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2017
31/01/2017 à 21h14
Cela tangente le million d'euros, si on ajoute sa société de conseil et ses anonymes clients, bah c'est plié.
http://bfmbusiness.bfmtv.com/france/fillon-prie-de-devoiler-la-liste-des-clients-de-sa-societe-de-conseil-1092836.html
Bon, je propose à la place Rachida Dati, pour l'ensemble de son oeuvre;-))
http://www.lepoint.fr/presidentielle/quand-dati-demandait-a-fillon-de-s-expliquer-sur-ses-collaborateurs-27-01-2017-2100439_3121.php
31/01/2017 à 23h48
Finalement, MST va peut-être conserver son poste ....
( humour noir )
01/02/2017 à 00h05
Et Benêt Hamon va peut-être faire passer les exactions pour des bénédictions. Peu importe pourvu qu'il y ait de la chair à canons à se mettre sous la dent. Clientélisme électoral, quand tu dictes ta loi aux aspirants tyranneaux avides de pouvoir, à n'importe quel prix, on peut s'attendre à n'importe quoi
02/02/2017 à 13h21
Cela semble bien compliqué pour Fillon.
Deux voies chez LR.
- les cyniques, "grands élus" dans des circonscriptions imperdables, esquinté pour esquinté autant qu'il aille au bout...
- autre voie, trouver un remplaçant pour porter le programme de Fillon, programme vainqueur de la primaire, cela parait simple, mais ne l'est pas, il faut qqn qui n'a pas combattu son programme, et surtout qqn d'irréprochable, le comique de répétition... Cela aurait un avantage, "lisser" "arrondir" le programme pour le rendre plus porteur.
Il y a aussi les sauveurs, mais tous battus aux primaires, et puis là... le tir aux pigeons...
03/02/2017 à 22h49
Si, dans les sept jours précédant la date limite du dépôt des présentations de candidatures, une des personnes ayant, moins de trente jours avant cette date, annoncé publiquement sa décision d'être candidate décède ou se trouve empêchée, le Conseil constitutionnel peut décider de reporter l'élection.
article 7, alinéa 6, de la Constitution
12/02/2017 à 09h46
Il n'y a pas que Fillon, Macron et MLP,
http://www.vanityfair.fr/actualites/france/articles/sylvain-durif-le-christ-cosmique-pourrait-devenir-le-candidat-le-plus-serieux-de-la-presidentielle-2017/48557
13/02/2017 à 09h46
Il y a foule...
http://www.lepoint.fr/presidentielle/alexandre-jardin-l-ecrivain-qui-se-revait-president-02-01-2017-2094141_3121.php
14/02/2017 à 23h24
On dirait bien qu'il y a une entreprise de déstabilisation de la droite LR ... maintenant c'est Solère qui est attaqué par le Canard sur une vieille histoire:
http://www.ouest-france.fr/faits-divers/fraude-fiscale/thierry-solere-porte-parole-de-fillon-vise-par-une-enquete-pour-fraude-fiscale-4801079
C'est fou mais d'une élection qui semblait imperdable en décembre on se dirige vers une défaite presque assurée aujourd'hui.
Une victoire du FN, chose qui paraissait inenvisageable hier est devenue possible, voire probable si le jeu de massacre continue à droite.
Les milieux financiers semblent d'ailleurs l'intégrer comme le montre la montée des taux d'intérêts avec l'OAT 10 ans à 1,03% alors que l'Allemagne est toujours à 0,3% ... (source Le Monde d'aujourd'hui)
Macron a toutes les chances de dévisser quand il sera obligé de dévoiler un peu plus de son programme car pour le moment, il se contente de dire seulement ce que son auditoire a envie d'entendre et comme il ratisse très large, tôt ou tard il y aura des déçus.
Hamon et Mélanchon vont se noyer dans des propositions très à gauche qui ressemblent à celles du programme commun des années 80.
Bayrou, s'il se lance va prendre des voix à Macron plus qu'à Fillon.
Et tout cela va mathématiquement faire monter le FN.
Il ne manque plus qu'un petit attentat ou d'une flambée des banlieues ...
ou comme papy Voise en 2002 sauf que là, il n'y aura pas de front républicain!
