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Mais qui

Index vakr2r - Eugenol
pgc

03/09/2014 à 16h08

Pendons le dernier député (Balkany?) avec les tripes du dernier énarque ( Macron?) et on repartira sur du meilleur.
Nommons MST institutrice en maternelle au Val Fourré.
Un costume de Ronald McDonald pour Hollande.
Copé péager d'autoroute sur l'A43 vers Chambéry, de nuit ça lui fera les pieds.
Allez tous au SMIC pendant 5 ou 6 ans ils feront les courses au Lidl.


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pgc

03/09/2014 à 16h11

La Vème République est un bon gros toutou qui se fait vieux et qui s'est complètement épuisé à nourrir les tiques dont il est recouvert. Abrégeons les souffrances du vieux clébard et laissons crever les tiques!


ameli

03/09/2014 à 17h52

vava écrivait:
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> Voila un socialiste qui n’a toujours pas compris que l’égoïsme été de
> contraindre l’autre à sa propre pensée !!!

Socialiste ? je m'en fiche et ce n'est pas le sujet. Je suis insensible à l'aspect politique parce qu'il ne me passionne pas, et qu'il varie constamment. Je ne fais aucune différence entre la droite et la gauche, mais je tiens au respect des valeurs républicaines.

Par contre, la pensée est rarement libre, mais se prétend toujours libre. Très souvent elle est influencée, voire dictée, par la politique, par la société, par la religion, par la tradition, par la culture et par l'éducation.
La pensée libre du sage vaut celle de l'ignorant, libre aussi ; et les deux veulent s'imposer à celle du voisin.
Je ne dis pas que je suis opposé à la liberté individuelle, mais autant je suis favorable à la liberté de penser, autant je suis très méfiant à l'encontre de la liberté de l'action. Dois-je parler ce qu'on fait de la liberté de l'action religieuse dans certains pays, transformés en dictatures esclavagistes et meurtrières ?
Pour moi, le libéralisme n'a aucun sens, aucun contenu. Tant qu'on ne dit pas de quelle liberté on parle, on en parle pas. La liberté économique, si elle ne tient compte ni de la liberté politique, ni de la liberté de pensée, ni de la liberté individuelle, ni de la liberté sociale, elle n'existe pas car elle est un espace fermé et indéterminé qui n'est pas libre, car elle s'impose à ceux qui ne la souhaite pas.


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vava

03/09/2014 à 19h15

Ecrit toi un livre


ameli

03/09/2014 à 19h48

vava écrivait:
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> Ecrit toi un livre

Pff tu peux te moquer, mais moi, depuis 6 mois, je ne fais que du sport et lire ; ce sont mes seules activités ! Pour les lectures, c'est de la philo, de l'histoire, de la socio, de l'ethno, etc. Toi, tu ne fais que répéter ta messe et son dogme.
Alors, on a beau critiquer ce que je dis, mais je le tiens de lectures précises et peu connues.
Ce que je dis, c'est un résumé de pensées de Beaussire et de Janet ; tu n'as qu'à chercher sur google si tu ne connais pas. On a beau être défavorable à ces remarques, elles sont archi-documentées... faut juste lire et compléter sa culture générale.
J'ai l'impression que sur le nonol, dès qu'on sort de la belle et impossible pensée stéréotypée et gobée par les ignares et incultes, on est vite montré du doigt, mais je m'en fiche !
Si on se contente de connaître du Hayek ou du libéralisme prétendu, on va vite être coulé...


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vava

03/09/2014 à 20h03

Passe à la pratique et tu découvriras ta liberté !


teeth61

03/09/2014 à 20h15

ameli ce que tu ecris a l air fort interessant mais je ne saisis pas :
es tu dentiste ? et dans l affirmative , exerce tu ?




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ameli

03/09/2014 à 21h59

teeth61 écrivait:
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> ameli ce que tu ecris a l air fort interessant mais je ne saisis pas :
> es tu dentiste ? et dans l affirmative , exerce tu ?

