d autant qu il y a une demande ,
Cependant, je ne sais pas si elle est majoritaire étant donné le nombre d assistés en France...
Mais comme je suis visionnaire.et qu on sous estime encore le pouvoir des médias non officiels..Je mets tout de même deux euros sur un petit part qui monte : nouscitoyens .. Il va grimper grimper le petit je sens.....


Debroc

03/08/2014 à 14h26

Petit parti .. Avec un "i"...


boumbadaboum

03/08/2014 à 14h28

Et moi, je dis , toutes les professions libérales dans le viseur du gouvernement se donnent la main et descendent dans la rue a la rentrée.
Et l assistanat pas dans le viseur du gouvernement ! Comme d habitude dans l ère d'Hollandouille


zazamouk

03/08/2014 à 14h29

J'ai déjà dit à des patients qui râlent sur les prix, les marges.... d'aller voir mon prothésistes et pour 125€ il leur vends un joli céram sur modèle en plâtre.

Puis il se débrouille pour adapter leurs dents et avec du "niClou-niVis" cela peut tenir quelques semaines!!


L'IGF, ou les journaleux qui balancent ses idioties n'ont surement jamais du aller chez le dentiste...
Ni même pris la peine d'en discuter avec un dentiste, un syndicat.
On essai de faire porter le chapeau du reste à charge sur les dentistes alors que le duo secu/mutuel est bien responsable!

Un syndicat pour un droit de réponses?
La CNSD est en vacances, inondons les mails des journalistes avec la réalité économique d'un cabinet en 2014, la non revalorisation du dentaire par la sécu et les marges/opacité des mutuels!


Debroc

03/08/2014 à 14h47


Impressionnant ! lu ce matin, ci dessous..
...en gros, Vous remplacez les mots "boucher traditionnels par dentistes " et "grandes surfaces par " loi 1901 ...ou même montebourg" et vous avez un aperçu de la grande bêtise dont sont capables nos grands fonctionnaires énarques ... Face à cela...On peut vraiment avoir raison de s inquiéter.....!

FIGAROVOX/TRIBUNE - A partir de décembre prochain, la classification de la viande en grande surface sera simplifiée. Hélène Strohl fustige une opération marketing du gouvernement et des acteurs économiques de l'élevage, où le consommateur est encore une fois infantilisé.