Après, il suffira d'une abstention massive à cause de tous ceux qui ne se retrouvent dans aucun candidats ou sont dégoutés, d'une campagne 'Tous Pourris' qui empêche de débattre des vrais enjeux (que beaucoup d'ailleurs ne comprennent même pas) et une MLP élue au 1er tour est même possible !
On vit vraiment une époque formidable ;))
On prend les paris ?
Il n'y a plus qu'à espérer que les législatives fassent contre poids.
15/02/2017 à 00h31
Sans prendre les paris dans cet épais brouillard politico-mediatique, je fais suivre quelques extraits d'un prospectiviste philosophe déjà présenté ici, que je trouve pertinent même si parfois ça heurte notre ego. Ca aide à la réflexion, que l'on soit ou pas d'accord.
Ce ne sera pas tant l'élection présidentielle qui sera déterminante. Mais bien plutôt les élections législatives. Un président, sans la Chambre et le Sénat à sa botte, serait totalement impuissant.
La France s'enlise, à toute vitesse, dans des jeux et des guérillas de pouvoir, et dans des joutes d'idéologies obsolètes ; tout cela est le reflet le plus clair de la fin du paradigme moderne. Les "dites élites" s'entretuent pour des institutions qui n'intéressent plus personne.
Les spectaculaires retournements que nous vivons (Brexit ; élection de Trump ; désaveu massif d'Obama, de Hollande, de Sarkozy, de Renzi, montée de Fillon, Macron et Le Pen, …), figurent la fin des élites démagogiques
.......
En France, il n'existe qu'une seule idéologie, bien archaïque : le social-étatisme avec un versant souverainiste, il est vrai, surtout incarné par le Front National (le camp de Marine Le Pen), et avec un versant plus économiste scindé entre bourgeoisisme (le camp de François Fillon) et progressisme (le camp d'Emmanuel Macron).
Quant à l'ancienne "gauche", elle est morte. Le parti socialiste, comme le parti communiste naguère, est entraîné dans la tombe par l'incroyable masses de ses échecs, de ses incuries, de ses "idéaux" puérils, de ses arithmétiques électorales, de ses manipulations rhétoriques, de ses magouilles financières, …
Désormais, cette "gauche" (les camps des Jean-Luc Mélenchon et autre Benoît Hamon, suivis de toutes les casseroles gauchistes) est réduit à la portion congrue. Il n'y a plus que les syndicats comme la CGT, Sud ou FO qui, parce qu'ils profitent de lois et de subsidiations puissent saboter le pays au nom de ridicules slogans crypto-marxistes portés par des groupuscules insignifiants.
Bref : la "gauche" est morte et bien morte, enfin !
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L'actuel paysage politique français professe encore viscéralement un anti-libéralisme, donc un idéologisme et un étatisme obsolètes et archaïques.
Au sein de cet étatisme, s'inscrivent deux axes de ségrégation.
L'un va de l'universalisme (internationalisme ou mondialisation, marxisme ou financiarisme, …) au différencialisme (nationalisme, patriotisme, souverainisme, isolationnisme, protectionnisme, …). L'autre va du populisme (socialisme, ouvriérisme, misérabilisme, poujadisme, …) à l'élitarisme (bourgeoisisme, …).
Cela donne quatre candidats possibles pour les élections présidentielles du mois de mai prochain :
Mélenchon (populisme, internationalisme) : universalisme marxiste.
Le Pen (populisme, différencialisme) : populisme patriote.
Macron (élitarisme, internationalisme) : social-démocratisme mondialiste. Le bourgeoisisme créatif (Macron) tente un syncrétisme "en marche".
Fillon (élitarisme, différencialisme) : bourgeoisisme nationaliste. Le bourgeoisisme paternaliste (Fillon) campe la tradition positive.
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L'écologie n'est ni de droite, ni de gauche.
Le clivage gauche-droite est obsolète. Tout le monde commence à en convenir.