Dentiste au fauteuil pendant 23 ans dont 8 en libéral puis 15 en salariat strict. Puis dentiste conseiller sécu interrégional puis national (organisation des centres de soins), puis dentiste conseil contrôle sécu. Puis ARS par mutation volontaire, car je ne supportais pas les contrôles qui m'ennuient profondément : la formation, l'organisation, les embauches ou les débauches, je veux bien, mais le contrôle, c'est ch...
J'ai eu un arrêt de travail de 6 mois pour une blessure très grave, mais je m'en suis sorti, à la surprise médicale totale : en mars, j'avais perdu toute mémoire récente, et ne savais plus ni lire ni écrire. J'ai repris le boulot depuis lundi, avec un mi-temps thérapeutique pendant 6 semaines, par méfiance des toubibs : ils ont peur que ma mémoire disjoncte ou que la violence démarre, ce qui est fréquent pour les trauma crâniens graves. Mais je me sens très bien, j'ai tout récupéré, ne souffre pas du tout, et (à part pour mars : je n'ai pas une seconde de mémoire en mars) toute ma mémoire est là. J'ajoute que les médecins ne comprennent pas pourquoi je n'ai strictement aucune suite médicale sans aucun médicament malgré une gravité très importante du trauma crânien, et moi non plus.
Par contre, mon gout pour la lecture a toujours existé, mais s'est amplifié : fallait que je réapprenne à lire, et que je me remette à tout le vocabulaire perdu dans les limbes, j'ai donc passé un temps important à la lecture, et ce n'est pas fini, par attirance. J'ai une bibliothèque qui est largement plus complète que celle de la FNAC de ma ville, mais la présence de romans est plutôt rare.


ameli

03/09/2014 à 21h59

Doublon que j'efface.


ameli

04/09/2014 à 02h24

vava écrivait:
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> Passe à la pratique et tu découvriras ta liberté !

Je le fais, durement, en remettant un interlocuteur à sa place !
... et à la condition que ma pensée est justement instruite, réfléchie, raisonnable.

Les exemples connus, ce sont des actes libres, sociaux ou moraux. Si on suit le partisan de la liberté, chaque homme peut décider librement ce qui est bien et ce qui est mal, et il fait comme il veut. Il ne fait qu'éventuellement justifier son acte par son opinion ou sa passion : selon son avis, chacun est maître de lui-même.
Seulement, il y a un oubli, l'autre ! Son acte libre peut nuire à son entourage, et à la société. Donc, il nuit, sans en avoir forcément conscience.
La liberté doit être freinée, contrôlée par la qualité de la pensée, libre, mais de haute qualité, difficilement atteignable. Si l'homme voit clair, l'homme voit les conséquences de l'acte libre, et leur nocivité possible.

Quand je vois certaines prétentions absolutistes de la liberté économique, ça m'inquiète pour ses conséquences sociales. Que fera-t-on si l'écart entre riches et pauvres explose, que fera-t-on si la précarité des faibles revenus augmente ? Et que fera-t-on si la démocratie fait largement augmenter le nombre de votes extrémistes pour venger les pauvres qui sont des électeurs plus nombreux que les riches ? Je réponds bravo aux économistes libertaires, ce sont des destructeurs de l'unité sociale, de la fraternité et de l'égalité.
Je ne suis pas opposé à cette liberté économique, mais elle doit rester raisonnée et conserver un sens humain.


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vava

04/09/2014 à 08h34

ameli , l’apprentissage de la liberté se fait par celui du respect. La liberté c’est le respect de son être profond en grande partie inconscient. Cette prise de conscience ne peut se faire sans le respect de l’individu et donc la prise de conscience que chacun est différent. La liberté est à l’opposé de l’égocentrisme qui vise à rassurer l’individu en ramenant tout à lui. La liberté et donc un moyen de satisfaction profonde par la prise de conscience de ses besoins réels et la mise en place de moyen pour les satisfaire ainsi que la non frustration si ses besoins ne peuvent être assouvie par l’acceptation de ses propres limites ou la non possibilité de les réaliser dans le milieu ou temps présent.


ameli

04/09/2014 à 12h31

vava écrivait:
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> ameli , l’apprentissage de la liberté se fait par celui du respect.

