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Attention si vous rencontrez Daniela au fauteuil.
16/12/2017 à 23h13
wakrap écrivait:
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> mr smith écrivait:
> --------
> > Ben voila tu as atteint le point G ;o)))
>
> Ah, non, pour avoir la moindre valeur il aurait fallut me l'écrire dès mon
> premier message, et il n'en n'aurait pas été plus valable.
>
> Je vais donc résumer.
> Les seuls domaines d'activité pro où tu peux être condamné pour un acte de vie
> privée sont ceux relevant des ordres pro, tout en notant que cette condamnation
> n'existerait pas devant un tribunal civil car la loi n'a que faire de la vie
> privée et de la morale individuelle à partir du moment où tu ne viole pas les
> droits d'autrui.
> Cette arrivée de la morale officielle limitant notre liberté date simplement de
> Vichy via les ordres et correspond à la doctrine fasciste. Les lois le
> permettant sont restées dans les professions réglementées et ont été supprimées
> pour le reste du monde de l'entreprise.
> La morale et l'objet pratique de ces lois ont changé mais leur existence nous
> est rappelé par ce type de jugements pathétiques et scandaleux qui devrait
> révolter chaque homme de bonne volonté.
point G comme godwin ! c'est plus clair pour toi ?
17/12/2017 à 09h29
jadis on disait ( et c'était le terme admis juridiquement ) : "exercer en chambre"
on va pas vers le beau c'est sûr
17/12/2017 à 09h42
"Le lit est un endroit où les enfants dorment et les adultes errent ... "
17/12/2017 à 09h43
mr smith écrivait:
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> point G comme godwin ! c'est plus clair pour toi ?
On se prend un point godwin quand on constate que l'état devient tentaculaire ? Car c'est aussi la caractéristique d'un état fasciste. Régir ta vie jusque dans les moindres détails, te spolier, bref t'emmerder en permanence.
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En cas d'échec des négociations conventionnelles, seriez-vous prêt à suivre la promotion d'un déconventionnement massif de la profession par les syndicats représentatifs ? OUI - NON
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17/12/2017 à 11h13
Au Quebec c'est encore bien pire!
"
Un chirurgien plastique de Montréal risque d’être radié pour cinq ans pour avoir entretenu une relation extraconjugale avec une patiente, qui a tourné au cauchemar quand celle-ci a menacé et harcelé sa famille.
« C’est inexcusable ce que j’ai fait [...] J’ai honte d’être d’ici, honte pour mes collègues et honte d’avoir échoué en tant que père », a déclaré le Dr Juan Carlos Cordoba devant le Conseil de discipline du Collège des médecins la semaine dernière.
Il a reconnu avoir commis une faute professionnelle grave en ayant des relations sexuelles pendant plusieurs mois, d’octobre 2015 à mars 2016, avec une patiente dont l’identité est protégée.
Avances
Elle l’avait notamment consulté pour se faire retirer un kyste, et le médecin a expliqué au syndic du Collège avoir cédé aux avances de sa patiente. Leur attirance mutuelle s’est ainsi transportée de sa clinique privée Aesthetica de Westmount à la résidence de sa patiente et à l’hôtel.
Devant le Conseil de discipline, Juan Carlos Cordoba a témoigné avoir réalisé que cette relation était malsaine, et c’est pourquoi il a choisi d’y mettre fin cinq mois plus tard.
Mais sa patiente était loin de voir les choses de la même façon, avouant même au syndic avoir perdu la raison à la suite de la rupture.
Dr Cordoba a relaté qu’elle s’est mise à le menacer de mort et à l’appeler toutes les heures du jour et de la nuit, puis à appeler son épouse et ses trois enfants. Elle espionnait même la maison de ses parents et lui envoyait des photos par téléphone.
Après un cours de natation, elle a suivi ses deux adolescents, leur faisant suffisamment peur pour qu’ils aillent se réfugier dans un poste de police, où la femme a finalement été arrêtée.
« Il y a tellement de victimes dans cette histoire », a déploré l’avocat du syndic adjoint du Collège des médecins, Jacques Prévost, en réclamant une peine de cinq ans de radiation et 2500 $ d’amende.
Il a toutefois ajouté qu’il n’avait pas « beaucoup d’empathie pour ce qui arrive au professionnel [Dr Cordoba] », jugeant qu’il « n’a pas à abuser de ses privilèges pour pervertir la relation [entre un médecin et un patient] dans autre chose ».
Un « abus »
« Ça ronge l’Ordre [des médecins] depuis des années ce genre de comportements là qui ne cesse pas [...] C’est un abus, faut l’appeler par son nom. C’était à lui et lui seul qu’il incombait de dire non », a plaidé Me Prévost.
L’avocat du Dr Cordoba, Marc E Platts, a estimé pour sa part que son client ne mérite qu’une radiation de six mois et 1000 $ d’amende.
« Les faits ne sont pas contestés, les effets le sont », a-t-il dit.
