Cookie Consent byPrivacyPolicies.comA propos du monopole de la sécu....... - Eugenol

A propos du monopole de la sécu.......

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wakrap

27/11/2014 à 20h30

ameli écrivait:
---------------

> Ces dictatures, vraies dictatures, n'ont pas suivi Marx, mais ont prétendu le
> suivre, pour justifier leur présence. Si tu as un peu de temps, lis le, et dis
> le !

Ah! la dialectique et tout le monde y tombe.

Evidemment qu'il ont suivi les principes et tout ce qu'ils ont fait est le résultat de son idéologie. Le résutat ne correspond pas à ce qui était souhaité. Cela ne signifie en rien qu'ils n'aient pas suivi les principe et l'éthique qui va avec.
C'est simpmlement que la réalité est plus forte que l'idéologie. On ne peut détruire la nature humaine, c'st la simple failite de touteidéologie qui fait fi de la nature humaine et c'est leur faiblesse criminelle, au contraire de tout dogme qui se limite à respecter une manière d'agir et non d'avoir un objectif à atteindre.

> Evidemment, je sais que je provoque et que c'est difficile à croire.


Comme je l'ai souvent dit, ton discours est religieux, il consiste à croire.


> > Il n'y a pas d'autre système viable que la démocratie.
>

tout faux, quanttité depuis la nuit des temps.


> D'où mon écart : les systèmes communistes n'ont jamais été ni communistes ni marxistes. Ils étaient des dictatures, et pas autre chose. C'était un capitalisme étatique pur, avec une oligarchie dictatoriale au pouvoir.

Aucun antoganonisme, c'est même la même chose et la simple descrition de la réalité, le reste est une pensée religieuse consistant à faire croire que la réalité est autre.


> Je ne suis pas communiste et ne le serai jamais, non parce que je crois que
> c'est un mauvais système, car je ne le sais pas et ne l'ai jamais vu... mais
> parce que je suis très méfiant envers ceux qui disent qu'ils le sont : il n'y a
> eu que des menteurs immondes sur le sujet, au mieux, il y a eu quelques
> utopistes incultes et illettrés.

Cela s'appelle simplement du négationisme
>

> Le problème est la conséquence : qui commande ? Le choix économique ou le choix
> politique ?

Ah, toujours la dialectique.
Personne ne commande à l'autre en libéralie. Quand j'achète une carotte , je ne commande (ordonne) rien à qui que ce soit. Je fais simpolement un choix libre consistant à contracter librement entre le vendeur libre de la carotte et moi. Point barre.


> La société, l'homme, son histoire, sa culture, ou son porte-feuilles personnel ?
> Est-ce son propre intérêt ou sa volonté ? Sa volonté dépend elle de sa morale,
> de son gain, de ses envies ? La volonté sociale commune dépend elle d'une
> volonté personnelle ? La chose publique (république) a-t-elle une valeur ?


Gloubi boulga sans le moindre sens. Questions religieuses sans fondement réel.


ameli

27/11/2014 à 22h10

wakrap écrivait:
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> > Le problème est la conséquence : qui commande ? Le choix économique ou le
> choix
> > politique ?
>
> Ah, toujours la dialectique.

Tu me fais rire ! Tu veux que je cite mes sources ? Tu penses que c'est de moi ?
Mais comme je crains que tu ne saches pas lire autre chose que ton catéchisme, ce n'est pas la peine que je cite les auteurs de ces remarques qui sont des politologues (et pas des politiciens ou des sociologues) connus...
Souhaites-tu que je complique encore un peu plus ce jeu que tu n'es pas capable de comprendre ? Dois-je aussi parler du risque de déshérence de la vertu qui servirait de socle à l'obéissance politique et à l'individualisme ? Dois-je différencier l'intérêt commun de l'intérêt particulier, pourtant philosophiquement liés par le principe d'utilité ?
Je pourrais t'en parler pendant des heures, mais tu n'y comprendrais rien. Ta réflexion est inexistante, elle suit le dogme et ne veut pas réfléchir. C'est dommage, tu y perds.


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chicot29

27/11/2014 à 22h54

Déficit assurance maladie, déficit assurance chômage, assurance vieillesse dans le rouge, dette publique de 2000 milliards d'euros . Prélèvements obligatoires les plus élevés au monde. Et de plus en plus de précarité. Et tu essaies de nous enfumer avec ta pseudo culture ?


http://www.resistance2017.net/?page_id=42




Utilisateur banni

27/11/2014 à 23h19

ameli écrivait:
---------------

> Je ne défends aucune idéologie. Je défend un principe (républicain) de
> solidarité sociale. Il ne fabrique pas des exclus, il leur donne un minimum de
> quoi vivre et souhaiterait se passer des exclus.
... Que des imbéciles aiment vivre de cette aide ne change rien
...
> Tu me donnes une idée, je vais en faire un fil...