Nous sommes bien d'accord ! ... mais est-ce le cas ?
Le libéral veut la liberté non seulement pour lui-même (donc, le passage aux actes libres), mais aussi la liberté pour les contestataires et pour les adversaires. Dès lors, peut il imposer des actes à des humains qui n'en veulent pas ? la vérité ou la liberté pour l'un devient une problématique ou une dictature pour l'autre.

On peut multiplier les exemples qui nous laissent hésitants.
Certaines doctrines politiques sont favorables à l'ordre social (ou moral), et aident injustement des privilégiés. Les autres, tant pis. Les esprits indépendants et vindicatifs s'offusquent par sagesse et justice, mais ne peuvent imposer leur avis car ils sont minoritaires dans la démocratie. La liberté est donc condamnée à la discretion, et les actes sont effacés. C'est la liberté de pensée, et non la liberté de l'acte. Le respect n'est pas la sagesse, le respect est aussi l'acceptation des mensonges et des manigances des autres.


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chicot29

04/09/2014 à 13h03

Tant qu'on est libre de faire des endos de merde à des tarifs de merde imposés ca ne me pose aucun problème.-))))
Le patient qui veut un travail de qualité au tarif de merde imposé va se faire F.....
Pas de choix pas de liberté.
Dans ton système de distribution de bonbons imposés par l'état, ceux ci ont un arrière gout de merde. Je ne te refais pas pas le topo sur le socialisme et la goutte de merde dans un bol de soupe.-))))
Et MERDE ! -)))))


ameli

04/09/2014 à 13h55

chicot29 écrivait:
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> Tant qu'on est libre de faire des endos de merde à des tarifs de merde imposés
> ca ne me pose aucun problème.-))))

Parfait, mais te plaindrais-tu alors que tu n'as pas de problèmes ?
Te plaindrais-tu aussi de ton revenu professionnel ?
Je suppose que non, donc tu n'aurais aucune justification pour un travail de merde, et je suis certain que tu es un excellent praticien.
Après, tu choisis ton syndicat, ton système de santé, et tu te libères des contraintes du conventionnement si tu es un grand malheureux, et si ça vire à la pathologie. Ou tu vas travailler dans un pays paradisiaque si ton malheur dure et tourne à l'esclavagisme.
Tu es libre de faire tes choix, et de les assumer ! Tu as choisi le conventionnement, donc tu fermes ta gueule.
Tu acceptes le système ou tu le refuses, mais tu ne le combat pas, car tu n'es pas le décisionnaire exclusif de la volonté publique. La liberté que tu revendiques te concerne, évidemment, mais elle concerne aussi l'ensemble de la population. Tu respectes le choix des autres, même s'il n'est pas le même que le tien : la liberté, c'est ça aussi. La liberté n'est pas dans la contrainte d'imposer ta décision aux autres.

> Pas de choix pas de liberté.

Mais tu as le choix d'être conventionné ou non ! et tu es conventionné, librement.
Tu as fait ce choix. Mais tu ne veux pas l'accepter, mais tu l'acceptes tout en le refusant.
Tu es volontairement un libéral anti-démocratique et anti-libéral ! Tu serais pour une dictature de tes propres volontés à tous que ça ne m'étonnerait pas..., une curieuse position contradictoire pseudo-libérale.


Utilisateur banni

04/09/2014 à 15h29

Lu ce matin, d'une évidence désarmante de simplicité, loin des idéologies usées jusqu'à la corde :

Le système français s'enlise dans trop d'Etat, trop de fonctionnaires et de fonctionnarismes, trop d'assistanats, trop de coercition, trop de lois, de règles, de règlements de règlementations, de normes, de procédures, de bureaucraties, trop de paresse, trop de paperasse, trop de contrôles, trop peu de travail, trop peu d'efficience sociétale et économique, trop de laisser-aller, trop de négligences, trop de grèves

Le Socialisme est une idéologie du refus obstiné de la réalité, de toutes les réalités : celle de la nature humaine, celle de la nature des relations sociales, celle de la nature des lois et processus économiques, celle de la nature des ambitions et ressorts humains, celle de la nature des incontournables et irréversibles inégalités entre les hommes, les sexes, les races, les cultures, etc …

Le déni de réalité a pu jouer à plein et l'on a pu continuer de se faire croire que ce système était viable … à grands coups d'endettements, de fuites en avant, de magouilles, de tromperies médiatiques, de parades géopolitiques ou diplomatiques, de mensonges démagogiques et de falsifications des comptes.

