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Pour liberation L'UFML est à la droite de la droite.
23/10/2015 à 16h34
http://www.liberation.fr/france/2015/10/23/loi-sante-encore-une-piqure-d-intox_1408060
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Début octobre, l’Union française pour la médecine libre (une association classée à droite de la droite, née fin 2012 du mouvement des «médecins-pigeons»), postait sur les réseaux sociaux une vidéo décomplexée pour dénoncer le projet de loi Touraine
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Et pourquoi pas en bas à droite du trou du cul du diable.
C'est quand même amusant ces journalistes qui vivent de différents Tiers payants (comme le fond google, les aides à la presse, la TVA à taux inférieur aux médicaments, les avantages fiscaux des journalistes, les fonds versés par de riches milliardaires français désintéressés dans le but de s’acheter une influence, la publicité, ........) sont attachés au paiement par leur lecteur de leur journal pour défendre l’indépendance éditoriale de la presse.
Et pour préserver ce paiement direct par le lecteur, ils sont capable d’empêcher la libre diffusion de l'information à tous et limiter le droit des lecteurs à s'exprimer et à commenter une actualité à leurs seuls abonnés.
D'un coté, les journalistes se battent contre le tiers payant pour défendre l’indépendance de la presse française. De l'autre ils défendent un tiers payant absolus entre les mains de quelques gros acteurs qui seraient selon eux sans risque pour l’indépendance des traitements prescrits par les médecins pour leur patient tout en permettant de forcer les prescriptions selon des référentiels qui sont dépendants des connaissances du moment qui peuvent évoluer.
24/10/2015 à 22h42
Ah ! libé .......
Ils pensent que tout le monde peut faire comme eux à savoir subsister sans lecteurs. -))))
Dans leur monde un médecin, un dentiste pourraient gagner leur vie sans patients, c'est pour ca qu'ils sont à coté de la plaque.
24/10/2015 à 22h55
Pour certaines personnes de "gauche" dans la mesure où on est plus à porté de bras (contrôlable ?) on devient d'extreme droite.
26/10/2015 à 11h18
Il était assez amusant de voir les journalistes de libération se battre contre une forme de tiers payant avec un actionnaire qui pour équilibrer les comptes de sa marque voulait transformer la rédaction en restaurant ou les parisiens pourraient aller visiter un zoo de gauchiste bobo en observant la vie en captivité d'une rédaction de "gauche" nourrie au sein par la famille Rothschild.
Après, il ne fait pas bon essayer de commenter les articles. Par preuve d'une grande liberté donnée aux lecteurs, la modération supprime l'unique commentaire qui n'allait pas dans le sens de la propagande.