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Nouvelle étude santéclair, Ciss, 60 millions de consommateurs.
04/10/2016 à 16h05
Vous vous rappelez des cons qui font des biais de sélections en classant les dentistes en secteur 1 dans les médecins en secteur 2.
Et voila le nouveau bouzin,
http://www.lequotidiendumedecin.fr/actualites/article/2016/10/04/en-optique-dentaire-et-audioprothese-les-reseaux-de-soins-ont-fait-baisser-les-tarifs-selon-une-etude_829466
"........
En France, les sept réseaux existant couvrent près de 40 millions d'assurés.
......."
40 millions d'assurés couverts qui voient leur reste à charge "diminué" mais une augmentation contente de la difficulté de l’accès aux soins dentaires pendant cette période.
04/10/2016 à 16h48
http://www.ouiemagazine.net/2016/10/04/nouvelle-etude-lapologie-reseaux-de-soins-lunsaf-sort-de-gonds/
http://www.asteres.fr/actualites/les-reseaux-de-soins-des-outils-pertinents-de-regulation-des-prix-et-de-la-qualite-des-soins-mal-rembourses-par-lassurance-maladie
http://www.asteres.fr/wp-content/uploads/2016/10/Aster%C3%A8s-Sant%C3%A9clair-Etude-juin-2016.pdf
Page 3, Nicolas bouzou, fondateur d'astéres.
Page 4, c'est le titre d'un chapitre;
Pour suivre l’évolution des dépenses de santé, les
tarifs des OCAM ont fortement progressé
Page 27, alors que les décotes sur les tarifs ne sont que de 15% en moyenne, il semble pas anormal à notre cher économiste d'avoir des décotes sur les restes à charges de 38%. Cela prouve bien que l'essentiel de la décote n'est pas liée à une baisse de tarif mais bien à une baisse de remboursement des assurés qui font libre choix de leur praticien.
04/10/2016 à 17h07
C’était il y a un ans, même cabinet noir mais sur l'optique à l’époque.
http://www.acuite.fr/actualite/profession/82001/etats-generaux-de-la-sante-visuelle-ce-que-dit-le-rapport-commande-par-la
04/10/2016 à 19h17
"Dans le détail, les résultats de l'étude montrent que la régulation des prix pratiqués au sein des réseaux engendre une réduction importante du reste à charge. Globalement sur l'analyse de plus de 95 000 devis dentaires reçus par Santéclair, un devis moyen est estimé à 1 447 euros au sein du réseau contre 1 791 euros chez les autres professionnels, soit une réduction moyenne des prix de 19 %. Par conséquent, le reste à charge s'amenuise et passe de 894 euros à 551 euros, soit une économie de 343 euros pour les assurés (-38 %)."
Quel est le cout moyen d'une complémentaire santé remboursant correctement le dentaire ?
réponse entre 800 et 1500 euros par an. Ca dépend de l'age.
Parce que si les prothèses dentaires ne sont pas renouvelées tous les ans, les cotisations des complémentaires santé elles le sont. -)))
Il faut bien avoir présent à l'esprit que plus le reste à charge diminue plus les cotisations de complémentaire santé augmentent et pas ponctuellement mais sur la durée.
Le vrai risque financier ( implantologie) n'est de plus, que très peu couvert par les assurances complémentaires.
Exemple une couronne remboursée à 230 % par une mutuelle ( 300 % avec la sécu) représente 247,25 euros de remboursement mutuelle. . pour ce remboursement il n'est pas rare de payer plus de 800 euros par an soit pour rentrer dans ces frais faire 3,2 couronnes TOUS LES ANS !
Pour ce tarif vous n'etes meme pas remboursés le prix d'une couronne tarif CMU soit 375 euros.
Complémentaires santé = piège à cons. D'autant plus que leurs tarifs ne peuvent pas etre comparés car leurs mode de calculs de remboursements diffèrent d'une mutuelle à l'autre car les contrats ne sont pas standardisés.
Déjà qu'un professionnel a du mal à s'y retrouver n'en parlons pas pour l'assuré ! -)))
Pour terminer un réseau n'a jamais augmenté ses prestations si vous allez voir un dentiste "partenaire", il les diminue si vous allez voir un dentiste non partenaire et fait ainsi des économies sur votre dos. C 'est cocasse d'ailleurs de remarquer que l'augmentation du reste à charge est due en grande partie à une diminution de la prise en charge par l'assureur chez un dentiste non partenaire du réseau.