La solidarité sociale telle que l'Etat voudrait nous l'imposer est un conte de fées qui essaye d'exploiter la corde sensible de ceux qui transpirent de leurs neurones ou de leurs forces physiques pour créer de la richesse (dans son sens créer de la valeur économique).
----
Plutôt que de les inciter à vivre de cette aide, il vaudrait mieux ne pas leur en donner la tentation.
Ce ne sont pas des imbéciles, ce sont des malins qui profitent des failles du système, jusqu'à ce que l'élastique casse.
----
Il faut remplacer le mot démocratie par un autre tant il est galvaudé. Il ne fait plus sens pour personne hormis comme fourre tout dans la com' com' des biopolitiques.
----
Oui, volontiers un fil sur la bureaucratisation. Va t-on comprendre les mécanismes de cette grosse machine vorace qu'est l'Eat qui nous parle du calibrage des artichauts avec tant de sollicitude ?


ameli

28/11/2014 à 01h20

Guadeloupe écrivait:
--------------------
> Plutôt que de les inciter à vivre de cette aide, il vaudrait mieux ne pas leur
> en donner la tentation.
> Ce ne sont pas des imbéciles, ce sont des malins qui profitent des failles du
> système, jusqu'à ce que l'élastique casse.

http://www.amnesty.ch/fr/actuel/magazine/2010-1/etats-unis-pauvrete
On ne leur pas donné la tentation... Quel bonheur. De la pure liberté.
Et cet article ne montre pas les conséquences sanitaires, obésité, drogue, diabète, coeur, violence...
Disons que ces malins, qu'ils soient malins ou non, personnellement, j'aurais honte de ne pas les aider.
Mais j'ai une excuse, ce sont des frères humains. On ne choisit pas sa famille et j'ai de la malchance, ils en font partie.

> Oui, volontiers un fil sur la bureaucratisation. Va t-on comprendre les
> mécanismes de cette grosse machine vorace qu'est l'Eat qui nous parle du
> calibrage des artichauts avec tant de sollicitude ?

Je t'aime. On n'est pas d'accord, mais tu es correct.
En fait, ça m'amuse, et je crois que tu vas être surpris, très surpris.
Cherche... Je partirai d'une étude-conférence du CERI (CNRS), à laquelle j'ai participé sur le point sanitaire-sécu. C'est du haut vol et indiscutable. Bon, je resterai à ras de terre, c'est compliqué et pas amusant. Pour les fana, faudra acheter les bouquins.


Utilisateur banni

28/11/2014 à 15h39

ameli écrivait:
---------------
On n'est pas d'accord, ...
> ... je crois que tu vas être surpris, très surpris.
> ... Je partirai d'une étude-conférence du CERI (CNRS), à laquelle j'ai
> participé sur le point sanitaire-sécu. C'est du haut vol et indiscutable.

Améli, tu confonds depuis le départ capitalisme avec finance et spéculation.
Le capitalisme entrepreuneurial seul fait tourner l'économie. Et si l'Etat s'accroche aux basques des banques et soutire l'argent des citoyens pour les renflouer quand elles sont en faillite, avec de plus en plus d'impôts et de taxes, c'est parceque l'Etat est incapable de comprendre la complexité de ce nouveau monde en marche. Mais comme la politique est devenue un "métier", forcément que les "élites" au pouvoir (souvent cooptée et élites auto proclamées) se fichent totalement du sort des citoyens. Richesse, pouvoir, prébendes sont les moteurs des politiques qui nous dirigent, dans la grande majorité et tous partis confondus. Les sains d'esprit se font vite rappeler aux ordres.
---
La vision primaire de ceux qui se réclamaient de Marx c'était d'opposer le capital et le travail. Voilà pourquoi toutes les révolutions qui se sont inspirées de ses idéologies ont débouché sur des absurdités et des monstruosités.
L'homme n'est pas une vulgaire machine à travailler contre salaire, et c'est tant mieux, même si on semblerait ne le découvrir que maintenant. Aujourd''hui, les misérables ne sont plus ceux de Victor Hugo, mais ce qui reste vrai, c'est que sans travail il n'y a pas d'argent.
La différence c'est qu'aujourd'hui, ceux qui produisent la vraie richesse sont ceux qui travaillent 70 heures par semaine, 365 jours par an, les patrons de PME et divers. Avec un régime aussi délirant que le nôtre, ils ont de fortes chance de se retrouver sous les ponts, ou en Burn Out et dépression. Mais on leur dira que c'est de leur faute, que ce sont des sales capitalistes qui ne pensent qu'au fric. Prendre des risques c'est très ringard dans cette république ou la facilité est érigée en valeur suprême.
Il vaut mieux être chômeur, pas de stress et l'Etat leur promet toujours plus vu qu'il n'aime pas les riches, on va punir ceux qui travaillent vraiment. Et on rognera de plus en plus sur leur retraite pourtant bien méritée. C'est ce sur quoi planchent les bataillons d'élus à la finance, toujours plus d'impôts et de taxes, et il faut admettre que leur imagination est étonnante. Jusqu'au jour où il n'y aura plus de production faute de volontaires.

En résumé, les discours politiques c'est : au nom de l'égalité, de la justice et de la solidarité, ceux qui ont du talent, les passionnés, les intelligents, les productifs doivent travailler toujours plus afin de pouvoir redistribuer une grosse partie du fruit de leur travail à ceux qui votent pour le parti, et vivent des subsides en masquant tout ça sous le voile du lien social. Mais l'économie sociale il faut la financer ... la boucle est bouclée.
Cette grosse machine qu'est l'Eat fabrique toujours plus d'assistés et d'exclus qui lui permet de justifier ses pouvoirs et revendiquer son autorité (que plus personne ne lui reconnaît).
A côté, il y a les petits malins qui savent comment exploiter les failles de ce système.
Et cerise sur le gâteau, l'Education Nationale a décidé de tirer aussi les élites vers le bas (les vraies, les profs intelligents qui aiment leur métier, les passionnés). Il faut mettre la moyenne aux cancres au nom de l'égalité pour tous, et les profs qui font du zèle sont, eux aussi, rappelés à l'ordre. Ils doivent prendre exemple sur ceux qui sont recrutés avec un 6 sur 20...et non pas l'inverse. C'est la pédadémagogie des destructeurs de l'éducation nationale.
Donc, être intelligent c'est aussi une tare, c'est pas normal, il faut être médiocre en tout pour plaire aux élites qui dirigent le pays.
La solidarité il en faut, mais certainement pas inspirée de ce modèle qui nous a mené vers une impasse. Il faut tout réinventer au lieu de basculer indéfiniment d'un côté ou de l'autre en espérant le miracle. Sous prétexte de plus d'égalité on tire tout le monde vers le bas, sous prétexte de justice on créé toujours plus d'injustice et on fait le jeu des voyous etc etc..