(Hélène Strohl, ancienne élève de l'ENA, inspectrice générale des affaires sociales honoraire, a publié L'État social ne fonctionne plus , Albin Michel, 2008. Elle a également écrit avec Michel Maffesoli , Les nouveaux bien-pensants , editions du moment, 2014.)
Il paraitrait que nos concitoyens, les plus démunis bien sûr ou les jeunes, qui se fournissent en viande dans les grandes surfaces, aux rayons viandes préemballées, ne comprendraient pas ce que signifient les mots «filet, bavette, plat de côtes, collier, échine, tendrons, escalopes…».
Heureusement l'Etat est là: un arrêté à valeur réglementaire, remplacera ces mots «archaïques», qui n'ont aucun sens, dixit le représentant de l'Union des consommateurs sur une antenne de radio mâtinale par un «système simple et transparent»: une étoile, deux étoiles, trois étoiles ; on suppose que même les consommateurs illettrés savent compter jusqu'à 3 et comprendront que 3 étoiles, c'est mieux qu'1!
Et de justifier le remplacement des mots poétiques, poire, merlan, hampe, basse côte, gîte, paleron, filet mignon, onglet par une «vraie évaluation de la qualité! On se demande d'ailleurs si ce brave représentant ne prend pas les consommateurs pour des imbéciles, quand il critique le fait que le morceau dit «poire» ait un nom de fruit ou merlan un nom de poisson. On ne sait jamais avec les gens du peuple, ils pourraient croire qu'ils achètent des filets de poisson!
Le système est simple, simpliste même: aux morceaux à griller les trois étoiles, aux morceaux à bouillir l'étoile unique et aux intermédiaires, escalope ou morceau à braiser, deux étoiles. La qualité d'une viande disait ce brave homme, c'est sa tendresse et son moelleux. C'est tout!
L'habillage en étoiles renvoie bien sûr à ce stéréotype du guide gastronomique le plus connu des Français et permet ainsi une parodie de luxe à bon compte.
Oublieux de deux choses: selon le mode de cuisson, un morceau de basse côte lentement braisé ou un morceau de gîte cuit longuement dans un bouillon de légumes acquièrent une tendresse égale et conservent souvent un goût incomparable. D'autre part, les qualités de la viande, son goût, sa saveur, sa tendresse sont liés à la qualité de l'élevage (nourriture et mode de pacage de la bête), à la découpe (savoir faire des maîtres bouchers) et à la conservation de la viande au moins autant qu'au type de morceau de la bête.
Qui gagne quoi dans cette affaire?
La transparence, dit-on, comme si l'étiquetage iconique en étoiles permettait de juger de la qualité de la viande, alors qu'il s'agit simplement d'indiquer le type de morceau, qu'il s'agisse d'une vieille vache ou d'un jeune broutard!
La simplicité, comme si les morceaux de viande, dans la tradition de la boucherie française se réduisaient à trois catégories: grillé, braisé, bouilli.
Pour le reste, rien d'intéressant.
Du point de vue sanitaire, cet étiquetage ne renseigne pas sur la provenance de la bête: ainsi un agneau peut être dit de Sisteron s'il a passé quelques semaines dans les Alpes de Haute Provence, alors qu'il a été élevé en Nouvelle Zélande.
Du point de vue diététique, l'étiquetage est absurde, car la qualité nutritive de la viande n'est en rien liée à ce classement en morceaux nobles et bas morceaux ; au contraire, un pot au feu bien cuit et dégraissé sera moins gras qu'une entrecôte bien persillée!
Du point de vue économique et notamment du pouvoir d'achat des acheteurs de ces viandes en paquets, il y aura peu d'économies à escompter: les grandes surfaces vendaient peu de «bas morceaux» de cette façon, les réservant pour les plats cuisinés, les steacks hachés etc. Au contraire des bouchers traditionnels qui achetant leur viande en carcasses pouvaient faire des marges moins élevées sur les bas morceaux et proposer ainsi une daube ou un des morceaux à ragoût de bonnes bêtes à des prix bas.
Du point de vue environnemental enfin, il est clair que l'attribution de ce label qualité aux morceaux à griller ne fera que doper la propension du public à se détourner des morceaux à cuisson lente et dès lors il faudra plus de bêtes pour satisfaire la demande de steacks et autres brochettes. Or on sait que les protéines animales sont écologiquement chères à produire.
Cette pantalonnade de notre Etat traduit gesticulations d'une administration et de politiques en panne d'idées de gouvernement.
Bien sûr il ne s'agit, pour l'instant, que d'un étiquetage à l'usage des grandes surfaces, dont on comprend bien quel intérêt elles ont à pousser à une telle normalisation: vendre de la viande de qualité moyenne sous un label «trois étoiles» et écouler le reste des bêtes en haché et autres farces est sûrement une bonne opération. Ne plus distinguer d'ailleurs à l'intérieur des catégories entre des morceaux rares (parce qu'ils sont petits sur la bête) comme l'onglet ou le manteau et d'autres plus abondants (l'entrecôte) a sans doute un intérêt économique.
Enfin, l'habillage en étoiles renvoie bien sûr à ce stéréotype du guide gastronomique le plus connu des Français et permet ainsi une parodie de luxe à bon compte. C'est l'intrusion du Kitsche (comme parodie abondante d'un produit rare) dans la nourriture aurait dit Abraham Moles!
Cette pantalonnade de notre Etat «pan-intrusif» traduit donc non seulement les gesticulations d'une administration et de politiques en panne d'idées de gouvernement, mais également leur inféodation totale aux diverses puissances économiques, grandes surfaces pour ce jour, grands groupes de restauration collective pour les normes relatives à celle-ci, filières diverses imposant qui un pourcentage de bois dans les constructions, qui une interdiction d'introduire des gâteaux «faits maison» dans les crèches et les écoles au profit d'un cake industriel emballé sous vide etc.
Ce qui est triste, c'est de voir disparaître tout un pan de notre culture gastronomique: celle qui avait conduit les maîtres bouchers du XIXème siècle à développer l'art de la découpe parisienne en étroite liaison avec les grands cuisiniers, pour que la totalité de la bête soit utilement découpée et cuisinée.
Et ceci au profit d'un fantasme d'étiquetage généralisé pour illettrés ne sachant plus distinguer un pot au feu d'une daube et une pièce de bœuf d'une escalope de veau.


Debroc

03/08/2014 à 14h52

Au fait ... Cela me fait penser à santé clair qui a décidé de donner à leurs clients la possibilité de mettre des étoiles aux dentistes sur des critères subjectifs: propreté du cabinet, ponctualité, délai de rendez vous....vous êtes au courant de ça.,,
je ne sais pas si cela a été soulevé ici au fait...,,?!!..