Quand on sait que les plus gros réseaux d'assureurs ne représentent meme pas 10 % des dentistes ......
Posez vous cette question : etes vous serein quand vous déclarez un sinistre chez un assureur ? N'appréhendez vous pas cette petite ligne dans un contrat abscons qui vous fera perdre en partie ou en totalité votre indemnisation ?
04/10/2016 à 20h46
page 24
500 devis sont analysés à posteriori pour déterminer un taux de renoncement
sauf que les patients analyses sont ceux ayant recours à des praticiens hors réseau santepaclaire
autrement dit le patient fait un devis
une fois santé clair passe dessus et qu'il a envoyé le patient vers le réseau 3 solutions
le patient reste chez son praticien hors réseau il n'à pas renoncé
le patient va chez un dentiste du réseau il n'est pas analyse
le patient ne va pas chez un dentiste du tout il renonce
en clair l'étude est biaisé en enlevant des patients de l'échantillon initial qui font le travail dans le réseau et donc la proportion de renoncement (hors réseau donc) est gonflée artificiellement
--
--------------------------
" La charte nous protège "
Catherine mojaisky
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la CSND soutient un projet contre les remboursements différenciés
mais négocie en sous main avec kalivia
05/10/2016 à 08h32
Page 36.
".........
Activités de
lobbying
Asterès est régulièrement sollicitée par des entreprises et des fédérations
professionnelles pour intervenir en amont
de leurs activités de lobbying, particulièrement lors des débats d’orientation budgétaire. Asterès peut donc être
amené à réaliser des travaux financés par des donneurs d’ordres et démontrant
l’impact économiquement nocif d’une mesure qui pourrait leur être appliquée.
Dans ce cas, notre démarche répond à u
ne charte éthique stricte. Notre client
s’engage à accepter que les travaux menés par Asterès répondent aux principes
intangibles suivants :
Asterès ne peut s’engager sur les résultats d’une étude avant de l’avoir
réalisée. Nous ne délivrons nos conclusion
s qu’au terme de nos analyses.
Nos travaux suivent une méthodologie standard (top down), qui s’appuie sur
l’utilisation de données statistiques publiques, ou conçues ou certifiées par
nous
-
mêmes.
Si un client souhaite modifier des conclusions de travaux ré
alisés par Asterès
sans une totale approbation de nos consultants, il devient le seul signataire
de l’étude, et n’a plus le droit d’utiliser la marque Asterès.
Les consultants d’Asterès ne défendent dans le débat public que des travaux
qu’ils ont réalisés
eux
-
mêmes. En aucun cas ils n’acceptent de se faire le
relais de travaux réalisés par d’autres.
Asterès intervient en tant que prestataire externe. Le cabinet ne saurait être tenu pour responsable des interprétations qui pourraient être données de ses
travaux ou de leurs conséquences. Asterès est en outre tributaire de la qualité des statistiques utilisées, dont elle n’est pas responsable.
........"
On est pas responsable des statistiques de merdes que l'on nous fournit.
Page 29, il existe un graphique de l’évolution des prix en dentaire et autre.
Il est amusant de ne pas avoir fait la concordance des graphiques avec celui de la hausse des tarifs des mutuelles page 20 et de présenter les graphiques sous des forme différentes qui ne permettent pas leur comparaison .
05/10/2016 à 11h26
barbabapat écrivait:
--------------------
> Page 29, il existe un graphique de l’évolution des prix en dentaire et autre.
>
> Il est amusant de ne pas avoir fait la concordance des graphiques avec celui de
> la hausse des tarifs des mutuelles page 20 et de présenter les graphiques sous
> des forme différentes qui ne permettent pas leur comparaison .
ça a suscité ma curiosité, et je suis allé voir le pdf en page 29...
"Les réductions tarifaires ne se réalisent pas au détriment de la qualité, notamment du fait : d’une exigence contractuelle sur la qualité des soins et de la prise en charge ;
de contrôles pragmatiques et réguliers, tant à l’amont qu’à l’aval des prestations."
Mais oui, On peut fixer le tarif qu'on veut, ces con sont obligés d'assurer la qualité.
Bon je vais me tenir écarté de tout ça pour ne pas faire une dépression.
05/10/2016 à 11h53
".......
Asterès est en outre tributaire de la qualité des statistiques utilisées, dont elle n’est pas responsable.
........"
Tu peux faire une travail statistique de merde au départ, de toute façon, tu as une grosse machine à blanchir derrière qui sert juste à légitimer les résultats tout en cachant la qualité du travail de départ loin des yeux.