Tu te dis très dépité par l'abandon d'une responsabilité sanitaire par notre république mais tu admets le simplisme de la gestion Etatique.
Tu vois des limitations graves des libertés professionnelles par des libéraux, comme s'il valait mieux retourner aux méthodes simplistes mais nocives d'un Etat qui voudrait tout régler mais en est totalement incapable.
Tu ne peux pas être en même temps dépité et en même temps te vanter avec cynisme que tu te fous de ceux qui te payent pourvu qu'ils te payent à écrire ce qu'ils attendent de toi, à gauche, à droite ou au centre. Du moins, pour imager, tu ne peux être à la fois rebelle et collabo, même s'il peut y avoir toute une palette de nuances entre les deux.
Si tu veux lutter contre l'oppression (leitmotiv des révolutionnaires puérils et dangereux, d'inspiration Marxiste ou autre) il faut abandonner toutes tes lectures à tendance humanistes mais tellement idéologiques, et cultiver toutes les formes d'intelligence, par définition inégalitaires.
L'intelligence est individuelle, loin de ce que tu revendiques si souvent : le lien social (et ses impasses.)
Une intelligence collective peut émerger, mais ça n'est que la conséquence d'une intelligence individualisée. Rien d'égoïste dans tout ça, bien au contraire.
Pour terminer, tout le monde possède sa graine d'intelligence au départ même si certains sont plus gâtés que d'autres. Mais question d'intelligence ça n'est pas forcément l'intello qui remporte la palme car l'intelligence se décline et une infinie variété de formes et d'activités. Il y a des intellos complètement illuminés, par exemple, notre cher Marx responsable de tous ces échanges, et tant d'autres. Il aurait fallu le noyer à la naissance (galéjade)... au cas ou les politiquement corrects nous lisent.


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wakrap

28/11/2014 à 16h22

ameli écrivait:
---------------
> wakrap écrivait:
> ----------------
>
> > > Le problème est la conséquence : qui commande ? Le choix économique ou le
> > choix
> > > politique ?
> >
> > Ah, toujours la dialectique.
>
> Tu me fais rire ! Tu veux que je cite mes sources ? Tu penses que c'est de moi ?
> Mais comme je crains que tu ne saches pas lire autre chose que ton catéchisme,
> ce n'est pas la peine que je cite les auteurs de ces remarques qui sont des
> politologues (et pas des politiciens ou des sociologues) connus...
> Souhaites-tu que je complique encore un peu plus ce jeu que tu n'es pas capable
> de comprendre ? Dois-je aussi parler du risque de déshérence de la vertu qui
> servirait de socle à l'obéissance politique et à l'individualisme ? Dois-je
> différencier l'intérêt commun de l'intérêt particulier, pourtant
> philosophiquement liés par le principe d'utilité ?
> Je pourrais t'en parler pendant des heures, mais tu n'y comprendrais rien. Ta
> réflexion est inexistante, elle suit le dogme et ne veut pas réfléchir. C'est
> dommage, tu y perds.
>


Arrête de bouffoner et de prétendre être un être supérieur. Tu n'a jamais été capable de simpleent donner une définitiond e la liberté qui fonctionne et tu ne fais que parler de ce sujet.
Toutes tes prémisses sont fausses, toujours, systématiquement et comme toujours tu ne réponds pas aux arguments précis en déviant.
tu viens là au dessus d'écrire 10 lignes sans la moindre argumentation par rapport à mon observation et qui d'ailleurs confirment clairement mon propos sur ta dialectique: tu te poses en savant sans avoir apporté le moindre argument, sans avoir en quoi que ce soit répondu ou même tenté de répondre à mes arguments.
J'ai été très clair dans mon propos sur la notion de commande, et tu bottes en touche.


RépondreCiter
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wakrap

28/11/2014 à 16h35

ameli écrivait:
---------------

>
> http://www.amnesty.ch/fr/actuel/magazine/2010-1/etats-unis-pauvrete

Article qui ne donne strictmeent aucun élément factuel ou chiffré, , du journalisme de merde, rien d'autre.

voilà des faits, un article solide à étudier et non une rrédacction d'ado boutonneux: http://www.contrepoints.org/2012/12/04/106736-pauvrete-et-comparaisons-grossieres-le-cas-franceetats-unis

> On ne leur pas donné la tentation... Quel bonheur. De la pure liberté.

Magnifique dialectique, non? Aucun sens dans cette phrase. Je défie quiconque de lui trouver un sens.

> Et cet article ne montre pas les conséquences sanitaires, obésité, drogue, diabète, coeur, violence...

justement il ne montre strictement rien, juste quelques mots sans le moindre élément factuel, lien , référence, chiffre, rien , nada.