15/02/2017 à 10h49
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"Bref : la "gauche" est morte et bien morte, enfin ! "
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J'aimerais bien partager ce sentiment mais même si elle ne se porte pas bien dans les urnes, elle est très ancrée dans les cerveaux et près de 25% de la population partage des idées de gauche radicale et si on ajoute la bobobratie on arrive pas loin des 40%... un mort qui bouge encore pas mal ;)
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"L'écologie n'est ni de droite, ni de gauche."
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J'aimerais aussi partager ce sentiment mais EELV c'est plutôt Europe Ecologie les Rouges.
L'écologie qui n'est pas idéologiquement bornée et ancrée à gauche genre Waechter ou Lalonde a fait long feu et est aujourd'hui inaudible.
Comment peut-on en même temps demander des énergies renouvelables et refuser presque toutes les implantations d'éoliennes: not in my backyard !
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"Le clivage gauche-droite est obsolète. Tout le monde commence a en convenir."
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Là je suis d'accord mais avec un bémol: l'idéologie majoritaire qui se dessine est celle de la bêtise Trumpesque, Brexiteuse, celle des guignols genre Beppe Grillo, celle des Nigel Farage ou des Boris Johnson.
Celle qui croit qu'on peut raser gratis et qui suit Macron tel le joueur de flute de Hamelin.
Comment le "Je vous aime farouchement mes amis" peut-il déclencher une telle salve d'applaudissement.
Elle est relayée par l'abrutissement télévisuel et youtubesque des masses.
Qui comprend les enjeux d'une sortie de l'euro ?
Qui comprend qu'on ne peut pas continuer à s'endetter indéfiniment et que les arbres ne grimpent pas au ciel ?
Qui peut croire que tout va bien et qu'il suffit de poursuivre sur cette trajectoire avec toujours plus de pauvres (140 000 personnes vivent dans la rue en 2017 !!), toujours plus de chômeurs (6 575 000 pour la France entière dom-tom compris), des banlieues communautaires prêtes à exploser etc...
Les taux d'intérêts vont nous péter à la figure dans pas longtemps.
Les gens ont une inculture économique quasi abyssale et ce n'est pas la compilation des résultats du foot, du tiercé ou du loto qui va leur permettre d'évoluer.
Ce n'est même plus la chienlit mais carrément le Bordel avec un B majuscule !
Et tous ces moutons vont nous conduire à l'abattoir.
JC Juncker ne se représentera pas car il est persuadé que l'Europe vit ses derniers moments.
Par contre notre Porcinet national s'y verrait bien ...
15/02/2017 à 11h11
Tu parles aussi du désaveu massif d'Obama.
Là aussi, je ne suis pas d'accord: si les démocrates avaient présenté un vrai candidat, crédible et pas cette brochette improbable avec un vieux socialiste (un gros mot là-bas), un Bush (encore un gros mot), deux bondieusards hyper pratiquants et complètement bornés et une Hillary qui avait la même cote de popularité que notre Porcinet National, on n'aurait pas ce pied nickelé à la Maison Blanche.
Heureusement que là-bas, le président n'a pas tous les pouvoirs et que le principe du check and balances l'empêche de faire trop de conneries. Mais sur le plan international c'est déjà la foire et même le spectre d'une 3eme guerre mondiale est en train de sortir des studios de cinéma.
En clair: si Obama s'était présenté pour un 3eme mandat (comme Roosevelt et d'autres), il aurait été réélu assez facilement. De même si sa femme s'était présentée à sa place.
Obama a fini son mandat avec 44-48% d'opinions favorables: un score que beaucoup aimeraient avoir après 2 mandats.
Et on aurait au moins une stabilité sur le terrain diplomatique alors que là, on est entré dans l'inconnu où tout peut arriver d'une heure à l'autre au gré d'un tweet.
On ne sait pas ce qu'il va faire et lui non plus d'ailleurs.
A la Maison Blanche, quand un nouveau président arrive, il est de tradition que tout le personnel lui remette sa démission. Le nouveau président change éventuellement quelques personnes au sommet de la hiérarchie et tout le monde reprend ses activités. Là, Donald a accepté TOUTES les démissions ... amateurisme, ignorance, bêtise : la question est ouverte !