Annunaki

03/08/2014 à 16h32

Je serai parmi vous au baroude d'honneur à l'automne à la grande manif UNAPL des "para-médicaux". Catégorie dans laquelle il semble que nous soyons maintenant confortablement installés.
J'en profite pour remercier, dans le désordre :

1- L'UNPPD pour nous avoir poignardé dans le dos. Ils vont apprendre à leurs dépends qu'on ne mord pas la main qui vous nourri. Grâce à leur action de nombreux confrères n'auront bientôt plus d'autre choix que de faire fabriquer leurs prothèses à l'étranger, ou, dans le meilleur des cas, d'être à leur tour les "revendeurs de prothèses". TRES BIEN : c'est eux qui paieront les charges qui vont avec le chiffre d'affaire généré par cette nouvelle activité, on se passera très bien de cette partie de notre CA qui ne nous apporte que des charges, après tout les ophtalmo. ne vendent pas de lunettes.

2- A tous ceux, nombreux, qui ont refusé la médicalisation de la profession "par ce qu'on est pas des médecins", "par ce que nous avons une spécificité". Aujourd'hui "les médecins" sont exclus des réformes (tu penses)...il n'y a pas si longtemps nous aurions été dans le même sac qu'eux, maintenant nous sommes dans celui des kiné, des opticiens....je dis "bien joué", vraiment...

3- A tous ceux, souvent les mêmes, qui ont refusé de jouer la transparence sous différents prétextes à commencer par celui de "l'acte global". Je ne dis pas que c'est illégitime, je dis que nous avons brassé contre le courant qui aujourd'hui nous emporte. Quand les interrogations ont commencé à poindre sur la tarification des prothèses, nous aurions du prendre les devants, extraire le coût du dispositif prothétique de nos honoraires afin de réaffirmer la valeur ajoutée médicale de notre acte. Dans les faits c'est ce qui se passe aujourd'hui mais nous ne faisons que réagir alors que nous aurions pu anticiper. "Puisque ces mystères nous dépassent, feignons d'en être l'organisateur" comme disait Cocteau.


Au final il ne se passera pas grand chose de nouveau pour nous. Le numerus clausus, sensé faire de nous une profession "protégée" est mort depuis plusieurs années, nous n'avons pas à redouter, comme les pharmaciens, la concurrence d'un centre Leclerc....Nous allons demander au patients de régler directement le prothésiste ? Ça c'est plutôt bon pour nous. Pour le reste....il va y avoir plus de nouveaux confrères qui devront se résigner à s'installer dans les déserts médicaux ou à crever...

Ce qui va réellement changer c'est que pour bien gagner sa vie en chicologie, il ne suffira plus d'être dentiste, il faudra être un bon dentiste, et pas que... Il faudra être un bon gestionnaire, un bon communicant...et j'en passe.

Je ne viendrai pas à Paris en espérant changer les choses ou inverser le processus, ça serait illusoire. Je viendrai avec les autres nantis-rentiers parce qu'il n'y a aucune raison de se laisser insulter, par presse interposée (et complice par incurie), par des gens qui, contrairement à nous, ont fait la preuve de leur inefficacité et de leur incompétence crasse.


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Enki

03/08/2014 à 16h33

Post précédent de moi avec mon ancien compte que j'avais perdu...bref...


Mac Finn

03/08/2014 à 16h45

Et dire que la Ccam devait nous installer définitivement parmi les professions médicales selon la Cnsd. Or selon le rapport de L'IGF, il ne faudrait rien changer pour les médecins.


Roger federer 300x217 eqdnuv - Eugenol
Patatrasse

03/08/2014 à 18h51

zazamouk écrivait:
------------------
> J'ai déjà dit à des patients qui râlent sur les prix, les marges.... d'aller
> voir mon prothésistes et pour 125€ il leur vends un joli céram sur modèle en
> plâtre.
>
> Puis il se débrouille pour adapter leurs dents et avec du "niClou-niVis" cela
> peut tenir quelques semaines!!
>
>
> L'IGF, ou les journaleux qui balancent ses idioties n'ont surement jamais du
> aller chez le dentiste...
> Ni même pris la peine d'en discuter avec un dentiste, un syndicat.
> On essai de faire porter le chapeau du reste à charge sur les dentistes alors
> que le duo secu/mutuel est bien responsable!
>
> Un syndicat pour un droit de réponses?
> La CNSD est en vacances, inondons les mails des journalistes avec la réalité
> économique d'un cabinet en 2014, la non revalorisation du dentaire par la sécu
> et les marges/opacité des mutuels!