> Je t'aime. On n'est pas d'accord, mais tu es correct.
> En fait, ça m'amuse, et je crois que tu vas être surpris, très surpris.
> Cherche... Je partirai d'une étude-conférence du CERI (CNRS), à laquelle j'ai
> participé sur le point sanitaire-sécu. C'est du haut vol et indiscutable. Bon,
> je resterai à ras de terre, c'est compliqué et pas amusant. Pour les fana,
> faudra acheter les bouquins.

Et voilà, c'est du haut vol, pour un bouffon qui n'est même pas capable de fournir un élément factuel, un chiffre, une comparaison, du haut vol de dialectique sans aucun doute, mais rien ,rien de concret, faut juste croire, un religieux minable , rien d'autre et prétentieux en plus.


Utilisateur banni

28/11/2014 à 16h54

wakrap écrivait:
----------------

> En réalité ce n'est pas lui qui me terrifie, mais vous, qui continuez à lui
> parler poliment, ssans avoir conscience de toute la laideur et capacité
> criminelle qui est en lui.

On ne parle pas à Améli en particulier, et même si on n'est pas d'accord avec lui (ou avec d'autres), cela permet d'exprimer ce que tant de gens n'ont pas le temps de mettre au clair dans leurs pensées vu que l'on est abreuvé de désinformation partout tout le temps. J'ai de la famille aux USA et la déinsformation va bon train là bas aussi. Pour mapart, je travaille sur un sujet qui évoque certains des aspects soulevés ici.
Les insultes ne font jamais avancer quoi que ce soit.


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themumbly

28/11/2014 à 20h33

wakrap écrivait:
----------------

>
> Et voilà, c'est du haut vol, pour un bouffon qui n'est même pas capable de
> fournir un élément factuel, un chiffre, une comparaison, du haut vol de
> dialectique sans aucun doute, mais rien ,rien de concret, faut juste croire, un
> religieux minable , rien d'autre et prétentieux en plus.

ça fait 10 ans que tout le monde est au courant sur nonol, mais c'est bien de le rappeler pour les nouveaux


--
Parti de rien, je suis arrivé nulle part


ameli

28/11/2014 à 22h41

Guadeloupe écrivait:
--------------------
> Améli, tu confonds depuis le départ capitalisme avec finance et spéculation.

Non, pas du tout, et ça ne me préoccupe pas. Par contre, je m'inquiète sur la domination sociale et politique qui découle non de l'idée capitaliste, qui me parait nécessaire, mais du besoin de faire de l'intérêt un moteur. L'intérêt est indispensable, mais où s'arrête-t-il pour ne pas faire des dégâts ? A-t-il un respect de la morale ?
Si l'intérêt personnel est la seule motivation, et si la volonté populaire vient au deuxième plan, elle est oubliée, et le peuple n'a plus rien à dire. On le voit, on le mesure.
Je suis un démocrate, pas un dictateur. Si l'intérêt personnel pilote, même librement, la volonté de la communauté d'intérêt s'efface pour qu'un intérêt personnel prenne la place.

> Tu vois des limitations graves des libertés professionnelles par des libéraux,
> comme s'il valait mieux retourner aux méthodes simplistes mais nocives d'un Etat
> qui voudrait tout régler mais en est totalement incapable.

Tu es aveugle... ou myope !... et un peu naïf !
Mon fil sur le pilotage et la décision de la bureaucratisation est incontestable. Elle est prévue depuis plus d'un siècle, et se met en place partout, dans toutes les entreprises, dans toutes les vies, publiques et privées. Font elles la liberté, ou le contrat-convention obligatoire avec une société d'assurance (pour le dentaire), et la vente à tarif fixe, et l'imposition du choix du praticien par le payeur-assureur ?
Est-ce pour créer une liberté supplémentaire, ou pour créer une dépendance et une obligation ? Les entreprises qui ordonnent sont elles pour la liberté ou pour la domination ?
Pourquoi cette bureaucratisation s'installe-t-elle à fond dans le dentaire ? Pourquoi fait on des devis compliqués, pourquoi les assurances font elles des pressions, des CCAM, etc.
Les dentistes, qui pensent être des libéraux, vont vivre le libéralisme : c'est l'obligation, la multiplication de la bureaucratie, et le choix obligatoire du praticien non par le patient, mais par son assureur... quitte à embaucher des praticiens diplômés dans un pays tiers et pas cher. Vive la liberté.
Le libéralisme économique fonctionne ainsi. Il veut une rationalité et une transparence. Je ne suis pas opposé, mais je tiens à la liberté que fournit la sécu, que fournit l'état (s'il garde le pouvoir). Le libéralisme ne tient pas à la liberté, il tient au bénéfice, à "l'intérêt" ... pas le tien, mais celui du payeur, donc celui de l'assureur.
Quant à l'état, et ses méthodes que je qualifie de simplistes, c'est normal. Il n'est pas le chef d'entreprise dentaire. Il fixe une règle sanitaire parce que c'est constitutionnel et c'est tout. Au citoyen de faire le reste.

> Si tu veux lutter contre l'oppression (leitmotiv des révolutionnaires puérils et
> dangereux, d'inspiration Marxiste ou autre) il faut abandonner toutes tes
> lectures à tendance humanistes mais tellement idéologiques, et cultiver toutes
> les formes d'intelligence, par définition inégalitaires.

Pff, je lis de tout, de tous les bords, je préfère ça ! C'est plus intéressant. Et je ne suis pas un égalitariste ! Je me contente de ne pas creuser des différences qui risquent de provoquer des troubles sociaux.
L'égalité est un très beau concept, qu'il est impossible de réaliser. C'est la même chose pour la liberté ! J'y tiens... dès qu'elle respecte la liberté des autres et ne privilégie pas la liberté personnelle au détriment des autres.