05/10/2016 à 11h53
Bon en même temps, à quoi s'attendre à part de la propagande?
On se doute bien que ce type d'étude est montée à l'envers
On définit l'objectif:
Faire un pognon monstrueux sur la santé dentaire des Français sans que ça se voit
On détermine le moyen de l'atteindre:
Faire baisser les honoraires de prothèses des boucs émissaires (libéraux) quel qu'en soit le prix
On établit la conclusion de l'étude:
les méchants libéraux se goinfrent comme des porcs sur la prothèse alors que les réseaux de prothèses sont géniaux.
Puis on bidouille les stats, les graphiques, on met tout à sa sauce, de toute façon les grands copains médiatiques n'iront pas révéler la supercherie, ils sont arrosés directement par la pub de la mutassurance.
Voilà! Et une étude bidon commandée, une!
06/10/2016 à 06h53
Ce qui est amusant, c'est que la seule étude chiffrée de l'étude qui parle des réseaux de soins, c'est celle réalisée en toute "impartialité" par Santéclair sur Santéclair.
Les autre études citées elles sont plutôt des études globales.
Globalement c'est le biais avec des méta analyses qui au final se référent toutes à une même et seule étude de base bidonnée tout en créant une pseudo idée de consensus large.
06/10/2016 à 07h19
il n'y a pas besoin de chercher bien loin le biais de cette étude
puisque les tarifs de prothèses sont qualifiés de "majorés" et "excessifs"
SANS AUCUNE COMPARAISON
avec ceux pratiqués dans d'autres systèmes de dispensation de soins de nature libérale dans des pays
de même niveau de vie et de protection sociale
06/10/2016 à 07h36
Le problème du recyclage de la même étude dans des méta analyse différentes est qu'au final tu les retrouve citées après régulièrement même si tu as montré de nombreuses fois les limites de l'étude initiale.
La réellement, c'est une façon de rebrander l'étude Santéclair sur Santéclair par Santéclair pour faire croire aux esprits malade qu'une nouvelle étude confirme les résultats alors qu'elle ne se limite qu'à les citer.
Après l'utilisation des tarifs parisiens moyens est aussi une façon d'orienter l'étude pour lui donner une cohérence car c'est compliqué de faire valider 383 euros de diminution du reste à charge moyen en dentaire du fait des réseaux alors que celui ci est en moyenne de 250 euros sur la France.
06/10/2016 à 11h29
http://www.egora.fr/sante-societe/organisation-des-soins/215288-reseaux-de-soins-cest-du-detournement-de-patientele?pagination=4
"...........
Les réseaux de soins remettent en cause le libre choix du patient et portent atteinte au secret médical". Ce constat est celui de l'Observatoire des réseaux de soins de la Confédération nationale des syndicats dentaires. Catherine Mojaïsky, présidente de la CNSD, explique que ses confrères ont l'impression de se faire voler et que les patients courent le risque de recevoir des soins de moins bonne qualité.
Egora.fr : Quel est cet Observatoire des réseaux de soins que vous avez mis en place ?
Catherine Mojaïsky : Il a été créé il y a quelques années, devant les retours et témoignages de nos confrères qui nous faisaient part de leur désarroi devant les pratiques de certaines plateformes assurantielles. Ils nous demandaient comment réagir alors qu'ils voyaient leurs patients détournés, partir vers d'autres confrères, sans qu'ils aient les moyens de réagir. Ils avaient un sentiment d'indignation et de colère, l'impression de se faire voler leurs patients par ces plateformes.
On a commencé à recueillir des témoignages. Ça s'est accentué quand on a entamé il y a un a et demi une plainte auprès de l'Autorité de la concurrence pour condamner ces pratiques qui nous semblaient déloyales. Nous chirurgiens-dentistes libéraux n'avons pas le droit de faire de la publicité, alors que les plateformes le font impunément.
On a vu arriver des témoignages de confrères puis de patients, nous faisant part de détournements, d'appels de la part des plateformes, disant "le devis de votre dentiste est trop cher, on peut vous envoyer vers quelqu'un beaucoup moins cher". Pour certains patients, c'était assez révoltant. Ils faisaient confiance à leur praticien et ils avaient l'impression qu'on cherchait à les envoyer ailleurs. On a eu d'autres témoignages de plaintes sur la qualité. Une patiente a été détournée par une plateforme vers un autre implantologiste, à 120 kilomètres de chez elle. Elle a suivi le conseil de sa complémentaire et fait le trajet pour avoir une extraction et un implant de l'incisive latérale gauche au lieu de la droite. Il ne faut pas imaginer qu'ils ont beaucoup de monde dans leurs réseaux, donc il faut parfois envoyer les patients faire des kilomètres. Vous imaginez l'économie à faire quand vous avez 120 kilomètres à faire, plusieurs fois, sans parler de la perte de confiance ?