Pour Trump, la faible participation, les gens ne se retrouvant dans aucun candidats, la médiocrité de l'offre, les réseaux dits sociaux et la bêtise ambiante ont fait le reste ... un scénario qui se dessine et que je crains en France.
Vous rendez-vous compte qu'en France, en 2017, on reparle de l'avortement et peut-être bientôt de la peine de mort !
c'est fou.
15/02/2017 à 12h04
Bebert. écrivait:
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>
>
> Vous rendez-vous compte qu'en France, en 2017, on reparle de l'avortement et
> peut-être bientôt de la peine de mort !
> c'est fou.
Si on reparle de ces sujets c'est aussi parce que la gauche n'a rien d'autre à proposer que des lois sociétales pour se faire mousser.
Ils ont été contre les personnels de santé sur l'avortement en enlevant les délais de réflexions et en jouant contre la liberté de parole sur internet.
Oui, ca leur revient dans la gueule. De même que ne pas pas payer les soins, traiter les professionnels de santé qui font ces actes comme des merdes en croyant que c'est juste de la délivrance de bonbons.
15/02/2017 à 12h20
"L'affaire Fillon" a aussi glacé la campagne 2017, elle aussi permet de ne pas parler du reste.
Nous risquons d'avoir un(e) Président(e) par défaut.
L'argument qui me fait bondir "je suis le candidat qui peut battre MLP et faire barrage au FN" , et bien! si c'est le seul programme pour l'élection... bravi, bravo...
15/02/2017 à 12h52
La cinquième république est faite de telle façon que l'un des représentants des "deux grands partis" devrait être élu président.
Petit souci, il en manquera au moins un au second tour, un duel LR PS est plus qu'improbable.
En fait l'équation est biaisée puisque le premier parti de France, que l'on aime ou pas, est le FN, mais qu'il n'est pas considéré comme un "grand parti".
La gauche aime moins la proportionnelle actuellement, bizarre...
15/02/2017 à 14h46
"J'aimerais aussi partager ce sentiment mais EELV c'est plutôt Europe Ecologie les Rouges"
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EELV ce n'est pas de l'écologie, c'est un parti politique écolo qui fait beaucoup de mal aux écologues
"Tu parles aussi du désaveu massif d'Obama. ...Là aussi, je ne suis pas d'accord: si les démocrates avaient présenté un vrai candidat, crédible...Et on aurait au moins une stabilité sur le terrain diplomatique"
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Grâce à la divulgation massive, par WikiLeaks, des e-mails de Mme Clinton et de son entourage, on peut relever cet échange qui décoiffe ;
«Nous avons tous été assez satisfaits de dégrader le gouvernement, de laisser tomber le civisme et en général de conspirer à produire des citoyens ignares et obéissants» écrivait ainsi en mars dernier Bill Ivey, le «monsieur Culture» de Bill Clinton, à John Podesta, le chef de campagne de Mme Clinton.
Quant à Obama ils s’est révélé peu à peu comme le pire cynique menteur manipulateur incompétent, mais il croyait avoir tout verrouillé.
Ce prix Nobel de la paix a poursuivi plus de lanceurs d’alerte que n’importe quel autre président dans l’histoire. Et la procédure contre Julian Assange est entièrement bidon
Sous son règne, les USA ont étendu les opérations secrètes des "forces spéciales" à 138 pays, soit 70 % de la population mondiale. C'est le président américain qui a balancé le plus de bombes sur les civils.
Mais l'information n'est pas dans les médias classiques (ce qui explique pourquoi ils perdent des lecteurs tous les jours et pourquoi les jeunes se désintéressent de la politique. On ne peut pas leur donner tort)
Enfin, au départ le nouveau président des Etats Unis m'horripilait, mais peu à peu, on adhère aux analyses pertinentes (c'est rare dans ces médias) de Caroline Galacteros :
"Arrêtons de critiquer le président américain. Son style décoiffant nous fait oublier que le diagnostic qu'il porte sur le monde est tragiquement juste..."
http://www.lepoint.fr/invites-du-point/caroline-galacteros/galacteros-donald-trump-ou-le-vertige-d-une-europe-en-mal-d-amerique-13-02-2017-2104399_2425.php
Enfin, diaboliser l'Islam sans savoir de quoi on parle est dangereux.