> L'intelligence est individuelle, loin de ce que tu revendiques si souvent : le
> lien social (et ses impasses.)

Si l'intelligence est individuelle, elle se tourne vers l'intérêt collectif ou/et individuel. Pourquoi pas ? Mais elle n'obtient l'intérêt que par le lien social avec d'autres. Si l'intelligence individuelle valorise le nombrilisme, la stupidité en fait autant et aussi bien. L'intelligence se tourne vers l'autre, a besoin de l'autre, pour se bonifier et faire bonifier : elle profite aux autres, et profite des autres. L'intelligence est sociale, elle se partage.

Bien entendu, le lien social a des impasses et des erreurs, il est loin de la perfection. Mais sommes nous si bêtes pour ne pas les voir et les combattre ?
Le lien social existe toujours, toujours, car l'homme est un animal social. Tu as des enfants, tu les as élevés, nourris, éduqués. Tu as des parents, dont tu t'occupes. Tu as des amis, que tu aides ou que tu consoles quand un ennui leur arrive. Tu as des voisins que tu invites à fêter pour ton anniversaire. La religion, ça sert à quoi ? Ton syndicat, ta politique, ils servent à quoi ?
Le lien social va très loin. Il dépend de notre passé, de notre culture, de notre histoire. Il fait partie de nous. Nous ne l'effacerons jamais.


ameli

28/11/2014 à 23h42

wakrap écrivait:
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> Et voilà, c'est du haut vol, pour un bouffon qui n'est même pas capable de
> fournir un élément factuel, un chiffre, une comparaison,

Tu sais lire ?
Alors tu vas sur Internet, tu en as des centaines.
Le premier que j'ai trouvé est ci-dessous. Je n'en ai pas envie d'en mettre. Si on ne me crois pas, je m'en fiche, je sais ce que je dis et que c'est vérifiable. Moi, je n'ai pas de catéchisme à partager.

Disparités de santé aux Etats Unis
Près de la moitié des personnes sans assurance souffrent d’une affection chronique (diabète, cholestérol, arthrite, hypertension, asthme, problèmes cardiaques...) ; il leur est très difficile, pour cette raison, de trouver une assurance privée à un prix abordable.
Mortalité liée au diabète (pour 100000 habitants) Blancs : 23 ; noirs : 49,2
Mortalité infantile (pour 1 000 naissances vivantes) Blancs : 5,7 ; noirs : 13,6
Obésité chez les adultes : blancs : 28 % ; noirs : 49 %
Mortalité liée au sida (pour 100000 habitants) Blancs : 3,7 ; noirs : 21,0


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chicot29

29/11/2014 à 00h29


Pourquoi persévérer dans l’effort alors que les fruits récoltés iront à d’autres ? Pourquoi faire des efforts, alors que d’autres les feront à votre place ?

CQFD.


Utilisateur banni

29/11/2014 à 01h48

ameli écrivait:
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> Le lien social va très loin. Il dépend de notre passé, de notre culture, de
> notre histoire. Il fait partie de nous. Nous ne l'effacerons jamais.

Améli, ce n'est pas parcequ'on n'a pas envie d'aimer une compagie de transport en commun et tous les gens que l'on croise dans la rame de métro ou tout ceux du supermarché qu'on est pour autant un sauvage. On a le droit et c'est même recommandé d'avoir des affinités, d'être sélectif en fonction de ses projets et styles de vie.
On ne vit plus à l'époque des chasseurs cueilleurs qui avaient besoin de se rassembler pour ne pas se faire dévorer par toutes sortes de bestioles. Ton lien social au 21è siècle c'est la promiscuité, les colonies de vacances, les bronzés sur la plage de la Baule les Pins ou de Camping Beach ... mais pour les autres.
Tu fais toujours des associations de concepts qui noient le poisson et qui feraient passer pour un monstre celui qui aime la sérénité et la tranquillité loin des foules. Ton lien social c'est la kermesse du dimanche...mais pour les autres aussi.
L'intelligence dont tu parles, c'est celles des plateaux TV. Il y en a bien d'autres..
La liberté dont tu parles est forcément une impasse, il faut dépasser cette logique.
---------------
La bureaucratisation on la subit tous, mais si tu comptes sur l'Etat pour nous en sortir c'est qu'il te reste des séquelles de ton traumatisme crânien. Pour le reste, on ne va pas tourner en rond indéfiniment sur des sujets mille fois débattus par les uns et les autres.
Tout n'est pas faux dans tes constats, et heureusement, par contre tu n'arrives pas à sortir de tes idéologies qui sont pires que le mal, comme les Marxistes qui rêvaient de libérer l'homme en lui imposant des dogmes suicidaires. Même moribondes, ces idées traînent encore, période de crise oblige, et il faut les éloigner à tout jamais.


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chicot29

29/11/2014 à 09h46

la solidarité chère à améli va s'exercer à tous les niveaux. Le top : la solidarité entre communes. Mais là ou je rigolerais bien ca serait une solidarité entre états........... au niveau mondial !-)))))

http://www.contrepoints.org/2014/11/27/189509-finances-locales-solidarite-quand-tu-nous-tiens

Nul doute que le choc de simplification bureaucratique est en marche : ce pays est foutu !







Index vakr2r - Eugenol
pgc

29/11/2014 à 11h00

ameli écrivait:
---------------
> ...
> Les dentistes, qui pensent être des libéraux, vont vivre le libéralisme ...