------------
En résumé,
Le Socialisme, normatif et bureaucratique, ne peut survivre que dans la haine d'un "autre". Cette haine est celle du Réel, celle de la différence et du mérite, celle des communautés de vie, celle de l'asocialité, celle de la religion, celle de la réussite, celle de l'entreprise, celle de l'individu, celle de l'initiative privée, celle des incontournables inégalités entre les groupes humains …

Le Libéralisme est une philosophie du vivre-ensemble; Le Libéralisme, c'est : moins d'Etat, plus de différences.


ameli

04/09/2014 à 19h11

Guadeloupe écrivait:
--------------------
> Le Socialisme est une idéologie du refus obstiné de la réalité, de toutes les
> réalités :

Cet article est très amusant, à l'opposé de toutes les études historiques, archi-démontrées et validées, y compris par les historiens connus comme étant classés à droite, y compris dans d'autres pays !!!
Si tu en as envie, tu vérifieras toi-même :
- d'où vient le libéralisme politique européen et français ?
- qui a profité du libéralisme idéologique, économique et politique, et qui en a été exclu ?
- pourquoi le socialisme a-t-il été crée ?

En résumé, et c'est confirmé par tous :
- le libéralisme vient de la révolution française, il veut au départ non le libéralisme politique mais le libéralisme philosophique. Il se répand partout en Europe, et souvent par la violence aimée. Entre autres la Belgique en est née, par une alliance étonnante des catholiques et des libéraux (pourtant anti-religieux), contre les Hollandais. En Italie, Cavour était un libéral. Des révoltes libérales ont eu lieu partout, y compris en Russie et souvent elles ont été provoquées par des soldats !
- ceux qui en ont profité sont les bourgeois très marqués et très aisés. Qui a gagné la révolution française anti-despotique ? les bourgeois, qui ont tout fait pour remplacer le pouvoir du monarque par le leur ! Les pauvres, non éduqués, ouvriers, non propriétaires, ont été exclus d'emblée de cette liberté. La liberté est très individuelle, anti-corporatiste et antisyndicale (tu es syndiqué ? si oui, tu es un anti-libéral)... sauf pour les patrons de commerces et d'usines, qui s'unissent pour fixer les prix et les tarifs de la main d'oeuvre. Le libéralisme est profondément anti-démocratique et exclut le pouvoir populaire ; il veut le vote des aisés-éduqués et n'envisage pas le vote universel de la population. Il prône l'égalité de la liberté mais ne la pratique pas pour les pauvres ou les incultes.
- le socialisme a été créé pour lutter contre les abus des libéraux qui, anti-démocrates et financièrement aisés, ont pris le pouvoir, et ont empêché toute manoeuvre démocratique, toute manoeuvre pro-pauvres et toute manoeuvre anti-groupement des riches. Le socialisme est né d'une lutte contre un pouvoir abusif dû à la .... liberté réservée à certains et interdite aux autres ! (Guizot : pour voter, enrichissez-vous)
Tiré de Rémond : le XIXè siècle, le libéralisme, son idéologie, sa sociologie, ses résultats.

Moi aussi, sur certains points, je suis un libéral, et surtout un partisan de la liberté philosophique (donc anticléricale). Mais je suis très réticent sur les abus que la liberté provoque, et donc, craintif à propos des révoltes que font naître ces abus. Le socialisme provoque aussi des débats et des dégâts, mais sa naissance est due au libéralisme ! C'est donc plutôt marrant, mais guère surprenant, que ce soit les libéraux qui s'y opposent. Si les libéraux avaient été un peu moins cons, le socialisme ne serait pas né...