ITW sur RMC à l'instant à écouter demain matin.
Y'a plus personne sur le pont !
Faut rien lâcher, c'est une déclaration de guerre.

--
http://www.fsdl.fr/


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chirphil

03/08/2014 à 20h14

Plusieurs points m'interpellent :

Ce rapport n'est plus d'actualité , réalisé début 2013, fin 2012 , il ne tient pas compte de l'effort de transparence que nous avons fait sur le prix des prothèses avec la mise en place du nouveau devis . Sur ce devis , prix de vente de la prothèse et honoraires de notre prestation bien précisés .

Ensuite , même si nous sommes en majorité en désaccord avec la CCAM , Classification Commune des Actes MÉDICAUX , de fait nous met sur un pied d'égalité tarifaire avec les médecins et nous confirme notre statut de profession médicale .

Ce rapport est donc obsolète pour la part nous concernant et qui nous est repprochée , transparence faite , assimilation profession médicale ......
Comme d'habitude , notre gouvernement a toujours un train de retard .
Il semble que notre profession est déjà tenu compte de ce rapport dans son évolution .

Après , si les patients souhaitent régler le prothesiste directement , ça ne me gêne en rien , et ne fera que compliquer un peu plus les choses au patient .

Mais je pense qu'à la rentrée de septembre , Mr Montebourg et ses acolytes auront d'autres chats a fouetter , la mise sous tutelle budgétaire de la France n'est pas bien loin : les chiffres qu'ils nous cachent avant leur départ en vacance , déficit budgétaire en septembre supérieur à 4,4% , engagement de la France pour 2015 inférieur à 3,5% , intenables . De plus toutes les possibilités de recours ont été épuisées , nous allons être la seconde Grèce .


olivier

03/08/2014 à 21h38

Patatrasse écrivait:
--------------------
> zazamouk écrivait:
> ------------------
> > J'ai déjà dit à des patients qui râlent sur les prix, les marges.... d'aller
> > voir mon prothésistes et pour 125€ il leur vends un joli céram sur modèle en
> > plâtre.
> >
> > Puis il se débrouille pour adapter leurs dents et avec du "niClou-niVis" cela
> > peut tenir quelques semaines!!
> >
> >
> > L'IGF, ou les journaleux qui balancent ses idioties n'ont surement jamais du
> > aller chez le dentiste...
> > Ni même pris la peine d'en discuter avec un dentiste, un syndicat.
> > On essai de faire porter le chapeau du reste à charge sur les dentistes alors
> > que le duo secu/mutuel est bien responsable!
> >
> > Un syndicat pour un droit de réponses?
> > La CNSD est en vacances, inondons les mails des journalistes avec la réalité
> > économique d'un cabinet en 2014, la non revalorisation du dentaire par la sécu
> > et les marges/opacité des mutuels!
>
>
>
> ITW sur RMC à l'instant à écouter demain matin.
> Y'a plus personne sur le pont !
> Faut rien lâcher, c'est une déclaration de guerre.
>
> --
> http://www.fsdl.fr/


+1


1309531 ours brun n5iukf - Eugenol
seespan

04/08/2014 à 09h46

Annunaki écrivait:
------------------

>
> 2- A tous ceux, nombreux, qui ont refusé la médicalisation de la profession "par
> ce qu'on est pas des médecins", "par ce que nous avons une spécificité".
> Aujourd'hui "les médecins" sont exclus des réformes (tu penses)...il n'y a pas
> si longtemps nous aurions été dans le même sac qu'eux, maintenant nous sommes
> dans celui des kiné, des opticiens....je dis "bien joué", vraiment...

Les médecins sont exclus des réformes POUR L'INSTANT. Mais si tu fais un tour sur la page des pigeons tu t'appercevra qu'ils ne sont pas dupes et savent qu'ils sont les prochains sur la listes.
Quand les réseaux sont arrivé dans l'optique seul les optimiste béa pensée que ça a aller se limiter eux, les plus réaliste savaient que le plan (politique et complémentaire) est l'extension a l'ensemble du monde médicale.

Les médecins sont exclus pour l'instant mais ça n'a strictement rien a voir avec un quelconque "statut médical" (d'ailleur si une âme charitable pouvait m'expliquer a quoi ça corresond, ça serait sympa, on nous la sortie en long en large et en travers mais personne ne m'a jamais expliqué c'était quoi exactement) car eux ont un véritable pouvoir de nuisance. Les internes peuvent bloquer les hôpitaux et si les médecins font grêve ça peut faire des vagues.
That's all, aucune autre raisons. Les dentistes se sont toujours écrasé donc pas de raison de rétardé la mise en place du programme pour nous


> 3- A tous ceux, souvent les mêmes, qui ont refusé de jouer la transparence sous
> différents prétextes à commencer par celui de "l'acte global".