Il dénote aussi une injustice pour son client, qui ne pouvait pas savoir au moment des faits reprochés que le gouvernement changerait la loi pour imposer des sanctions plus sévères envers les inconduites sexuelles.
Le Conseil de discipline du Collège des médecins a pris la cause en délibéré et rendra sa décision d’ici trois mois."
http://www.journaldemontreal.com/2017/12/17/la-relation-extraconjugale-dun-medecin-vire-au-cauchemar
17/12/2017 à 13h05
Attends un peu qu'une de ces saintes nitouches se fasse gauler.
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En cas d'échec des négociations conventionnelles, seriez-vous prêt à suivre la promotion d'un déconventionnement massif de la profession par les syndicats représentatifs ? OUI - NON
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17/12/2017 à 15h38
Ah, non cet exemple du Quebec ne signe que le délire SJW qui envahit ce pays depuis un bon moment, ,comme les USA, et arrive chez nous. avec les tarées à la Schiappa ...
Je cite : " Ça ronge l’Ordre [des médecins] depuis des années ce genre de comportements là qui ne cesse pas [...] C’est un abus, faut l’appeler par son nom. C’était à lui et lui seul qu’il incombait de dire non »"
Ce qui est traité là c'est cette notion d'abus de la position dominante dans le monde de l'entreprise qui fait que plus aucun homme n'ose prendre un ascenseur seul avec une femme . Le médecin qui abuse de sa position face à une patiente.
Notre affaire franchouille, c'est un type qui baise aussi dans son cab et pas ses patients.
Cette affaire canadienne ne montre aucune spécificité par rapport à toute entreprise, ce qui n'est pas le cas chez nous.
17/12/2017 à 15h54
C'est hyper anxiogène toutes ces histoires !!! hga les paradis perdus ;o))))
18/12/2017 à 07h54
wakrap écrivait:
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> Ah, non cet exemple du Quebec ne signe que le délire SJW qui envahit ce pays
> depuis un bon moment, ,comme les USA, et arrive chez nous. avec les tarées à la
> Schiappa ...
pour suivre un peu l'actu en Amérique du nord c'est clair que ça me fait un peu flipper ces histoires.
au début tu crois que c'est une blague et tu te rend compte qu'il y a une loi derrière.
Et des groupes à la con poussent ces lois chez nous... brrr!
Tous victime, c'est ça l'avenir.
Sauf les mâle blanc cisgenre les salaud ! ils ont tué Bambi !
18/12/2017 à 09h56
".......
Cela ressemble à un mauvais vaudeville. Un généraliste de l'Ariège vient d’être sanctionné pour avoir reçu ses maîtresses au cabinet, après un signalement de son ex-épouse et de deux ex-associés médecins. Ils avaient alerté le conseil départemental de l’Ariège de l’Ordre des médecins en juillet 2016 (*), peu après le divorce du couple.
.........."
https://www.lequotidiendumedecin.fr/actualites/article/2017/12/16/denonce-par-son-ex-femme-un-medecin-sanctionne-pour-avoir-recu-des-maitresses-au-cabinet_853475
".......
Le 29 septembre dernier, la chambre disciplinaire régionale de première instance du conseil régional Midi-Pyrénées a condamné le Dr D. à une interdiction d’exercer pendant une durée de six mois, dont trois avec sursis, et à verser au conseil départemental de l’Ordre la somme de 1 500 euros.
Depuis le 13 novembre, le généraliste a donc fermé son cabinet qui ne rouvrira que le 13 février 2018. Le Dr D. a choisi de purger sa peine, sans faire appel de la décision. « Je souhaite définitivement tourner la page et oublier toute cette affaire », confie au « Quotidien » le médecin, qui se dit cependant très surpris par la sévérité de la sanction.
Sites de rencontre en ligne
La chambre disciplinaire lui a reproché d’user « très régulièrement de sa qualité de médecin et de son cabinet médical à des fins d’activités sexuelles qu’il organise de manière habituelle à partir de sites de rencontres ». Un comportement jugé contraire « au principe de moralité » et « de nature à déconsidérer la profession », a estimé l’Ordre qui rappelle que « tout médecin doit s’abstenir, même en dehors de l’exercice de sa profession, de tout acte de nature à déconsidérer celle-ci » (article R.4127 du code de la santé publique ).
« Je regrette d’avoir agi de la sorte, avoue le Dr D. qui reconnaît avoir eu deux rendez-vous après les horaires de consultation. Mais pour moi, il s’agissait d’un espace privé. » Comment pouvait-il déconsidérer la profession alors que personne n’était au courant de ses agissements, s’interroge-t-il.
La chambre disciplinaire en a décidément autrement. Elle n’a pourtant rien trouvé à lui reprocher sur le plan de sa pratique médicale ni sur ses relations avec les patientes et le praticien n’a fait l’objet d’aucune plainte. « Je n’ai jamais eu de comportement déplacé, ni même ambigu avec mes patientes », insiste le Dr D.