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Utilisateur banni

04/09/2014 à 19h33

ameli écrivait:
---------------
... Mais je suis très réticent sur les
> abus que la liberté provoque, ...


Ce raisonnement ramène à ces injonctions de la double contrainte tant dénoncées (double bind, en anglais) et ses ravages dans les esprits. Toi qui aime lire, fais un tour chez Watzlawick et Gregory Bateson (Ecole de Palo alto)


Pa050055 igyagy - Eugenol
mark

05/09/2014 à 22h00

Guadeloupe écrivait:
--------------------
> la nature des incontournables et irréversibles inégalités entre les hommes, les sexes, les races, les cultures, etc …
>
>celle des incontournables inégalités entre les groupes humains …
>
> Le Libéralisme est une philosophie du vivre-ensemble; Le Libéralisme, c'est : ..... plus de différences.



Utilisateur banni

05/09/2014 à 23h14

mark écrivait:
--------------
> Guadeloupe écrivait:
> --------------------
> > la nature des incontournables et irréversibles inégalités entre les hommes,
> les sexes, les races, les cultures, etc …
> >
> >celle des incontournables inégalités entre les groupes humains …
> >
> > Le Libéralisme est une philosophie du vivre-ensemble; Le Libéralisme, c'est :
> ..... plus de différences.
>
>


Hé oui, vivre ensemble c'est accepter la différence de l'autre au lieu de vouloir lui imposer sa vérité à soi.
L'égoïste ramène tout à lui, à son seul plaisir, même celui de faire la charité à ceux qui ne demandent rien et qui aimeraient bien retrouver leur autonomie au lieu d'être étouffés par ce social-étatisme qui les infantilisent et prétend résoudre les problèmes à leur place ...

De là les assistanats et les nivellements vers le bas, tout le monde à la même enseigne pour supprimer les inégalités; il faut tuer la créativité, étouffer les personnalités, c'est le totalitarisme social de l'altruisme démagogique. On voit le désastre.


Gaudi parc guell lezard  ntokms - Eugenol
lezard

06/09/2014 à 15h15

ameli écrivait:
---------------
La
> liberté est très individuelle, anti-corporatiste et antisyndicale (tu es
> syndiqué ? si oui, tu es un anti-libéral)...

1876 Le député libéral Edouard Lockro dépose une loi autorisant les syndicats et les conventions collectives. Mais elle est combattue pendant 8 ans par les socialistes et les bourgeois conservateurs.

1884 Les syndicats sont autorisés sur proposition du ministre libéral Waldeck-Rousseau.

1906 Le député libéral Gaston Doumergue dépose un projet de loi autorisant la création de conventions collectives. Cette loi est combattue par la CGT.

--
« Dieu se rit des hommes qui chérissent les causes dont ils déplorent les effets. » Bossuet.


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wakrap

06/09/2014 à 20h45

Je me demande comment vous faites pour supporter les conneries de ameli et surtout comment il peut écrire autant de conneries, chacune de ses interventions est un monceau de débilités et de mensonges historiques et factuels, comme Lezard au-dessus qui simplement par 3 fait démontre ses mensonges.
Il y a toute la puanteur idéologique de manipulation développée dans les partis d'extrême gauche dans ses discours, consistant à se faire passer pour une personne raisonnable alors que chaque molécule de son organisme transpire la haine de la liberté.
A chaque message on a une construction rhétorique commençant par une prémisse fausse, suivie par un argumentaire ad populum ou-et d'autorité, un raisonnement boiteux ou parfois bon sur ces basses fausses pour aboutir à la conclusion que sa prémisse est vrai.

Au fond, je me demande si il n'est pas effrayé par l'idée que les autres soient aussi laids que lui, et cherche tous les moyens possible pour se préserver de son délire paranoïde.