Tu fais la même confusion, volontaire de ta part, depuis des années.

Profession libérale: exercée par une personne sous sa propre responsabilité.
Libéralisme économique: guerre de tous contre tous. Consumérisme. Darwinisme économique. Appauvrissement des relations sociales. Instauration planétaire d'une société initialement humaine, désormais intégralement régie par le marché.

Le même mot, pour deux sens qui n'ont rien à voir.

C'est une fumisterie indigne de toi parce que tu la fais volontairement.

Les dentistes veulent conserver leur état de profession libérale, c'est à dire pour te mettre les points sur les "i" ne pas avoir à lécher le cul des assureurs pour un pauvre salaire. Ne pas avoir à consulter un référentiel de bonnes pratiques dictées par de pauvres idiots savants de technocrates chaque fois qu'un patient ouvre la bouche.


ameli

29/11/2014 à 14h26

chicot29 écrivait:
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>
> Pourquoi persévérer dans l’effort alors que les fruits récoltés iront à
> d’autres ? Pourquoi faire des efforts, alors que d’autres les feront à votre
> place ?

Je ne te donne pas tort. Ton affirmation est directement tirée de Machiavel !

La logique de l'intérêt personnel ne se soumet à aucune morale et aucun sentiment. Si l'intérêt personnel prime, cette donnée anthropologique doit être utilisée par l'état pour assurer sa stabilité.
C'est la différence politique entre la Constitution française et la Constitution américaine.

L'inconvénient américain, c'est que la toute puissance de l'intérêt engendre la dévalorisation du politique qui n'a plus accès à une volonté : aux EU, l'état n'a rien à dire, et les élections ne servent à rien, puisqu'il ne dit rien. Donc, il n'y a plus de démocratie, parce qu'il y a nettement moins d'électeurs et que les pauvres, non concernés, ne votent pas. L'intérêt est il source de raison ?
L'inconvénient français, c'est que la volonté prime et l'intérêt est secondaire car crée l'immoralité donc l'inégalité. La volonté peut instrumentaliser la raison, elle peut être déraisonnable. On peut arriver au règne du technique, au totalitarisme, à l'arraisonnement du monde ou du pays (Heidegger) ou au monde (pays) administré (Horkheimer). La volonté est elle source de raison ?

L'idéal n'existe pas, ou est très flou. Mais je préfère l'inconvénient français à l'inconvénient américain. Je préfère l'inconvénient de la domination de la volonté à l'inconvénient de la domination de l'intérêt. Le risque social violent est nettement plus lourd aux EU, et il suffit de lire les stats pour le confirmer : violences, sanitaires, différences, inégalités des communautés, tout y passe... et la violence est omniprésente.


ameli

29/11/2014 à 15h10

pgc écrivait:
-------------
> Le même mot, pour deux sens qui n'ont rien à voir.
> C'est une fumisterie indigne de toi parce que tu la fais volontairement.

Bien sur, c'est un double sens ! Bien sur, c'est volontaire ! Et bien sur c'est une taquinerie provocatrice.
Mais si je le fais, c'est que ce double sens me lasse... parce qu'il est entretenu par la profession qui, j'ai fini par le croire, n'a pas conscience que le même mot à deux sens qui s'opposent.
Qui affirme être libéral ? Ici, plein de monde ! Ce "monde", sait il ce que ce mot est devenu ? Sait il où il va et ce qu'il soutient ? Sait il qu'il prend partie pour ceux qu'il combat ?

Pourquoi la profession se bute-t-elle pour se décrire sur un nouveau sens du mot qui a pour objectif de la cadrer, de la dominer, et de la transformer en profession typiquement commerciale, avec des règles commerciales, et des concurrences commerciales ?
Comment un "libéral dentaire", transformé en commercial dentaire, pourrait il s'opposer à des assurances, autres commerces libéraux ?
Pourquoi des dentistes "libéraux" s'opposent ils à la sécu étatique, demandent-ils la résiliation de la sécu, et s'opposent en même temps aux conventions mutualistes et assurancielles qui imposent des règles commerciales libres ? D'un coté on exige le commerce libre, et de l'autre, on s'y oppose ? On croit aller du coté des anges protecteurs et généreux ?
Ce sont ces illogismes que je note, et que je taquine.
Si je le dis, je ne le dis pas pour faire plaisir, mais pour le montrer. Il faut être cohérent avec ce qu'on veut, ne pas donner des argument favorables aux ennemis. Quand on dit qu'on est "libéral", les adversaires ou même les amis politiques pensent qu'on est favorable au libéralisme économique.

Pour moi, notre profession est une entreprise privée de service public, payée en grande partie par le service public, la santé publique, les cotisations sociales. On ne fait pas de commerce. On n'est pas libéraux. Le "L" de FDSL m'énerve, car c'est devenu un non-sens.
Si on tient au L, comme Libéral, on fait du commerce, de la banque, des finances, de la vente, de l'assurance, et on n'est pas en position de dire non aux assurances, aux mutuelles, aux financiers, aux investisseurs extra-dentaires, mais on se place directement dans la position d'une négociation commerciale... qu'on va perdre parce qu'on n'y connait rien.
Donc, on leur dit oui, à un moment ou un autre, pour se rendre affairiste, et pour oublier le service public et la santé publique.
Sur ce point, je suis un radical, je dis non. Je veux qu'on reste indépendant d'eux : ils n'ont pas à fixer les règles de la santé publique, à choisir leurs fournisseurs, à choisir leur actes d'achat. Donc, je ne négocie pas. Je ne suis pas libéral, je suis (en fait, j'ai été) un artisan qui fait du service public, de la santé publique, après accord de l'état. Je ne veux pas qu'on devienne des vendeurs de soins. Je veux qu'on négocie avec l'état ou la sécu, et qu'on les oblige à remplir leurs rôles qu'ils oublient facilement, parce qu'on est mauvais pour se défendre...