Trop de forces puissantes et intriquées sont impossibles à décrypter. Donc ne pas tomber dans tous les pièges tendus, comme l'ont fait particulièrement les français en avalant tout et n'importe quoi jusqu'à favoriser une guerre mondiale.
15/02/2017 à 17h11
Je suis aussi d'accord avec l'analyse de Caroline Galacteros mais ...
Ce qui m'inquiète le plus avec DJ Trump c'est qu'il est totalement imprévisible et qu'il dispose de l'arme nucléaire même s'il ne peut en user seul ... et heureusement !
N'oublions pas que les élections de mi-mandat vont voir le renouvellement du 1/3 du parlement et ce sera majoritairement des sièges démocrates qui vont être mis en jeu : soit il a réussi son pari et ses mesures commencent à produire un effet, soit les républicains, majoritaires, le débranchent.
Mais entre temps, tout peut arriver et il peut faire basculer le monde dans le chaos par son amateurisme, impulsivité, incompétence (rayer les mentions inutiles).
Un pays ne se gère pas comme une entreprise. Exemple avec l'Iran, sa bête noire, alors que l'Iran est un partenaire de la Russie avec laquelle il souhaite se rapprocher ... pas facile la géopolitique !
De même sa marche arrière sur Taïwan avec la Chine.
Et que dire des droits de douane avec le Mexique pour leur faire payer le mur: les américains vont payer plus cher des voitures construites au USA avec des pièces importées du Mexique. C'est du grand n'importe quoi.
Sans compter que si l'économie du Mexique s'effondre (80% du commerce est fait avec les USA), l'immigration va exploser, mur ou pas car ils n'auront pas le choix.
Il vaut mieux avoir un pays qui se porte bien à sa frontière plutôt que des foules qui crèvent de faim.
Voilà pourquoi, de mon point de vue de français, je préférais Obama: au moins il ne risquait pas de précipiter le monde dans l'inconnu. Et en matière d'ingérence c'était un amateur par rapport aux Bush père et fils.
Moi, ce type me fait peur. Et deux des principales puissances nucléaires sont aujourd'hui dirigées par un président à l'ego surdimensionné, à la limite de la psychiatrie. Un article (un peu à charge quand même) de Boris Cyrulnik était paru à ce sujet un peu avant son investiture.
15/02/2017 à 18h50
"Mais entre temps, tout peut arriver et il peut faire basculer le monde dans le chaos par son amateurisme, impulsivité, incompétence (rayer les mentions inutiles)."
.......................
Certes, tout peut arriver, mais avec les va t-en guerre et l'incompétence du camp adverse, c'était direct la guerre mondiale, donc il vaut mieux l'incertitude que la garantie d'une guerre, et 10 Trump sont préférables à ses rivaux que les américains ont rejetés, pour de sacrés bonnes raisons.
D. Trump servira peut-être de bouc émissaire à tous les échecs du gouvernement précédent, mais il le sait. Le défi à relever est phénoménal et pas sûr qu'il réussisse. La planète est sur une poudrière.
Info hors média mainstream :
La cible aujourd'hui c’est Donald Trump. Le but est d'anéantir tous les espoirs de meilleures relations avec la Russie et forcer à la poursuite de la guerre froide.
Si Trump persiste à vouloir établir un nouveau partenariat avec la Russie, on nous dira que c’est parce que Poutine le fait chanter alors que c'est l'etat profond et les médias serviles qui font du chantage. Leur message :
"Si vous ne vous alignez pas sur les diktats de l’establishment à propos de la Russie, nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour vous détruire".
Les pressions qui s’exercent sur Donald Trump pour le forcer à se coucher sont effarantes. L’establishment militaro-industriel, l’industrie de l’armement a besoin d'un épouvantail russe. Mais il n'y a pas de péril Russe. C'est tout l'inverse.
Les populations des États-Unis, de Grande Bretagne et d'Europe devraient souhaiter que leurs pays respectifs entretiennent de meilleures relations avec la Russie et oeuvrent avec elle à l’éradication des périls véritables tels qu’ISIS (État Islamique, ex-ISIL).
