Cookie Consent byPrivacyPolicies.comModèle économique derrière la prise en charge à 100% - Eugenol

Modèle économique derrière la prise en charge à 100% ????????

P2eqdh3csim6s7nb09ktdq3e7ev8 - Eugenol
barbabapat

29/05/2017 à 15h49

https://www.ufml-asso.org/mot-du-president/805-et-vous-trouvez-ca-drole.html


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Non rien...vraiment rien... Les assurances privées vont donc déterminer l'orientation du système, rien, vraiment rien... Dossier urgent du directeur de cabinet: la garantie de prise en charge du remboursement de l'optique et du dentaire à 100%, dont le Président de la République a expliqué le financement et la viabilité économique par l'ouverture des frontières... Rien, non, vraiment rien, juste la favorisation des prothèses low cost et des verres de m... Et pour assurer leurs autorisations, probablement le développement accéléré des réseaux de soin ! Crève dentiste, disparait opticien indépendant....

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P2eqdh3csim6s7nb09ktdq3e7ev8 - Eugenol
barbabapat

29/05/2017 à 16h48

https://www.lequotidiendumedecin.fr/actualites/article/2017/05/29/si-lon-veut-augmenter-les-remboursements-il-faut-agir-aussi-sur-les-prix-previent-le-patron-de-la-mutualite_847906

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Le président de la Mutualité française, Thierry Beaudet, invite le gouvernement à ouvrir une négociation avec tous les acteurs concernés sur l'objectif de « reste à charge zéro » en optique, dentaire et audioprothèse affiché par Emmanuel Macron. « Il va falloir définir très précisément ce sur quoi portera le reste à charge zéro et quelle sera la population visée », déclare Thierry Beaudet dans un entretien à « l'Opinion », paru vendredi.

« À mon avis, il ne concernera pas tous les postes d'optique, dentaire et audioprothèse, pas plus qu'il ne couvrira l'ensemble de la population », a-t-il avancé, rappelant que le montant non pris en charge par l'assurance-maladie et les complémentaires représentait 4,4 milliards d'euros par an pour ces trois postes.

Le patron de la FNMF souhaite également être associé à la négociation des trois nouveaux contrats types de complémentaire santé annoncés par Emmanuel Macron. Il prévient cependant : ces contrats types ne doivent pas devenir une « couche réglementaire et administrative trop lourde ». « Nous voulons sortir de notre rôle de payeur aveugle et pouvoir dialoguer davantage avec les professionnels de santé », poursuit Thierry Beaudet.

Effets inflationnistes

Selon le président de la Mutualité, les pouvoirs publics devront agir sur plusieurs paramètres pour réduire le ticket modérateur. « Laisser entendre qu'il suffit d'augmenter les remboursements des organismes complémentaires, à tarif inchangé, est une erreur de jugement, assure Thierry Beaudet. La hausse des remboursements par les complémentaires santé a forcément un impact sur les tarifs. »

« Si l'on veut augmenter les remboursements, il faut agir aussi sur les prix des lunettes et des audioprothèses. Notre expérience montre que chaque fois que les tarifs sont libres, toute hausse des remboursements entraîne des effets inflationnistes », affirme Thierry Beaudet, pour qui les réseaux de soins sont « utiles mais insuffisants » pour réaliser les économies attendues.


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http://www.lopinion.fr/edition/economie/thierry-beaudet-ramener-reste-a-charge-a-zero-augmenter-remboursements-127592


P2eqdh3csim6s7nb09ktdq3e7ev8 - Eugenol
barbabapat

29/05/2017 à 16h52

http://www.miroirsocial.com/membre/LESUEUR/post/reste-a-charge-zero-contrats-types-des-complementaires-la-mutualite-appelle-a-la-concertation

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Dans un entretien à L’Opinion, le président de la Mutualité Française, Thierry Beaudet, demande que ces réformes associent l'ensemble des parties prenantes.

Durant la campagne présidentielle, Emmanuel Macron avait promis de ramener à zéro le reste à charge des Français sur les postes optique, dentaire et audioprothèse. Le futur président de la République avait également annoncé son souhait de voir se mettre en place trois contrats santé type au sein de chaque organisme complémentaire. Cela afin de rendre lisible les garanties proposées par les complémentaires.

Dans un entretien au journal L'Opinion, le président de la Mutualité Française, Thierry Beaudet, demande que ces différentes réformes "soient faites sans précipitation", et appelle à une concertation entre toutes les parties prenantes. Notre rôle, explique-t-il, doit être à "la hauteur de notre place dans le système de santé. Nous voulons sortir de notre rôle de « payeur aveugle » et pouvoir dialoguer davantage avec les professionnels de santé".

Aussi, pour ce qui est du projet de supprimer le reste à charge en matière d'optique (ce qui représente 4,4 milliards d’euros), plusieurs leviers sont possibles, reconnaît Thierry Beaudet. En revanche, "laisser entendre qu'il suffit d'augmenter les remboursements des organismes complémentaires, à tarif inchangé, est une erreur de jugement".

Pour augmenter le niveau de prise en charge, le président de la Mutualité Française prône plutôt une action sur les prix des lunettes et des audioprothèses. "Notre expérience montre que chaque fois que les tarifs sont libres, toute hausse des remboursements entraîne des effets inflationnistes."

Autre piste : les réseaux de soins. Grâce à eux, la facture de l'assuré parvient à baisser de 30% en optique et de 10 à 50% en audioprothèse, indique-t-il. "Avec les chirurgiens-dentistes, nous pratiquons une certaine forme de conventionnement, afin de mieux encadrer les restes à charge", explique Thierry Beaudet.

Quoi qu'il en soit, cette mesure soulève encore quelques questions, pour le moment sans réponse. En optique, "j'imagine que le reste à charge zéro portera exclusivement sur la prothèse…", et non sur la monture, suppose Thierry Beaudet. Par ailleurs, concernera-t-elle l'ensemble de la population, ou une partie d'entre elle ? Par conséquent, "le périmètre exact doit faire l'objet d'une négociation entre tous les acteurs concernés".

La concertation devra être également de mise pour l'institution des trois contrats santé type. S'il "comprend les objectifs de tels contrats", le président de la Mutualité Française entend veiller "à ce que cela ne devienne pas une couche réglementaire et administrative trop lourde, alors que notre activité est déjà extrêmement administrée".

Par ailleurs, réagit Thierry Beaudet, "faire porter sur les seules complémentaires la responsabilité de la complexité ou de la non-lisibilité des garanties est un peu fort ! Nous sommes des organismes complémentaires et nous intervenons par conséquent en complément de la Sécurité sociale. Pour exprimer nos garanties, nous sommes obligés de nous référer à la nomenclature tarifaire de la Sécu. Or, cette nomenclature qui comprend des milliers de références est incompréhensible pour le grand public. Comment sans travail sur cette nomenclature pourrions-nous parvenir à simplifier la lisibilité de nos contrats ?".

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