Capture d  cran 2015 03 12 12.28 - Eugenol
chicot29

29/11/2014 à 15h59

ameli écrivait:
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> L'idéal n'existe pas, ou est très flou. Mais je préfère l'inconvénient français
> à l'inconvénient américain. Je préfère l'inconvénient de la domination de la
> volonté à l'inconvénient de la domination de l'intérêt. Le risque social violent
> est nettement plus lourd aux EU, et il suffit de lire les stats pour le
> confirmer : violences, sanitaires, différences, inégalités des communautés, tout
> y passe... et la violence est omniprésente.

Omni-présente ? Je préfère largement me balader dans le metro de new york que dans celui de Paris.
Le harcèlement que subissent les touristes à paris est une honte !

http://leparisienliberal.blogspot.fr/2014/11/le-probleme-de-linsecurite-des.html

http://www.bons-plans-voyage-new-york.com/lessentiel-avant-de-partir/securite-new-york-city/

"Ensuite concernant le Queens, Brooklyn et le Bronx, la grande majorité de leurs quartiers sont aussi sans problème de sécurité. Il y a simplement quelques coins un peu reculés de Brooklyn et du Bronx où il faut faire un peu plus attention la nuit notamment, mais très franchement on est à 1000 lieux de l'époque des années 70-80, et même de ce que l'on connait à Paris, notamment pour le métro et le RER."

"Y a-t-il des pick-pockets à New York ?
Oui je pense qu'il doit bien y en avoir quelques uns mais très franchement à côté de Paris, Madrid ou Rome, cela doit être 1 000 à 10 000 fois moins !!! Depuis que j'ai crée ce blog, je n'ai entendu qu'une seule fois quelqu'un me parler de pick-pocket. Et pourtant dieu sait le nombre de touristes qui vont à NY."

Et quand tu t'interposes voilà ce qui se passe :

http://www.dailymotion.com/video/x28kmet_au-tribunal-pour-avoir-tente-de-s-opposer-a-une-agression-sexuelle_news

Charmant pays, foutu !


Utilisateur banni

29/11/2014 à 16h48

ameli écrivait:
---------------
Je veux qu'on négocie avec l'état ou la sécu, et qu'on les
> oblige à remplir leurs rôles qu'ils oublient facilement, parce qu'on est mauvais
> pour se défendre...

Negocier avec l'Etat c'est comme vouloir enseigner la géométrie à son chat ou l'algèbre aux poissons rouges.
L'Etat serait un incompris de ses victimes.
Il y a d'autres choix que patates et pomme de terre et il faut dépasser nos pensées binaires mais ça demande un peu d'imagination... et de volonté, mais pas la volonté que tu prônes, celle de la domination de la volonté par l'Etat.
Tu peux plancher sur d'autres solutions, ouvrir d'autres voies puisque cela te passionne, autant accomplir quelque chose de noble plutôt que de lire Marx et essayer de le vendre à ceux qui n'en voudront jamais.


Capture d  cran 2015 03 12 12.28 - Eugenol
chicot29

29/11/2014 à 16h54

C'est sur quand on a vidé les caisses, on a du mal à tenir ses promesses.
Bon, maintenant que tout le reste est en train de foirer lamentablement, mimolette veut laisser sa trace dans l'histoire avec la transition énergétique.

Ce pays est foutu. -)))))


Capture d  cran 2015 03 12 12.28 - Eugenol
chicot29

29/11/2014 à 17h05

Tien encore une société qui agit sous mission de service public ( rapport avec les caisses privées d'assurance maladie obligatoire évident) dans le merde ! La SNCM :


"Le placement en redressement judiciaire semble ouvrir le dernier chapitre de la longue agonie de la SNCM, qui cumule quelque 200 millions d'euros de perte depuis 2001.
Transdev et l'Etat, qui détient 25% de la SNCM, affirment depuis des mois que le redressement judiciaire est l'unique moyen pour empêcher la disparition de la compagnie, toujours sous la menace des condamnations européennes à rembourser 440 millions d'euros d'aides publiques jugées illégales.
La SNCM a déjà reçu le 24 novembre la notification de deux titres exécutoires de l'Office des Transports de la Corse, visant au remboursement de près de 168 millions d'euros sur le service effectué de 2007 à 2013, plus 30 millions d'intérêts.
La SNCM est titulaire avec la compagnie méridionale de Navigation (CMN) de la Délégation de service public (DSP) de continuité territoriale de la Collectivité Territoriale Corse pour la période 2014-2023."

Mais c'est surement du au fait que les passagers à destination de corse ne sont pas obligés de l'emprunter et préfèrent corsica-ferries, on se demande pourquoi !

Tu en penses quoi améli ? -)))))


ameli

29/11/2014 à 21h18

wakrap écrivait:
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> Arrête de bouffoner et de prétendre être un être supérieur. Tu n'a jamais été
> capable de simpleent donner une définitiond e la liberté qui fonctionne et tu ne
> fais que parler de ce sujet.
> Toutes tes prémisses sont fausses, toujours,

Je ne suis pas supérieur, contrairement à toi... Tu, tu détiens la vérité et la certitude, et tu n'admets aucune remise en question, aucune contestation. Tu es l'être parfait. Je le sais, je l'ai compris. Tu as tout lu de ta croyance, et rien de ton incroyance.