Une étude vient de montrer que les réseaux de soins avaient permis une baisse des prix de 19% en dentaire [Voir encadré]. Qu'en pensez-vous ?
Ce communiqué est fait par un lobbyiste qui travaille pour Santéclair, ça discrédite leur travail. Et ils pointent une baisse des coûts, mais à quel prix ? Dans... [lire la suite]le système de financement des soins dentaires, toute baisse artificielle des soins dentaires entraîne forcément une baisse de la qualité et de la sécurité. Et l'exemple de Dentexia est frappant. Pendant des années, on a dit aux patients qu'ils allaient pouvoir se faire soigner aussi bien et moins cher, et le scandale est arrivé. L'équilibre est rompu, et ça se fait forcément au détriment de quelque chose.
Ce qui est hallucinant dans cette étude, c'est la qualité auto-proclamée des soins. Il n'y a aucun critère qui permette d'évaluer cette qualité. Le seul critère de qualité c'est la durabilité. Ce n'est pas immédiatement que l'on peut décréter qu'une couronne est de qualité ou pas. On est un peu surpris de cette proclamation. Mais le scandale Dentexia n'est pas étranger à ça. On a reproché aux low-cost leurs problèmes de qualité, donc ils ont voulu anticiper la critique sur coût bas et qualité inférieure.
Combien de chirurgiens-dentistes sont adhérents à ces réseaux de soins ?
Ils sont 2 à 3 000, sur 36 000. Ce n'est pas beaucoup, et ça explique pourquoi il y a parfois des kilomètres à faire. Nous, à la CNSD, on a signé en 1997 un accord avec la MGEN. C'était un principe différent. Ce n'étaient pas les tarifs qui baissaient, malgré des plafonnements à des niveaux tout à fait cohérents avec la qualité de soins, mais les remboursements des patients étaient augmentés. Aujourd'hui, 24 000 chirurgiens-dentistes sont adhérents à ce protocole. Quand vous avez des critères cohérents, quand tout le monde y gagne, les gens adhèrent. S'ils n'adhèrent pas, c'est que la formule n'est pas cohérente.
Quelles sont les critiques qui vous remontent sur les réseaux de soins ?
Les atteintes au libre choix du patient et au secret médical. Quand vous envoyez un devis à une plateforme pour savoir combien vous allez être remboursé, dans un certain nombre de cas, vous recevez un petit courrier en réponse en disant que s'ils préfèrent un professionnel du réseau, le reste à charge sera diminué. Vous avez une volonté délibérée de détourner les patients de leur praticien. Si le patient ne réagit pas, il va recevoir un petit coup de fil pour le convaincre d'aller voir le Dr Y qui lui fera beaucoup moins cher. Avec des critères qui ne sont absolument pas objectifs. Quand vous lisez un devis sur une couronne, vous êtes incapable de savoir quel type de couronne c'est. Dire que ce sera la même en moins cher, ce n'est... [lire la suite]absolument pas possible et mensonger. Et une couronne plus chère peut aussi être justifiée par une qualité de fabrication différente.
Pourquoi parle-t-on d'atteinte au secret médical ? Parce que les gens qui travaillent sur ces plateformes ne sont pas des professionnels de santé et ont accès aux informations médicales des patients. Ils savent quel est son état de santé et quels sont les traitements qu'il suit. Si ça, ce n'est pas une atteinte au secret médical… C'est caractérisé. Ça pose de réels problèmes.
Un rapport de l'IGAS doit bientôt être publié au sujet des réseaux de soins, vous avez été entendus ? Qu'attendez-vous de ce rapport ?
Nous allons être auditionnés la semaine prochaine. On espère qu'il va y avoir une vision objective. On avait de grands espoirs dans l'Autorité de la concurrence, devant laquelle nous avons porté plainte il y a 18 mois. Les échos qu'on en a semblent dire que le volume n'est pas suffisant pour porter atteinte au marché. Ils ne vont, a priori, pas condamner les réseaux de soins. On espère que l'IGAS corrigera le tir.
