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Se sont tous Trumpés !!!! mouhaha!!!!!!!!!
10/11/2016 à 17h10
Ni prédateur ni proie, je suis je suis je suis ... Réponse chez Julien Lepers.
En réalité, vu les belles brochettes qui se présentent pour les élections depuis des lustres, ici ou ailleurs, comme le dit si bien Chicot, peut-être que le seul choix qui nous reste après avoir bien réfléchi, c'est de ne pas aller voter
10/11/2016 à 17h12
Guady écrivait:
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peut-être que le seul
> choix qui nous reste après avoir bien réfléchi, c'est de ne pas aller voter
Mais non.
Si tu ne votes pas tu n'as pas le droit de râler après... :-)
10/11/2016 à 17h42
Trump a-t-il trompé tout le monde ?
une bonne lecture, celle du jouirnal l'équipe ... qui n'est pas de gauche !
Atlantic City, l'ambition ruinée de Donald Trump dans la boxe
Le 09/11/2016 à 13:33:56
Devenue dans les années 1980 la capitale bis de la boxe, sous l'impulsion de Donald Trump, la ville côtière est désormais synonyme de ruine et d'échec pour le prochain président des États-Unis.
Lundi 10 octobre à 5 h 59 du matin, le Trump Taj Mahal Hotel Casino d'Atlantic City a fermé définitivement ses portes. Lors de son inauguration, en avril 1990, devant Michael Jackson et un parterre de stars, son propriétaire d'alors, Donald Trump – élu mardi président des Etats-Unis –, qualifiait cet établissement de «huitième merveille du monde». Une tour de 42 étages, une capacité d'hébergement de 1 250 chambres... et 2 848 employés désormais à la rue. Le Taj était l'ultime reliquat de l'empire Trump à Atlantic City qui, à son apogée, employait pas moins de 12 700 salariés, soit un tiers de la population de la ville. Sa faillite fait suite à celle du Trump Plaza (ouvert en 1984 et fermé en 2014) et du Trump Castle, sur la marina (inauguré en 1985 et revendu en 2011). Des échecs qui font tache sur le CV d'homme d'affaires à succès de Donald Trump
Dès l'ouverture du Taj Mahal, en 1990, pour concurrencer Las Vegas, ce projet pharaonique au coût estimé à un milliard de dollars avait inquiété la commission de contrôle des casinos du New Jersey. Malgré les paillettes et le prestige des combats de Mike Tyson, Trump n'a jamais trouvé d'investisseurs favorables et a dû emprunter à des taux rédhibitoires. Deux semaines avant son ouverture, un analyste expliquait dans le Wall Street Journal que le Taj devrait dégager 1,3 M$ par jour rien que pour rembourser ses emprunts. Un pari impossible pour la société Trump Entertainment Resorts, qui s'est retrouvée plusieurs fois en justice pour faillite. Et a laissé de nombreuses petites PME sous-traitantes sur le carreau.
Jadis actionnaire majoritaire, Donald Trump a su s'exfiltrer en revendant ses parts en 2004 et en ne conservant que 27 % du capital. En septembre 2015, évoquant la ville d'Atlantic City, Trump assurait avec sa morgue coutumière : «J'ai fait beaucoup d'argent à Atlantic City... Je me suis retiré au bon moment.» Le taux de chômage dans la cité du New Jersey est aujourd'hui de 9,2 %, soit près du double de la moyenne nationale. Une réalité en forme de présage de la réussite annoncée par le nouveau président républicain des Etats-Unis, qui assure «vouloir redonner sa grandeur à l'Amérique».