Le devis n'a rien a voir avec la transparence pour le patient il a voir avec la transparence rapport au complémentaire qui se feront une joie de décortiquer toute ses informations.



--
หมอจัดฟัน


1309531 ours brun n5iukf - Eugenol
seespan

04/08/2014 à 09h50

chirphil écrivait:
------------------
> Plusieurs points m'interpellent :
>
> Ce rapport n'est plus d'actualité , réalisé début 2013, fin 2012 , il ne tient
> pas compte de l'effort de transparence que nous avons fait sur le prix des
> prothèses avec la mise en place du nouveau devis . Sur ce devis , prix de vente
> de la prothèse et honoraires de notre prestation bien précisés .
>
> Ensuite , même si nous sommes en majorité en désaccord avec la CCAM ,
> Classification Commune des Actes MÉDICAUX , de fait nous met sur un pied
> d'égalité tarifaire avec les médecins et nous confirme notre statut de
> profession médicale .

Nouveau devis ok, "statut médicale" ok Dans les trucs inutiles a part faire rêver les gogo que l'on nous a refourgué tu a oubliés la charte de bonne conduite "véritable outils nous permettant de contrôler les dérive des complémentaire".



--
หมอจัดฟัน


colza2

04/08/2014 à 11h17

je ne sais plus qui disait que l'on aurait pas des leclerc, auchan...?

je pense au contraire que si.
les financiers sont dans la partie maintenant, ils ne vont pas s'arrêter en si bon chemin surtout qu'on les laisse faire.
aucune manif même (ou surtout) discrète, aucun croche-pied, rien, même pas un coup de fil.
les petits d'abord pour essuyer les plâtres puis les gros viendront en faisant moins d'erreur.

aujourd'hui , on a déjà grâce à pdp, na et ps des gens qui sont chez ou qui viennent de: esc montpellier, escg paris, hsbc, center parc, gacd, des télécoms etc.....
les associations 1901 cachent des sociétés "écran" et des holdings financières.
quand d'autres vont s'apercevoir ( vu à la TV, dans les journaux...) qu'il existe des centres de profit, des $ , du business et pas seulement du sang, de la gingivite et de la pourrissure :-)) ils vont rappliquer à vitesse grand v.


Capture d  cran 2015 03 12 12.28 - Eugenol
chicot29

04/08/2014 à 12h24

Mouahaha ! j'ose espérer que les "élites " de grands groupes financier sont moins connes que les élites de la haute fonction publique. Ils vont gratter le pognon en amont sur les cotisations des assurances santé, et comme le but c'est de rembourser un minimum avec des tarifs de soins minimum ca m'étonnerait qu'ils ne commettent l'erreur d'investir en masse dans des cabinets.
Dans mon bled 7 dentistes 5 super marchés. Ca représente quoi en benef un cabinet dentaire par rapport à un supermarché ? Que dalle !


colza2

04/08/2014 à 13h50

va dire ça à S, D, T, P que ça ne rapporte rien :-))

c'est sûr que par rapport à une chaîne d'hyper c'est poussière.
mais en Espagne de gros groupes y sont .

Et puis quand à la tv on t'annonce 35% de bénef....... ça va attirer du monde.

Et chaque année en plus le système s'améliore, exemple: les salaires nets des dentistes seraient passés de 12,5 à 7%


1309531 ours brun n5iukf - Eugenol
seespan

05/08/2014 à 05h00

Ben oui comme pour les hyper.
Creation d'un paquet d'emplois mais surtout des petit salaires.
Caissière, vigile, propreté, manutentionnaire, chef de rayons, ect.
Boulot chiant, possibilité d'évolution professionnel proche de zero.
Quasiment le seul qui s'en tire c'est le dirigeant de l'hyper.

Pour les cliniques dentaire (low cost je précise) c'est idou. Les prix des actes augmentent et les revenus des dentistes baisse. Par contre tu a rajouté une nouvelle couche au dessus (dirigeant de centre) qui eux se gavent.

--
หมอจัดฟัน


colza2

19/08/2014 à 10h13

et l'avantage de ces business-men c'est qu'ils ne reculent devant rien, ce sont des entrepreneurs: à peine arrivés dans le "métier", pour une seule unité de production dentaire, certains ne créent pas moins de 2,3,4 sociétés à côté pour " l'accompagnement " .


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