La vérité, c'est qu'aujourd'hui, il y a un vrai problème de remboursement sur tous les actes de prothèses et d'orthodontie, donc il faut absolument qu'on améliore les choses, mais pas par une baisse artificielle des tarifs.
On a tendance à associer les réseaux de soins et la gauche. Pensez-vous qu'une alternance politique l'année prochaine pourra mettre un coup de frein aux réseaux de soins ?
Je ne suis pas sûre qu'il y ait une couleur politique dans les réseaux. La première tentative de légiférer sur les réseaux de soins, c'était avec la PPL Fourcade en 2011. A l'époque c'était encore un gouvernement de droite. Je ne suis pas convaincue qu'il y ait une volonté farouche, dans aucun parti, d'aller changer la donne. D'ailleurs, on a.... [lire la suite]contacté les différents groupes parlementaires. C'est quand même eux qui ont légiféré et qui n'ont toujours pas rendu le rapport annuel promis sur la PPL Leroux. On l'attend toujours. Pourquoi ils ne le sortent pas ? Il y a peut-être des choses trop gênantes, ou alors ils s'en foutent. C'est une option.
Réseaux de soins et baisse tarifaire : une étude controversée
Les réseaux de soins ont permis des "diminutions tarifaires des professionnels de santé partenaires de ces réseaux varient de 10 à 50 %" par rapport au prix moyen du marché. C'est une enquête de Santéclair, du CISS et de 60 millions de consommateurs qui le dit. En dentaire, ils auraient provoqué une baisse des prix de 19% en moyenne, "soit un gain moyen de 343 euros pour un acte". Malgré cela, admet l'étude, "les réseaux n'ont pas permis de réduire le renoncement aux soins", qui touche 20% des Français. La cause ? Une sous-utilisation des réseaux, assure le document. C'est "par manque d'information" sur ces réseaux que les Français continueraient de renoncer aux soins.
Comme Catherine Mojaïsky, la CSMF a aussitôt dénoncé une "étude partisane", "commandée par un financeur des réseaux de soins". "Comment peut-on parler de "qualité contrôlée", comme le conclut cette étude, lorsque c'est le payeur qui fait ce contrôle ? Seuls des organismes extérieurs et indépendants, dont c'est le métier exclusif, peuvent procéder à des contrôles qualité. Ceci est la base de toute démarche qualité", conclut la CSMF.
06/10/2016 à 11h52
et pourquoi ne plafonnerait - on pas le salaire de cette 'ministre'
de la sante ainsi que tous les budgets de son ministere????
comme toute bonne saloperie de socialos tout doit diminuer sauf ses avantages et son salaire!!! une honte!
06/10/2016 à 12h01
Comme pour les anciens présidents c'est une goutte d'eau dans la gabegie . Mais pas pour les intéressés par contre. -)))
07/10/2016 à 06h32
La suite de la défense désastreuse de la cnsd sur la pseudo enquête nouvelle bouzou avec de gros morceaux d'enquête Santéclair au milieu façon collégien qui rend un devoir après avoir fait un joli copié collé tout en disant qu'il est nouveau.
Entre la cnsd qui défend la lutte contre les réseaux de soins en disant qu'il en ont un meilleur et plus développé (ce qui explique alors la réponse de l'autorité de la concurrence) et le seul argument de bouzou lobbyiste alors que le problème principal est que le travail n'est principalement qu'un copié collé d'une pseudo évaluation interne de Santéclair
http://cnsd.fr/actualite/news/1698-reseaux-de-soins-detournement-de-patientele
07/10/2016 à 07h04
Ce qui est pratique c'est que plus le remboursement différentié est important moins tu as besoin de plateforme.
Tarif d'autorité pour la sécu, protocole CNSD MGEN ....... pas besoin de plateforme. Liberté totale de choix des patients et donc pas de détournement. -))))
19/12/2016 à 08h14
Ah, les journalopes et leur reprise d'études impartiales et sérieuses d'expert agrémentés travaillant sur des chiffres de Santéclairs sans les remettre en cause.
http://www.fsdl.fr/wp-content/uploads/2016/12/tarif-moyen-proth%C3%A8se.jpg
On passe de 750 euros, tarif moyen de la ccm à paris dans l’étude à 661 euros chiffre secu pour la même prothèse soit un différentiel juste pour Paris de 89 euros.
Bon heureusement notre expert médiatique indique en fin d’étude qu'il n'est pas responsable si il se fait fournir des chiffres foireux par son commendataire.