Si tu me donnes une définition de la liberté, je veux bien la commenter, mais je ne peux t'en donner une parce qu'il y en a au moins cinquante. Parles tu de la liberté individuelle ou commune, de la liberté politique, de la liberté sociale, religieuse, culturelle, d'action, de pensée, de morale, de philosophie, de commerce, de bouger, nationale ou internationale... ?

> J'ai été très clair dans mon propos sur la notion de commande, et tu bottes en
> touche.

Tu as lu ton bréviaire, mais pas mes propos.
Si j'ai parlé ailleurs de l'intérêt et de la volonté, c'est pour ça.
Si l'intérêt pilote, c'est l'intérêt qui fait le choix, et la politique qui devient une exécutante du choix, car la politique est obéissante. Cet intérêt peut être personnel ou public, culturel, mais c'est l'intérêt qui est le but. Dans les différents pays, l'intérêt personnel est cette cible, donc l'intérêt financier. Ce choix intéressé a acquis, avec le temps et l'histoire, une réfutation de toute morale : seul le résultat compte. Elle a un risque de dérive, le chaos et l'inégalité sociale, donc une violence.
Si c'est la volonté, c'est la politique qui choisit, car elle a un pouvoir de désigner la volonté qu'elle choisit de mettre en oeuvre. Elle a un risque de dérive, l'autoritarisme, car la politique "volontariste" a plus de forces que la précédente qui n'en a pas du tout.
Dois-je entrer dans les détails, et citer mes sources ? Tu crois que cette analyse est de moi ? Non, mais elle est connue et incontestée. Il n'y a que toi qui la contestes, mais je l'admets car tu ne sais pas lire. Je veux bien te citer quelques bouquins, mais comme tu ne les liras pas, je n'y vois pas d'intérêt, car moi aussi j'aime mon intérêt.


Utilisateur banni

29/11/2014 à 21h38

ameli écrivait:
---------------

> Si c'est la volonté, c'est la politique qui choisit, car elle a un pouvoir de
> désigner la volonté qu'elle choisit de mettre en oeuvre. Elle a un risque de
> dérive, l'autoritarisme, car la politique "volontariste" a plus de forces que la
> précédente qui n'en a pas du tout.


Améli, c'est du politiquement correct ton discours. On n'est plus à la cour du Roi Soleil. Pourquoi ne pas utiliser les bons mots ?
Ce n'est pas du tout de l'autoritarisme mais du totalitarisme dont tu parles.
Faire autorité est à l'opposé de l'exercice (et l'abus) du pouvoir. Faire autorité c'est être reconnu naturellement pour ce que l'on vaut, ce que l'on fait et ce que l'on dit. Autant dire, un sage comme il y en a si peu.


ameli

29/11/2014 à 23h16

Guadeloupe écrivait:
--------------------
> La bureaucratisation on la subit tous, mais si tu comptes sur l'Etat pour nous
> en sortir

Je ne compte pas sur l'état, je compte sur nous, et j'ai tort, car nous tenons des discours incohérents qui soutiennent les propos de nos adversaires. Nous n'avons pas saisi ce qu'était le vrai libéralisme.
Pour moi, l'état doit tenir la position d'arbitre et de responsable du projet final. C'est son boulot constitutionnel. Il ne la tient pas car nous ne le poussons pas à la tenir. Je ne compte pas sur l'état, car je n'ai pas confiance, il rêve de sortir des ennuis. Je compte sur nous.

> Tout n'est pas faux dans tes constats, et heureusement, par contre tu n'arrives
> pas à sortir de tes idéologies

Tu te trompes sur mon compte, ou alors je t'ai trompé sans le vouloir !
Je n'ai aucune idéologie, c'est un défaut que je me connais, et auquel quelques animateurs pensent pour mettre de l'ambiance dans leurs débats et conférences. J'ai écrit des discours politiques, de droite comme de gauche, et écrit des articles dans divers journaux, peu importe leur étiquette, c'est le sujet qui compte. J'accumule les constats qui me font conclure que toutes les idéologies sont destructrices, toutes ont des défauts consternants. Une idéologie n'a pas d'idées logiques, pas de réflexion, pas de culture, pas d'histoire, pas de constat neutre.
Je tiens tête aux copains de gauche, et je tiens tête aux copains de droite, aux royalistes et aux cocos, en leur montrant les tares de tous les systèmes.
Ici, ce sont les "libéraux" qui prennent ma mauvaise humeur simulée, car ce système est terriblement mauvais, il a des tares. ça me désole quand je vois qu'on l'encense sans en voir les conséquences. Et quand je vois l'idéologue wakrap s'appuyer sur une diseuse de messe connue pour son sectarisme, je souris de tant de crédulité.
Le système républicain français a des tares aussi, sévères, mais elles plus faciles à contrer, à modérer, que dans un système libéral car ce système n'a pas de pouvoir décisionnaire politique. Qui domine le libéralisme, le peuple d'électeurs ou l'intérêt de la finance ? Où est la démocratie si le peuple pauvre, non concerné, ne participe à rien ? Dans le système français, s'il fait des erreurs, car il en fait de belles aussi, on le balaie dès la prochaine élection, le pouvoir décisionnaire saute. Dans le système libéral, la prochaine élection ne change rien. Dès lors, où est passée la liberté de choix qu'on revendique ?


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