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wakrap

06/09/2014 à 20h55

mark écrivait:
--------------
> Guadeloupe écrivait:
> --------------------
> > la nature des incontournables et irréversibles inégalités entre les hommes,
> les sexes, les races, les cultures, etc …
> >
> >celle des incontournables inégalités entre les groupes humains …
> >
> > Le Libéralisme est une philosophie du vivre-ensemble; Le Libéralisme, c'est :
> ..... plus de différences.
>
>

Tss, c'est l'absence de contraintes légales sur ces différences, rien d'autre. A chacun de vouloir les réduire, librement, par le don, la générosité, la coopération, le travail acharné, la création, par toutes ces actions humaines libres engendrant un processus gagnant-gagnant.


paradoxe

06/09/2014 à 21h01

wakrap écrivait:
----------------
> Je me demande comment vous faites pour supporter les conneries de ameli

Un gros +1 pour wakrap
Je ne lis même plus ses post.

J'ai pratiqué ce langage quand j'étais un jeune socialiste communiste. Nous trouvions toujours des couillons pour mordre à cette réthorique lancinante.
Grâce à des cons comme moi, Mitterrand a été élu, a eu tout les honneurs, l'argent, les femmes.. et nous, on a perdu beaucoup d'argent et gagné beaucoup de douleurs.
Cela m'a vacciné contre les dentistes roublards.


ameli

06/09/2014 à 21h23

wakrap écrivait:
----------------
> Je me demande comment vous faites pour supporter les conneries de ameli et
> surtout comment il peut écrire autant de conneries, chacune de ses interventions
> est un monceau de débilités et de mensonges historiques et factuels, comme
> Lezard au-dessus qui simplement par 3 fait démontre ses mensonges.

Hihihi ! quelle belle analyse.
La "manipulation" n'est pas de moi, c'est celle des historiens de toutes les nationalités.
Les erreurs d'interprétations de Lézard (en qui j'ai confiance, il vérifiera) sont compréhensibles, elles sont fréquentes, et on les connait (page 127 du bouquin de Rémond, un historien classé schématiquement à droite) A cette époque, qu'étaient les libéraux, étaient-ils libéraux ? Leur but essentiel, c'est de mettre une baffe au second empire et faire renaïtre le républicanisme.
Ils le disaient, être libéraux, comme aujourd'hui, le président dit être socialiste ! En fait, c'est être élu et au pouvoir qui compte. Le reste ne compte pas.
En 1876, il y a eu un changement majeur : les républicains sont élus. Donc, les libéraux sont républicains d'abord, et le libéralisme devient très oublieux de ses valeurs. D'abord, c'est être élu, et aller dans le bon sens !
Et qui domine le pouvoir de toute cette période politique en France, toute cette 3è république ? Quel parti ? ... aucun. Ce qui domine, c'est un républicanisme, ... et la franc-maçonnerie (plus de la moitié des élus, de tous les bords), et donc la "fraternité" de la devise républicaine.
Pourquoi Waldek Rousseau a-t-il été nomme "chef" alors qu'il est minoritaire chez les députés ? parce que les franc-maçons républicains ont imposé sa présence politique (facile à vérifier, cherchez sur Waldeck Rousseau) et maçonnique discrète (c'est archi-connu et démontré... mais jamais dit dans les livres d'histoire, par "discrétion"), pour son républicanisme. Donc, ces choix politiques sont explicables et logiques : il était bien davantage républicain et fraternel que libéral. Il était franc-maçon, comme bien d'autres, et son libéralisme était une façade.

> Il y a toute la puanteur idéologique de manipulation développée dans les partis
> d'extrême gauche

Je n'ai jamais été d'extrême gauche, ni même de gauche, ni de droite. Je ne suis qu'un républicain, et je vote pour la loyauté aux devises. Le reste, je m'en tamponne.
Seulement, nous avons une différence. Si je dis quelque chose, c'est que j'ai suffisamment de documents et d'écrits pour le savoir et pour le vérifier. Pendant ce temps, toi, tu agis comme un libéral, et tu peaufines ton intolérance.


Dog wwyerg - Eugenol
TTDAM

06/09/2014 à 21h50

Putain les mecs, j'y entrave que pouic à vous délires.
Parler cul, ça détend et au moins je comprendrais!


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TTDAM


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