Trahi par sa messagerie électronique
Pour prouver ces agissements, il a fallu que son ex-épouse prenne le contrôle de sa messagerie personnelle, « à mon insu et de manière illicite », affirme le Dr D. qui dit ne plus y avoir accès. Elle met alors la main sur plusieurs courriers électroniques compromettants (échangés alors que le couple était marié), qui serviront de preuve à la chambre disciplinaire. Cette dernière s’appuiera aussi sur un courrier remontant à 2004 et dans lequel ses deux ex-associés se plaignaient du Dr D., lui reprochant d’utiliser le matériel informatique du cabinet pour consulter des sites de rencontre. Parmi ces deux confrères figure l’actuel président du conseil départemental de l’Ariège de l’Ordre des médecins… à l’origine de la plainte.
Le Dr D. attend maintenant de retrouver ses patients, le 13 février prochain. Avec « une certaine appréhension », dit-il, même si certains d’entre eux lui ont manifesté leur soutien.
(*) Précision (18/12/2017) : le Conseil départemental de l'Ariège de l'Ordre des médecins a porté plainte auprès de la chambre disciplinaire de première instance du conseil régional Midi-Pyrénées de l'Ordre des médecins le 28 juillet 2016, après avoir été alerté par l'ex-épouse du DR D. et par deux de ses anciens associés médecins (dont l'un est actuellement président du conseil départemental de l'Ordre des médecins).
............"
18/12/2017 à 10h05
D'un point de vue droit français la décision semble irrecevable. Il pourrait, avec du temps et de l'argent attaquer l'ordre et toucher le jackpot!
... prise de contrôle illicite de messagerie privée...
18/12/2017 à 10h11
D'après les commentaires de l'article, l'un des associée président de l'ordre serait une femme. Amusant cette non utilisation de la féminisation des titres et fonctions dans ce cas.
18/12/2017 à 11h03
Un coup de téléphone aurait probablement réglé l'affaire.
Vengeance de son ex...
18/12/2017 à 12h12
La paire de couilles , c est ce qui nous coute le plus cher dans notre vie :-)).
18/12/2017 à 12h22
Nan , mais cela fait pitié, le pauvre il a bobonne à la maison et ça n'a pas l'air d'être un cadeau, il allait pas ramener ses escorts à domicile. Bien, Ariège, tout le monde doit +/- se connaitre, avoir la belle-sœur du cousin qui... on connait ça, en conséquence l’hôtel restau de la sous-préfecture on oublie. Le climat est rude par là-bas ce qui élimine la banquette arrière de sa voiture... qu'est-ce qu'il reste? Le Cabinet et puis c'est tout!
Tiens quand j'étais jeune et instable, je voyais double;-) je m'inventais des dimanches de garde pour être tranquille au cabinet, je ne pense pas être le seul à l'avoir fait...
18/12/2017 à 13h00
vulpi écrivait:
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> Tiens quand j'étais jeune et instable, je voyais double;-) je m'inventais des
> dimanches de garde pour être tranquille au cabinet, je ne pense pas être le seul
> à l'avoir fait...
l'autre!! il grille tout les ptits copain !
Mesdames messieurs les conjoints de dentiste sachez le !
Si les vacations ne sont jamais payées c'est simplement que les gardes n'existent pas !
C'est juste une excuse nationale, une conspiration ourdie par un ordre décadent et partouzard !
18/12/2017 à 13h32
:-)))))
Je ne pense pas que l'ordre de l'époque m'aurait fait des problèmes. Les temps ont changé.
18/12/2017 à 13h47
vulpi écrivait:
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> :-)))))
>
> Je ne pense pas que l'ordre de l'époque m'aurait fait des problèmes. Les temps
> ont changé.
Pourquoi t'as pécho le président du CO ?
18/12/2017 à 14h08
Cool, en fait c est la sharia au genre inverse cette histoire.
Avec délation, voyeurisme, violation de la vie privée et aucunes victimes...
18/12/2017 à 14h13
Pervers Pépère écrivait:
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> vulpi écrivait:
> -----
> > :-)))))
> >
> > Je ne pense pas que l'ordre de l'époque m'aurait fait des problèmes. Les temps
> > ont changé.
>
> Pourquoi t'as pécho le président du CO ?
Que nenni, l'ordre est une institution tout ce qu'il y a de respectable, mais à l'époque on avait un président de la république polygame et un ministre partouzard, alors un pôv dentiste...
18/12/2017 à 15h39
Pour en revenir au cas de ce médecin, si cela avait été avec des patientes effectivement cela poserait problème, il y a une sorte de hiérarchie soignant soigné et par là, la relation pourrait être biaisée. Il ne me viendrait pas à l'idée de céder aux avances d'une patiente, ça fait longtemps que ce n'est pas arrivé... tiens!??...
C'est un peu comme pour une relation enseignant, élève cela me semble condamnable, peu morale.
Dans les deux cas un problème d'emprise psychologique, ce n'est pas à faire.
18/12/2017 à 20h24
vulpi écrivait:
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" C'est un peu comme pour une relation enseignant, élève cela me semble condamnable, peu morale."
Pourtant J en ai vu une à la telé a qui ça a profité .:-))