Le problème hélas, c’est qu’il y a trop de monde, dans les cercles du pouvoir, qui ne le veulent absolument pas.
....
"Deux des principales puissances nucléaires sont aujourd'hui dirigées par un président à l'ego surdimensionné"
.......................
Certes, mais l'égo surdimensionné du précédent n'a rien à envier au nouveau, il est juste mieux dissimulé. Ensuite, concernant le mur du Mexique et autre, il ne faut pas se polariser sur des symboles. D. Trump n'est pas contre l'immigration, il est contre la déstabilisation des flux migratoires incontrôlés. Donc ce n'est pas du racisme contrairement à tout ce qu'on essaye de lui coller sur le dos. C'est pareil chez nous, toutes les haines sont attisées pour déstabiliser notre pays alors que les vrais racistes primaires ne sont pas nombreux. Mais tout est fait n'importe comment et on ne sait plus comment gérer ces flux migratoires qui nourrissent à outrance le clientélisme électoral de tout bord et qui attisent les ressentiments et le rejet. Les politiques se fichent totalement du sort de ces migrants mais tout est bon pour faire pleurer les chaumières et récupérer des votes et des soutiens. Au risque d'enflammer les banlieues comme le week-end dernier.
16/02/2017 à 14h20
Le Point pilonne à mort contre le nouveau président, avant et après les élections. Les raisons sont limpides pour ceux qui suivent l'actualité hors propagande.
De temps en temps les médias aux ordres publient un article de Caroline Galacteros car ils ne peuvent pas l'étouffer, elle est trop reconnue et ses infos sont de haute qualité. Mais publier de temps en temps des infos non mainstream, ça donne l'apparence de neutralité. Ceci dit, les lecteurs sont de moins en moins dupes et s'éloignent des faiseurs d'opinions. Les ficelles sont trop grosses et ça finit par se voir. Ca a pris du temps ! Tout les médias mainstream sont mouillés jusqu'au cou et cela explique cet énervement (le mot est faible).
Donc, ne pas se laisser intoxiquer et prendre du recul une fois que l'on a compris l'échiquier global, du moins, ses mécanismes car ce qui se passe dans les très hautes sphères ...
Nos médias mentent
http://arretsurinfo.ch/nos-medias-mentent-par-justin-raimondo/
Un peu plus humoristique mais très bien vu
Nous faisons confiance aux psychopathes
http://versouvaton.blogspot.fr/2017/02/nous-faisons-confiance-aux-psychopathes.html
16/02/2017 à 14h28
Bebert. écrivait:
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> http://www.lepoint.fr/monde/le-journal-de-trump/affaire-russe-fuites-demissions-trump-s-embourbe-16-02-2017-2105218_3241.php?M_BT=1268169065428&m_i=XWcbQ6f4HhIYajxfYRUnXLWA0xQ0lHmR_GUK2oK%2BG_EPXU%2BcD9Q%2BELQ09IHl6ymgJQTgdPXNrev9H9DUP_syyDqPSApXXL#xtor=EPR-6-[Newsletter-Matinale]-20170216
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«On accuse donc le général Flynn de calmer le jeu avec Moscou… Quel crime !» C'est surtout la guerre des services au sein du gouvernement américain.
"Il est évident que les ennemis politiques de Trump, qui restent très puissants dans les médias et les institutions, cherchent par tous les moyens à construire contre lui une accusation qui puisse servir à entamer une procédure d’«impeachment», un procès mené par le Congrès en vue de destituer le président. A peine élu, Donald Trump fait déjà l’objet d’une campagne cherchant tous les prétextes utilisables dans ce sens. Depuis la campagne d’Hillary Clinton, la bonne disposition supposée de Donald Trump envers la Russie et Poutine est utilisée pour le discréditer et l’affaiblir. Cela ne fait que s’intensifier.
* On peut imaginer que la question iranienne ait contribué à la disgrace de Michael Flynn, qui a fait preuve de fanatisme contre l’Iran. Mais il n’est pas le seul. Washington en est rempli, y compris dans l’entourage de Donald Trump."